Stéphane Colman

Après un premier épisode somptueux, récompensé par la critique, le second volet de ce triptyque consacré à la genèse de Monsieur Choc est tout aussi remarquable.
Lien : http://bdzoom.com/99128/bd-d..

Un scénario très solide, dense, mêlant adroitement les différentes époques : le présent et la vengeance implacable de Choc, ce mystérieux grand méchant qui se cache derrière un heaume, et son passé douloureux.

Le dessin est également impeccable.

Je me suis laissé volontiers embarquer dans ce récit. Le personnage de Choc serait presque sympathique tant il a vécu de terribles événements dans son enfance s'il ne sacrifiait aussi d'innocentes victimes pour assouvir sa vengeance. Sans doute le côté mélodrame est-il un peu trop poussé à mon goût, mais hormis cette remarque, c'est du tout bon.

Une partie de chasse assez classique pour ce nouvel album. Colman nous a mis en place des situations cocasses à foison (certaines sont amusantes d’autres non) où les différents protagonistes vont avoir à faire preuve de sang-froid, d’ingéniosité et d’une bonne dose d’humour pour faire avancer l’histoire.
Lien : http://www.bdencre.com/2014/..

Roaarrr Challenge (http://chezmo.wordpress.com/2011/08/24/roaarrr-challenge/)

Dans la peau d'un chat a reçu en 1991 le Fauve Prix jeunesse (Alph-art enfant& jeunesse) et c'est la première bande dessinée que je (re)lis depuis plusieurs mois, et je le fais dans le cadre du challenge. Mes souvenirs de bd comportaient la plupart des bulles de dialogues ou à tout le moins une courte description et je fus un peu déstabilisée par le fait que certains des premiers dessins ne comportent ni un, ni l'autre. Il y a certains chats dont on a de la difficulté à faire la différence dans les graphismes, car ils se ressemblent trop fortement. L'histoire n'est pas si palpitante que cela pour un premier tome, mais, puisque c'est une BD, se lit très rapidement. J'aurais aimé un plus grand coup d'éclat à la fin de ce tome pour me donner une meilleure envie de lire les suivantes.

Un scénario un peu léger pour une fois... mais cet album ravira les jeunes... et cette fois, il n'est pas question que d'écologie, puisque l'on fleurte un peu avec l'évolution... matière incontournable pour faire une autre matière l'écologie... et qui devient de plus en plus nécessaire pour notre médecine moderne dans l'étude de l'histoire des maladies... une infirmière m'a dit que l'histoire ne servait à rien.. pathétique quand on sait que c'était quelques années avant le CORONAVIRUS qui a permit que le public soit informé que depuis des années, l'étude de l'évolution des virus et des bactéries modernes... rime de plus en plus avec l'étude depuis la préhistoire à nos jours des épidémies... et pas seulement par l'observation des boites de pétris! Alors oui, même si le scénario fait un peu défaut, on prend quand même plaisir à lire car l'humour habituel sur les dialogues des Chahutas, qui essaient de ne pas se faire prendre leur terre via un défis par les Kouyonés... et l'humour par l'image tout deux sont bien là...

Un album très animiste, puisque Marsu rencontre ses proches cousins pour une étrange cérémonie... sujet à la mode depuis longtemps... parfois pour e meilleur et parfois pour le pire... l'instruction est hélas ce que l'on fait... bref un album en demi-teinte... mais pas sans quelques intérêts pour le jeune publique...

Tout commence avec l'enlèvement de Mme Marsupilamie et des enfants.... Mais heureusement, des indiens animistes de la forêt palombienne vénérant l'animal vont l'aider, surtout que l'un d'entre eux a tout vue....

Des indiens aux drôle de non, une femme qui veux sont zoo, des cultures qui risquent de perturbé l'écosystème du coin, comme d'habitude nous avons ici, encore de grands sujets proches de l'écologie.... nous retrouvons un peu le style des huit premières B.D. je n'en avais pas lu depuis... mais l'humour, un peu dans le même style, dans les noms des personnages, dans l'image, même si on est beaucoup moins porté sur les dangers de l'enfer vert, l'humour reste quand même de même nature... accessible aux jeunes, mêmes s'il y a un drôle d'animal assez intello, un toucan... et la méchante de l'histoire est une femme avec un défaut bien féminin : protéger les animaux d'eux-- même quoiqu'il en coute, c' est assez bien vue.... Un album, qui donc en Ecologie ne se veux pas féministe.... car l'écologie n'est bien comprise que des écologues... les vrais scientifiques de l'écologie, et c'est vrai, les femmes qui n'ont pas étudier cette sciences ont de drôles d'idées sur le sujet un peu simplistes trop souvent, et je suis une femme autant qu'une biologiste... alors je peux me permettre de le dire.... c'est drôle simple et pertinent, très accessible... que demander de plus à une B.D. ?

C'est un bon album des aventures du marsupilami ! La petite famille de notre héros jaune à pois noirs se retrouve emprisonnées dans un zoo. Les auteurs exploitent bien els débats de société actuels avec notamment cette femme, directrice de la dite structure qui sous prétexte de créer une zone naturelle protégée se dédouane de ses autres activités qui consistent à exploiter un milieu qu'elle dégrade.

Que nos jeunes lecteurs se rassurent : l'histoire est traitée avec la légèreté et l'humour habituel. J'ai beaucoup aimé le personnage du sorcier qui a toujours sur lui les "bonnes herbes" à brûler et le hasard fait que ça marche !

Si vous avez gardé votre âme de jeunesse et votre fraîcheur d'esprit, vous ne pourrez qu'être séduits par ce petit bijou de la collection « Marsupilami », qu'il vous faudra derechef proposer à vos enfants, neveux et nièces ou petits voisins...



Dans sa quête de la flore et la faune sauvage palombienne, le fameux Omer Houston qui a conquis l'amitié de la famille Marsupilami, ce qui n'est pas rien, est la victime rêvée et consentante des petits qui rivalisent de facéties. Lorsqu'il vient à croiser un des membres de la tribu des Chahutas qui lui raconte qu'un Red Monster s'attaque à la forêt, son sang ne fait qu'un tour et avec le soutien de toute la tribu, il se lance à la recherche de cette chose dont il ignore l'aspect pour essayer de la neutraliser. Or ses petits amis jaunes et noirs veulent l'accompagner à son insu, bien mauvaise idée en vérité...

À partir d'un scénario tout en simplicité, Batem & Colman, les auteurs qui ont repris le personnage créé par Franquin il y a quasiment 70 ans, nous proposent une belle histoire qui s'apparenterait à une fable si le sujet n'était pas si grave et d'actualité. La déforestation sauvage de l'Amazonie pour des profits exorbitants au détriment de ses habitants et de la planète. Loin de la BD gnangnan qu'elle pourrait représenter, c'est une véritable “leçon de choses” comme on disait dans mon enfance (maintenant SVT), avec un vocabulaire adapté et de solides connaissances scientifiques. Les jeunes lecteurs y apprendront de nombreuses informations et sortiront de cette lecture à la fois réjouis et sans doute davantage sensibilisés à la protection de la nature. Leurs parents ne seront pas en reste, eux qui “capteront” les calembours très fins des noms des personnages, et des gags incontournables propres à l'essence même du Marsupilami et de l'esprit de Franquin.

Un album frais et attendrissant quel que soit l'âge de ses lecteurs.

Franchement, cette histoire de voyage dans le temps est bien trouvée et bien menée. Elle nous permet de revenir au temps des conquistadores et des Aztèques, enfin des Zygomatèques pour ce qui est de l'univers du marsu. L'humour est bien présente te le graphisme impeccable.

Un excellent moment de lecture. Mon fils de 9 ans a doré également.

Remplie de stéréotypes, cette bande dessinée bêbête est un pur moment d'inintelligence. A ne surtout pas lire !

je les lu d'en des magazines. Ce livre plein d'action remonte le temps pour voir choc enfant.

Celui de la série, lu comme les autres à mon fils de 5 ans, que j'ai trouvé le plus décevant, cet ours de cirque qui parle à l'envers et souhaite découvrir la vie dans la montagne ne tient pas la route.

Retour dans les années trente de la prohibition et de la grande dépression : en quelques semaines j'ai oublié beaucoup de détails des deux premiers tomes, mais pas l'essentiel.

Et j'ai beaucoup aimé ce cours sur l'histoire de la Musique à Memphis. Le fin de l'histoire n'était pas évidente, et peut-être un peu trop positive à mon goût.

Et je trouve les dessins extraordinaires, la couverture est un régal pour les yeux

J ai été enthousiasmé je l avoue par la reprise du personnage de Will Rost et Tillieux .Les histoires plus matures ,plus cyniques , Choc plus dur sadique presque en tous cas impitoyable , plus désespéré aussi que dans les récits de ma jeunesse .Et puis patatras le dernier opus est convenu, larmoyant par trop prévisible tout se dissous dans la guimauve malgrés une dernière tentative

de rebondissement Africain

J'avais été déçu de l'album précédent la Palombie sercète. Celui ci est de meilleure qualité du point de vue scénaristique. Le graphisme quant à lui reste de très bonne qualité. J'ai bien aimé ce personnage de chinois malchanceux à qui il en arrive des vertes et des pas mûres et les tentatives de communication avec les indiens Chahutas qui sont assez savoureuses. Dans cet album, le conflit avec l'autre tribu amazonienne qui m'avait laissé sur ma faim dans le précédent trouve une issue. Finalement, j'ai beaucoup souri à la lecture, mais comme le dit mon fils : ce n'est pas le meilleur.

Mon fils de 8 ans, qui a lu l'album avant moi m'avait dit : tu verras, ce n'est pas le meilleur. Cela manque d'action et il n'y a pas vraiment d'histoire. Il avait complètement raison. Le dessin et la mise en couleur restent agréables, avec notamment la découverte me concernant de nouvelles espèces de marsu. J'ai beaucoup aimé ceux des montagnes qui paraissent gras et qui une fois mouillés sont maigres comme des clous; On découvre un peu mieux la Palombie, pays imaginaire croisement de Mexique et de Pérou. Le scénario est particulièrement insipide par contre. dommage...!

Dans ce deuxième volet, Choc continue à se venger de ceux qui lui ont fait du mal pendant sa jeunesse.



Une partie de l'histoire se passe en 1934 et est consacrée à ses jeunes années.



Un dessin toujours aussi superbe.

Ce tome est une suite logique du premier tome, avec sensiblement la même intrigue, qui tourne autour du personnage "Choc". On y découvre une grande partie de son enfance et de l'histoire qui l'a amené à ce qu'il est aujourd'hui.

Je regrette juste l'usage un peu excessif des flash-back ...on peut s'y perdre les soirs de fin de semaine ou la fatigue nous envahit !

Ce premier tome est une suite de flashbacks qui nous permettent de découvrir l'enfance de M. Choc.

Il va en découler une longue vengeance, et dans un premier temps le rachat du château qui a été à la source d'une partie de ses malheurs.

Non non laissons les personnages du classique au classique au lieu de chercher à produire des scénarios plats!