C'est un bouquin plus que parfait qui a sût me plonger dans l'histoire. C'est très bien écrit. Ce roman fait parti de mes 4 livres préférés.
Tally secoua la tête, les yeux clos.
- Si nous laissons faire, même pendant quelques minutes, ils pourraient lancer suffisamment de ces trucs pour faire exploser la planète.
David lui posa la main sur l'épaule.
- Pourquoi commettraient- ils une chose pareille ? Même les Rouillés ne l'ont pas fait. Ils avaient construit les missiles, les avaient pointés...
Tally ouvrit les yeux.
- Mais ils n'ont jamais appuyé sur le bouton. Shay ! Fausto !
- Oui, on a entendu, fit la voix de Shay. Plus de bombes pour aujourd'hui.
Chaque fois qu'elle se mettait à composer une histoire, Darcy sentait un univers alternatif prendre forme. Il recoupait son propre monde par endroit [...], mais certains éléments découlaient de sa seule imagination [...].
Quiconque s'adonnait à un passe-temps pareil aurait dû franchir la barre des 100 000, que l'on claque son histoire ou non. L'interface de la ville relevait la moindre mention de chaque nom, surtout lorsqu’elle apparaissait dans les potins, les ragots, les rumeurs.
Et 997 000 équivalait presque à un million : C'était le territoire des Extras les plus extrêmes, les nouveaux-nés, les Crumblies qui n'avaient jamais pris la pilule du déferlement d'intelligence. Des non-personnes, pratiquement.
Ce n'est pas l'un de mes livres préférés mais je l'ai apprécié.
Un passage m'a marqué, celui où il parle des montres dans les pubs qui sont toujours à 10:10.... c'est vrai ! C'est tout bête mais je n'y avais jamais vraiment prêté attention. Enfin si quelqu'un pourrait ajouter cet extrait ce serait sympathique. Merci d'avance !
-Le petit déjeuner du condamné? demanda Volger en refermant la porte.
-Ça m'étonnerait qu'on vous pende, monsieur. Pas aujourd'hui, en tout cas.
L'homme sourit et se versa une tasse de thé.
-Vous autres darwinistes êtes tellement indulgents.
À travers le rideau de branches et de décombres, des formes géométriques étaient apparues – une succession de rectangles alignés. Elle fit descendre sa planche et vit qu’elle survolait une piste de rails métalliques disposés sur des traverses en bois – comme des montagnes russes, en plus gros. La piste se prolongeait en ligne droite à perte de vue.
*Prends les montagnes et, après la brèche, continue sur ta lancée jusqu’à ce que tu en trouves une longue et plate.*
Cette chose était une montagne russe, mais longue et plate.
— À quoi est-ce que ça pouvait bien servir ? s’interrogea-t-elle à voix haute.
Quel plaisir pouvait-on trouver à évoluer sur une montagne russe sans virages ni descentes ?