Stephen R. Covey

Ce n'est pas ce qui nous arrive,mais la façon dont nous y répondons ,qui fait mal. Bien sûr,nous éprouvons parfois de la douleur physique,du chagrin,nous rencontrons des difficultés financières. Mais notre caractère, la base de notre identité, ne s'en trouve pas meurt. Nos expériences les plus pénibles forment le creuset dans lequel se coule notre caractère et se développe notre pouvoir intérieur, notre liberté de gérer ces difficultés à l'avenir et d'inciter notre entourage à agir ainsi.

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Mais,tant qu'un individu n'a pas eu la force de se dire Honnêtement qu'il est aujourd'hui ce qu'il est à cause des choix qu'il a fait hier ,et tant qu'il ne s'en persuade pas profondément, alors il se trouve dans l'incapacité de choisir autre choses.

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Eléonore Roosevelt faisait remarquer à juste titre que personne ne peut nous blesser sans notre consentement ,ou comme disait en d'autres termes Gandhi:"ils ne peuvent pas nous enlever notre dignité si nous ne la leur cédons pas". C'est notre consentement, notre volonté d'autoriser qu'il nous arrive,ce qu'il nous arrive, qui nous blesse en premier lieu.

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Nous ne sommes pas nos sentiments. Nous ne sommes pas nos humeurs. Nous ne sommes même pas nos pensées.

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Le plan A n’a pas fonctionné.
=> Heureusement, il y a encore 25 autres lettres dans l’alphabet.

Un pilote dispose d’une série d’instruments qui lui permettent de vérifier son cours. De plus, des voyants et des alarmes lui indiquent immédiatement s’il s’écarte de la trajectoire prévue, sans oublier la tour de contrôle et les contrôleurs aériens qui signalent au pilote que l’avion n’est plus sur la bonne voie. Dans la vraie vie, ce n’est pas aussi simple.

C'est pour cela que vous vous sentez affreusement coupable lorsque vous commettez une erreur. Vous vous « souvenez » des scénarios émotionnels, de votre enfance, lorsque vous étiez vulnérable, sensible et dépendant. Vous vous « rappelez » les punitions lorsque vous vous conduisiez mal, le rejet, les comparaisons avec les autres !

Pour finir sur une note personnelle, je vous ferai part d'une question que je pose régulièrement pendant mes cours : qui, sur son lit de mort, regretterait de ne pas avoir passé plus de temps au bureau - ou devant le petit écran ? Personne. Dans ces moments- là, on ne songe qu'aux êtres chers, à ceux auxquels on a voué son existence.

La clé du bonheur consiste à vivre hors de soi-même -à travailler avec d'autres personnes-, animé par une vision ou une mission commune afin d apporter sa contribution.
Une jeune mère se souvient que sa grand-mère lui disait toujours: «La journée a été difficile. Allons trouver quelqu'un à aider. »

Les êtres comptent plus que les objets. Ce qui compte, dans notre vie, ce n'est pas ce que nous avons mais qui nous avons.

L'herbe est rarement plus verte ailleurs : peut-être suffit-il d'arroser celle que nous foulons.

La vie est une mission, non une carrière.

𝐷𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑜𝑠𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑜𝑠𝑒𝑠.

La synergie est un travail d'équipe. C'est une manière de tabler sur les différences et la solidarité. C'est être ouvert d'esprit et coopérer pour produire davantage que vous ne pourriez le faire seul. Il n'y a pas de synergie dans votre relation si vous travaillez en toute indépendance ou que vous pensez avoir toujours raison.

L'intention de celui qui écoute est plus importante que ses compétences.

La communication est essentielle pour comprendre les sentiments des autres, car vous ne pensez pas, ne voyez pas ou ne vivez pas le monde de la même façon que votre partenaire. Vous êtes invité(e) à vous dire : "Je veux te comprendre, je dois donc écouter d'abord puis parler après, afin de voir comment tu regardes les choses. Et je veux aussi que tu comprennes ma manière de voir les choses. Je veux simplement que nous partagions nos sentiments."

Partenaire à part entière signifie qu'aucun des deux ne doit dominer l'autre.

Lorsque vous commencez à penser gagnant-gagnant et cessez de penser gagnant-perdant, que supposez-vous qu'il arrive à votre relation ? La culture tout entière de votre relation change. Vous commencez à vous demander "qu'est-ce qui est le mieux pour nous ?" et pas simplement ce qui est le mieux pour moi.

Les relations sont comme un compte bancaire, un compte bancaire émotionnel.Chaque jour, vous effectuez des dépôts émotionnels ou des retraits émotionnels du compte bancaire émotionnel de votre partenaire.
(...)
Réfléchissez maintenant à votre relation. Faites-vous régulièrement des dépôts sur le compte bancaire de votre partenaire ou bien effectuez-vous toujours des retraits ? Vos paroles et vos actions donnent-elles ou enlèvent-elles quelque chose à votre relation de confiance ?

Lorsque les couples pensent gagnant-gagnant, ils disent : "Je veux ce qui est le mieux pour toi et je veux ce qui est le mieux pour moi". Rappelez-vous, dans le couple, une perte pour l'un ou l'autre est une perte pour la relation.