Song Ji-Hyoung

Superbe tome trépidant avec notre samourai mousquetaire ! Dès qu'on ouvre la première page, on ne peut s'arrêter qu'en tournant la dernière ! Le combat fait rage entre les deux clans et Issak encore blessé va devoir faire face à un ennemi plus personnel. A la recherche d'action ? D'histoire ? De seinen? Issak est un bon compromis à suivre !

Ce titre ne m'intéressait pas du tout à la base, je ne me serais jamais penchée dessus si je n'étais pas tombée dessus par hasard à la médiathèque et franchement, je l'aurais regretté parce que j'ai beaucoup aimé ce premier tome!



XVIIième siècle. L'Europe est secouée par une guerre religieuse entre catholiques et protestants. Nous suivons Issak, un jeune japonais à l'allure de samouraï engagé dans cette guerre en tant que mercenaire. Venu des Pays Bas, il débarque en Allemagne, sachant parler plusieurs langues et le dernier de son régiment, venu aider les protestants allemands. Évidemment, son apparence générale fait qu'il ne passe pas inaperçu parmi les occidentaux! Il est en quête de vengeance: tuer celui qui a assassiné son maître et volé son arme si précieuse. Tout ce qu'il sait de son compatriote meurtrier, c'est qu'il est en Europe et combat aux côtés des catholiques. Issak combat alors de combat en combat, espérant le croiser sur le champ de bataille. Après avoir sauvée Zetta, une jeune fille qui allait mal finir entre les mains de déserteurs, il rejoint une forteresse allemande où les malheureux paysans/villageois cherchent asile auprès des soldats et mercenaires engagés. Seulement, la guerre est à leur porte, une armée espagnole en fait alors le siège. Ces derniers sont bien trop puissants, ont les moyens et prennent vite l'avantage. Issak va mettre fin à cet assaut d'une seule balle, à distance en tuant le général de l'armée espagnol! Lui et son mousquet particulier font sensation! Il obtient alors le respect et la confiance de tous!



Issak est fantastique, troublant, mystérieux. Il se dégage quelque chose de spécial chez Issak, que je n'explique pas. Ses armes, sa façon de se mouvoir, son attitude... son regard également, il provoque quelque chose chez moi, je l'admire vraiment. D'autres personnages se démarquent comme le prince allemand qui a beaucoup de charisme, qui est un vrai leader, il y a également la douce Zetta qui se prend d'affection pour Issak.



On voit vraiment les étapes de la guerre, que ce soit d'une bataille, d'un siège... ainsi que les mauvais côtés et les horreurs de la guerre. C'est un manga centré sur l'action avec beaucoup de morts, d'horreur, de violence, de sang.



C'est vraiment dommage que ce manga ne soit pas plus connu! Après, je peux comprendre qu'il ne plaira pas à tout le monde car c'est un manga historique très centré sur la guerre. Pour ma part, j'adore les mangas historiques donc ça le fait totalement. De plus, c'est une partie de l'histoire que je ne connais pas trop et c'est donc très intéressant, très enrichissant. Et j'ai été surprise d'apprendre que le mangaka s'est inspirée d'une histoire vraie: il y a bien quelques japonais qui ont combattu dans la guerre de 30 ans en Occidentaux, et un tireur en particulier qu'il a voulu mettre en avant!



Le graphisme est très particulier mais j'aime beaucoup car c'est d'un réalisme assez fou! Le trait de crayon est très noir, le dessin fait tout, peut même se suffire à lui-même parfois. On peut avoir plusieurs pages d'affilée sans aucun dialogue!



Ce fut une agréable découverte, je ne pensais pas aimé autant! Il me tarde de découvrir la suite, d'en savoir plus sur Issak et son mystérieux ennemi!

Encore un très bon tome pour cette série dont l'intérêt, pour l'instant, ne baisse pas du tout ! Les méchants complotent, sont archi-retors, et totalement dénués de scrupules. Le nouveau, Wiseman, s'avère carrément affreux.

"Blade" est complètement renfermé et on n'en sait pas plus sur lui qu'au premier tome, ce qui est un brin agaçant, mais on espère toujours qu'il va finir par se décoincer... Haruka mûrit.

Bref, je suis plutôt contente d'avoir trouvé jusqu'au tome 11 d'occasion ! :-)

J'ai tout de suite accroché, dès les premières pages. Haruka, une jeune lycéenne, se fait kidnapper par des yakuzas, qui veulent bénéficier des dons particuliers de celle-ci. En effet, elle est capable de prédire l'avenir, avec un taux fort de réussite. Elle repère dans la rue, grâce à son don, Mamoru, et se précipite vers lui. Mamoru est un mercenaire aveugle, certes, mais il est aussi un maître dans la voie du sabre. Elle lui demande de l'aider et lui propose un contrat "Jusqu'à ce que la mort les sépare". Ainsi débute cette série fantastique. Et les yakuzas ne sont pas près de laisser pour compte la poule aux oeufs d'or!

A l'heure d'aujourd'hui, il y a 17 tomes parus au Japon. Il est tentant de croire qu'au bout de tant de tomes, l'histoire doit s'essouffler. Et bien, non.

Chaque tome est bien fourni en action, le scénario est toujours aussi bien ficelé, et surtout j'aime énormément le graphisme du dessinateur Double-S.

Quant aux personnages principaux, ils ne peuvent que plaire. Mamoru est un homme complexe : taciturne, à l'apparence froide. Sa cécité est dû à un accident, mais cela reste encore un mystère dans le premier tome. Haruka, quant à elle, essaie de se montrer forte mais elle demeure une enfant, innocente et naïve, par certains côtés. Et tous les deux évolueront, au fur et à mesure, des tomes. Je ne m'en lasse pas!

Un peu de lassitude ici avec une énième bataille où Mamoru est encore un surhomme. Les scènes de combat sont toujours spectaculaires et Wiseman démontre tout son talent de tacticien. Heureusement la fin est sauvée avec l’arrivée d’un nouveau personnage. J’ai tout de suite accroché à Karito Tate alias le bouclier d’Aegis. J’ai bien aimé aussi les rares flashbacks.

Même schéma un peu répétitif, on commence ce tome suite au précédent en pleine action, on le finit sur une touche identique avec Mamoru en mauvaise posture. Je chipote parce que j’ai bien aimé, mais on retrouve un peu une surenchère et Mamoru est plus qu’un surhomme, un robot.

On commence à apprendre un peu plus sur les membres d’éléments Network, enfin sur Sierra et Kilo.

Dans cet épisode, Mamoru perd peu à peu son côté solitaire. Les aptitudes de Haruka viennent fusionner avec celle du samouraï.

Taurus rejoint l’équipe technique dans l’élaboration du manga.

La suite directe du précédent opus. Un excellent tome bourré d’action qui met en scène le combat entre Mamoru et Fang. Tous les personnages ont un rôle essentiel. Mamoru est glacial dans ses rapports humains notamment avec la grand-mère de la petite.



Il est intéressant de voir que ce manga est très bien construit. On alterne des pages de dessins simples et d’autres magnifiques très bien détaillés.

Contre toute attente, Mamoru a réussi à exterminer une bonne partie des tueurs à gages à ses trousses. Quant aux survivants, il leur a fait passer l'envie de s'en prendre à lui ou sa protégée ! Il leur a inspiré une telle terreur qu'ils ne retenteront pas leur chance de si tôt.

Alors qu'Haruka est au collège, elle a une vision. Une de ses camarades de classe va probablement être tuée dans une fusillade. Haruka se lance à la poursuite de la jeune fille, semant la panique chez ses protecteurs !

L'intrigue mise en place dans ce tome change de ce que l'auteur nous proposait précédemment. Haruka revient au centre de l'histoire, moins passive, plus déterminée. Un changement appréciable qui j'espère continuera dans les tomes suivants.

L'entreprise Ex Solid, qui souhaitait kidnapper Haruka et exploiter son don, est désormais hors jeu. Mais toutes les menaces ne sont pas pour autant écartées. Le président de Galboa a engagé un tueur à gages afin d'éliminer Mamoru et ainsi, assouvir sa terrible soif de vengeance... Le don d'Haruka sera donc plus que jamais utile.

Avec le tueur Fang à ses trousses, Mamoru semble avoir trouvé un adversaire à sa taille. Cela ne rend que les combats plus piquant et moins prévisible. Je suis vraiment scotchée par le dessin, énergique, précis, qui ne manque pas de style. J'ajoute que je trouve la couverture de ce tome superbe !

Le scène de combat sont impressionnantes, le concept du combattant étranger, solitaire et surpuissant, déjà vu. Il y a du bon et du moins bon dans cette série historique. La tension d'avant combats est bien palpable et brillamment restituée, les personnages sont bien marqués, c'est un bon démarrage pour une série guerrière, mais rien d'exceptionnel.

Personnages principaux :

Issak : La première image d’Issak est très forte, violente même mais extrêmement bien dessinée ! Il arrive de Hollande où il a combattu avec l’armée; il recherche activement le meurtrier de son maître et un objet que cet assassin aurait dérobé. Pour cela, il écume les champs de batailles aux côtés des protestants car son rival s’est enrôlé dans le camp des catholiques… Sur sa route, il sauve Zetta des mains écœurantes de soudard assoiffés de sang et rempli de haine. Il est très calme, très consciencieux, poli et inarrêtable. Côté physique (excusez moi, il est à tomber !… ben oui mon côté midinette arrive à ressortir parfois 😀 ), de long cheveux noir, les yeux bridé et il émane de sa personne un calme rassurant.



Zetta : C’est une toute jeune fille, qui fuit la Bavière en guerre en compagnie de son grand-père, en direction d’une Terre s’appelant Utopia, une terre où tous les hommes sont égaux. Elle est sauvée in-extrémiste par Issak, des soudards qui l’agressaient. Elle est intriguée par Issak qui ne ressemble pas aux soldats et aux mercenaires européens. Elle est déterminée à rester en vie et sans vraiment le vouloir, elle et son grand-père vont suivre la route d’Issak. Leur destin semble lié, se lie au fur et à mesure des pages.



Lieux où se déroule le récit :

Le scénario se déroule à Fuchsburg, le château du représentant, frère de Frédéric V de Palatinat



Détails intéressants :

Le dessin est magnifique, Double S a un trait incroyable, les personnages sont tels qu’ils pourraient être dans la réalité. Les détails sont surprenants et il se dégage une tension palpable de ces pages; mais lorsque Issak apparaît, sa présence rassure. Issak est magnifique !

Au travers d’Issak, on sent toute la détermination, la constance, la patience pour obtenir un geste d’une précision inhumaine. De plus c’est un brillant stratège.

Alors que la situation semble compromise, nous lecteur on sait, on sent qu’Issak va faire la différence.

Ce manga opère la rencontre entre le japon féodal et l’Europe médiévale avec ses guerres de religions entre protestants et catholiques. C’est un savoureux mélange.

Mon avis :

La couverture annonce la couleur : Nous avons un homme de type asiatique qui pointe son arme avec détermination. J’ai eu l’occasion de lire un extrait grâce à mon super libraire de manga, BD et comics, vil tentateur et pourfendeur de portefeuille (oui oui je délire complètement…) Bref, je me suis retrouvée avec cet extrait entre les mains et la curiosité qui va avec !!



Toujours est-il que je suis super fan, j’ai déjà lu les 3 tomes et j’aime de plus en plus !!



Je m’explique :



Je tiens à me répéter : le dessin est SUPERBE ! J’adore le trait du dessinateur, il fait passer toutes sortes d’émotions au travers de ses personnages comme la détermination, la colère, l’intimidation, la suffisance et souvent l’apaisement avec Issak. Ce personnage est implacable, ne rate jamais sa cible, Issak apparaît sur une page et c’est la force tranquille, la patience redoutable, le contrôle de soi immuable., ça présence rassure.



L’histoire nous plonge dans le XVIIème siècle en pleine guerre de religion entre les protestants et les catholiques = la guerre des Trente ans. Mais, alors que fait un asiatique, un japonais dans cette guerre ? Il recherche ardemment le meurtrier de son maître et un objet très précieux. Issak s’engage aux côtés des protestants dans l’armée Néerlandaise et termine son chemin au château de Fuchsburg en Allemagne et se met au service de l’armée de Frédéric V du Palatinat (figure existante de l’histoire). Il se révèle être un allié précieux et de taille. Sa maîtrise du combat impressionne les commandants et les soldats; mais ils sont vite rattrapés par la panique face à l’armée espagnole, immense qui suit un homme charismatique, le général Spinola (encore une figure existante dans l’histoire). L’auteur scénariste a vraiment monté son histoire de guerrier japonais sur fond de la guerre de Trente ans, en s’appuyant sur des faits réel de l’Histoire et c’est très appréciable.



L’histoire d’Issak se superpose petit à petit sur l’Histoire Européenne; il fait partie intégrante du paysage même si son uniforme étonne et surprend. Zetta a compris que c’est un homme hors normes et elle se sent redevable d’Issak et veut à tout prix le seconder, l’aider d’une quelconque manière, elle a peur pour lui. Mais elle sait qu’il est capable de les protéger, elle le sent.



Le tome 1 pose le décor historique, présente des personnages très intéressants et surtout accroche le lecteur avec son héros Issak !

En Bref :

Oui oui c’est un coup de cœur !!! ❤ ❤ ❤



L’histoire d’un guerrier japonais qui s’aventure en Europe en pleine guerre des Trente ans pour retrouver l’assassin de son maître.



Un personnage, beau, déterminé et très attachant (oui j’assume mon côté fangirl pour cette fois seulement 😉 ) Le travail de l’auteur sur l’histoire est très intéressante car il fait se rencontrer le japon féodal et l’Europe médiévale !



Une série qui mérite vraiment le détour !


Lien : https://fildediane.wordpress..

Mamoru qui croyait avoir mis en sûreté Haruka dans cette école, voit arriver une bande de combattants. Bon, je n’ai pas aimé ce tome, on retombe dans un autre défi. Les assaillants semblent invincibles. On y découvre de nouveaux personnages.

.

.

.

.

Voici le meilleur tome jusqu’à présent. Énorme coup de cœur. On découvre un fragment du passé de Mamoru. Direction la Tchétchénie où des trafiquants enlèvent des enfants. Mamoru a intégré éléments Network pour parfaire sa technique du sabre dans les guerres modernes. C’est également ici, qu’il rencontre Jésus, le meilleur mercenaire au monde. Tellement immersif qu’il est difficile de le lâcher.

Ce douzième volume est bien mieux que le précédent. Ici, Mamoru n’agit plus seul, bien qu’aidée de la petite Haruka. Cette fois-ci il s’agit d’une bande de motards qui attaquent lâchement des banques en ne laissant qu’une personne vivante. En parallèle, l’inspecteur Genda continue son enquête après le vol d’un bras artificiel. Une fois de plus, on a le droit à des nouveaux personnages, deux pour le coup. Ça commence à faire beaucoup.

C’est peut-être le tome que je préfère. Il est différent des précédents. Ici en scène d’ouverture, Mamoru et Dai s’affronte. La tension monte entre les deux hommes qui ne s’apprécient guère. Nous allons découvrir le personnage de l’ombre, le boss d’éléments network. Il est fascinant. Mais avant d’en apprendre davantage sur le patron, l’inspecteur Genda et son acolyte mènent l’enquête chez un Sensei au maniement des katanas. N’oublions pas Sierra qui vient furtivement, mais qui présage de bonnes choses à l’avenir.

Du côté des méchants, Wiseman est toujours aussi diabolique, mais nous avons un nouveau personnage très intéressant

Beaucoup de choses se passent sur ce 9e épisode. On reprend là où on s’était arrêté précédemment avec Mamoru et Haruka en mauvaise posture. Mamoru étant caractériel pète un plomb et décide de se retirer d’éléments Network.

Ainsi apparaît un nouveau personnage, que je trouve antipathique. Son arme n’est pas un sabre, mais une moto survitaminée. Il passe inaperçu, mais on y voit aussi brièvement le boss d’éléments network. Enfin, on y a apprend un peu plus sur le trio Sierra, Juliet et Kilo.

Nous retrouvons Mamoru en plein combat avec l’inspecteur Genda. Les deux hommes semblent se connaître. Outre les scènes d’action qui s’enchaînent, on a enfin un peu d’humour, ce qui manquait jusque-là.

L’histoire est davantage centrée sur Haruka. J’ai beaucoup aimé. Ça se termine comme précédemment, où il faut impérativement avoir le suivant pour connaître le déroulement. C’est peut-être le point négatif.

Côté équipe technique, Double-S a une nouvelle assistante : Parusiaren.

Un nouveau personnage intègre le groupe. Il s’agit de la charmante Juliet. Elle remplace Sierra. Côté histoire, ce manga prend un rythme plus calme et c’est agréable au vu de tout ce qui s’est passé depuis le début. Que les fans de combat se rassurent, c’est sur la fin du tome que les pages d’actions s’enchaînent avec un premier combat entre l’inspecteur Genda et Mamoru. Ce sixième volume, c’est aussi l’arrivée d’un personnage énigmatique du nom de Wiseman.



À noter que l’équipe technique qui contribue à l’élaboration de ce manga, a essuyé les départs de Zorda, Euze et O-Second. Ryokucha Yôkan.

Haruka, Sierra, Igawa et Mamoru forment désormais une petite famille. La routine dans laquelle ils souhaitent vivre va changer avec l’arrivée d’un tueur nommé Fang. C’est un ennemi coriace qui a sa technique bien à lui. En parallèle, l’inspecteur Genda mène toujours son enquête. Chacun des membres de l’équipe va démontrer ses compétences. Ceci dit, Sierra est moins importante dans cette trame.



Le scénario imaginé par Hiroshi Takashige est passionnant. Cette série excellente nous captive à chaque épisode. Les dessins de Double-S et son équipe (désormais cinq collaborateurs) sont magnifiques. Le quatrième tome se termine de façon qu’il faut avoir le suivant sous le coude, en pleine action.

Le troisième volume s’ouvre sur un magnifique dessin tout en couleur où l’on aperçoit Sierra. Je reste un poil mitigé. Ça met plus de temps à se mettre en route, puis des scènes d’actions magistrales – avec une savoureuse confrontation entre Turus Edge et Mamoru Hijikata –, pour enfin se calmer.



Dans le précédent opus, c’était l’émergence de nouveaux personnages. L’inspecteur Genda est très intéressant. Sierra commence à se dévoiler. En parallèle, on suit l’ambition du bras droit de la mafia.



Toujours aussi excellent, mais j’ai été moins scotché. Ce manga est un peu un touche-à-tout, qui mêle notamment le questionnement sur la condition de l’être humain, les nouvelles technologies.