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Citations de S.C. Stephens (188)


Il sourient et m'embrassa, puis il s'écarta, retira mes mains d'autour de son cou et attrapa ma main droite. Je fronçai les sourcils en le regardant me retirer mon anneau de promesse avec un sourire plus rayonnant que jamais. Puis il glissa la bague à mon annulaire gauche et fit pareil avec sa bague à lui.
- Voilà, on est mariés, dit-il en prenant ma main gauche dans la sienne.
Les larmes aux yeux, je secouai la tête.
- Je ne suis pas sûre que ça marche comme ça.
- Tu chipotes, dit-il en haussant les épaules avec un petit sourire.
puis il mit sa main gauche sur mon coeur et ma main gauche sur le sien.
- On est mariés. Tu es ma femme, déclara-t-il en me regardant intensément.
Je hochais la tête, les joues mouillées de larmes.
- Et tu es mon mari...
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Il chanta la suite sans cesser de froncer les sourcils, comme s’il était convaincu d’être en train de rêver. La partie instrumentale se fit beaucoup plus discrète et sa voix résonna dans le bar. Il répéta le passage où il disait que j’étais son soleil, puis sa voix s’éteignit en même temps que la musique.
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– Nom… de… Dieu…, murmura Griffin en donnant un coup de coude à Matt, qui était assis à côté de lui. Je crois que je suis amoureux. Regarde un peu ce canon !

Je ne me retournai même pas pour voir de qui il parlait et je leur donnai leurs bières en regardant Kellan du coin de l’œil. Il avait l’air résigné. J’avais redouté la façon dont il allait se comporter avec moi après la conversation qu’on avait eue dans la cuisine. Mais il m’avait conduite en cours comme d’habitude. Puis il était venu me rechercher. Puis il m’avait amenée au bar… Tout s’était déroulé comme d’habitude, même si je ne l’avais pas trouvé très bavard. Je lui avais dit qu’il n’était pas obligé de faire ça, mais il m’avait regardé l’air de dire Sois pas bête, bien sûr que je vais continuer à faire ça, puisqu’on est toujours amis…

Je me demandais à quoi il pensait quand je remarquai que Griffin souriait bêtement et qu’il s’était redressé sur sa chaise. Soudain, des mains me couvrirent les yeux.

– Devine qui c’est !

J’écartai les mains et me retournai.

– Anna ! m’exclamai-je en la prenant dans mes bras. Je croyais que tu arrivais demain matin !

Elle me regarda brièvement avant de fixer Kellan.

– J’avais trop hâte… J’ai pris l’avion plus tôt.
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- C'est ma femme. Elle m'accompagne partout où je vais.
Là-dessus, il me prit la main et s'éloigna et le dernier bruit que j'entendis avant de rentrer dans le bâtiment fut celui de murmures stupéfaits. Il ne m'avait jamais appelé comme ça en public avant, et il me sourit une fois dans l'entrée.
- C'était vraiment agréable de dire ça.
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- Je suis tellement impatiente de te voir dans ta robe !
On papota encore un moment puis je lui dis au revoir et rendis son portable à Anna.
- Je n'en reviens pas que tu n'aies rien dit pour les manches bouffantes. on dirait un truc de l'époque élisabéthaine, je te jure. Je suis sûre que c'est dangereux. Tu pourrais mettre ton mari KO en tournant trop vite et en heurtant sa tête avec ta manche, et après il faudrait que je le ranime.
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S'habiller comme une star ne faisait pas de vous une star : vous aviez le talent, ou vous ne l'aviez pas. Et Kellan en avait à revendre.
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"Il voudrait toujours que je sois à ses côtés et n'aurais toujours la première place dans son coeur. On était fait l'un pour l'autre. C'était mon âme soeur.
La passion, l'amour, l'amitié, la fidélité. .. une fois qu'on a trouvé la bonne personne... c'est vrqkment possible de tout avoir."
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– Si ça peut te consoler, une fille m’a embrassée il y a environ deux semaines.
Il eut un petit sourire diabolique et posa sa tête sur mon épaule.
– Tu as toute mon attention. Parlons plutôt de ce baiser.
J’étais en train de rire quand j’entendis le verrou, et je regardai vers la porte d’entrée en me demandant pourquoi Anna avait finalement décidé de rentrer. Mais en voyant qui était là, j’arrêtai de rire immédiatement. Je pense que j’arrêtai même de respirer. Denny me lâcha immédiatement et une voix froide remplit la pièce.
– Je me sentais coupable d’avoir manqué notre anniversaire, et on avait une pause entre deux concerts. Matt avait envie de me tuer mais je me suis dit qu’il fallait que je vienne te voir.
Je restai bouche bée en voyant Kellan dans le couloir. Les yeux plissés, il nous fixait Denny et moi comme s’il voulait que l’on prenne feu.
– Je voulais te faire une surprise, dit-il d’une voix blanche. Tu es surprise ? Parce que moi, oui.


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– Kellan, tu fais quoi ?
Il m’ignora. La seule réaction qu’il eut en entendant ma voix fut de serrer les poings. Rhabillé, il alla jusqu’à mon sac et se mit à fouiller à l’intérieur. Quand il en ressortit la main, je vis qu’il tenait ses clés de voiture. Il les fourra dans la poche de sa veste et se dirigea vers la porte d’entrée. Il partait ? Cette idée me fit enfin remuer et je traversai le couloir comme une flèche.
J’atteignis la porte d’entrée en premier et restai devant pour l’empêcher de sortir, du moins pas avant de m’avoir donné une explication.
– Tu t’en vas ?
Il vint se planter devant moi et me lança un regard furieux en serrant les mâchoires. Si cela avait été quelqu’un d’autre, il n’aurait sûrement pas hésité à le jeter par terre pour pouvoir sortir. Il avait les yeux plissés, le souffle court et il était fou furieux… encore.
Je me collai contre la porte et secouai la tête face à son absence totale de réponse.
– Pourquoi ? À cause de Denny ? Je t’ai déjà dit qu’il ne s’était rien…
Son regard suffit à me faire taire, plus efficacement que s’il m’avait crié dessus.
– Rien ? dit-il d’une voix tendue et glaciale. Tu me prends vraiment pour un idiot. Je ne suis peut-être pas aussi « brillant » que lui, mais je ne suis pas stupide.
Il me prit par le bras et me tira brutalement.
– Maintenant, laisse-moi passer.
– Pas avant que tu me dises ce qui se passe !
Il ouvrit grand la bouche et recula d’un pas.
– Tu te fous de moi ?
Il fit un autre pas en arrière et je m’écartai un peu de la porte, certaine qu’il préférerait me crier dessus plutôt que de partir en courant.
– D’accord, je sais que j’aurais dû t’en parler pour Denny, mais on n’a rien fait !
Il ferma les yeux, tremblant de colère.
– Je veux partir d’ici, loin de toi. Alors pousse-toi, avant que je fasse quelque chose de vraiment stupide.
Soudain, je fis quelque chose de vraiment stupide.


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- Comment ça, pas revenu ?
- bon sang, Anna, ça t'arrive de parler aux parents ?
Je ne souhaitais vraiment pas avoir encore cette conversation avec un autre membre de ma famille.
- Pas si je peux l'éviter, non. Qu'est-ce qui est passé ?
- Il a dû partir quelque temps à Tucson pour le travail.
Quelque temps qui ressemblaient plutôt à une éternité.
D'ailleurs, il n'avait pas appelé aujourd'hui.
- Attends, il est parti flâner dans le désert en te laissant toute seule avec Mister Univers ?
Je pouvais l'entendre sourire à l'autre bout du fil.
- Arrête de te faire des films.
Certes, mes rapports avec Kellan étaient plus amicaux qu'avant, mais ce n'était pas du tout ce que ma sœur croyait.
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Tout serait plus facile s’il partait en emmenant avec lui sa froideur, ses remarques insupportables, sa liste interminable de prétendantes, ses yeux bleus qui me suivaient partout et les images qui me hantaient sans cesse…
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Les mecs sont vraiment tous pareils.
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Ce n’est pas sa voix qui m’avait clouée sur place : c’était les paroles, magnifiques et super émouvantes. C’était une déclaration d’amour pleine de poésie, un hymne à un amour perdu qui parlait de peur, de tristesse et même de mort.
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– Ce n’est pas le bébé qui me fait peur, mais le fait que tu te sois dupliqué. Maintenant, il y a deux Griffin et je ne sais pas si le monde va tenir le choc.
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- Je travaillerai dur pour ce groupe, répondis-je. Je sais à présent ce que signifie le travail d’équipe et je veux en être. Je ferai ma part du job… Je le promets.
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- Tu es ma meilleure amie, lui dis-je. La seule qui me comprenne vraiment et qui m’aime. Et je ferais l’impossible pour te garder. L’impossible.
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"Je te promets, mon amour pour toi ne s'éteindra jamais."
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- Tu avais raison depuis le début, on n'est pas amis, on est bien plus que ça. Je veux être avec toi. Je veux être à toi. Je suis à toi.
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J'ai une vie sans toi. Mon monde ne se résume pas à toi. Tu es juste la partie que j'aimais le plus.
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On 'avait même pas encore été présentés et elle me faisait déjà l'effet d'une bombe.
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