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Citations de Sophia Winter (26)


Fidèle aux règles qu’elle s’imposait, elle laissait Walter prendre les devants, faire les premiers gestes. Mais pour sa bouche, elle n’arrivait pas à se retenir, c’est elle qui le dévorait. Et tout en profitant de la saveur de leurs bouches emmêlées, elle devait lutter contre son envie de se jeter sur lui.
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(citation pornographique)

Pour la deuxième poussée, Irène saisit la verge et s’assura qu’elle entre bien à l’endroit idoine, là où elle le remplissait de bonheur. Elle était subjuguée par la vigueur de Bertrand, la fougue de sa jeunesse, la dureté inaltérable de son pieu avec lequel il la pourfendait sans relâche, la laissant inondée et pantelante de désir.
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ATTENTION

Peut heurter les plus sensibles

Avec effarement, elle découvrit du bout de ses doigts l’étendue de son excitation, l’état de liquéfaction de sa grotte aux contours exacerbés par le désir, et elle se masturba avec une furie proche du désespoir. Ça devait faire plus de trente ans, depuis son adolescence, qu’elle ne s’était pas donnée ainsi au plaisir solitaire et, après les lèvres fines et la langue délicate de Lisa, ses doigts lui semblèrent gourds, trop grossiers, substituts imparfaits à ce qu’elle désirait réellement au plus profond d’elle-même.
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Si je devais me comparer à une bagnole, vu qu’il n’y ça que les mecs semblent comprendre, on peut pas vraiment dire que je sois une Porche, ou une Ferrari, pas non plus une berline à la carrosserie rutilante. Je ne suis pas celle qu’on remarque en premier, je ne prends pas trop de place, je suis plutôt une Smart, nerveuse et fine qui rentre dans tous les trous…
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J’approchai mes mains, et lui effleurait la poitrine en hésitant. Tous mes préjugés et mon éducation me hurlaient que ce n’était pas normal, pas naturel, alors que du revers de la main, je soulevais les globes de chair tendre de Léana. Elle me sourit pour m’encourager, mais c’était trop perturbant pour moi. Je n’arrivais pas a me résoudre à faire autre chose que juste effleurer, caresser sans saisir.
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Elle pense a chaque mot qu’il à lâché Lana Evluv. Il a dit d’y réfléchir sous tous les angles ? Elle laisse le pseudonyme voguer dans son esprit durant quelques instants, elle sent instinctivement qu’il y a là quelque chose, un message caché. Et soudain elle comprend.
Sous tous les angles…à l’endroit… à l’envers. Surtout à l’envers. Lire les lettres à l’envers… Lana Evluv qui devient … anal… et vulve…
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La jeune fille, analysant la situation en une fraction de seconde, comprit que Judith, était la plus gênée des deux, et décida de pousser son avantage au maximum, se doutant que la mère de Faustine ne devait pas en mener large après leur petite démonstration buccale en bord de piscine. Elle lança une gifle rapide, qui vint claquer sur la joue déjà rouge de Judith, qui en perdit définitivement ses moyens
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Si son ramage est à la hauteur de son plumage, il va me faire grimper aux rideaux, pensa-t-elle en le guidant à la pièce qui lui servait de salle pour ses activités sportives. Elle fut tout de même un peu gênée par le regard scrutateur de son nouveau professeur, qui la scannait ostensiblement des pieds a la tête, s’attardant longuement sur sa poitrine ; elle avait espérée que ce ne serait tout de même pas aussi facile que ça, qu’elle aurait besoin de s’employer un peu avant qu’il ne succombe à ses charmes.
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Elle traversa le magasin pour essayer de les repérer, mais son attitude inquiète et bizarre réussit surtout à attirer l’attention d’une vendeuse et de la responsable du magasin, dont elle perçut les regards clairement désapprobateurs concernant sa tenue. Ballottés par sa démarche accélérée et l’absence de soutien-gorge, stimulés par la ceinture durant tout le trajet, les pointes de ses seins pointaient ostensiblement à travers le t-shirt, tels deux boutons en relief attirant irrésistiblement les regards des hommes.
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Elle monta à l’étage, et entra dans la chambre de sa fille. Malgré elle, elle sentit une forme de gêne à l’idée de ce qu’elle s’apprêtait à faire. Après avoir espionné, elle allait fouiller. Elle savait que c’était mal, mais la curiosité était plus forte qu’elle. Diane se sentit troublée par le simple fait d’entrer dans la chambre. Poser les yeux sur le lit , sur la couette parfaitement en place , fit naitre dans son esprit des images indécentes, qu’elle n’avait pas pu voir mais que son imagination avait si bien formées . Kristelle , jambes écartées . Et sa fille, malmenée, le visage enfoui entre les cuisses de son amante , les joues rougies par les gifles .
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La seule nouveauté qu’elle introduisit dans sa routine fut de prendre systématiquement avec elle une grande bouteille d’eau. Quoi de plus innocent après tout ? Mais si elle s’obligeait à boire régulièrement, elle s’interdisait d’aller trop fréquemment aux toilettes, s’attachant à remplir au maximum sa vessie et a repousser les limites de sa capacité de rétention. Elle se doutait en effet que cet état de débordement avait été un facteur important dans le déclenchement du plaisir inédit qu’elle avait eu.
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Le chemisier blanc que portait la petite blonde avait aspiré tout le liquide, et était devenu transparent en quelques secondes. Béatrice posa un regard hypnotisé sur ce que révéla alors le tissu translucide, l’absence de soutien-gorge, la forme triangulaire et conique de la poitrine menue, le disque sombre des aréoles qui se dessinait en transparence. Et surtout, la pointe dressée des seins, la tension du tissu qui collait à la peau de Kristin, le chemisier comme percé par deux boutons durs, gros comme des noyaux de cerises.
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Angelica n’avait qu’à se débrouiller avec Etienne, et la laisser en dehors de leurs histoires de couple. A bientôt cinquante ans, elle comptait en mois la dernière fois qu’elle et son mari avaient fait l’amour. Elle avait plus ou moins réussi à tirer un trait sur cette partie de sa vie, surement pas très glorieuse si elle se comparait à d’autres, mais elle comptait ne pas laisser cette jeune femme arrogante la juger, ni surtout remettre sur le tapis des sujets qu’elle avait mis si longtemps à enterrer.
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Elle était presque parvenue à se faire une raison, à comprendre que la voie qu’elle croyait s’ouvrir devant elle ne menait finalement pas à de nouveaux horizons radieux, mais à une nouvelle impasse. Mais accepter cette dernière désillusion lui semblait équivalent à renoncer à toute perspective future, à ne plus avoir autre ambition qu’un lent déclin dans sa vie sentimentale et dans ses transports amoureux. Et ça, elle ne pouvait s’y résoudre.
D’autant qu’il avait suffi d’un simple appel de Cassandra pour que son cœur se remette à palpiter aussitôt. Elle se demandait encore si elle ne l’avait pas rêvé, ce coup de fil , tant il était inattendu dans sa forme et son contenu …
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Mais ce secret qu’elle possédait maintenant, ce joyau rougeoyant qu’elle chérissait tout au fond d’elle, se mit à la ronger petit à petit. Elle réalisa à quel point elle avait envie de revoir Cassandra, envie que la jeune fille revienne chez elle, comme si elle était devenue le centre de son monde. Mais surtout, elle réalisa qu’elle était entièrement dépendante du bon vouloir de la fille de sa voisine. Cassandra était venue chez elle sur un coup de tête, durant une pause de vacances lors de ses études : quand Mélissa pouvait - elle espérer la revoir ? Cassandra vivait - elle la même chose qu’elle ? Les prochains congés scolaires étaient encore si loin … Allait - elle devoir attendre tout ce temps - là, et jusqu’à une hypothétique nouvelle folle envie de Cassandra ?
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Elle entendit toquer à la porte de la salle de bain, et la porte s’ouvrit pour laisser avancer Hyppolite. Habituée à vivre seule, ou bien trop absorbée par ses pensées, elle n’avait pas pris la peine de fermer la porte. A travers la buée de la vitre, elle vit qu’il était là, et qu’il pouvait deviner les courbes de son corps nu sous l’eau, de même qu’elle le voyait progresser vers elle.
— Je n’ai pas encore fini ! dit-elle. Désolée si je suis trop … Elle ne termina pas sa phrase, interrompue par la stupéfaction de voir Hyppolite se joindre à elle en ouvrant la porte de la douche, et en arborant une érection massive qui la laissa sans voix.
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Attention peu choquer certains lecteurs et certaines lectrices

Excitant par la docilité de son amante et par la venue subreptice d’Ingrid, à l’insu de Delphine, il ne réussit pas à se retenir davantage, et donna libre court à son plaisir. Il éjacula avec force et abondance, à l’instar de cet accouplement sauvage et généreux qui avait eu lieu entre eux, inondant la cavité rectale de Delphine, qui apprécia de pouvoir donner à son amant ce plaisir si intense. Il s’épancha rapidement, tout son foutre aspiré par l’ouverture béante qui semblait boire à la source l’épaisse liqueur blanchâtre à mesure qu’elle sortait de son urètre.
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Attention peu heurter la sensibilité de certaines personnes

Le jeune homme se retourna immédiatement, ayant perçus les mouvements et les sons proférés par Ingrid, mais Delphine accaparée par son plaisir et ses propres cris, resta dans l’ignorance de la présence de l’autre femme dans la pièce. Bertrand réussit à contrôler sa propre surprise, perpétuant les mouvements de ses hanches et pistonnant sans s’arrêter, emporté par son élan et son désir. Il jeta un regard plein de fierté et d’arrogance à Ingrid, comme s’il lui disait : regarde un peu de quoi je suis capable.
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Ce serait avec plaisir, mais j’ai déjà d’autres engagements, refusa fermement le jeune homme. Tu sais, il n’y a pas que ton intérieur à toi qui mérite d’être visité.
Et il laissa son amante du jour ébahie devant son refus, à s’interroger sur quelle réalité pouvait se cacher derrière les paroles de Bertrand.
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Attention peut heurter la sensibilité

Pourtant, Bertrand avait raté son entrée. Dans son empressement hâtif, il avait poussé sur ses reins avant que sa verge ne soit plantée en Irène, et sa queue glissa sur l’extérieur de la fente lisse et huileuse, parcourant la vulve gorgée de sein qui s’écarta de part et d’autre tandis que son membre frottait jusque sur le nombril de son amante.
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