Citations de S.C. Stephens (188)
La vie devait être tellement plus simple pour les gens séduisants.
Notre amitié s’était transformée en une passion qui, une fois allumée, avait brûlé sans que quoi que ce soit puisse l’éteindre.
Il y avait tellement d’étincelles entre nous qu’on aurait sans doute pu déclencher un incendie.
- Mme Anna Hancock… Tu es ma meilleure amie, ma meilleure complice pour les quatre cents coups, ma raison de vivre, la seule qui compte pour moi. Et jamais je ne porterai le moindre accroc à l’amour qui m’unit à toi pour la vie.
– Il n’y a que toi qui partages mon lit. Que toi qui me vois nu. Que toi avec qui je couche. C’est toi que j’ai choisie. Je t’aime et je ne suis intéressé par personne d’autre. D’accord ?
Je vais commencer par ce que j'aurais dû te dire il y a longtemps. Ce que j'aurais dû te répéter chaque matin au réveil, chaque soir au coucher : je t'aime Anna. Putain, qu'est-ce que je peux t'aimer...
- On peut l'appeler comme ma grand-mère ?
Anna se mit à sangloter, puis elle hocha la tête et se jeta à son cou. Il sourit et prit une grande respiration en la serrant contre elle, et le reste du groupe se regarda en souriant. A travers mes propres larmes, j'entendis Matt dire quelque chose à l'oreille de Rachel.
- Quelqu'un devrait peut-être la prévenir que notre grand-mère s'appelait Myrtille.
- Bon sang, Kiera, je peux t'expliquer avant que tu me sautes dessus ?
La colère se lisait dans ses yeux mais ce n'était rien comparé à celle que moi, je ressentais.
- Alos explique-moi ce que ça veut dire, "toujours les plus sexy". Et " deux dans la même soirée". Et puis "passer après toi", aussi ?
- Je te reparle de ça pour te rappeler que Kellan voit les choses sur le long terme avec toi. Tu n'es pas juste une fille avec qui il sort. Tu es la fille. Tu es tout pour lui, je le vois dans ses yeux quand il te regarde.
- Non, on va jouer au poker.
- Je suis nulle au poker.
- Ca tombe bien, parce qu'en vrai, on va jouer au strip poker.
- Tu vas devenir célèbre, moi je vais devenir has been, et tu vas me quitter, c’est ça ?
- Premièrement, grâce à toi, je suis déjà célèbre, deuxièmement, je ne te quitterai jamais, et troisièmement, tu ne seras jamais has been. Pas pour moi, en tout cas.
Une larme roula sur sa joue et je me rendis compte que, techniquement, je ne lui avais pas posé la question.
- Alors, euh… est-ce que tu veux bien… me prendre ?
J’écarquillai les yeux, mortifiée.
- Pour épouse, ajoutai-je précipitamment.
- Je n’en sais rien, répondis-je à la place. Mais moi, je suis fière de toi, pour tout ce que tu as accompli jusqu’à présent et pour ce que tu viens de faire.
- Je t’aime… même si tu es complètement cinglé.
Il rit et ouvrit la porte de la douche.
- Tant mieux, parce que je pense que j’en ai pour une semaine à roter des bulles de savon.
Je passai mes mains dans ses cheveux et le dévisageai jusqu’à ce que j’aie l’impression que mon cœur allait exploser.
- Moi aussi, je t’aime. Je n’aime que toi, et je t’aimerai toujours.
- Tu m’as déjà vue, pourtant, murmurai-je en souriant tristement.
Il eut l’air tellement malheureux que cela me brisa le cœur.
- Je t’aime, dis-je avant l’embrasser.
- Laisse-toi aller…
Je secouai la tête, mais il insista.
- Ne t’en fais pas pour moi… laisse-moi te donner ce que tu veux.
Je sais que tu détestes toucher aux affaires de Griffin, alors je me dis que j’allais essayer de rendre ça plus facile. Merci de faire tout ça pour nous. Je t’aime. Kellan.
Son regard, son toucher, son sourire, son rire… c’était tout cela qui me faisait me sentir aussi valorisée, pour la première fois de ma vie. Je me sentais capable de tout tandis que je dansais avec lui dans la cuisine, et je sus, sans l’ombre d’un doute, que tout se passerait bien le lendemain.
- Mince, excuse-moi.
- Je te fais marcher, ça fait pas si mal que ça, dit-il en m'attirant contre lui.
- Crétin, dis-je en mettant mes bras autour de son cou.
- Peut-être, mais au moins tu me fais un câlin.
- T'es vraiment insupportable.
- Oui, mais tu m'aimes bien quand même.
- Je sais vraiment pas pourquoi, répondis-je avec un soupir dramatique.
- Donc, tu m'aimes vraiment bien. J'étais pas sûr...
- Ah, du café ! Je t'aime !