Citations de Stephenie Meyer (1302)
- Je crois que je n'ai même plus la force d'etre loin de toi ne serait-ce que l'espace d'un instant.
- Alors reste.
J'étais à peu près certaine de trois choses:
Un, Edward était un vampire;
deux, une part de lui dont j'ignorais la puissance désirait s’abreuver de mon sang;
et trois, j'étais follement et irrévocablement amoureuse de lui.
/!\ ATTENTION /!\ SPOILER /!\
Tout ce qui me constituait de délita pendant que je fixais le visage de porcelaine du bébé mi-vampire, mi-humain. Tous les fils qui me retenaient à la vie furent vivement tranchés. Tout ce qui participait à celui que j'étais - mon amour pour la morte à l'étage, mon amour pour mon père, ma loyauté envers ma nouvelle meute, mon amour pour mes autres frères, la haine de mes ennemis, de mon foyer, de mon nom, de moi-même - fut coupé en un instant comme des ficelles de ballons - clic, clic, clic -, qui s'envolèrent dans le ciel.
Moi, je ne m'envolai pas. Je restai attaché là où je me trouvais.
Pas par une ficelle, par un million de ficelles. Pas par des ficelles, par des câbles d'acier. Un million de câbles d'acier qui tous me reliaient à une seule chose - au centre même du monde.
Il m'apparut alors que l'univers tournait autour de ce point unique. Moi qui n'avais jamais pris conscience de la symétrie des choses, je la découvris clairement.
La gravité terrestre ne me retenais plus à l'endroit où j'étais. A la place, c'était cette petite fille dans les bras de Rosalie.
Remesmée.
- Je suis prête à me battre pour te revoir, à une condition. Je me fiche qu'untel soit vampire, tel autre loup-garou. C'est un débat stérile. Tu es Jacob, il est Edward, je suis Bella. Rien d'autre.
- Je suis un Loup-garou, lui un vampire, tu n'y changeras rien.
- Et moi, je suis Vierge ! hurlais-je exaspérée.
[...]
- Si tu arrives à envisager les choses ainsi....
- Oui.
- Bien. Juste Bella et Jacob. Pas de Vierges stupides ici.
[...]Je sais comment les hommes me voient, ceux qui savent qui je suis… comme toi. Et je comprends leur réaction. Vraiment. L’animosité de ton frère, par exemple, est une réponse saine et normale. Je l’ai subie bien des fois : la peur, la haine, le besoin de réaffirmer sa position de dominant. Je suis la princesse des ténèbres ! Je fais peur aux gens, à des gens qui pourtant n’ont peur de rien, même pas de la mort. Parce que je peux tout leur prendre, jusqu’à leur dignité, leur faire renier ce en quoi ils croient le plus. Je suis l’incarnation du mal, une abomination.
Nous ne sommes pas des profiteurs. Tout ce que nous prenons, nous le bonifions ; les mondes avec nous sont en paix, en harmonie, embellis. Les humains étaient des brutes. Durant les quelques millénaires de leur règne, ils ont mis au point une profusion écœurante de modes de torture ; je n’avais pas été capable de lire jusqu’au bout les rapports officiels pourtant cliniques et sans pathos. Les guerres avaient ravagé quasiment tous les continents. Ceux qui vivaient dans les nations en paix détournaient pudiquement la tête pour ne pas voir la misère par-delà leurs frontières. Il n’y avait pas d’équité dans la distribution des biens et des richesses. L’avidité humaine avait mis en péril tout l’écosystème de la planète. La violence et le meurtre faisaient partie de la vie quotidienne. Plus inconcevable encore, leurs enfants – la nouvelle génération que les miens vénéraient pour leur potentiel immaculé – pouvaient être victimes de sévices, perpétrés parfois par leur propre géniteurs. Depuis notre arrivée, la différence est criante. Tout le monde doit admettre que la Terre se porte mieux, grâce à nous.
Ce n’est pas le visage, mais les expressions que tu y mets ; ce n’est pas la voix, c’est ce que tu dis. Ce n’est pas la plastique de ce corps, c’est ce que tu fais avec. C’est toi qui es belle.
C'est le désespoir qui veut ça, a murmurè Mélanie. Dans les âges sombres, la gentillesse n'a plus droit de cité. Dans ce meilleur des mondes que tu as créé, nous sommes des fugitifs, une espèce en danger. Tous nos choix sont une question de vie ou de mort.
Tu t'es encore cassé la figure, Bella ? Rigola-t-il. – Non, rétorquai-je, mauvaise. J'ai filé un coup de poing dans la tronche d'un loup-garou.
Soudain, une étrange comparaison me traversa l’esprit : j’eus l’impression de voir Perséphone manger ses graines de grenade, se condamnant ainsi aux Enfers. Et moi, étais-je Hadès qui convoitait le printemps, le dérobait, le condamnait à une nuit éternelle ?
Une personne qui va trahir son partenaire s'imagine que celui-ci lui prépare le même coup. Les gens malhonnêtes voient la malhonnêteté partout.
Faire entendre raison à Bella ? répétai-je. Dans quel monde vis-tu ?
Il m'a balancé: "Tu veux une nouvelle vie, môme?"
_Ha! me suis-je esclaffée. C'est mieux que ce à quoi j'ai eu droit. Moi ça a été "Tu veux un hamburger, môme?"
- J’aime la nuit, décrétai-je. Sans elle, nous ne verrions pas les étoiles.
La préparation est la clef du succès, (...).
J’étais à peu près certaine de trois choses. Un, Edward était un vampire ; deux, une part de lui – dont j’ignorais la puissance – désirait s’abreuver de mon sang ; et trois, j’étais follement et irrévocablement amoureuse de lui.
Avant toi, Bella, ma vie était une nuit sans lune. Très noire, même s'il y avait des étoiles - des points de lumière et de raison... Et puis, tout à coup, tu as traversé mon ciel comme une météore. Soudain, tout brillait, tout brûlait, tout était beau. Quand tu as eu disparu, quand le météore est tombé derrière l'horizon, tout s'est de nouveau assombri. Rien n'avait changé, sauf que mes yeux avaient été aveuglés par la lumière. Je ne distinguais plus les étoiles, et la raison ne signifiait plus rien.
« Le temps n'a pas de prise sur les miracles. »
Nous ne sommes pas des profiteurs. Tout ce que nous prenons, nous le bonifions ; les mondes avec nous sont en paix, en harmonie, embellis. Les humains étaient des brutes. Durant les quelques millénaires de leur règne, ils ont mis au point une profusion écœurante de modes de torture ; je n’avais pas été capable de lire jusqu’au bout les rapports officiels pourtant cliniques et sans pathos. Les guerres avaient ravagé quasiment tous les continents. Ceux qui vivaient dans les nations en paix détournaient pudiquement la tête pour ne pas voir la misère par-delà leurs frontières. Il n’y avait pas d’équité dans la distribution des biens et des richesses. L’avidité humaine avait mis en péril tout l’écosystème de la planète. La violence et le meurtre faisaient partie de la vie quotidienne. Plus inconcevable encore, leurs enfants – la nouvelle génération que les miens vénéraient pour leur potentiel immaculé – pouvaient être victimes de sévices, perpétrés parfois par leur propre géniteurs. Depuis notre arrivée, la différence est criante. Tout le monde doit admettre que la Terre se porte mieux, grâce à nous.
Tu es comme une drogue pour moi, c’est comme si tu étais ma propre marque d’héroïne.