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Citations de Sarah Morgan (593)


L'amour est effrayant en effet. On remet son c?ur entre les mains d'un autre. Cela demande de prendre le risque de la confiance.
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- Truly, madly, deeply, pour citer encore un de vos films fétiches, mesdames. Jusqu'à mes Nuits blanches à Manhattan.
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C'était ça, les vrais amis. Ils agissaient comme un isolant. Formaient une pellicule protectrice entre les aspérités du monde extérieur et vous.
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C'est une forme de courage de ne pas avoir peur de ses émotions.
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- Elle ne veut pas s'engager, et moi non plus.
- On dirait que vous êtes faits l'un pour l'autre.
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Il se baissa pour ramasser sa chaussure et la lui enfiler.
Comme une version érotique de Cendrillon...
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Tyler scruta son jeune visage à l’expression maussade. Il avait lu quelque part que les parents ne devaient en aucun cas assaillir leurs enfants de questions. C’était bien gentil, comme principe, mais pour la mise en pratique, bonjour. Il l’aurait bien ficelée sur son siège jusqu’à ce qu’elle lui dise enfin ce qui la travaillait. 
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Tu rayonnes de santé - de vie ! Il est peut-être temps de les revoir, tes sacro-saints principes. Temps de te rendre compte que la solitude n'est pas un abri mais qu'elle dénutrit et dessèche.
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Je suis allée voir mes parents. Et comme dans notre coin reculé de montagne le système de communication est plus rapide que tout ce que pourrait inventer la NASA, ils avaient déjà été informés de l'heureuse nouvelle.
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– De la culpabilité surtout. C'est horrible de penser que la dernière fois que j'ai parlé à ma mère j'étais en colère et qu'elle est morte sans savoir à quel point je l'aimais.
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– Ton boulot te donne un sentiment de sécurité. Avec ton travail, tu as l'illusion de la maîtrise, et la maîtrise a toujours été la priorité numéro un pour toi.
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Leur discussion avait beau être sérieuse et calme, chaque regard portait la promesse de quelque chose en plus. L'ambiance crépitait, chargée d'énergie sexuelle, et Elise avait un mal fou à rester concentrée sur la conversation.

-Je trouve que c'est une jolie tradition. Comme quand ma mère m'emmenait au restaurant une fois par mois. C'était un moment rien que pour nous, un moment où pouvait parler sans distractions. Vos soirées famille, c'est la même chose, à cette différence près que vous êtes nombreux et beaucoup plus bruyants. Vous avez de la chance, franchement. Quand est-ce que tu comptes parler à ton grand-père ?

-Demain.

-Tu passes donc la nuit à Snow Crystal ?

-C'est l'idée, dit-il en la fixant intensément. Bien sûr, mon frère en a marre de m'avoir dans les pattes donc je risque de devoir retourner à Boston, sauf si j'arrive à trouver un autre endroit où dormir.

C'est à peine si elle remarqua que le serveur avait débarrassé leurs assiettes.

-Sean...

-Je sais ce que tu vas me dire. Que tu ne passes jamais la nuit avec un homme, que ce n'est pas pour toi. Mais nous avons déjà passé une nuit entière ensemble. L'été dernier. Je suggère juste qu'on fasse la même chose mais sans les insectes pour nous piquer les fesses et à l'abri de la pluie.

Elle éclata de rire, ce qui était, elle s'en doutait, le but de ce petit commentaire.

-J'ai aimé la pluie. Tout était magique. Unique...
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— Rentre chez toi, s'il te plaît, avant que nous ne fassions quelque chose de réellement stupide.
Elle reconnut à peine le son étranglé de sa propre voix. Un sourire joua sur les lèvres de Jackson.
— Allons-y, soyons stupides.
Toutes les répliques de Jackson la déconcertaient. Elle n'avait pas l'habitude d'être prise de court.
— Je me servirais de toi, murmura-t-elle. Ce serait juste l'histoire d'une seule nuit. Pour combler ma solitude. Tu aimerais que l'on se serve de toi ?
Il émit un petit rire très sexuel.
— J'en rêve. On peut commencer quand ?
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Il est possible que quelqu'un qui semble indemne de prime abord souffre de dommages internes très grave.
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- Il faut que tu lâches ce téléphone et que tu t'échauffes, Kayla, fit Brenna en continuant son stretching. Un de ces jours ru vas te blesser.
- Je viens de quitter le lit que je partage avec Jackson, ne t'inquiète pas pour moi. Je suis comme un toast qui sort du grille-pain.
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P. 158

Il est possible que quelqu'un qui semble indemne de prime abord souffre de dommages internes très grave.
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P. 102

- [...] Mais tu y penses, n'est-ce pas ?
- A quoi ?
Il fixait sa bouche obstinément.
- Tu sais de quoi je parle. De l'été dernier. De nous.
Tout le temps.
- Rarement, à vrai dire.
- Ouais, je te crois.
- L'arrogance tue le charme.
- L'entêtement l'assassine. Tu veux que je te rappelle ce qui s'est passé ? Qui a craqué en premier ?
Elle avait la sensation que son coeur allait exploser.
- Je n'ai pas craqué.
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P. 53

- Je pense que je devrais t'épouser pour manger comme ça tous les jours.
Son coeur s'emballa malgré elle.
Mariage. Rien que le mot la rendait malade. Même après toutes ces années, elle avait des frissons et l'impression d'être suivie.
- Tu serais déçu, Cuisiner, c'est mon métier. Quand je suis seule à la maison, je me fais toujours une omelette ou un sandwich.
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P. 41

Il se retourna pour répondre à son frère et le regretta aussitôt. Jackson et Kayla s'embrassaient avec une lenteur délibérée, les yeux dans les yeux.
Ses pensées revinrent vers Elise, vers cette nuit unique et incandescente de l'été dernier.
La nuit dont ni l'un ni l'autre n'avaient reparlé.
- Vous pouvez vous calmer deux minutes, vous deux ? On discutait de la santé de notre grand-père, là, dit-il agacé.
- Tu es en présence du véritable amour, roucoula Tyler. C'est très beau n'est-ce pas ?
- Désolée, fit Kayla en posant la tête sur l'épaule de son fiancé. La journée à été longue et c'est à peine si on se voit. Mais ça va bientôt changer. Plus qu'une semaine !
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Ça vous prend au cœur, ça se moque de ce que vous dit votre tête, ça vous coupe le souffle. Et là vous savez que, quoiqu'il puisse arriver par la suite, ce sera un moment dont vous vous souviendrez à jamais. Ce sera toujours là - vivant et actif en vous-, et personne ne pourra vous l'enlever.

Alice à Kayla. p.217
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