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3.44/5 (sur 753 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Allemagne
Biographie :

Sara Fawkes est auteure de romans érotiques.

Sara Fawkes a toujours aimé les contes, mais ses racines romantiques viennent des vieux livres Johanna Lindsay de sa mère. Elle écrit des histoires depuis toute petite et aime créer des histoires et des personnages intéressants.

Son blog:
http://sarawriteserotica.wordpress.com

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Citations et extraits (96) Voir plus Ajouter une citation
Croiser le bel inconnu tous les matins, à mon travail : ces derniers temps, c'était le moment sublime de ma journée.
Je traversais le hall en direction des ascenseurs aussi vite que me le permettaient mes hauts talons, sinuant entre des échelles et des ouvriers qui réparaient le système électrique du vieil immeuble de bureaux. Réglé comme une horloge suisse, le mystérieux brun arrivait devant les cabines à 8 h 20 précises. Il n'y manqua pas non plus ce jour-là. Je me frayai un chemin dans la file afin de me rapprocher de lui aussi discrètement que possible et fixai les portes en faisant mine de ne pas l'avoir remarqué. Ce n'était pas un jeu, même si ça y ressemblait parfois. Les hommes aussi beaux que lui n'avaient jamais franchi les limites de ma sphère d'influence, ce n'était pas maintenant que ça allait changer.
Pour autant, une fille a le droit de rêver, non ?
Les portes coulissèrent et je me glissai à l'intérieur avec la petite troupe de ceux qui patientaient, puis m'assurai qu'on avait appuyé sur le bouton de mon étage. Le bâtiment ancien – historique, préféraient dire certains – était en pleine réhabilitation. On rénovait, on modernisait. Toutefois, les ascenseurs étaient encore de la vieille école. Plus petite et plus lente que ses contemporaines, la boîte de conserve dans laquelle je me trouvais n'en accomplissait pas moins son boulot et grimpait les étages péniblement et en grinçant.
Je repositionnai mon sac sous mon bras tout en jetant à l'inconnu un regard à la dérobée. Son regard croisa le mien. Mince ! Avait-il remarqué que je le fixais ? Rouge comme une pivoine, je lui tournai le dos, face aux portes, lesquelles s'ouvrirent pour dégorger une bande de gens sur leur palier. Il me restait encore onze niveaux à gravir. J'avais un poste d'intérimaire – saisie de données ! – chez Hamilton Industries. Si l'entreprise occupait la plupart des étages supérieurs, mon bureau exigu et moi-même étions relégués dans un coin reculé, quelque part au quatorzième.
Le look BCBG en costard-cravate m'avait toujours plu, et le beau brun portait chaque jour des costumes impeccablement taillés sur mesure, qui coûtaient sans doute plus cher que mon maigre salaire mensuel. Tout en lui respirait la bonne société, bien loin de mes origines – ce qui ne m'empêchait pas de fantasmer sur lui. Il habitait mes rêves, son visage était celui sur lequel se fermaient mes yeux le soir quand je me couchais. N'ayant eu entre les cuisses rien qui ne soit animé par des piles depuis plus d'un an, mes délires étaient un peu osés. Sur le moment, je m'accordai la liberté d'y repenser, et un sourire béat étira lentement mes lèvres. Vu mon degré de frustration, il ne m'en fallait pas beaucoup pour démarrer au quart de tour... une petite image mentale où j'étais plaquée contre un mur et subissais les derniers outrages... Waouh !
Les occupants continuaient de débarquer, l'ascenseur de reprendre sa course haletante. Soudain, je m'arrachai à ma rêverie en me rendant compte que j'étais seule en compagnie de l'inconnu. Pour la première fois depuis que j'avais commencé à travailler ici. Me raclant la gorge avec nervosité, je lissai ma jupe fourreau de ma main libre et m'exhortai à respirer. Une boule de désir durcissait dans mon ventre, alimentée par une ribambelle de pensées plus libertines les unes que les autres. Cette cabine d'ascenseur était-elle équipée de caméras ?
Tout à coup, je perçus un froissement discret derrière moi, puis un avant-bras musclé surgit près de ma hanche et enfonça le bouton rouge de l'appareil. Ce dernier s'arrêta aussitôt et, avant que j'aie pu prononcer un mot, deux bras apparurent autour de ma tête tandis qu'une voix grave murmurait à mon oreille :
– Je vous croise tous les matins dans cet ascenseur. À quoi jouez-vous ?
La stupeur m'ayant réduite au silence, je ne pus que cligner des yeux. Fallait-il que je me pince ? Se produisait-il vraiment quelque chose dans mon existence terne et banale ?
Un corps dur me pressa contre les portes de la cabine. Le contact du métal froid contre mes tétons soudain érigés et sensibles m'arracha un léger soupir.
– Qu'est-ce que... commençai-je.
Pour immédiatement oublier ce que je m'apprêtais à dire, car un long membre tumescent venait de se coller à ma hanche...
– Je sens votre excitation, gronda l'inconnu avec des intonations feutrées qui me nouèrent l'estomac. Chaque matin, vous entrez dans cet ascenseur et je renifle ce à quoi vous aspirez.
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Le désir se lisait dans ses yeux. Je me rappelai brusquement le baiser que nous avions échangé chez lui, la sensation de ses lèvres sur les miennes, son parfum envoûtant.
– Lucy…
Je ne sus pas ce qu’il allait dire, car je relevai la tête et posai ma bouche sur la sienne. Durant un instant, il ne réagit pas, et le désespoir s’empara de moi. Aidezmoi à oublier ! Je nouai mes bras autour de sa taille et le tirai à moi. Alors, ses lèvres s’entrouvrirent. Un soupir m’échappa lorsqu’il me renversa sur le matelas. Il remonta mes poignets au-dessus de ma tête. Je gémis. Sa langue joua avec ma bouche, et il me sourit.
– Vous aimez ça, hein ?
Oui. Je serrai les poings, avide de le caresser mais me délectant aussi de sa domination. Il glissa un genou entre mes cuisses, l’appuya fort contre mon sexe. Je tressaillis et arquai le dospour mieux me coller à lui. Brièvement, à la pensée de Niall ensanglanté, je poussais un petit cri, interrompant notre baiser. Lucas posa son front sur le mien.
– Nous pouvons arrêter, si vous…
Je lui coupai aussitôt la parole en l’embrassant, et il ne protesta pas. Tenant mes poignets d’une seule main, il introduisit l’autre sous mon haut et entreprit de titiller l’un de mes tétons, tandis que sa bouche descendait le long de mon cou. Je gémis de nouveau et crochetai mes jambes autour de ses hanches étroites.
– Comme vous êtes bandante ! murmura-t-il.
Je l’aidai à remonter mon corsage au-dessus de ma tête. Quand je sentis sa chaleur contre ma peau dénudée, je fus soudain engloutie par une vague de désir. Me libérant de son emprise, je tirai avec précipitation sur sa chemise. Ma maladresse lui arracha un rire étouffé qui m’irrita. Je le repoussai sur le dos et, le délestant de sa ceinture, j’enlevai son pantalon. Je découvris, sans grande surprise, sa queue déjà raidie. Je le saisis, promenai mon pouce sur le gland épais et fus récompensée par un soupir étouffé. Je glissai au pied du lit en griffant son torse de mes ongles et le pris dans ma bouche.
Il lâcha cette fois un juron et tandis qu’il se redressait. Je le gobais aussi profondément que je pus. Ses doigts agrippèrent mes cheveux tandis que j’embrassai, suçai, enfonçai mes ongles dans ses hanches pour mieux l’engloutir. À plusieurs reprises, j’agaçai son noeud turgescent avec la langue avant de l’enrouler autour de la hampe et de redescendre vers la base.
– Nom de dieu ! s’exclama-t-il quand je caressai l’intérieur de ses cuisses du bout des doigts tout en mordillant gentiment l’extrémité de son membre durci.
Il prit ma tête entre ses mains, m’ôtant son sexe de la bouche, et m’attira contre lui. Docile, je suivis le mouvement et me mis à califourchon sur lui avant de chercher aussitôt sa bouche. Lucas m’embrassa avec une vigueur renouvelée et me fit rouler sur le lit.
– À mon tour, souffla-t-il.
Il déboutonna habilement mon pantalon tandis que je me soulevai pour l’aider. Il me retourna ensuite avec une certaine brusquerie, ce qui m’arracha un petit cri. Ses mains agrippèrent mes fesses et j’en miaulai de désir. Écartant mes replis intimes, il plongea le visage entre mes jambes.
Je lâchai un gémissement de plaisir, bondis en avant, mais ses mains autour de ma taille me maintenaient fermement en place. Alors qu’il me léchait et me suçait, j’enfouis ma tête dans un oreiller tout en gigotant sur le lit. Soudain, l’une de ses mains abandonna ma taille et ses longs doigts me pénétrèrent. Je me tendis comme un arc en gémissant. Il m’aurait enchaînée que je n’aurais pas été plus esclave des sensations qu’il provoquait en moi. Rien n’aurait pu m’amener à renoncer à une torture aussi délicieuse tant mon corps vibrait de plaisir. Maître en la matière, il savait parfaitement jouer avec mon corps.
Le bruit d’un étui de préservatif qu’on déballe m’annonça qu’on passait à une autre étape, mais j’étais dans un tel était que je ne m’en préoccupais pas. Quand sa bouche me délaissa, je me mis à grogner de frustration et à supplier en silence pour qu’il m’en donne encore et toujours plus. L’absence soudaine de tout contact m’était insupportable, mais le lit craqua et je le sentis se glisser derrière moi. Ses mains s’arrondirent sur les courbes de mon corps, ses ongles se plantèrent sur mes hanches et je m’agrippai plus fort à l’oreiller.
Lorsque son gland frôla l’entrée de mon sexe, je ne pus retenir un cri d’excitation, aussitôt suivi d’un halètement, car il venait de me pénétrer d’un seul et long mouvement assuré. Je mouillais comme une dingue et sa présence en moi précipita la montée de mon orgasme. Je ponctuai désormais chacune de mes respirations de cris, étouffés par l’oreiller mais bien audibles dans l’espace exiguë de la cabine. Tout mon corps était tendu, et je devinai aux mouvements erratiques de Lucas qu’il allait lui aussi atteindre l’orgasme.
Il modifia sa position, ajustant parfaitement ses coups de boutoir aux endroits les plus sensibles, et je cédai à la jouissance. Des vagues de plaisir m’emportaient tandis que Lucas continuait d’enfoncer sa queue, la moindre de ses allées et venues exacerbant mes sensations. Au bout d’un moment, il ne put plus se retenir et jouit à son tour avec un soupir étranglé, ses doigts crispés sur mes hanches. Il s’abattit lourdement sur moi, son haleine chaude me brûlant la peau.
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Il me retourna d’un geste brusque. J’entrevis son beau visage et l’éclat de ses prunelles vertes, puis ses lèvres écrasèrent les miennes et me donnèrent le baiser le plus sensuel de toute mon existence. J’y répondis goulûment, me collai à lui comme une sangsue, caressai son torse sous la veste de son costume, à travers sa chemise soyeuse. Mais il m’arrêta très vite et s’empara de mes mains, les maintenant levées au-dessus de ma tête. D’une jambe glissée entre mes cuisses, il me souleva encore plus haut, tandis que je roulais des hanches et me frottais sur ses muscles. J’émettais malgré moi des geignements haletants alors qu’il léchait et mordillait la peau sensible de mon cou. – Sucez-moi, murmura-t-il sans cesser de m’embrasser. Je veux vous voir à genoux, sentir votre bouche parfaite autour de ma queue…
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Je me raidis de surprise, tandis que les stridences me parvenaient à travers la brume hébétée qui m'enveloppait. Le désir céda la place à la honte, et je poussai sur mes mains pour me libérer. L'étranger s'écarta et me rendit mon espace vital avant d'appuyer de nouveau sur le bouton rouge. L'ascenseur redémarra avec un soubresaut pendant que je remettais vivement de l'ordre dans ma tenue.
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- Oui, je vous aime, ajouta-t-il. Je l'ai compris quand vous avez grimpé sur ce parapet pour sauter. Avant, même.
Il eut un bref sourire.
- Je pense l'avoir réalisé alors que vous étiez cette fille dans l'ascenseur dont les coups d'oeil timides me rendaient dingue.
Il essuya une larme qui avait roulé sur ma joue. Me serrant contre lui, il lâcha sa canne,qui tomba à terre. Se penchant sur moi, il m'embrassa mon front.
- J'ai toujours estimé que les mots n'étaient pas nécessaires, continua-t-il. Trop banals, même. Puisque le sentiment existe, pour quelle raison le nommer? Mais la mort de Lucas m'a appris une chose: il faut parler aux autres pour qu'il sachent. Alors, Lucy Delacourt, sachez que je suis fou amoureux de vous.
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Croiser le bel inconnu tous les matins, à mon travail : ces derniers temps, c'était le moment sublime de ma journée.
Je traversais le hall en direction des ascenseurs aussi vite que me le permettaient mes hauts talons, sinuant entre des échelles et des ouvriers qui réparaient le système électrique du vieil immeuble de bureaux. Réglé comme une horloge suisse, le mystérieux brun arrivait devant les cabines à 8 h 20 précises. Il n'y manqua pas non plus ce jour-là. Je me frayai un chemin dans la file afin de me rapprocher de lui aussi discrètement que possible et fixai les portes en faisant mine de ne pas l'avoir remarqué. Ce n'était pas un jeu, même si ça y ressemblait parfois. Les hommes aussi beaux que lui n'avaient jamais franchi les limites de ma sphère d'influence, ce n'était pas maintenant que ça allait changer.
Pour autant, une fille a le droit de rêver, non ?
Les portes coulissèrent et je me glissai à l'intérieur avec la petite troupe de ceux qui patientaient, puis m'assurai qu'on avait appuyé sur le bouton de mon étage. Le bâtiment ancien – historique, préféraient dire certains – était en pleine réhabilitation. On rénovait, on modernisait. Toutefois, les ascenseurs étaient encore de la vieille école. Plus petite et plus lente que ses contemporaines, la boîte de conserve dans laquelle je me trouvais n'en accomplissait pas moins son boulot et grimpait les étages péniblement et en grinçant.
Je repositionnai mon sac sous mon bras tout en jetant à l'inconnu un regard à la dérobée. Son regard croisa le mien. Mince ! Avait-il remarqué que je le fixais ? Rouge comme une pivoine, je lui tournai le dos, face aux portes, lesquelles s'ouvrirent pour dégorger une bande de gens sur leur palier. Il me restait encore onze niveaux à gravir. J'avais un poste d'intérimaire – saisie de données ! – chez Hamilton Industries. Si l'entreprise occupait la plupart des étages supérieurs, mon bureau exigu et moi-même étions relégués dans un coin reculé, quelque part au quatorzième.
Le look BCBG en costard-cravate m'avait toujours plu, et le beau brun portait chaque jour des costumes impeccablement taillés sur mesure, qui coûtaient sans doute plus cher que mon maigre salaire mensuel. Tout en lui respirait la bonne société, bien loin de mes origines – ce qui ne m'empêchait pas de fantasmer sur lui. Il habitait mes rêves, son visage était celui sur lequel se fermaient mes yeux le soir quand je me couchais. N'ayant eu entre les cuisses rien qui ne soit animé par des piles depuis plus d'un an, mes délires étaient un peu osés. Sur le moment, je m'accordai la liberté d'y repenser, et un sourire béat étira lentement mes lèvres. Vu mon degré de frustration, il ne m'en fallait pas beaucoup pour démarrer au quart de tour... une petite image mentale où j'étais plaquée contre un mur et subissais les derniers outrages... Waouh !
Les occupants continuaient de débarquer, l'ascenseur de reprendre sa course haletante. Soudain, je m'arrachai à ma rêverie en me rendant compte que j'étais seule en compagnie de l'inconnu. Pour la première fois depuis que j'avais commencé à travailler ici. Me raclant la gorge avec nervosité, je lissai ma jupe fourreau de ma main libre et m'exhortai à respirer. Une boule de désir durcissait dans mon ventre, alimentée par une ribambelle de pensées plus libertines les unes que les autres. Cette cabine d'ascenseur était-elle équipée de caméras ?
Tout à coup, je perçus un froissement discret derrière moi, puis un avant-bras musclé surgit près de ma hanche et enfonça le bouton rouge de l'appareil. Ce dernier s'arrêta aussitôt et, avant que j'aie pu prononcer un mot, deux bras apparurent autour de ma tête tandis qu'une voix grave murmurait à mon oreille :
– Je vous croise tous les matins dans cet ascenseur. À quoi jouez-vous ?
La stupeur m'ayant réduite au silence, je ne pus que cligner des yeux. Fallait-il que je me pince ? Se produisait-il vraiment quelque chose dans mon existence terne et banale ?
Un corps dur me pressa contre les portes de la cabine. Le contact du métal froid contre mes tétons soudain érigés et sensibles m'arracha un léger soupir.
– Qu'est-ce que... commençai-je.
Pour immédiatement oublier ce que je m'apprêtais à dire, car un long membre tumescent venait de se coller à ma hanche...
– Je sens votre excitation, gronda l'inconnu avec des intonations feutrées qui me nouèrent l'estomac. Chaque matin, vous entrez dans cet ascenseur et je renifle ce à quoi vous aspirez.
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Je ne supportais pas d'être éloigné de vous, de savoir que vous étiez en danger et que je ne pouvais pas vous aider. J'avais du mal à respirer, je n'arrivais plus à réfléchir parce que je...
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Les occupants continuaient de débarquer, l’ascenseur de reprendre sa course haletante. Soudain, je m’arrachai à ma rêverie en me rendant compte que j’étais seule en compagnie de l’inconnu. Pour la première fois depuis que j’avais commencé à travailler ici. Me raclant la gorge avec nervosité, je lissai ma jupe fourreau de ma main libre et m’exhortai à respirer. Une boule de désir durcissait dans mon ventre, alimentée par une ribambelle de pensées plus libertines les unes que les autres. Cette cabine d’ascenseur était-elle équipée de caméras ?
Tout à coup, je perçus un froissement discret derrière moi, puis un avant-bras musclé surgit près de ma hanche et enfonça le bouton rouge de l’appareil. Ce dernier s’arrêta aussitôt et, avant que j’aie pu prononcer un mot, deux bras apparurent autour de ma tête tandis qu’une voix grave murmurait à mon oreille :
– Je vous croise tous les matins dans cet ascenseur. À quoi jouez-vous ?
La stupeur m’ayant réduite au silence, je ne pus que cligner des yeux. Fallait-il que je me pince ? Se produisait-il vraiment quelque chose dans mon existence terne et banale ?
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"Sortir avec un garçon n'avais jamais été mon fort, et c'était le cadet de mes soucis à ce stade de ma vie." P.20
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- Jeremiah a l'habitude de n'en faire qu'à sa tete. Pour cela, il n'hésite pas à manipuler les autres. Un don tres utile dans le travail, moins sans doute lors d'une liaison. En fin de compte, la chasse, la traque, rend l'acquisition bien plus agréable.
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