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Critiques de Shirshendu Mukhopadhyay (20)
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La tante qui ne voulait pas mourir

Il y a beaucoup d’humour dans ce court roman bengali, où une tante qui ne veut pas mourir (et qui décède brutalement) vient hanter la jeune épousée de la maison. Cette dernière, toute jeune et d’une caste inférieure, partage sa demeure avec son mari plus âgé, ses beaux parents et sa belle famille. Tout ce petit monde vit sur l’héritage familial qui s’amoindrit au fil du temps et des ventes de terrains. Somlata, heureusement plutôt futée, ne manque pas d’idées et de force de persuasion pour trouver des capitaux...

Un roman très sympa, reflet d’un pays très machiste et conservateur (la première traduction date de 1993, on peut espérer un peu de changement ?). Je me suis attachée à l’héroïne, à sa fille Boshon (narratrice de certains chapitres) et à toute cette famille engluée dans le poids des traditions. Une lecture rafraîchissante 😁
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La tante qui ne voulait pas mourir

Roman culte au Bangladesh paru initialement en 1993 évoque l'évolution de la condition de la femme dans ce pays.



Nous suivons trois générations de femmes d'une famille du Bengale indien : Somlata mariée à l’âge de 18 ans avec un homme plus âgé et d’une caste supérieure à la sienne; La grande-tante Prishima, un peu chipie, qui ne cesse d’apparaître et de hanter Somlata afin que cette dernière protège son coffret à bijoux; et Boshon, jeune fille rebelle qui désir à tout prix rester célibataire. Trois femmes, trois réalités différentes, trois destins …



Un roman court, rempli de résilience, d'amour et d’humour où l'on se moque de façon ironique des traditions patriarcales. Joli !

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La tante qui ne voulait pas mourir

Une comédie délicieuse.



Shirshendu Mukhopadhyay nous met en avant les femmes d'une famille bangladaise. Somlata a épousé un homme d'une caste supérieure et plus âgé qu'elle, elle veut être une épouse modèle et aime profondément son mari. Elle va user de belles paroles et de divers stratagèmes pour inciter son mari à se retrousser les manches et à se mettre au travail car la fortune de la famille périclite. La terrible tante de la famille la terrorise, et cette dernière décède soudainement mais Somlata a à peine le temps de soupirer que le fantôme de la tante commence à la harceler. Insultes, conseils malveillants, la tante ne lui épargner aucune peine. Mais Somlata va traverser toutes les épreuves infligées par le fantôme. Nous suivons aussi une jeune femme de cette même famille qui a de grands rêves de liberté, et ne veut pas de la vie traditionnelle à laquelle les filles de son âge sont promises. Ce roman est une comédie drôle, juste et qui décrit avec beaucoup de finesse la société traditionnelle bangladaise.
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La tante qui ne voulait pas mourir

Un roman bengali très court et très agréable à lire.

L'auteur raconte 3 femmes dans cet ouvrage: la fameuse tante éponyme, qui connut un destin assez peu folichon - mariée à sept ans, veuve à douze puis gardée comme une fleur précieuse par ses frères mais qui rage de ne pas avoir vécu-, Somlata jeune fille pauvre qui épouse un homme plus âgé d'une famille aristocratique en déclin puis sa fille Boshon qui refuse de se lier à un homme.

A travers l'histoire de ces trois femmes, l'auteur nous dresse un portrait du Bangladesh où la place des femmes évolue lentement.

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La tante qui ne voulait pas mourir

Lecture très agréable que voici nous dépeignant une famille au Bangladesh.



Nous suivons trois personnages, trois femmes très différentes les unes des autres.

Somlata est une jeune femme au cœur pur, ayant de très bonnes relations avec sa belle-mère (wahou !) et dévouée corps et âme à son mari.

La tante, rapidement devenue fantôme après sa mort, est quant à elle un personnage haut en couleurs, vindicatif au possible, pimentant la vie de notre jeune Somlata qui semble terrorisée (qui ne le serait pas à sa place ?!)

Boshon de son côté, est une jeune fille un peu rebelle, au caractère fort.



La lecture est légère et aborde, l'air de rien, des points culturels. Nous y découvrons les mariages arrangés (la tante a été mariée à sept ans), la vie avec toute la famille avec les problèmes de cohabitation que cela peut parfois engendrer.

Nous y voyons aussi les difficultés pécunières, notament avec la famille voisine de Boshon, jeune fille de la deuxième partie.



Nous pouvons remarquer également les différences générationnelles entre les époques des deux jeunes femmes (Somlata et Boshon). Le statut de la femme a beaucoup évolué, elles semblent être plus libres qu'avant (certaines choisissent leurs maris, elles sont libres de leurs mouvements etc.)



Lecture qui vous fera donc passer un moment agréable.
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La tante qui ne voulait pas mourir

Initialement, Goynar Baksho (Le coffret à bijoux) a été publié en 1993 à Calcutta. C'est la traduction d'une traduction anglaise (mais oui !) que propose ce printemps Calmann-Lévy sous le titre de La tante qui ne voulait pas mourir. Le roman, devenu culte au Bangladesh, prend place dans une famille du Bengale indien, la région d'origine de son auteur, Shirsendu Mukhopadhyay. Court, rapide et savoureux, le livre est une comédie de mœurs irrésistible qui alterne les chapitres entre ses deux héroïnes, la mère et la fille, à une vingtaine d'années de distance. Le troisième personnage, la tante, est bel et bien défunte mais vient hanter au quotidien la mère, l'insultant copieusement et la poussant au vice, sans grand succès, d'ailleurs. Le roman est aussi trépidant et distrayant qu'un film de Bollywood mais il a aussi le bon goût de dresser un état des lieux évolutif de la condition féminine au Bengale, avec un sourire espiègle et un esprit pertinent. Ainsi, la première jeune femme se révèle une commerçante avisée, au désespoir de sa riche famille, et sa fille, des années plus tard, incarne une nouvelle génération qui entend se passer des hommes si besoin est et vivre sa vie en jetant aux orties les préjugés et coutumes dépassées. Pas étonnant que le roman ait connu un grand succès à sa parution : il se moque avec malice et acuité des traditions patriarcales et milite farouchement pour l'émancipation sociale des femmes. Comment dit-on "Feel good Book" en Bengali ?
Lien : https://cin-phile-m-----tait..
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La tante qui ne voulait pas mourir

Un voyage au coeur du Bangladesh

Avec une tante qui ne voulait pas mourir..

On y découvre une femme qui épouse un homme plus âgé qu elle et pas du même milieu....

On y retrouve le. Problème des castes

L ouvrage est drôle car. L héroïne est tyranisee par le fantôme d une grande tante lui ordonnant des missions très spéciales..

Ce livre est à déguster comme une comédie ou un vaudeville au choix..

Un pur bonheur de lecture qui se lit d une traite et impossible à lâcher..

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La tante qui ne voulait pas mourir

🐯 «  Il était le centre de mon univers. Si je l’aimais, ce n’était ni pour sa beauté ni pour des qualités. Je l’aimais parce que je ne pouvais pas faire autrement. C’était cet amour qui gardait en vie la flamme dans mon coeur. Je n’aurais pu expliquer cela à quiconque, pas même à mon mari. Je vivais et respirais pour lui. »

(P. 74)



🐯 Au Bangladesh, être une femme n’est pas toujours chose bien aisée. La jeune Somlata épouse un homme bien plus âgé qu’elle et de caste supérieure : elle lui voue un amour sans bornes, une admiration infinie, elle lui est entièrement dévouée. Malheureusement, la famille de son mari s’appauvrit peu à peu, faute à leur train de vie largement supérieur à leurs moyens. La jeune Somlata rejoint donc la maison familiale où vit la cruelle et menaçante Pishima, la tante du mari, et qui, un beau jour, meurt devant les yeux de la jeune mariée. Si cet événement est peu banal, celui qui suit l’est encore moins : le fantôme de la tante ordonne à la jeune femme de cacher ses bijoux pour que personne ne puisse s’en emparer, et il ne la quittera jamais...



🐯 En mettant en avant les femmes de son pays, Shirshendu Mukhopadhyay dresse un portrait de son pays qui oscille entre doux rêve et dure réalité. Tantôt rivales, tantôt complices, les femmes ont recours a bien des stratagèmes pour se faire une place dans cette société somme toute assez patriarcale et conservatrice, à l’image de Somlata qui crée son propre commerce avec son mari pour permettre à la famille de faire perdurer son train de vie : si l’intention est bonne, elle est pourtant très mal vue chez cette famille qui n’a jamais travaillé. La tante du mari, Pishima, ne quitte jamais l’héroïne et, bien qu’elles se vouaient une haine sans limites de leur vivant, une certaine bienveillance les unit désormais...



🐯 Entre traditions et révolutions, entre amour et désespoir, ce petit roman est une petite pépite qui a égayé ma journée !
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La tante qui ne voulait pas mourir

J'ai beaucoup aimé l'humour du récit pourtant sur des sujets graves : le mariage arrangé, le veuvage qui condamne à vie de toutes jeunes filles, les castes...Mais pourtant c'est un petit bonbon très doux.

Ces femmes fortes qui luttent contre la destinée, cette tante qui est un personnage très drôle....Bref tout y était!

Mais quelle dommage que ce soit si court! A peine l'intrigue décolle, une fois la mise en place des personnages faites, que c'est déjà fini! J'en voulais plus! C'est vraiment ma grosse déception, une fin qui retombe comme un soufflet, pas une vraie fin même. Sinon tout y était!
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La tante qui ne voulait pas mourir

Une jeune fille pauvre épouse un homme issu d’une famille désargentée, qui maintient son train de vie grâce à la vente de ses terres. Elle parvient à le convaincre de monter un petit commerce et, en plus de renflouer les caisses familiales, cela permet à son mari de s’épanouir.

Une vingtaine d’années plus tard, leur fille, éconduite par un jeune homme ombrageux lorsqu’elle était adolescente, décide qu’elle est bien mieux sans les hommes. Mais les tourments du cœur n’écoutent pas la fierté blessée…



Voilà le résumé de ce petit roman bangladais de 120 pages. Il se lit très facilement, mais je n’ai pas été très sensible à l’histoire. Au contraire, j’ai commencé m’y intéresser… juste au moment où elle se terminait, quel dommage !

J’ai bien aimé les deux héroïnes, la mère et la fille. Elles mènent une vie très différente, mais chacune sait ce qu’elle veut et se bat pour l’obtenir.



Un livre que je ne retiendrai pas spécialement, mais je suis contente d’avoir découvert cet auteur bangladais.

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La tante qui ne voulait pas mourir

J'ai bien aimé cette découverte, je ne connaissais pas cet auteur et même si j'ai retrouvé certaines similitudes avec l'Inde et la littérature indienne, et que les citations de Rabindranath Tagore montrent la même source culturelle, j'ai relevé plusieurs différences. Notamment sur la place accordée à la femme, aux possibilités laissées à la jeune épouse pour relever la maison. Une lecture intéressante qui montre que les femmes ne sont pas obligées d'accepter la place et le rôle qu'on veut leur assigner, que ce soit ici ou ailleurs.
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La tante qui ne voulait pas mourir

Somlata vient d’une famille indigente et s’est mariée il y a peu avec un homme deux fois plus âgé qu'elle. Celui-ci est issu d'une famille autrefois riche mais quasiment ruinée, qui subsiste en vendant peu à peu son or et ses terres, tout en lorgnant sur les bijoux de leur vieille tante, Pishima. Quand Pishima meurt, son fantôme apparait à Somlata et lui demande de cacher ses bijoux avant que sa famille ne s’en empare. Durant les années qui suivent, la jeune femme est hantée par ce fantôme qui la terrorise ; mais rien ne l’empêche de gérer au mieux sa maison et de tenter de sauver sa famille, en préservant les bijoux de la méchante tante. En parallèle, se développe l'histoire de la jeune et rebelle Boshon, qui refuse tous ses prétendants.

Ce court roman est culte au Bangladesh. Sous ses airs de comédie populaire, ce livre signé Shirshendu Mukhopadhyay, un des plus célèbres auteurs bengalis, nous fait découvrir un pays où le poids des traditions condamne les femmes à une vie domestique monotone. Mais des lueurs d’émancipation apparaissent aux travers de ces trois portraits de femmes
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La tante qui ne voulait pas mourir

Contrairement à ce qu'il se dit et ce qu'il est écrit "La tante qui ne voulait pas mourir" se déroule dans la partie indienne du Bengale.

La famille à laquelle Somlata s'est liée à travers son mariage avec le fils cadet avait été propriétaire terriens. Aujourd'hui, même si la fortune a disparu, ils continuent à vivre dans l'oisiveté. Somlata est une femme dévouée, elle qui a grandi dans une famille pauvre, elle sait que la paresse ne remplit pas l'estomac. C'est peut-être pourquoi à la mort de Pishima, cette dernière lui a confié son coffre rempli de bijoux.

Pishima continue à apparaître à Somlata et à lui parler pour vérifier que le contenu de son coffre est intact, par la même occasion, elle lui livre des informations.



"La tante qui ne voulait pas mourir" a été initialement écrit en langue bengalie et nous y retrouvons tous les codes de sa littérature. L'histoire est bien écrite, intéressante, drôle et prenante. Les femmes dominent les hommes et les plus faibles mènent le jeu. Un roman à découvrir.


Lien : https://www.inde-en-livres.f..
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La tante qui ne voulait pas mourir

Trois générations de femmes se côtoient dans leur maison familiale au Bengale. Trois femmes au caractère trempé qui pourront s’émanciper chacune à sa manière. La vieille tante Pishima, cruelle de son vivant comme après sa mort, reviendra hanter et terroriser Somata. Celle-ci est l’épouse d’un des fils de cette grande famille. Elle est beaucoup plus jeune et de caste inférieure, lui doit donc respect et obéissance mais parviendra à subtilement le mener là où elle veut. Finalement, leur fille Boshon, jeune adolescente rebelle, portrait caché de sa grande tante, qui ne veut pas entrer dans le moule de la femme indienne traditionnelle mais vivre librement. Petit roman plein d’humour mais aussi de petits messages sur la condition de la femme en Inde.
Lien : https://redheadwithabrain.ch..
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La tante qui ne voulait pas mourir

La jeune Somlata, 18 ans, vient d'épouser un homme d'une trentaine d'années. Venue d'une caste inférieure et pauvre, elle intègre la famille de son mari, des propriétaires qui a force de se tourner les pouces ont vu leur fortune se réduire comme peau de chagrin. Toute la famille vit dans un seul bâtiment et se partage les différents étages.



Au deuxième étage vit la tante Pishima, veuve depuis ses 12 ans, aigrie et vraiment pas très agréable. Somlata est terrorisée par cette femme qui ne cesse de lui rappeler son rang inférieur et de jalouser sa jeunesse. Mais un jour elle trouve Pishima raide morte sur le pallier.



Arrive alors un événement ahurissant, le fantôme de Pishima lui apparaît et lui ordonne de cacher ses précieux bijoux en or que toute la famille va tenter de s'approprier impitoyablement. Somlata obéit car Pishima, même morte, sait être convaincante. La jeune femme grâce à sa persévérance et à son intelligence, fera de ce secret gardé dans un coffre, une bénédiction pour toute la famille.



Veritable comédie de mœurs autant que portrait avisé de la société bangladaise, "La tante qui ne voulait pas mourir" fait la part belle à trois générations de femmes puissantes et déterminées au sein d'une culture qui n'a de cesse de les cantonner à un seul et unique rôle où les traditions archaïques les y enferment.

C'est un roman dépaysant et qui m'a beaucoup touché, diablement bien construit, drôle et agréable à lire, qui donne à réfléchir sur la condition d'une femme, passée en quelques années à la seule force de sa détermination, de dernière roue du carrosse à figure de proue de sa famille. Une belle découverte qui a l'âpreté d'une fable et la douceur d'un conte !
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La tante qui ne voulait pas mourir

La tante qui ne voulait pas mourir" de Shirshendu Mukhopadhyay



Quelle magnifique surprise que e roman de l'auteur bengali Shirshendu Mukhopadhyay, sorti en 1993 au Bangladesh et devenu culte là-bas !



Il met en scène trois femmes, chacune d'une génération différente.  D'abord Somlata, dont la plus grande partie du récit adopte son point de vue. A 18 ans, issue d'une famille très pauvre, elle devient l'épouse d'un homme plus âgé, et de caste supérieure, qu'elle admire et qu'elle aime. Le couple vit dans une immense demeure avec les beaux-parents de Somlata, ses beaux frères et belles sœurs. Personne ne travaille et l'argent est dilapidé.

Sa belle-mère fait très bon accueil à la jeune fille et lui conseille de mettre son mari au travail, car elle considère que tous les hommes de cette famille sont paresseux et dispendieux. En revanche, la tante Pishima terrifie la jeune femme, et sa mort brutale n'arrange rien. Car c'est désormais son fantôme qui l'a hante, tantôt la conseillant, tantôt l'insultant. Il est vrai que la vieille dame a été très malheureuse de son vivant et qu'elle se venge parfois sur Somlata. Enfin, on suit le point de vue de  la fille de Somlata, Boshon, l’adolescente rebelle de la maison, qui rejette tous ses prétendants au mariage, car elle veut connaître le véritable amour et ne dépendre de personne.



Ce roman est une comédie mais c'est aussi le portrait de générations différentes de femmes du Bangladesh. Les thèmes sont évoqués avec subtilité. Le mariage forcé de la tante à 7 ans et veuve à 12, puis contrainte de garder le veuvage à vie.  L'obéissance à la famille. Les castes. Le refus de travailler. L'amour dans le couple.  Les relations des femmes au sein d'une famille. L'évolution des mentalités.

Beaucoup de tendresse entre Somlata et son époux. Et une belle réflexion sur le couple.



J'ai vraiment aimé ce roman. A la fois intéressant et bien écrit. Souvent très tendre.

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La tante qui ne voulait pas mourir

J'ai trouvé ce livre peu passionnant en ce qu'il ne semble traiter de rien de particulier.



L'histoire débute avec la mort d'une tante dont l'esprit confie à l'héroïne la garde de ses biens les plus précieux.

L'histoire de teinte alors d'un certain réalisme magique qui ne fait pourtant pas avancer l'histoire. Enfin, quand des années plus tard Somlata entend rendre les bijoux, c'est d'une façon sans charme et sans grand intérêt.

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La tante qui ne voulait pas mourir

2 histoires qui se croisent au Bangladesh.

Somlata vient d'épouser un homme de caste supérieure et dont la famille se ruine rapidement à force de vendre leurs richesses d'antan. Réussira-t-elle à le convaincre de travailler, activité tellement avilissante pour les membres de sa caste ?

Boshon, adolescente en âge de se marier, refuse toute demande de mariage. Elle ne croit pas en l'amour et ne veut pas devenir une épouse.



Voilà un court roman totalement dépaysant. Nous voilà plongés dans la culture hindoue, des mœurs d'un autre temps.

Les dialogues nous semblent décalés, la façon de penser difficile à concevoir. C'est un voyage à travers le temps et les coutumes, qui nous sort de l'ordinaire.



L'intérêt du livre n'est pas tant dans l'histoire racontée que dans la description d'un quotidien tellement différent du notre.

Difficile de s'identifier aux personnages tant leur philosophie, leur façon de penser, sont si éloignées des nôtres.
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Eye of the Eagle

Auteur de "la tante qui ne voulait pas mourir", Shirshendu Mukhopadhyay nous surprend ici avec ici une courte intrigue policière bien ficelée, entre un homme et trois femmes. L'homme est le suspect numéro un mais il dispose d'un bon alibi. Les policiers font appel au Detective Shobor pour mener l'enquête.
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La tante qui ne voulait pas mourir

Au Bangladesh, Somlata épouse un homme de caste supérieure et intègre la maison familiale, où vit une vieille tante dont la vie a été tragique, et qui garde précieusement son coffre à bijoux comme sa dernière richesse. Lorsque cette tante décède, elle vient hanter Somlata, qui va prendre le destin de cette famille en main. J'ai beaucoup apprécié cette lecture transgénérationnelle et pleine d'humour.
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