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Citations de Stefy Québec (57)


Nous écoutons Mike, qui a l'air sûr de lui. Je ne sais pas d'où lui vient ce plan ni cette folie. Il m'étonne, mais pas dans le bons sens. Il me fait peur, voilà le bon mot. Peur qu'il foute notre vie en l'air.
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Un grain de sable dans le rouage de ma vie.
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Je ne suis pas mauvaise, juste née dans « mon » pays envahi par des êtres qui se pensent supérieurs et qui ne font pas de cadeaux ni aux autochtones ni aux noirs qu’ils ont fait venir de force pour construire le pays de leur rêve. Nous, les indiens d'Amérique et les Afro-américains, nous sommes les souffres douleurs du peuple blanc. Je n’ai pas une vie bien rangée, ne suis pas une sainte, mais croyez-moi, je ne rêvais pas de cette vie-là.
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Vivre avec un homme qui me frappe, parce que je lui tiens tête. Un homme dont je ne suis pas amoureuse, je ne connais même pas la définition exacte de ce mot. J’aimais être avec lui depuis toute petite. Aujourd’hui, c’est devenu invivable, nous ne nous respectons plus, ne croyons plus en l’autre. Notre vie ne ressemble à rien, j’en ai marre, malheureusement, je ne vois pas comment m’en sortir.
 
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Sous mes apparences « je me fous de tout et je ne crois en rien », j’aimerais tout de même connaître quelque chose de fort, le réel amour. Le truc qui vous rend dingue juste en pensant à la personne. Le truc magique que je fais semblant de détester ! Thor ne me rend pas malheureuse loin de là, mais il me manque un petit quelque chose pour que ma vie avec lui soit parfaite.
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Je sais que je ne connais rien à la vie de couple mais je sais que je ne veux plus aucune autre femme que toi. Je veux continuer à vivre ce que nous avons commencé. Être avec toi m'a fait comprendre que la vie ne consiste pas à coucher avec toutes les filles qui passent, mais être heureux avec une seule. À faire les boutiques. À manger au restaurant. À penser à elle quand elle n'est pas là. Je veux continuer à ressentir tout ce que je ressens quand je suis avec toi mais aussi quand je ne suis pas avec toi. Je te veux dans ma vie, Lana. Toi rien que toi. Je me sens prêt à être rien qu'à toi. Plus aucune femme n'a d'intérêt à mes yeux.
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En fait nous n'avions pas de sentiments aussi forts que nous. Ce que je veux te dire, c’est que je n’ai jamais ressenti une telle passion. Un tel plaisir, un tel échange en faisant l’amour. Ce que tu m’as fait cette nuit était divin. Tu m’as transportée, tu m’as rendu folle de plaisir et de sentiments. Tu as été le meilleur amant qu’une femme puisse avoir.
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Depuis que je te connais ma vie personnelle a enfin un sens. Pour la première fois de ma vie, je viens de passer un moment d’amour comme jamais. Je ne savais pas que l’on pouvait éprouver tant de sentiments différents en faisant l’amour.
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- Mon papa appelait toujours ma maman, « petite colombe », c’était un petit mot gentil pour lui dire qu’il l’aimait fort. Mon père voulait m’appeler Colombe, tu vois l’horreur, fais-je rire toute la famille Cox. Par chance, ma mère a dit non. Alors mon père a cherché, cherché un long moment et puis il a eu l’idée de voir comment ça se disait en Indien.
- Ah, donc Chenoa en Indien, ça veut dire Petite Colombe ?
- Voilà, tu connais mon secret.
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Rowan le salue et le remercie du bout des lèvres en me tirant vers le château, renfrogné.

- Encore une fois, tu te joues de moi, Banfhlath.

- Encore une fois, tu as voulu jouer le Roi, mais tu n’es qu’un Laird ! Respecte tes gens et ils te respecteront, Rowan, tout comme avec moi. Avoue que je n’ai pas humilié le maître des lieux !

- Aye, tu as eu raison, ma main me démange. Le regard de ce palefrenier sur toi ne me plaît guère, ni ses…

- Il est mon cousin, Rowan.

- Aye, cela ne change rien.

- Chez moi, nous ne nous marions pas entre cousins, c’est inconcevable. Même si celui-ci est un beau mâle plus que charmant. Et ce pantalon de cuir lui allait à ravir. Très bel homme que ce cousin Aleck, le cherché-je en étant toutefois sincère.

Il m’attrape par le bras, rouge de jalousie, et me colle contre lui. Son regard noir est de retour. Je m’efforce comme je peux de ne pas rire.

- Il suffit, tu es mariée, les autres hommes n’ont pas à te….

- À m’exciter, me titiller ? Peut-être qu’il ne me frapperait pas, lui, si j’avais l’audace de parler à sa place …

- Allez, viens, allons manger avant que je ne te fesse devant notre château. Tu as le don de me mettre hors de moi.

- Eudach ! Mo ghaisgeach91.

- Aye, te voir admirer un autre homme me déplaît.

- Essaye ce genre de pantalon pour changer du kilt, peut-être seras-tu aussi sex... attirant que lui !

- Tu n’es qu’une impertinente et une...

- Mais tu m’aimes tout de même, m’amusé-je en m’arrêtant sur le pas de la porte pour l’embrasser et calmer sa frustration ! Ce beau palefrenier nous a tout de même été utile, reconnais-le. Nous savons maintenant que, malheureusement, je ne rencontrerai jamais ma vraie mère.

- Et qu’elle était une sorcière, tout comme toi !

- Rowan ? l’interpellé-je, devenant plus calme et sérieuse. Pouvons-nous nous y rendre ?

- Bien sûr, allons nous restaurer d’abord. Ensuite, tu dois l’annoncer à ton père, même s’il l’avait bien ressenti. Tu viens d’une drôle de famille, mo Banfhlath. Ils ont tous des dons, sauf toi, hormis celui de m'énerver et de me rendre fou.

- Fou d’amour ou de colère ?

- Les deux, pour ma plus grande malchance !
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-Voilà, tu ouvres enfin les yeux. Tu ne peux pas comparer ce qui ne l'est pas. C'est à toi de voir si tu veux donner une chance à cet homme tendre et doux ou rester avec celui qui te détruit à petit feu. Est ce que, maintenant que tu as connu un autre homme, tu te voit retourner dans ton appartement avec un manipulateur ou prendre ton courage à deux mains et tenter ta chance seule ou avec ton patron ?
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Nous sommes en prison, la vie est précaire, pas besoin de se rabaisser devant une bite pour avoir des produits pour se faire belle. Nous ne sommes plus réellement des femmes ici. Nous survivons pour purger notre peine.
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La nature est un enchantement. Ce paysage est à couper le souffle, surtout lorsque l’astre solaire descend et vient presque toucher l’horizon. Le ciel se pare de touches chaudes de rouge et jaune. La romantique qui se cache tout au fond de moi, trouve cette vue, bouleversante.
Je ferme les yeux et me laisse bercer par le bruit des petites vagues venant se casser à mes pieds. Jamais je ne me suis sentie aussi bien de ma vie. J’ai l’impression d’être au paradis. Mes mains fouillent le sable délicatement, je respire profondément pour m’enivrer d’une odeur inconnue, certainement de fleurs que je ne peux voir…
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Filez vous inscrire à des activités, le plus possible pour oublier où vous êtes. Vous avez l’air d’être une femme forte, surtout ne faiblissez pas. Elles sont comme des vautours ici, elles foncent sur les faibles proies et les déchiquètent. Huit mois, c’est assez court, tenez bon.
Il est drôle, il ne comprend pas que je suis une fille des grands espaces. Je n’aime pas être enfermée, ce n’est pas dans notre nature. Forte, je le suis, mais le suis-je assez pour cette jungle ? Il le faudra bien. En attendant, je me dirige vers le bureau des inscriptions, il me faut des activités en extérieur, j’ai besoin d’air. Basket est l’activité qui me convient le mieux, même si je n’aime pas ce sport. C’est la seule activité qui me permet d’être le plus souvent à l’air libre. Je ne suis pas claustrophobe, j’ai juste besoin de sentir l’air sur ma peau. Besoin de voir le ciel, la terre tout simplement.
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Les femmes entre elles sont mauvaises, méchantes, mesquines. Alors imaginez la promiscuité de 350 femmes qui vivent vingt-quatre heures sur vingt-quatre ensemble. Je ne connais rien au monde carcéral, seulement qu’il ne faut pas être faible. En me couchant, je me tourne contre le mur. Pour la première fois de ma vie, j’angoisse de mon avenir. Je ne sais pas ce qu’il va m’arriver ici. Je resterai forte le plus possible, je veux tenir bon et ne pas faire de rabe. Huit mois, ce n’est pas la mort.
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Dans ses bras, j’ai l’impression d’être dans un autre siècle, dans ma tribu, avec les miens, qui se respectent et s’entraident. Je suis bien, sereine et beaucoup plus calme. Je me laisse bercer par sa voix, avant de m’endormir tout contre elle.
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Il a raison, la vie que je mène n’est pas celle dont je rêve. Peut-être est-ce de ma faute. Je n’ai pas choisi la bonne voie. Ou peut-être dois-je vivre avec des amérindiens plus dans l’esprit de nos traditions. Notre peuple est beaucoup trop divisé, plus rien ne nous rattache alors que j’aimerais vivre dans une osmose plus tournée vers la nature, la terre, la fraternité, l’échange. Malheureusement aujourd’hui nous devons vivre comme tout le monde, pour ne pas passer pour des originaux.
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Ce n’est pas dans mon caractère de baisser les bras et encore moins de me soumettre ou de prouver ma faiblesse devant un homme. Je déteste son idée, mais je participerai tout de même. Je suis une indienne, fière, mes ancêtres étaient des guerriers et je pense que je devais en être une également, dans une autre vie. Je me battrai à leur côté, même si je le ferai à contrecœur.
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Qui te dit que ça m’amuse toujours notre vie ? On baise, on s’embrasse, mais on se cogne tout autant. Magnifique vie de couple, non ? Je vais être très franche, Mike, je ne suis pas heureuse. Je subis ma vie seulement. Parce que rien ne m’appelle autre part. Voilà la vérité et ne me dis pas que tu m’aimes et que tout te plaît. Je sais très bien que tu t’envoies en l’air avec cette salope de Tonyia, la serveuse du pub. Notre couple est merdique, comme notre vie. Je ne veux pas finir en prison ou morte, pour toi, jamais de la vie. Ton plan, tu te le gardes.
— Comment tu sais pour Tonyia ?
— Connard, tout se sait ici, en plus tu n’es pas discret. Je ne suis jamais allée voir ailleurs perso. Remarque, ici personne ne m’intéresse, je les connais tous. Ils ne sont pas mieux que toi.
— Parce que tu te sens supérieure ? Ha c’est vrai, ta grand-mère n’arrête pas de répéter que tu es spéciale. Mais on ne sait pas pourquoi. Spéciale parce que tu as un caractère de merde peut-être. Tu es fatigante à toujours vouloir te battre contre moi ou me rabaisser. Spéciale, parce que tu es magnifique, ça oui. La plus belle brune aux yeux noir corbeau que je n’ai jamais connue. Un corps de rêve, mais un caractère qui vient tout foutre en l’air.
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Nous nous sommes peut-être mariés, mais aucun homme n’a de réel pouvoir sur moi. Aucun ne m’effraie et je ne serai jamais la petite femme bien sage, qui se laisse mener par le bout du nez.
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