Stéphane Carlier

Si je n'ai pas adhéré à Marie d'en haut, j'ai lu "grand amour" en deux jours même si ce n'est pas le roman d'amour du siècle. Très envie de savoir ce qui allait se passer, si elle allait l'avoir son rugbyman. Des scènes assez cultes dans le lot, j'ai pris un certain plaisir à le lire. J'aurais mis 3,5/45 mais y'a pas

145 pages de bonheur. Comment la kidnapping d'un porcelet poussé par le cri du coeur transforme la vie d'une psy au nom improbable et de son entourage et apporte autant de joie au lecteur.....

Un roman un peu décevant, à l'écriture laborieuse et manquant de finesse. Je pensais sourire mais je suis restée insensible à cet humour.

(lu 2013)

Deuxième lecture post gros coup de cœur très décevante , c'est sur désormais , j’attends avec impatience la prochaine qui me fera vibrer ou me faire peur, tiens je me laisser dans un thriller pour changer

A vrai dire j'ai vraiment rien compris au but recherché par l'auteur , je n'ai compris aucun des messages

Peut être étaient ils trop codés ou moi pas du tout réceptrice

je cherchais quelque chose de léger , déjanté et ce livre dans ma PAL qui l'y a mis ? aucune idée semblait pile poil ce qui fallait pour se sortir des derniers romans émotions qui m'avaient scotchés aux personnages et je souhaitait m'en défaire

Et pas envie pour l'instant de me coller au dernier qui me fait de l'oeil Avant toi de Jojo Moyes et qui semble être dans la même veine

Un roman anti dépresseur annoncait la page de couverture

Et bien vraiment, je pense qu'il en existe bien d'autres plus efficaces

je n'ai ri , ni même souri,

Quelques idées lancées sont bonnes, le traitement par les animaux , une réalité mais , j'ai trouvé , l'histoire assez confuse et incroyable, des personnages fades

Bref un roman qui se lit en une petite heure presque , mais auquel , je 'ai trouvé aucun intérêt si ce n'est ''avoir perdu mon temps

Très drôle, en fait qu'une bouchée!

Un petit livre très sympathique, qui donne le sourire !

Lecture facile et accessible c'est le moins que l'on puisse dire mais quel plaisir.

Obligé ce livre vous fera sourire!

Mon avis:" Le roman anti-dépresseur " voilà ce qui était annoncé sur le petit bandeau entourant ce livre, (désolée mais je l'ai perdu en vacances donc j'ai pas pu mettre la photo avec) et c'est ce qui m'a donné envie de prendre ce livre chez Cultura et de le commencer dans la foulée. En vacances sur la plage rien de mieux qu'une petite lecture légère pour passer un bon moment et ce tout petit cochon si mignon sur la couverture m'avait fait craquer également.



Du coté de l'histoire: Nicole, psychanalyste parisienne n'en peut plus de son couple qui n'en est plus un depuis pas mal de temps et de ses patients qui se plaignent constamment. Sur un coup de tête, elle décide de rendre visite à Élisabeth, une ancienne voisine qui habite désormais à la campagne. Partir pour se ressourcer, voilà l'idée de départ de Nicole. Avec son amie, elles décident d'aller marcher dans la campagne verdoyante, son hôte voulant absolument lui présenter une voisine, prénommée Raymonde. C'est ainsi que Nicole va faire la connaissance de Foufou, un joli porcelet de six semaines enfermé dans un endroit exigu pour être engraissé et terminer en saucisson et côtelettes. Émue par le sort de ce petit animal et par ses conditions de détention, Nicole fait un détour avant de rentrer à Paris et kidnappe le porcelet pour le ramener avec elle. Elle va s'en occuper avec amour et la présence de ce petit animal va enfin changer sa vie.



Du coté de l'écriture: Une écriture simplette, fluide et agréable malgré pas mal d'incohérences et une histoire un peu bâclée à mon avis . C' est bien dommage car l'écriture de l'auteur est vraiment sympathique et assez humoristique.



En conclusion: Ce roman (trop court) se lit vraiment très vite, pétillant et plein de fraîcheur, c'est le genre de lecture idéale pour passer un bon moment de détente. J'ai eu pas mal de fous rire au départ et un peu de sourires ensuite mais j'avoue que je m'attendais à quelque chose de vraiment plus déjanté que ce que je viens de lire. Je ne peux pas dire que j'ai été déçue par ce livre mais je sors de ma lecture avec un avis un peu mitigé car j'ai aimé ce petit roman et cette belle histoire mais il m'a manqué le brin de folie que j'attendais en lisant la quatrième de couverture et ce fameux bandeau annonçant le roman anti-dépresseur. L'histoire en elle même a été légèrement bâclée et certaines situations n'ont été malheureusement pas à la hauteur de ce qui était prévu et c'est dommage car le fond de l'histoire est en somme toute passionnante.

Une psychanalyste très parisienne et un petit cochon enfermé dans une cabane d'une ferme bourguignonne sont les deux héros atypiques de ce roman qui ne l'est pas moins !



Sur un coup de tête, Nicole "enlève" Foufou le porcelet aperçu dans son "cachot" pour le sauver.

Mais adapter la vie d'un cochon à un appartement parisien cossu relève du tour de force, ce qui n'est pas sans conséquences sur la vie personnelle et professionnelle de la psychanalyste. Son mari la quitte, certains de ses patients aussi (certains n'apprécient pas vraiment de se faire abandonner en pleine séance parce-que Foufou a besoin d'elle !)



Sans dévoiler l'ensemble de l'histoire qui nous emmène jusqu'en Californie, je voudrais simplement dire que ce roman est un petit bijou d'humour !

Il faut se laisser entraîner sans retenue dans les 160 pages de ce roman à la lecture duquel on rit souvent.

Tous les personnages sont attachants et finalement, au travers de cette fable (c'est un peu comme ça que j'ai vu cette histoire), ils se révèlent à eux-mêmes, envisageant des vies bien différentes de ce qu'ils imaginaient au début, chacun dans leur petite "case"

L'épilogue est lui aussi très savoureux... jusqu'à la dernière ligne !



J'ai beaucoup aimé !

Ce livre est tellement chouette. Une vrai bouffée d'air frais. C'est drôle c'est fin. Et on ne peut pas s'empêcher de décocher des sourires. Les gens sont les gens, ça on ne peut que l'affirmer et Nicole Ravadavia c'est Nicole Ravadavia et impossible d'en trouver une deuxième comme elle : pour lutter contre la dépression rien de mieux qu'un bon petit cochon.

Un roman décalé, où nous aussi à la fin on kidnapperait bien Foufou et ses talents thérapeutiques pour l'emmener à la maison.

Une petite merveille !, 29 juillet 2014







Par



Erika



















Ce commentaire fait référence à cette édition : Les gens sont les gens (Poche)



Quel bonheur de suivre Stéphane Carlier, et son personnage Nicole, dans des péripéties drôles, tendres et hors des sentiers battus !

L'écriture de l'auteur est extrêmement agréable, ses personnages profonds, sensibles et terriblement ancrés dans leur époque où la quête de sens et de liberté sont les points d'orgue de toute vie réussie. Ce récit est certes court mais tout est dit et avec une grande finesse et beaucoup d'humour.



Enfin un roman optimiste et qui donne une place tant méritée à nos amis les animaux qui, pourvoyeurs de bonheur, nous donnent à réfléchir et à sourire !



je conseille vivement ce livre à tous pour un très joli moment de détente.

Une psychanalyste d'une cinquantaine d'années traverse une période de crise dans son couple, dans son travail, etc. Pour prendre l'air, elle décide de passer une journée à la campagne et rend visite à une vieille connaissance où elle se retrouve nez à nez avec un cochon, qu'elle va finir par adopter. La cohabitation va être parfois difficile, sous plusieurs aspects, mais va aussi donner un nouveau sens à sa vie, car, paraît-il, les cochons ont des vertus thérapeutiques pour l'homme.

C'est une jolie histoire grâce à l'amitié qui se développe entre une femme et un cochon. Certaines scènes sont aussi très drôles. Mais on se réjouit que le livre ne soit pas plus long (il ne fait que 130 pages environ, et ça se lit très vite), et certaines choses vers la fin arrivent un peu comme un cheveu sur la soupe, et on n'y croit pas du tout. Une impression mitigée.

Pas de la grande littérature mais le moment reste agréable.

idéal entre deux pavés!

Après être arrivée à la fin du livre, je suis déçue de la tournure de l'histoire. L'auteur aurait pu exploiter beaucoup plus ce lien "humain" entre Nicole et ce petit cochon qu'elle a sauvé.. Au lieu de cela, la voilà sur la fin séparée de ce petit compagnon de route... qui est sensé, certes, faire du bien à une autre femme qui en a besoin.. mais disons que le 3ème tiers du livre me semble bien bâclé... dommage.... le début était si prometteur, si touchant parfois, et aussi si humoristique... J'ai beaucoup aimé cette citation "C'était loin d'être une intellectuelle. On lui disait "Homère" et elle pensait "Simpson". "

Nicole est une psychanalyste qui est au bout du rouleau. Elle s'endort lors des consultations avec ses patients, une distance s'est installé avec son mari Jean-Pierre... Elle va décider un jour d'aller voir une ancienne voisine/amie à la campagne pour s’aérer, se changer les idées. Elle va y faire une rencontre qui va bouleverser sa vie. Elle rencontre Foufou, un porcelet qu'elle va kidnapper afin de le sauver. Mais qui finalement va sauver l'autre? Il est marqué "Plus qu'un roman, un antidépresseur". Ne vous attendez pas à avoir la solution à vos problèmes si vous vous trouvez dans l'état de Nicole, à moins que vous voulez essayer la thérapie porcine! Il vous permet seulement de passer 2h agréables, si vous arrivez à vous laissez porter par l'histoire. Imaginez des amis invités à manger chez vous. Ils commencent sans vous car vous êtes en retard. Au moment du dessert, vous faites enfin votre apparition mais couverte de boue et avec un porcelet qui va courir dans le salon de votre appartement parisien et poursuivre votre chat. C'est ça tout au long du livre, des scènes surréalistes et "drôles". Beaucoup de légèreté, il ne vaut rien en attendre d'autre

La bandeau a raison c'est bien un roman anti-dépresseur. Maintenant il a aussi sa faiblesse: c'est un roman gentil mais pas une écriture et une histoire incroyable. Mais bon, il ne faut pas toujours chercher dans un roman même humoristique un style de fou. La simplicité a parfois du bon et ce roman est un vrai plaisir de lecture.



Alors vais-je craquer pour un petit cochon pour me rendre le sourire quand je vais mal...Je ne suis pas sûr que le compagnon adhère. En tout cas, il est clair que vous finirez ce livre avec un grand sourire. Vous serez un petit cochon joyeux, pas de doute!

Un livre qui se lit agréablement, avec des références culturelles qui mêlent sans complexe psychanalyste de renom et chanteuse de variété. Un moment de détente.
Lien : http://stendhal-syndrome.fr/..

L'auteur nous plonge dans son court roman de 160 pages au sein du quotidien morose d'une psychanalyste parisienne, Nicole Rivadavia. Voulant s'échapper de son train de vie ennuyeux le temps d'un week-end, elle décide de rentre visite à son ancienne voisine qui a déménagé à la campagne. Là-bas, elle fait la rencontre étonnante d'un cochon, foufou. Elle se résout alors à le ramener avec elle dans la capitale. Sera-t-il la solution d'un bonheur à portée de main?



***

Notre protagoniste principal de 57 ans est une psychanalyste spécialisée dans les troubles psychosomatiques et elle en a marre de son boulot : "elle était lasse, crevée, exténuée de ce métier" (page 16). En plus de ses problèmes liés à son travail, son couple est à l'agonie. Nicole ne supporte plus son mari Jean-pierre avec qui elle ne fait pratiquement plus rien. Enfin, son soudain attachement à un porcelet peut sembler un acte irrationnel, mais signe une belle rencontre vitale que ce soit pour l'un comme pour l'autre.



Si le manque de profondeur psychologique des personnages est un point faible du roman, a contrario, un point fort de ce roman composé en trois parties, est l'écriture de Stéphane Carlier. Celle-ci est légère, fluide et délicate.

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En conclusion, Les gens sont les gens est une lecture plaisante, mais qui aurait pu gagner en profondeur si certains aspects avaient été plus développé car l'intrigue principale proposée est originale. Il peut être qualifié de roman "éphémère", c'est-à-dire, un roman divertissant qu'il fait passer un bon moment de lecture sur le coup, mais qui ne restera pas gravé dans ma mémoire. Enfin, le petit plus de ce livre est sa charmante couverture que je trouve très rafraîchissante et en total adéquation avec le roman!
Lien : http://metamorphoselivresque..

Imaginez ce que peut provoquer l'irruption d'un porcelet dans un appart appart parisien meublé façon bobo… Ah oui tant vous y êtes essayer d’imaginer la cohabitation entre un porcelet et un chat ; le premier contact est hilarant.



Le bouquin se lit tout seul, pétillant, plein de fraîcheur c’est le genre de lecture idéale pour passer un bon moment sans se triturer les méninges. Beaucoup de sourires, quelques rires mais j’avoue que je m’attendais à quelque chose de plus déjanté ; toutefois je ne peux pas dire que j’ai été déçu, je sors de cette lecture avec un sourire béat aux lèvres. Merci Monsieur Carlier !
Lien : http://amnezik666.wordpress...

Après Actrice et Grand amour, Stéphane Carlier signe Les Gens sont les Gens, une comédie tonique et attachante qui, par-delà sa drôlerie, est aussi l'histoire d'une femme qui se réinvente. Plus qu'un roman, un antidépresseur !



Soyons francs, le roman de Stéphane Carlier ne sera jamais un Prix Goncourt. Sa farce grand-guignolesque ne m'a ni convaincue, ni même fait rire. La rencontre improbable de Nicole, psychanalyste au bout du rouleau et de Foufou, un mignon porcelet de six semaines qu'elle sauve de la captivité et de l'engraissement, m'a plutôt laissée... dubitative !



Pourtant, on peut trouver matière à rire (ou sourire) dans le fait d'élever un cochon dans un appartement ! Le sujet a d'ailleurs quelque chose d'inexplicablement irrésistible : une psychanalyste réputée qui soigne sa crise de la cinquantaine à coup de zoothérapie, il fallait oser ! Stéphane Carlier l'a fait... Sauf que sur 160 pages, son histoire est malheureusement tirée par les poils ! Pis encore, l'auteur s'égare complètement dans le dernier tiers du roman, comme s'il avait manqué d'inspiration pour imaginer la chute des tribulations de son intello coincée et de son cochon...



Bref, je suis restée insensible à son humour. Je m'attendais à une petite comédie au charme fou(fou), je referme mon livre avec le sentiment d'avoir été prise pour un jambon ! Enfin, je me console en me disant que Foufou ne finira pas en sandwich...



Preuve que dans le cochon, tout n'est pas toujours bon...
Lien : http://histoiredusoir.canalb..