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Critiques de Shalom Auslander (175)
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La lamentation du prépuce

J'ai adoré ce livre qui m'a beaucoup fait rire mais m'a aussi fait réfléchir sur ce que la religion peut représenter au sein d'un couple, d'une famille. A lire !!!
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Attention Dieu méchant

Shalom Auslander, connu pour sa Lamentation du prépuce, a grandi dans une famille juive américaine orthodoxe très stricte. Dans son recueil de nouvelles "Attention Dieu méchant", il met en avant son rapport particulier à Dieu et la religion, le tout avec humour, dérision et une certaine absurdité...
Lien : http://www.route124.fr/Atten..
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La lamentation du prépuce

Je me suis régalée de ce roman vraiment très original ! Déjà attirée auparavant par le titre, je me suis plongée avec délices dans les angoisses de Shalom et dans son combat quotidien contre le Dieu omniprésent, intimidant et vengeur dont on lui a rabâché les oreilles toute son enfance. Les péripéties de la vie de ce "rebelle" m'ont vraiment beaucoup fait rire, de même que la propension de cet homme à faire manifestement le contraire de ce qui est prescrit par les lois divines, parfois consciemment, parfois sans du tout se rendre compte qu'il déroge à une règle. Les anecdotes se suivent et sont souvent vraiment très drôles et l'on se prend d'amitié pour l'enfant ou l'adolescent qui tente, par ses moyens dérisoires, de tester la mansuétude ou la patience de Dieu.



Suite sur Les lectures de Lili
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Attention Dieu méchant

Critique de Évelyne Bloch-Dano pour le Magazine Littéraire



« Si jamais vous entendez dans votre tête une voix qui vous dit être Dieu, faites comme si vous ne l'aviez pas entendue. » Ce conseil, tous les personnages d'Auslander feraient bien de l'appliquer, de Schwartzman, sommé de construire une arche, à Motty, le jeune loubavitch métamorphosé en goy poilu, ou Epstein, aux prises avec son golem tiré de « La Kabbale pour les nuls » ! Après La Lamentation du prépuce (rééd. 10/18), voici un recueil de nouvelles très drôles. Dans cet univers burlesque, Dieu, tour à tour poulet géant, client irascible d'une agence de pub ou maître de deux hamsters beckettiens, semble avoir pour seul objectif le malheur des hommes. Auslander pousse très loin les procédés classiques de l'humour juif - notamment la collusion entre l'emphase biblique et le langage trivial.
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La lamentation du prépuce

Un livre simplement jouissif. L'histoire de Shalom est hilarante, désespérante, on le prend souvent en pitié, sa paranoïa, ses délires sont exacerbés. Le tout servie par une plume efficace. C'est drôle, les réflexions de Shalom face à Dieu sont cinglantes (ça n'a d'ailleurs pas du plaire à tout le monde), les réflexions d'un homme perdu face à Dieu qu'il juge comme un enfant jouant avec les humains comme avec avec des jouets.



Et au délà de la religion juive, c'est la religion dans sa généralité la plus brute qui est remise en cause.



Alors, ce prépuce, on en fait quoi ?
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La lamentation du prépuce

Quand Shalom apprend que sa femme Orli attend un garçon, c'est le drame. En effet, lui qui a été élevé dans la plus pure tradition juive orthodoxe (mère issue d'une longue lignée de rabbins, scolarité dans des yeshivas, voyage rédempteur en Israël...) mais qui a aussi tout fait pour braver un Dieu vengeur (consommation de produits non cashers, lecture assidue de revues pornos...), que va-t-il faire ? Circoncire (et aller dans le sens d'une religion qu'il a souvent bafouée) ou ne pas circoncire (et craindre les foudres de sa famille et de Dieu), telle est la question. A cette occasion, Shalom revient sur son enfance, traumatisée par la dichotomie entre des lois religieuses très strictes et les mille et une façons de les enfreindre, tout en attendant les représailles d'un Dieu sans pitié qui ne viennent jamais... ou presque.



Un livre dans la grande tradition de l'humour juif à la Woody Allen. L'opposition entre la paranoïa envers la vengeance de Dieu et les manquements aux lois orthodoxes fait tout le sel de cette autobiographie, mais aussi la contradiction de vivre dans le monde moderne quand on est un ado dans une famille pieuse (et ce, quelle que soit la religion, dans le fond). Les tentatives de provocation de Dieu sont particulièrement drôles, mais aussi pathétiques, car génératrices de douleur et de peur chez le personnage central : on rit quand Shalom brûle toutes ses revues porno après les avoir lues, mais un rire jaune quand on voit dans quels tourments ses péchés le plongent. Une belle réflexion sur les ravages psychologiques que peut exercer une religion pratiquée à l'extrême et sur la façon de trouver un équilibre quand on a passé le début de sa vie rongé par la notion de culpabilité.
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Maman pour le dîner

Auteur iconoclaste qui nous présente une famille de cannibales ,qui le jour de la mort de leur mère doivent se réunir pour accomplir le rituel familial ,soit la manger. Les 12 enfants ,nommés selon leur numéro de naissance ,se retrouvent après plusieurs années sans s’être côtoyés . Chacun ayant vécus leur vie ,sans suivre leur culture , pour la plupart ,refusent de faire le rituel ,mais leur oncle , exécuteur testamentaire, leur fera comprendre qu'ils n'auront pas leur part d'héritage s'ils ne se plient pas aux volontés de leur mère. Roman absurde mais qui ne rejoint toutefois pas les maîtres comme Ionesco et Kafka car je suis restée sur mon appétit quand au message inexistant que ce texte aurait pu porter. Je donne donc 5,5/10
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Maman pour le dîner

Shalom Auslander, l’auteur du très remarqué La Lamentation du prépuce en 2008 revient sur le devant de la scène littéraire avec un quatrième ouvrage coup de poing, tout en nuances et contrastes, prenant avec dérision et discernement le poids des traditions à perpétuer et le conflit du soi entre ces deux choix.



Rattrapé par ses origines et les traditions de la communauté à laquelle il appartient, Septième se retrouve devant un choix compliqué et éthique. Celui de s’écouter soi-même et ses convictions, ou celui de suivre machinalement la tradition et son devoir envers les siens. Un choix en apparence simple et conciliable, mais en réalité bien plus compliqué et délicat lorsque l’on est l’un des derniers Cannibales-Américains de sa communauté et qu’il faut perpétuer les traditions, au-delà de soi-même.





Septième Seltzer est issu d’une famille particulière appartenant à la communauté minoritaire des Cannibales-Américains, les Can-Am. Bercé par une mère à l’identité clivée depuis la mort de son frère, Sixième, Septième s’est construit dans l’ombre de son chagrin. Ses frères aînés la détestent pour son côté, jadis, autoritaire que Septième n’a jamais connu, alors que ses frères cadets la trouvent pitoyable à se morfondre depuis la mort de Sixième qu’elle adorait.



Septième a subi la lourde conséquence de naître après Sixième. En voulant protéger sa mère et la rendre fière, il n’a pas réussi à lier de liens forts avec ses frères, que ce soient ses aînés ou ses cadets. Coincé entre deux chaises, il prendra ses distances avec sa famille et sa communauté, volant de ses propres ailes, adulte, à New York avec sa femme et sa fille, en mettant sous clé son passé et ses origines. Cependant, malgré tous ses efforts pour se détacher des Can-Am, l’appel soudain de son frère pour lui annoncer la mort de sa mère va tout remettre en question et le chambouler. Car, il est un Can-Am, et il se doit de perpétuer la tradition pour honorer la défunte, qu’importe ses convictions, on ne le lui laisse pas le choix. Ce soir, en compagnie de ses frères, il devra manger sa mère :



« Les Cannibales vivent pour l’éternité, a répété Onclissime. Quand nous Consommons nos proches, ceux-ci continuent de vivre en nous. Ils nous guident, nous informent, nous réconfortent, nous motivent. Ils deviennent nous et nous devenons eux. De cette façon, mes enfants, le passé se produit et ne meurt jamais. Mais n’oubliez pas : de même que la Consommation nous garantit la vie éternelle, l’enterrement nous garantit la mort éternelle ? »
Lien : http://untitledmag.fr/maman-..
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Maman pour le dîner

Pour son nouveau roman, l’écrivain américain imagine l’histoire d’une famille issue d’un vieux peuple cannibale, avec une intelligence et une liberté de ton jouissives.
Lien : https://www.lefigaro.fr/livr..
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Maman pour le dîner

J’avais adoré Shalom Auslander avec « La Lamentation du prépuce » en son temps mais suis moins convaincue par ce dernier roman.

Shalom Auslander y décrit une famille de can-am – canibales américains – qui, face au décès de la mère de famille, doit affronter les traditions du passé afin de perpétuer l’identité de ce peuple.

Le récit est complètement déjanté, incroyablement décalé… voire un peu trop, ce qui tue toute velléité de crédibilité, même si le lecteur comprend bien vite que Shalom Auslander dépeint ici l’absurdité de la société américaine en tant que telle et la difficulté de certaines minorités à y trouver une place.

Certains passages sont cocasses, certains prêtent à sourire mais on est loin de l’atmosphère de « La Lamentation du prépuce », en cause, sans doute, le caractère complètement fictif de ce peuple aux traditions assez gore et répugnantes à nos yeux.

Une lecture en demi-teinte qui reste, néanmoins, plaisante et intéressante.
Lien : https://letempslibredenath.w..
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Maman pour le dîner

Tout d'abord merci à Babelio et aux éditions Belfond qui mont permis de découvrir ce livre dans le cadre d'une masse critique.

J'avais découvert cet auteur avec "La lamentation du prépuce" qui m'avait beaucoup plu à l'époque pour son humour d'autant plus qu'il y avait un côté autobiographique qui rendait le récit encore plus intéressant, notamment quand on aborde la religion et ses contraintes parfois extrêmes.

Cette fois-ci l'auteur nous livre un roman qui décontenance. Une famille cannibale dont la matriarche décède et qu'il faut donc manger selon la tradition (au cours d'une fête, bien sur). Mais peut-on échapper à cette tradition et ne pas faire ce festin ? Critique de la famille, du poids des traditions, de la culture... finalement l'auteur reste dans ses thèmes de prédilection car sous les traits d'une comédie loufoque les références philosophiques sont là, les images sont fortes.





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Maman pour le dîner

Septième est Cannibale, un cannibale-américain, enfin sa famille surtout, lui ne sait plus vraiment qui il est dans cet société. Quand sa mère meurt, ses frères et lui doivent accomplir le rituel ultime cannibale, la manger.

Que va faire cette fratrie face à cet évènement ?



Quel plaisir de pouvoir lire le nouveau Shalom Auslander, merci à Babelio.

Il y a toujours autant de mordant, de réflexions existentielles, d'humour noir, la recette efficace de ses premiers livres, mais...

les ficelles de cette satire sont trop grosses, on se lasse vite des questionnements de Septième, le héros du livre.

J'aurais plutôt aimé lire une histoire sur les liens familiaux, détruits par la violence d'une mère et ses croyances face à la réalité du deuil.

Je n'en garderait pas un grand souvenir et je vais plutôt relire son premier livre à la place.





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Maman pour le dîner

Maman pour le dîner de Shalom Auslander

Septième fait partie d’une des dernières familles cannibales aux Etats-Unis. C’est une tradition, leurs morts, ils les mangent. Et la tradition, la perpétuation de leur lignée, de leurs rituels, sa mère y est très attachée. D'ailleurs, pour faire son devoir, elle était déterminée à avoir douze enfants. Pas de chichis pour les prénoms, ils porteront leur rang d’arrivée. Tous ont été abreuvés de l’histoire de l’arrivée du premier des leurs aux Etats-Unis.

Seulement tous les enfants, quasiment, ont pris la fuite à 18 ans.

Septième n’a pas parlé à sa mère ni à ses frères ou à sa sœur depuis des années quand il reçoit un appel lui annonçant qu’à l’approche de sa mort, leur mère s’est mise à manger une centaine de wraps par jour. C’est à contrecœur qu’il retrouve tout le monde chez sa mère. Leur mère meurt, lègue chaque partie de son corps à un de ses enfants. D’ailleurs le détail des raisons de la partie de son corps qu’elle leur lègue est hilarant. Après la mort, commencent les processus de purge et de consommation…. un vrai régal.

Bien sûr, il faut aussi la faire cuire… autre aventure. Et durant tout cela, frères et sœur s'interrogent sur leur identité, ces rites dont ils se sont éloignés et le tiraillement avec la promesse faite à leur mère et le mode de vie qu’ils ont choisi.

La première partie m’a beaucoup plue avec cet ancrage dans une Amérique gourmande de l’identification par genre, religion, origines. J’ai beaucoup aimé la part accordée à la transmission, l’héritage, la survie d’un peuple. La description de cette mère tyrannique, raciste, manipulatrice voire perverse avec ses enfants est effarante. La dernière partie est à la hauteur, hilarante, complètement irréelle avec un point final avec cuisson, assaisonnement et dégustation.

C’est hallucinant mais derrière tout cela, une satire de la société américaine, du poids des traditions, des promesses faites aux parents.

Le tout est désopilant et déjanté.

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L'espoir, cette tragédie

Très drôle, dans la catégorie "humour juif". Il y a la mère infernale, le père de famille paranoïaque et névrosé, ... Ça fait vraiment penser à Woody Allen !

Ils viennent de déménager à la campagne, et découvrent dans le grenier ... Anne Frank !

Entre respect de la Shoah et mesquineries de vieilles femmes, on rit beaucoup.

Question intéressante: le Journal d'Anne Frank a-t-il eu autant de succès uniquement parce qu'elle était morte? Un deuxième livre aurait-il le même intérêt?

Il y a aussi une réflexion plus psychologique : c'est l'espoir qui nous fait souffrir.

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La lamentation du prépuce

Drôle et très instructif sur une certaine forme méconnu de fanatisme religieux parfaitement destructeur.

Je me suis un peu ennuyée car l'histoire tourne un peu en rond au bout d'un moment et se répète.

J'ai ri, j'ai été outrée avec l'auteur. C'est un livre dont il me restera quelque chose.
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La lamentation du prépuce

La quatrième de couverture du livre n'est pas tout à fait exacte dans la chronologie des événements, ni dans les relations de causalité qu'elle énumère. Elle donne cependant une bonne idée de la teneur du livre.

Je ne sais jusqu'à quel point ce roman est autobiographique, mais ce que nous savons de l'auteur se retrouve à l'identique chez son personnage principal. Ça sent le vécu...

Ce livre est hilarant et pourtant le sujet ne s'y prête pas forcément. Si Shalom Auslander (l'auteur ou/et le personnage principal?) rit de sa situation, c'est semble-t-il pour ne pas sombrer (et nous avec).



Il s'agit du récit d'une victime de la religion (au 20ème et 21ème siècle !).

Les dégâts sont lourds pour le psychisme, l'intellect, et parfois pour l'intégrité physique (la mutilation que constitue la circoncision n'est évoquée que brièvement, contrairement à ce que pourrait laisser entendre le titre du livre).



Si vous ne connaissez pas les affres de l'éducation religieuse (ici dans une de ses formes extrêmes ; le milieu juif orthodoxe américain), ce livre va vous "offrir" une immersion étouffante et malsaine, heureusement très bien contrebalancée par les respirations que dispense régulièrement l'humour décapant de l'auteur.



Au programme de cette forme de maltraitance qu'est l'éducation religieuse (en particulier lorsqu'elle est assénée aux enfants) :

Communautarisme, haine de l'autre (en l'occurrence, le non-juif), endoctrinement, ségrégation volontaire, peur d'être frappé d'ostracisme de la part de son propre "groupe", irrationalisme imposé, étouffement des libertés de l'individu, terreur permanente du "Créateur", et autres réjouissances...



L'auteur nous conte avec brio et beaucoup d'irrévérence sa très difficile tentative d'émancipation.



Un très bon livre (immensément plus gai que mon commentaire !) que je recommande.
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Attention Dieu méchant

Des histoires courtes et decevantes. Je n'ai pas du tout aimé ce livre, j'ai eu beaucoup de mal à le terminer.
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La lamentation du prépuce

Un superbe livre, drole et instructif on en apprend beaucoup sur la vie d'Auslander, sa famille, sa religion, son avenir mais avec beaucoup d'humour
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L'espoir, cette tragédie

Solomon Kugel consulte régulièrement Jovia, conseiller et mentor qui, comme son nom ne l'indique pas, lui inculque l'idée que tout espoir est nocif et que seuls les optimistes sont dangereux. Solomon vit avec sa femme Bree, son fils Jonas et pense que l'avoir mis au monde est un crime. Il regrette de ne pas avoir eu le courage de lui taper la tête contre un mur pour le rendre idiot, les idiots étant plus heureux que les autres dans ce monde ; sa nouvelle maison menace à tout instant de disparaître dans les flammes car un pyromane s'amuse à incendier les anciennes fermes ; il loue une chambre à un locataire désagréable qui réclame une place pour ses affaires dans le grenier et, pour couronner le tout, il héberge sa mère qui n'a plus que quinze jours à vivre, comme le dit le docteur depuis plus de six mois. Mais une chose improbable va venir contrarier encore davantage sa vie : il découvre au grenier, cachée sous des cartons et dans la crasse, une vieille femme qui affirme qu'elle est Anne Frank et l'auteur d'un best-seller qui s'est vendu à 32 millions d'exemplaires !



Solomon songe d'abord à s'en débarrasser en la dénonçant à la police, mais de la part d'un juif, ce serait une honte, se dit-il. Il téléphone au centre Simon Wiesenthal, mais on lui raccroche au nez quand il explique qu'Anne Frank vit sous son toit. Comment est-ce possible ? Devient-il fou ? Il espère qu'elle va mourir, lui fait des doigts d'honneur en douce quand il est dans le jardin. Pourtant, il lui fait des courses, commande des matsot et du bortsch sur Amazon pour la satisfaire. S'il lui apporte du pain d'Ezéchiel, elle le lui balance à la figure ! C'est une vieille sorcière acariâtre : elle fait des caprices, n'est jamais reconnaissante, parle sèchement à son hôte. Jusque-là, elle s'est nourrie d'écureuils et de chats assassinés. Depuis soixante ans, elle vit dans des greniers, attelée à l'écriture de son roman.



(...)
Lien : http://salon-litteraire.lint..
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Attention Dieu méchant

Un livre très décevant. Des histoires courtes qui pour moi n'ont ni queue ni tête. Un roman que j'ai eu beaucoup de mal à terminer
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