Un vrai retour en enfance avec cette BD qui nous révèle l'origine de Monsieur Choc l'ennemi du duo Tif et Tondu ...
C'est bougrement agréable et donc recommandable
Commenter  J’apprécie         30
Ce tome 5 est mon préféré de la série. C'est aussi le plus sombre et le plus inquiétant. Quand j'étais enfant l'histoire m'impressionnait. On suit toujours l'aventure de Billy et M'sieur Hubert qui font face à leur plus grand ennemi: Sanctifer le chat borgne.
J'ajoute que je trouve la couverture de ce tome très belle! Je me réjouis toujours de relire cette série.
Commenter  J’apprécie         30
Billy the cat est une bande dessinée jeunesse mais qui est pourtant très sombre et même assez glauque par moment !
J'adore ce premier tome qui nous montre comment un petit garçon se retrouve transformé en chaton à la suite d'un accident de voiture. On va voir comment il va se débrouiller parmi un monde sans pitié pour les animaux de la rue.
Les dessins ont un peu vieilli mais je les trouve toujours aussi mignons avec une personnalité propre à cette série.
Ce tome est donc une mise en abyme d'une série de bandes dessinée que j'adore (mais ne lisez pas au delà du tome 6, après ça devient vraiment pas terrible).
Commenter  J’apprécie         30
Oui et en même temps non: il m'a manqué quelques pages, arrachées par un lecteur précédent, pour bien comprendre l'histoire. De plus, graphismes et contrastes de couleurs très veine spirou et gaston,... donc plutôt commercial et pas super original, mais bon ça date un peu déjà et donc pour l'époque, on va dire que c'était bien?.. (!)
Commenter  J’apprécie         30
Bande dessinée tirée du film d'Alain Chabat, Sur la piste du Marsupilami met en scène une nouvelle fois le marsupilami (créé par Franquin et à présent dessiné par Batem et Colman)animal rare vivant en "Palombie", jaune ocellé de noir, dont la queue préhensile sert à tout faire.
"Houba Hop!! Houba...Hou! Hou! Hou!"
Le scénario de Colman met en scène plusieurs personnages qui vont croiser sa route: Dan Gerardo reporter de la célèbre émission V8 qui doit enquêter sur le "secret de longévité" de la mystérieuse tribu des "Payas" sous peine de se faire virer de la chaine. Le professeur Hermoso, éminent botaniste et son assistante Pétunia qui découvrent dans la jungle une orchidée "le graal de tout botaniste". Le guide de Dan Geraldo, Chiquito, un menteur et arnaqueur de première, criblé de dettes qui a rencontré ce phénomène dans sa jeunesse.
Beaucoup d'humour bien sûr à la Chabat ("Crambita!") :Chiquito qui fait le bouche à bouche au perroquet Kiki, l'accueil musclé du reporter qui arrive menotté chez le général Pochero ("dictateur élu à 99/ des voix) dont "les gardes à vue durent 10 mois", la tribu Paya et sa grande prêtresse qui les emberlificote "Vous êtes les élus de la prophétie"....
Quelques petits clins d'oeil aux chaines qui virent en cas de baisse d'audimat.
Une touche tendresse avec la famille de marsupilamis à peine éclos de l'oeuf.
Et pleins de rebondissements (au propre et au figuré "Bong!") et dangers entre arrestations, révolution,éruption volcanique,enlèvement...
J'ai beaucoup aimé les dessins très vivants (les arbres de la jungle semblent personnifiés) et couleurs (le mauve et le vert de la jungle très réussies).
Commenter  J’apprécie         30
Batem (pseud. de Luc Collin, né en 1960, dessin), Colman (pseud. de Stéphane Colman, né en 1961, scénario), Cerise (studio Cerise, Cynthia Englebert et Gianluca Carboni, couleurs) – "Marsupilami 20 : Viva Palombia" – d'après un personnage créé par Franquin – éditions Marsu-productions, 2007 (ISBN 978-2-35426-005-7) – format 30x22cm, 46p.
Le sympathique Marsupilami fut créé vers 1987 par Franquin (1924-1997), qui céda rapidement ses droits à Batem, lequel poursuivit la série après le décès de Franquin, en s'associant avec Stéphane Colman à partir de 2006. Vint ensuite un imbroglio juridico-éditorial, se terminant en 2014 par le retour du Marsupilami dans le giron des éditions Dupuis.
Le présent album redonne une large place au monde animal (fantaisiste, et tellement "humain" qu'il est doté de la parole) avec la famille marsupilami comme épicentre, s'ébattant joyeusement dans la forêt amazonienne.
Cette nature exubérante est perturbée par la survenue des humanoïdes bipèdes. Lesquels se répartissent ici en deux catégories : les "blancs" d'origine européenne (capitaine, explorateur, chasseur) d'un côté, et de l'autre les indigènes , "los indios", sensés être restés "proches de la mère nature" et des mythes originels.
Ce vingtième volume de la série fut publié en 2007 : il fera fort probablement l'objet d'une fatwa fatale de la part des bobos-féministes à la mode Sandrine Rousseau and Co, ainsi que des ligues de défense des "minorités visibles" traquant le racisme néo-colonialiste sous toutes ses formes les plus insidieuses.
Mais le monstre Mapinguari est si gentil... et l'origine mythologique des marsupilami est si joliment contée...
Commenter  J’apprécie         20
Le personnage de Choc n’est pas un inconnu pour les bédéphiles de longue date. Apparu pour la première fois en 1955 dans les pages du Journal de Spirou, ce redoutable chevalier du crime qui dissimule son visage derrière un heaume est en effet le plus grand adversaire du célèbre duo Tif et Tondu. Ce mystérieux personnage créé par Will (Willy Maltaite) et Maurice Rosy a donc droit à un spin-off scénarisé par Stephan Colman et dessiné par Eric Maltaite, qui n’est autre que le fils du regretté Will.
Cette mini-série, qui a pour but de révéler les origines du chef de l’organisation criminelle « la main blanche », débute au manoir de Knightgrave en compagnie d’un Choc qui se remémore certains passages de son enfance, dont ce mot « revanche » qu’il avait jadis gravé et qui est toujours bien visible. C’est le début d’un habile jeu d’allers-retours, qui va permettre de découvrir le parcours difficile du personnage et l’origine de sa haine. De sa mère, devenue pâtissière pour le conte d’Essex dans ce château de Knightgrave, à ce petit globe orné de pierres précieuses, qui lui a valut bien des ennuis, en passant par ce soldat anglais manchot, alcoolique et violent, dont sa mère était devenue éperdument amoureuse durant la Première Guerre mondiale, Stephan Colman dresse un parcours rempli de malheurs et d’injustices et dévoile progressivement la psychologie d’un personnage finalement assez attachant malgré de nombreux actes répréhensibles.
Si le récit s’avère très riche et que les nombreux flash-backs peuvent initialement déstabiliser le lecteur, tout finit par s’emboîter avec maestria. Le ton assez adulte de cette histoire finalement très sombre et violente pourra également surprendre les lecteurs de Tif et Tondu. Mais, au final, ce premier volet s’avère être une véritable réussite, notamment grâce au dessin parfaitement maîtrisé d’Eric Maltaite, qui accompagne avec brio ce scénario riche en surprises et en sauts temporel.
Vivement la suite !
Commenter  J’apprécie         20
Pour une fois et ce n'est banal, j'ai trouvé que le cycle s'est bonifié avec les tomes et c'est donc tout naturellement que le troisième est, à mes yeux, le meilleur.
Histoire et dessin se mélangent agréablement pour nous laisser orphelins de cette belle histoire.
Le petit plus que je n'avais pas encore évoqué dans mes critiques précédentes, ce sont les délicates touches de fantastique qui enrichissent le propos...
Un bon cru et un cycle qui compte....
Et n'oublions pas Suzy....
Commenter  J’apprécie         20
J'ai bien aimé quand le marsupilami et le garçon jouent ensemble et quand il y a le monstre.
Commenter  J’apprécie         20
Batem, pour le 30éme album voulait en faire quelque chose de spécial, spécial c'est le cas par contre pour moi c'est un album raté. L'histoire est vraiment insipide, il y a rien c'est vide. Donc on a deux histoires en parallèles, d'un côté une réunion de plusieurs espèces de marsupilami que l'on voit se balader pendant tout l'album sans rien de spécial à part leur tête et de l'autre un duel entre les chahutas et une autre tribu sans intérêt avec un nombre de jeux de mots incalculables. On a aussi droit à un passage de Bring qui n'a rien avoir dans l'histoire. Après un trou, les aventures du marsupilami avaient retrouvé un bon niveau mais ici je suis vraiment déçu, en espérant que ce soit une petite erreur de parcours qui peut arriver dans toute les séries.
Commenter  J’apprécie         20
Après un premier tome de très haute qualité (cf. mon appréciation sur celui-ci) et qui a été hautement et légitimement primé, ce deuxième tome m'a déçu.
Certes la barre était placée très haut.
Le dessin est curieusement devenu trop riche.
Si l'histoire yoyote à l'instar du volume 1, il n'en demeure pas moins qu'elle est plus difficile à suivre, il y a presque des longueur. Peut-être étais-je mal luné ?
Toutefois, j'attends avec intérêt le dernier volet de l'histoire.
Gageons qu'elle retrouvera l'exceptionnalité du début du triptyque.
Commenter  J’apprécie         20
On découvre comment un petit garçon pas très sage suite à u accident se retrouve en petit chat. Si les aventures de Billy the cat sont parfois simple le "chat" est tellement mignon qu'on craque à chaque image.
On apprend aussi tout ce qui a construit à la construction des albums et surtout au travail immense que chaque planche représente. Voir la page 38 qui illustre le travail du dessinateur par une suite d'expressions de "Billy the cat".
A lire pour les grands et les petits.
Commenter  J’apprécie         20
Un scénario très réussi, dans lequel le marsupilami et ses enfants, accompagnés du petit Hector, trouvent l'épave d'un galion espagnol, la Santa Calamidad, et se trouvent projetés des centaines d'années en arrière... Toujours beaucoup d'humour, avec des noms de personnages réussis : Tèras'Hantèc, Pahdipotèc, Ptih'bonbèc, Tupuhdubèc...
Commenter  J’apprécie         20
Cette BD ne raconte pas une histoire longue mais plusieurs,de plusieurs planches chacunes.
On y retrouve plusieurs amis de Billy et bien sur,ce dernier.
Il y a en tout 6 histoires dans ce tome 7.
Un très beau livre pour tout les amoureux des chats ou des fans de bande dessinée.
Commenter  J’apprécie         20
un peu comme un enfant qu'on met au régime forcé sans lui expliqué pourquoi. Saucisse fait des pieds et des pattes pour obtenir toujours plus de nourriture.
S'il y a des personnages nouveaux attachants, l'histoire se traine tout le long, j'étais heureuse d'arriver à la fin du livre
Commenter  J’apprécie         20
Mais c'est pas possible: les relations de ces deux "enfants" sont d'un mièvre; Billy adore sa sœur en tout, petite sœur qui m'a tout l'air d'être d'un bièce?!! Heureusement qu'ils ont encore la télé pour ne pas être immédiatement d'accord et pouvoir négocier!.. (très belle couverture, cela dit, mais assez peu représentative de l’atmosphère du livre.)
Commenter  J’apprécie         20
Passages quand même impressionnants, ce qui m'avait certainement échappé lors de la lecture du premier tome avec le même personnage puisque le livre avait été censuré par un lecteur précédent de la bibliothèque!..
Commenter  J’apprécie         20
Le tome 26 de la série du Marsupilami, "Santa Calamidad, nous plonge en Palombie, en compagnie du Marsupilami, de ses petits et de Hector, qui vit dans la forêt avec sa tante Diane, scientifique.
Ils se retrouvent projetés au XVIe siècle, en pleine époque de la lutte entre les conqustadors espagnols et les Indiens Payas. Comment Hector et le Marsupilami reviendront-ils au XXIe siècle?
Le graphisme de cette BD respecte bien l'univers de Franquin, créateur du Marsu. L'histoire est plaisante, les dialogues (et surtout le nom des personnages) truffés de jeux de mots. Seul petit bémol: j'aurais aimé une plus grand présence et importance au Marsupilami dans cette histoire...
Mais sinon, faut-il lire "Santa Calamidad"? Houba houba oui! :-)
Commenter  J’apprécie         20