Shin Kibayashi

Ce premier tome est d’excellente facture et donne à penser que la saga a de nombreuses choses à offrir. D’abord de beaux graphismes, tant sur les décors que sur les personnages. Bien que ceux-ci se ressemblent beaucoup, ils sont très faciles à distinguer grâce aux détails qui ont été soignés.



Ensuite, le rythme de l’intrigue et les rebondissements sont savamment menés pour offrir une trame palpitante et agréable à découvrir, au fur et mesure que les pages sont tournées. L’univers également, bien maîtrisé, que le scénariste nous propose de découvrir en toute intelligence, grâce à une explication des termes les plus techniques.



Et enfin, des personnages au potentiel bien exploité, et que l’on a envie de découvrir un peu plus en détail dans les prochains tomes ; car là encore, l’auteur a su bien doser ce qui pouvait être révélé de suite de ce qui pouvait attendre.
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Ce manga commence en Russie. Une jeune femme, Maya, se voit livrer un virus capable de décimer une ville en moins de trois jours.

Puis, nous nous retrouvons au Japon, à l'académie Mishiro. Fujimaru Takagi est un jeune lycéen qui excelle en informatique et qui est mieux connu sous le pseudo de "Falcon", un excellent hacker. Il est tellement doué dans son domaine que le gouvernement japonais et plus particulièrement le bureau d'investigation pour la sécurité publique pour lequel son père travaille fait régulièrement appel à lui pour décrypter des codes. Une nouvelle mission lui est confiée : il doit décrypter les données contenues dans une carte mémoire retrouvée sur le cadavre d'un ancien membre du KGB. Cette mission s'avère ne pas être une petite mission de routine. Le père de Fujimaru est accusé d'avoir assassiné un de ses collègues. La police est à ses trousses et il part en cavale. Il a juste le temps de contacter son fils pour lui dire d'abandonner la mission et pour lui donner un nom de code : Bloody monday. Mais son fils est entêté et il ne va pas suivre les conseils de son père. Il parvient à craquer le code et accède à une vidéo intitulée "le carnage de noël". Il visionne cette vidéo en compagnie de ses amis du club journal de son collège ainsi que de sa nouvelle prof de biologie, Mlle Orihara. Cette dernière ressemble étrangement à la femme de la vidéo .... Fujimaru serait-il allé trop loin et sa vie serait-elle en danger?

Une série riche en rebondissements.

Fujimaru, un jeune hacker repéré par le third-i (agence gouvernementale), se voit confier la mission de décrypter les dossiers d'une clé USB. Ceci va le mener dans une lutte contre des terroristes qui vont tout faire pour le piéger.

A chaque tome il y a une nouvelle découverte qui amène à de nouvelles questions.

Un scénario bien mener avec une fin qui laisse présager une suite pour une nouvelle saison.

J'ai eu quelques inquiétudes au début de cette aventure mais qui se sont vite dissipées en cours de lecture. Il est vrai que les japanaiseries ne sont guère ma tasse de thé. On est finalement pris par ce thriller assez haletant.



A noter qu'il y aura 3 saisons. La première (11 tomes) et la seconde (8 tomes) se valent. Il n'y a pas de baisse de régime. C'est pour l'instant du tout bon. Bien sûr, il y a quelques faiblesses notamment au niveau du scénario qui allonge la sauce et qui multiplie les clichés en tout genre.



C'est un bon manga qui mêle habilement l'action et le suspense sur fond de menace terroriste. L'informatique aura d'ailleurs une place d'importance. Le Japon sera à chaque fois en danger mais une joyeuse bande de copains veille à déjouer les menaces.



Ce n'est pas un chef d'oeuvre mais un divertissement assez sympa.

Époustouflant! Ce manga a l'air à la fois simple et charmant racontant la vie d'un hacker mais c'est bien plus. L'histoire est très profonde et complexe, il y a beaucoup d'action, on accroche vite et on veut absolument lire la suite. Ce manga très prenant est conseillé aux fans d'action et de hacking!!!

le manga est génial le gars de l'histoire est impliquée dans un complot contre son père (le capitaine d'une société secrète) c'est aussi un super hacker.



en conclusion ce maga est riche en suspense et en rebondissement vivement la suite

J'adore ! Ce manga est vraiment fascinant. Il rappelle un peu la série Monster par son coté noir. On est tenu en attente jusqu'à la fin. Les descriptions des stratégies de hacking ou d’espionnage sont vraiment très explicite et facilement compréhensible. La le manga nous fait plutôt penser à Death Note. Bref, une bonne série policière qui je trouve est à suivre !

Bloody Monday est un manga shônen, voire seinen. Le début de l'histoire est lent à démarrer, on ne voit pas vraiment vers où le récit va partir puisque les premières pages se passent en Russie. Puis petit-à-petit on découvre les personnages principaux et le rôle qu'ils vont jouer. Takagi, le héros, mène une double vie puisqu'il est lycéen (membre du club journal) mais également hacker pour..
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Un bon volume qui nous fait entrer directement dans l'action. Le premier volume était consacré à la mise en place des personnages et de l'intrigue, celui-ci fait véritablement avancer l'histoire. Entre kidnappings, nouveaux meutres, soupçons... On est dans un vrai thriller.

J'ai juste trouvé que tout était un peu facile pour le héros : il a tout prévu et peut répondre à toutes les éventualités en quelques secondes, et ses amis ne sont que des champions de quelque chose (arts martiaux, tir à l'arc...) c'est bien pratique mais peu vraisemblable !

Le suspens est entier à la fin du volume : Fujimaru est sur le point de démasquer Maya.
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Fujimaru est certes un petit génie de l’informatique, mais ça s’arrête là ; en ça, on voit un autre trait de génie de l’auteur.



Il a l’intelligence de ne pas nous offrir un super héros qui sait tout sur tout. D’accord, il a une énorme faculté de raisonnement, mais il n’est pas le seul. Il va avoir besoin de l’aide de tierces personnes, possédant des compétences qu’il n’a pas, afin de pouvoir s’en sortir. J’ai trouvé ça important que ce trait soit bien utilisé, parce que c’est souvent le problème dans des mangas de ce type.



Le rythme utilisé est très intense et rapide. Cette rapidité ne signifie pas que l’affaire est bâclée. C’est même loin d’être le cas, parce qu’on se rend vite compte que l’intrigue est plus complexe qu’elle n’en a l’air.
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La manipulation et le sadisme psychologique sont de la partie et commencent à prendre des proportions bien plus grandes que ce que l’on aurait pu imaginer au départ.



L’univers avance plus lentement en revanche, mais peut-être pour ne pas empêcher l’intrigue d’évoluer, et surtout ne pas lui faire perdre en intensité.
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Les faits s’enchainent à un rythme équilibré et particulièrement soutenu. On ne se trouve pas dans un enchaînement ultra rapide. Chaque scène est calibrée pour toujours augmenter l’intensité de l’ensemble.



La trame narrative est particulièrement sadique et joue son rôle à la perfection : tenir le lecteur en haleine jusqu’au bout.



On prend doucement conscience de la machination qui est à l’œuvre, et ainsi des proportions gigantesques qu’elle prend et qui risquent de perturber l’entourage proche de Fujimaru.
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Étrangement j'ai été très déçue par ce volume-ci. Après avoir été conquise par le début (voir volumes 1 - 2 - 3 - 4), cette suite m'a paru lente, exaspérante, pleine de blabla et de suspens raté. Heureusement que les dessins sauvent la mise !

Le récit tourne un peu en rond ce qui est étonnant par rapport au début où tout allait si vite. Il n'y a plus du tout d’ambiguïté entre le lycéen et le pirate : Fujimaru est pratiquement devenu un agent secret, de même que son ami Otoya. Quand au reste de la petite bande du lycée, ils sont littéralement laissés de côté! La petite sœur, Haruka, n'est plus qu'une marionnette qui alterne entre liberté et prise d'otage; quand au père il est inexistant.

J'espère que le volume 6 sera plus sympa !
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ça commence un peu à tourner en rond.

livre qui m'a plu pour moi parfait

Midô Ban et Amano Ginji sont les "GetBackers", des récupérateurs. Tout ce qu'on vous a volé ou que vous avez perdu, ils le récupèrent. Pour les aider dans leurs tâches, ces deux jeunes hommes sont dotés de pouvoirs. Ginji est capable de produire de l'électricité et Ban à une grande force ainsi que le "Jagan" (l’œil maléfique) qui lui permet de créer des illusions.



Dans ce premier tome, les GetBackers sont chargés par un SDF de retrouver sa fille qui a été enlevée par des Yakuzas. Puis, dans la seconde histoire, ils doivent retrouver un Manekineko, ces fameuses statuettes de chat porte-bonheur.



"GetBackers" est un shõnen manga, il cible un public masculin et ça se voit. Les dessins ont tendance à être violents mais aussi sexualisés. Ainsi, on croise régulièrement des jeunes femmes dénudées, ou à la poitrine si imposante qu'on se demande comment le tissu tient en place, sans oublier quelques cases qui plonge directement sous les robes des filles.

Bref, c'est pour les ados.



L'histoire, au-delà de ces choix visuels, est plutôt sympa à suivre, notamment grâce à l'humour récurrent et aux rebondissements qui apparaissent.

Je doute fort que je lirais un jour la suite de "Get Backers" car je n'ai pas du tout aimé ce premier tome. Non seulement je n'ai pas adhéré au scénario, mais je n'ai pas non plus apprécié les dessins.



La construction de l'intrigue est un peu brouillonne. L'auteur ne prend pas le temps de poser les décors, de présenter ses personnages et d'installer une ambiance. Tout s'enchaîne rapidement et de manière un peu désordonnée. L'auteur espérait peut-être ainsi plonger le lecteur dans son univers, mais cela n'a pas marché avec moi. On a pas l'impression de lire le tout premier tome d'une série, mais le quatrième ou le cinquième tant l'intrigue va vite et se soucie peu des détails. L'idée de ces deux garçons "Get Backers", récupérant les biens égarés, était plutôt bien trouvée, mais je n'ai pas compris pourquoi l'auteur décidait de leur donner des pouvoirs. Pas du tout cohérent à mes yeux, d'autant plus que leurs facultés ne sont guère en rapport avec leur "profession".

L'autre point qui ne m'a pas plu dans le scénario est que je l'ai trouvé bien souvent grossier. Il y a en effet beaucoup de gros mots, d'insultes, qui ne rendent même pas le texte drôle, comme ça aurait pu être le cas.



D'un point de vue purement graphique, je suis loin d'avoir apprécié ce que le dessinateur propose. La composition des pages est ultra chargée. Les bulles sont tellement nombreuses qu'elles en deviennent indigestes et parasitent les dessins.

Qui plus est, comme dans un certain nombre de mangas Shônen, le dessinateur s'est "lâché" sur le physique des personnages féminins. Leurs mensurations sont hallucinantes au point de les rendre irréelles et vulgaires. Le cadrage qui montre les dessous d'une fille, la poitrine qui déborde littéralement du mini T-shirt... Franchement, il faudrait passer à autre chose car c'est non seulement démodé mais ça fait surtout lourdingue...

Un premier tome que j'ai un peu rechigné à lire à cause des dessins assez violents, lorsque Ban utilise le jagan (Peut-être est-ce parceque je suis une fille...).

L'intrigue était cependant bien construite, les personnages attachants et les touches d'humours ont permis d'alleger ce "petit défaut".

Dans ce tome nous arrivons enfin à la fin de la mission de nos héros. Nous apprenons enfin ce qu'est vraiment l'IL pour le voir finalement disparaitre d'une façon assez incongru grâce à ce charmant Ginji (cette partie m'a bien fait rire d'ailleurs!).

Cette mission était assez longue puisque s'étendant du tome 6 au 11 (ma critique sera donc faite pour l'ensemble des tomes allant de 6 à 11 et non uniquement pour le tome 11)..

Cette mission aura permis de faire en sorte que les personnages murissent. On en apprend également beaucoup sur leur passé se qui permet de mieux les comprendre et de mieux s'accrocher à eux.

Une nouvelle mission est maintenant à l'ordre: recuperer les bras de la Vénus de Milo! Mission donnée par la fameuse Clayman... Cela promet!

La mission sur la main de dieu se termine enfin avec une fin une fois de plus inattendu surtout pour Lucifère. On se demande de plus en plus qui est cette fameuse petite fille au bonbon. Petite fille qui semble tenir un rôle important, très important même.

Dans ce 18° tome commence une nouvelle mission: recuperer de vieilles bouteilles de vin someillant dans un sous-marin allemand. Un question me vient à l'esprit: qu'y a-t-il vraiment dans ces bouteilles...?