Critiques de Takumi Yanai (48)
MANGA FANTASY / PORTAL FANTASY.
Les côtés militaire et fantasy auraient pu se suffire à eux-mêmes, mais on marie merveilleusement les deux dans ce manga adaptation des light novels du même nom. Une bonne voire très bonne Portal Fantasy qui alterne la grande déconne et le grand sérieux avec un BPP (nombre de boobs par page) assez peu élevé pour une fois.
Dans ce tome 16, en délivrant l'empereur et sa fille par la force et par la ruse la Team Itami déclenche une véritable guerre civile. D'un côté nous avons le gouvernement légal dirigé par la princesse Pina co Lada en paix voire en alliance avec les forces japonaises. D'un autre côté nous avons le gouvernement illégal dirigé par le prince Zorzal qui continue l'affrontement avec les forces japonaises.
Et les usurpateurs fascistes recours à la guérilla à outrance à grande renforts d'ogres blindés et de métamorphes terroristes. Les forces japonaises ont donc fort à faire sur tous les fronts, tout en devant protéger les envoyés du Pays du Soleil Levant et les civils de l'Autre Monde… (mention spéciale aux clins d'oeil à la saga SF culte Armored Trooper Votoms, malheureusement trop peu connue en dehors du Japon)
Les côtés militaire et fantasy auraient pu se suffire à eux-mêmes, mais on marie merveilleusement les deux dans ce manga adaptation des light novels du même nom. Une bonne voire très bonne Portal Fantasy qui alterne la grande déconne et le grand sérieux avec un BPP (nombre de boobs par page) assez peu élevé pour une fois.
Dans ce tome 16, en délivrant l'empereur et sa fille par la force et par la ruse la Team Itami déclenche une véritable guerre civile. D'un côté nous avons le gouvernement légal dirigé par la princesse Pina co Lada en paix voire en alliance avec les forces japonaises. D'un autre côté nous avons le gouvernement illégal dirigé par le prince Zorzal qui continue l'affrontement avec les forces japonaises.
Et les usurpateurs fascistes recours à la guérilla à outrance à grande renforts d'ogres blindés et de métamorphes terroristes. Les forces japonaises ont donc fort à faire sur tous les fronts, tout en devant protéger les envoyés du Pays du Soleil Levant et les civils de l'Autre Monde… (mention spéciale aux clins d'oeil à la saga SF culte Armored Trooper Votoms, malheureusement trop peu connue en dehors du Japon)
Grosso modo ce tome 10, carrément de transition, est divisé en 2 parties :
- dans une première partie assez grave, on suit en parallèle le Prince Zorzal qui établit peu à peu sa dictature totalitaire au grand désespoir de sa sœur la Princesse Pina Co Lada, et on serait dans une saloperie de game of thrones si les forces japonaises qui ont connu les conséquences d’un régime totalitaire ne plaçaient pas leurs pions sur l’échiquier en vue d’une imminente réaction pour ne pas dire confrontation...
- dans une deuxième partie plus légère, on suit Itami et son harem rejoints par la magicienne Arpeggio et les chevaliers Shandy et Grey (pour rappel tous pourchassés par l’ensemble des assassins et des chasseurs de primes de l’Empire), en route pour le Sanctuaire de la déesse Hardy bisexuelle de préférence lesbienne qui prend possession du corps de Lelei la Lalena pour faire des révélations sur l’avenir de la porte entre les mondes donc sur l’avenir des deux mondes…
En bonus on a un chapitre sur Meia la femme-chat et sur Wolf l’homme-loup qui après avoir découvert les avantages et les désavantages du monde du travail à l’occidental sont confrontés à l’étrange concept de « congés payés » (et dans un pays où il a du mal à passer, c’est finalement très pédagogique) ^^
Très sympathique pour ne pas dire hautement sympathique, mais les auteurs sont capables de mieux donc vite la suite !
- dans une première partie assez grave, on suit en parallèle le Prince Zorzal qui établit peu à peu sa dictature totalitaire au grand désespoir de sa sœur la Princesse Pina Co Lada, et on serait dans une saloperie de game of thrones si les forces japonaises qui ont connu les conséquences d’un régime totalitaire ne plaçaient pas leurs pions sur l’échiquier en vue d’une imminente réaction pour ne pas dire confrontation...
- dans une deuxième partie plus légère, on suit Itami et son harem rejoints par la magicienne Arpeggio et les chevaliers Shandy et Grey (pour rappel tous pourchassés par l’ensemble des assassins et des chasseurs de primes de l’Empire), en route pour le Sanctuaire de la déesse Hardy bisexuelle de préférence lesbienne qui prend possession du corps de Lelei la Lalena pour faire des révélations sur l’avenir de la porte entre les mondes donc sur l’avenir des deux mondes…
En bonus on a un chapitre sur Meia la femme-chat et sur Wolf l’homme-loup qui après avoir découvert les avantages et les désavantages du monde du travail à l’occidental sont confrontés à l’étrange concept de « congés payés » (et dans un pays où il a du mal à passer, c’est finalement très pédagogique) ^^
Très sympathique pour ne pas dire hautement sympathique, mais les auteurs sont capables de mieux donc vite la suite !
Dans ce tome 8, tout commence par la grande réception donnée par l'Empereur pour fêter la libération des premiers prisonniers de guerre et l'ouverture de plus amples négociations avec les hommes en vert venus du Japon :
- l'ambassadrice japonaise trouve fort étrange que la mode soit moins « empire romain » que « JRPG arcanepunk » (pour rappel Itami a initié la princesse Pina Co Lada aux mangas dont il est le fournisseur officiel, mais si Itami est plus mangas de type « harem » Pina Co Lada est plus mangas de type « yaoi » ^^ : ça me rappelle dans la saga post-apo "Hawkmoon" le noble lorrain persuadé que DC Comics et Marvel Comics étaient des magazines de mode du XXe siècle ^^)
- l'aristocrate préadolescente Sherry Tyueli s'est entichée du négociateur Sugiwara et ce dernier a le plus grand mal à convaincre ses collègues qu'il n'est pas lolicon...
- l'empereur essaye de sauver la face en attribuant à Lelei La Lalena citoyenne de l'empire la victoire sur le dragon rouge ancestral qu'on appellera par commodité « Shooting Star »
- le Prince Zorzal qui jusqu'ici s'est fait passer pour une teubé lance un Coup d’État en bonnes et dues formes avant de se lance à corps perdu dans une révolution nationale-socialiste... mais il n'est le pion de sa vraie-fausse esclave en quête de vengeance qui veut tous les amener et dans les ténèbres les lier !
Pendant ce temps suite à ses exploits Itami est muté à la tête de la patrouille 101 d'investigation des ressources du territoire spécial, et il a fort à faire quand Lelei est contaminée par la fièvre des sables : pour la sauver de la maladie qui transforme les jeunes femmes en zombies, il doit retrouver dans le donjon local truffé de morts-vivants, de cocatrices et de minotaures le remède miraculeux qui pourrait la sauver. C'est à coup de C4 qu'il se fraye un chemin dans un labyrinthe détournement d’Angkor Vat truffé de clins d’œil à "Indiana Jones", et Rory et Yao sont impressionnées par ses son expérience « Fantasy » (ce n'est pas comme si Itami n'était IRL un otaku spécialiste en RPG fantasy ^^)
Derrière la grosse déconne et quelques gimmicks ecchi voire hentai, les dessins sont bons et il y a moult pistes de réflexion dans ces inversions entre Occident triomphant et Japon Impérial dans lesquels luttent férocement partisans de la démocratie cosmopolite et partisans du totalitarisme suprématiste. A partir de ce tome le manga et l'anime diverge très fortement, mais au jour d'aujourd'hui ne peut dire lequel des deux est le plus fidèle aux romans Portal Fantasy d'origine... Je surnote un peu mais qu'importe : To Be Continued !
- l'ambassadrice japonaise trouve fort étrange que la mode soit moins « empire romain » que « JRPG arcanepunk » (pour rappel Itami a initié la princesse Pina Co Lada aux mangas dont il est le fournisseur officiel, mais si Itami est plus mangas de type « harem » Pina Co Lada est plus mangas de type « yaoi » ^^ : ça me rappelle dans la saga post-apo "Hawkmoon" le noble lorrain persuadé que DC Comics et Marvel Comics étaient des magazines de mode du XXe siècle ^^)
- l'aristocrate préadolescente Sherry Tyueli s'est entichée du négociateur Sugiwara et ce dernier a le plus grand mal à convaincre ses collègues qu'il n'est pas lolicon...
- l'empereur essaye de sauver la face en attribuant à Lelei La Lalena citoyenne de l'empire la victoire sur le dragon rouge ancestral qu'on appellera par commodité « Shooting Star »
- le Prince Zorzal qui jusqu'ici s'est fait passer pour une teubé lance un Coup d’État en bonnes et dues formes avant de se lance à corps perdu dans une révolution nationale-socialiste... mais il n'est le pion de sa vraie-fausse esclave en quête de vengeance qui veut tous les amener et dans les ténèbres les lier !
Pendant ce temps suite à ses exploits Itami est muté à la tête de la patrouille 101 d'investigation des ressources du territoire spécial, et il a fort à faire quand Lelei est contaminée par la fièvre des sables : pour la sauver de la maladie qui transforme les jeunes femmes en zombies, il doit retrouver dans le donjon local truffé de morts-vivants, de cocatrices et de minotaures le remède miraculeux qui pourrait la sauver. C'est à coup de C4 qu'il se fraye un chemin dans un labyrinthe détournement d’Angkor Vat truffé de clins d’œil à "Indiana Jones", et Rory et Yao sont impressionnées par ses son expérience « Fantasy » (ce n'est pas comme si Itami n'était IRL un otaku spécialiste en RPG fantasy ^^)
Derrière la grosse déconne et quelques gimmicks ecchi voire hentai, les dessins sont bons et il y a moult pistes de réflexion dans ces inversions entre Occident triomphant et Japon Impérial dans lesquels luttent férocement partisans de la démocratie cosmopolite et partisans du totalitarisme suprématiste. A partir de ce tome le manga et l'anime diverge très fortement, mais au jour d'aujourd'hui ne peut dire lequel des deux est le plus fidèle aux romans Portal Fantasy d'origine... Je surnote un peu mais qu'importe : To Be Continued !
Ce tome 3 commence par l’audition d’Itami, Tuka Luna Marceau, Rory Mercury et Lelei La Lalena par la députée Kizuki Kôhara qui tient absolument à blâmer l’attitude et les résultats des FJA durant l’incident « Dragon de Feu » (encore un requin en talons aiguilles qui préfère défaire et critiquer que faire et supporter, parce c’est juste une saloperie de crevarde). Elle se fait ridiculiser publiquement et en direct live à la télévision : bien fait pour elle ! ^^
Suite à divers imprévus, Itami effectue une retraite stratégique chez son ex-femme Risa dessinatrice de doujinshis, où Pina Co La et Bosès Co Palesty découvre le monde merveilleux des mangas yaoi (manga érotiques mettant en scène des romances gays, à destination du public féminin ^^). Shopping à Harajuku et Shibuya, bains chauds et nuit arrosée, dépôt d’une gerbe de fleurs au mémorial de Ginza puis retour de l’autre côté du Portail… En fait tout l’intérêt du tome vient que derrière la banalité du quotidien se livre une guerre de l’ombre où les services secrets japonais font tout pout neutraliser les agents américains, russes et chinois qui veulent enlever les invitées de l’autre monde, et ces derniers ne reculent devant rien (la Maison Blanche faisant chanter le Premier Ministre japonais obligé de démissionner, sans parler du bain de sang d’Harakone !).
Néanmoins j’ai retiré 1 étoile à cause de quelques scènes de cul tendancieuses qui ont gâché ma lecture.
Suite à divers imprévus, Itami effectue une retraite stratégique chez son ex-femme Risa dessinatrice de doujinshis, où Pina Co La et Bosès Co Palesty découvre le monde merveilleux des mangas yaoi (manga érotiques mettant en scène des romances gays, à destination du public féminin ^^). Shopping à Harajuku et Shibuya, bains chauds et nuit arrosée, dépôt d’une gerbe de fleurs au mémorial de Ginza puis retour de l’autre côté du Portail… En fait tout l’intérêt du tome vient que derrière la banalité du quotidien se livre une guerre de l’ombre où les services secrets japonais font tout pout neutraliser les agents américains, russes et chinois qui veulent enlever les invitées de l’autre monde, et ces derniers ne reculent devant rien (la Maison Blanche faisant chanter le Premier Ministre japonais obligé de démissionner, sans parler du bain de sang d’Harakone !).
Néanmoins j’ai retiré 1 étoile à cause de quelques scènes de cul tendancieuses qui ont gâché ma lecture.
Avec "Gate, au de-là de la porte", nous sommes dans un manga seinen dédié à la Portal Fantasy à la "Stargate" !
Un empire high fantasy décide de continuer son expansion en ouvrant une porte entre les dimensions… pour se retrouver au beau milieu du quartier de Shinjuku à Tokyo la capitale du Japon ! Orcs, trolls, chevaucheurs de reptiles ailés, légionnaires et chevaliers ne font pas le poids face à une armée moderne avec mitraillettes, bazookas, blindés et hélicoptères… et la tuerie continue de l'autre côté du portail lors de la Bataille de la Plaine d'Alnus où le retorse empereur à fait convier l'intégralité des troupes de ses alliés pour qu'elles s'y fassent tailler en pièces...
Nous suivons l'évolution des événements essentiellement à travers les tribulations du lieutenant otaku Yôji Itami et l'auteur cultive constamment ambiguïté suivante : est-il un héros génial qui se fait passer pour une feignasse, ou est-il une feignasse géniale qui se fait passer pour un héros ? Dans les deux cas, on se retrouve avec la version bidasse de Gaston Lagaffe et c'est très cool ! ^^
Sinon on nage allègrement dans le fan-service : les otakus seront en terrain connus avec tous les gimmicks possible et imaginables de Donjon & Dragon et des grandes franchises JRPG, un catalogue des clichés des mangas ecchi à tendance harem et pas mal de cases nichons, fesses, culottes et founes (et quelques scènes qui ne dépareillerait pas dans un manga pornographique, mais moins que dans "Fairy Tail"…). Mais dès que je me disais que le côté érotique commençait à phagocyter la série, on repassait en mode serious business avec des thèmes vachement intéressants sur les conséquences politiques, économiques et culturelles résultant de la découverte d’un autre monde…
Côté monde High Fantasy, les pacifistes de la princesse Pina Co Lada essayent de faire cesser les hostilités car ils savent que leur civilisation est sursis face à tel ennemi et les bellicistes du prince Zorzal El Caesar essayent de relancer les hostilités pour tirer les marrons du feu quittes à être de nouveaux Seigneurs des Cendres ; côté monde High Tech le gouvernement japonais reproduit le modèle néocolonialisme américain à la lettre tandis que les grandes puissances complotent pour remporter le jackpot à sa place… Entre l’Empire et le Japon du début XXIe siècle, c’est un peu le Japon et les Etats-Unis du début du XXe siècle : il leur faudra échapper aux démons du totalitarisme, de l’impérialisme et du colonialisme (et c’est pas gagné avec un César qui se prend pour un Staline, et un défilé de politiciens tous plus incompétents les uns que les autres, car incapables de penser à autre chose que leur réélection, et des journalistes tous plus détestables les uns que les autres, car toujours à la recherche du scandale qui fera le buzz et qui boostera l’audience donc leurs carrières… Soupirs…) Le scénariste Takumi Yanai adapte un roman et cela se sent (2 séries de 5 light novels en fait), mais il est ici sur la corde raide entre super idées et fanservice des familles (sans doute parfaitement assumé puisqu’il se moque largement de la culture otaku en cours de route ^^), et cela restreint malheureusement le public auquel peut se destiné cette série… Mais perso, moi je m’amuse bien ! ^^
Sinon les dessins de Satoru Sao très sont cools, avec des scènes de bataille de très bonne facture et des décors particulièrement réussis dans lesquels évoluent des personnages eighties / nineties très plaisants à suivre…
Dans ce tome 1, après avoir brillé par son héroïsme en portant secours aux civils en se rendant à une convention de fanzines, Yôji Itami est promu, muté dans le territoire spécial et affecté à la tête de la 3e patrouille d’exploration du nouveau monde… En se portant au secours des villageois indigènes de la localité de Coda, lui et ses camarades repoussent un dragon cracheur de feu (fort bien dessiné par ailleurs), et se retrouvent avec tout plein de réfugiés sur les bras… Parmi eux Tuka Luna Marceau (on t'a reconnu Deedlit de Lodoss ^^), une elfe âgée de 165 ans atteinte de Syndrome de Stress Post Traumatique, Rory Mercury, une apôtre du Dieu de la Mort âgée de 961 malgré son apparence de gothic lolita, Lelei La Lalena une apprentie magicienne de 15 ans ressemblant comme deux gouttes d’eau à Rei Ayanami de "Neon Genesis Evangelion"…
Pendant ce temps la princesse Pina Co Lada et ses Chevalières de la Rose qui enquêtent sur « les hommes en vert » qui ont vaincus leurs armées se retrouvent assiégées dans la cité d'Italica par les déserteurs devenus pillards quand arrive la fine équipe de notre antihéros venue se faire du pognon en revendant des écailles de dragon… To Be Continued et 3,5 étoiles pour ce tome d'introduction ! ^^
Un empire high fantasy décide de continuer son expansion en ouvrant une porte entre les dimensions… pour se retrouver au beau milieu du quartier de Shinjuku à Tokyo la capitale du Japon ! Orcs, trolls, chevaucheurs de reptiles ailés, légionnaires et chevaliers ne font pas le poids face à une armée moderne avec mitraillettes, bazookas, blindés et hélicoptères… et la tuerie continue de l'autre côté du portail lors de la Bataille de la Plaine d'Alnus où le retorse empereur à fait convier l'intégralité des troupes de ses alliés pour qu'elles s'y fassent tailler en pièces...
Nous suivons l'évolution des événements essentiellement à travers les tribulations du lieutenant otaku Yôji Itami et l'auteur cultive constamment ambiguïté suivante : est-il un héros génial qui se fait passer pour une feignasse, ou est-il une feignasse géniale qui se fait passer pour un héros ? Dans les deux cas, on se retrouve avec la version bidasse de Gaston Lagaffe et c'est très cool ! ^^
Sinon on nage allègrement dans le fan-service : les otakus seront en terrain connus avec tous les gimmicks possible et imaginables de Donjon & Dragon et des grandes franchises JRPG, un catalogue des clichés des mangas ecchi à tendance harem et pas mal de cases nichons, fesses, culottes et founes (et quelques scènes qui ne dépareillerait pas dans un manga pornographique, mais moins que dans "Fairy Tail"…). Mais dès que je me disais que le côté érotique commençait à phagocyter la série, on repassait en mode serious business avec des thèmes vachement intéressants sur les conséquences politiques, économiques et culturelles résultant de la découverte d’un autre monde…
Côté monde High Fantasy, les pacifistes de la princesse Pina Co Lada essayent de faire cesser les hostilités car ils savent que leur civilisation est sursis face à tel ennemi et les bellicistes du prince Zorzal El Caesar essayent de relancer les hostilités pour tirer les marrons du feu quittes à être de nouveaux Seigneurs des Cendres ; côté monde High Tech le gouvernement japonais reproduit le modèle néocolonialisme américain à la lettre tandis que les grandes puissances complotent pour remporter le jackpot à sa place… Entre l’Empire et le Japon du début XXIe siècle, c’est un peu le Japon et les Etats-Unis du début du XXe siècle : il leur faudra échapper aux démons du totalitarisme, de l’impérialisme et du colonialisme (et c’est pas gagné avec un César qui se prend pour un Staline, et un défilé de politiciens tous plus incompétents les uns que les autres, car incapables de penser à autre chose que leur réélection, et des journalistes tous plus détestables les uns que les autres, car toujours à la recherche du scandale qui fera le buzz et qui boostera l’audience donc leurs carrières… Soupirs…) Le scénariste Takumi Yanai adapte un roman et cela se sent (2 séries de 5 light novels en fait), mais il est ici sur la corde raide entre super idées et fanservice des familles (sans doute parfaitement assumé puisqu’il se moque largement de la culture otaku en cours de route ^^), et cela restreint malheureusement le public auquel peut se destiné cette série… Mais perso, moi je m’amuse bien ! ^^
Sinon les dessins de Satoru Sao très sont cools, avec des scènes de bataille de très bonne facture et des décors particulièrement réussis dans lesquels évoluent des personnages eighties / nineties très plaisants à suivre…
Dans ce tome 1, après avoir brillé par son héroïsme en portant secours aux civils en se rendant à une convention de fanzines, Yôji Itami est promu, muté dans le territoire spécial et affecté à la tête de la 3e patrouille d’exploration du nouveau monde… En se portant au secours des villageois indigènes de la localité de Coda, lui et ses camarades repoussent un dragon cracheur de feu (fort bien dessiné par ailleurs), et se retrouvent avec tout plein de réfugiés sur les bras… Parmi eux Tuka Luna Marceau (on t'a reconnu Deedlit de Lodoss ^^), une elfe âgée de 165 ans atteinte de Syndrome de Stress Post Traumatique, Rory Mercury, une apôtre du Dieu de la Mort âgée de 961 malgré son apparence de gothic lolita, Lelei La Lalena une apprentie magicienne de 15 ans ressemblant comme deux gouttes d’eau à Rei Ayanami de "Neon Genesis Evangelion"…
Pendant ce temps la princesse Pina Co Lada et ses Chevalières de la Rose qui enquêtent sur « les hommes en vert » qui ont vaincus leurs armées se retrouvent assiégées dans la cité d'Italica par les déserteurs devenus pillards quand arrive la fine équipe de notre antihéros venue se faire du pognon en revendant des écailles de dragon… To Be Continued et 3,5 étoiles pour ce tome d'introduction ! ^^
Encore un bon tome avec ce 12e volume, qui a eut la malchance de passer dans ma PAL avec le tome 3 de "Magus of the Library" qui était excellent dans son propos comme dans ses dessins…
Entre la capitale de l'empire et ses 40000 gardes prétoriens vivant sous le régime de terreur mis en place par l'usurpateur et le palais du Martin-pêcheur se tiennent les chevalières de la rose et 600 vétérans, qui ont reçu de l'empereur en personne de ne laisser personne passer de force. La petite Sherry et le Marquis Casel El Tiberius chef des colombes demandent l'asile politique aux hommes d'outre-monde. Mais les hommes et les femmes du Japon ont eux reçu l'ordre de ne pas intervenir dans les affaires de l'empire… La raison contre la passion, les intérêts contres les valeurs, la realpolitik contre les Droits de l'Homme et du Citoyen, les ordres reçus d'en haut contre la dure réalité humaine du terrain : de deux maux il faut choisir le moindre entre le massacre d'innocents qui va entraîner le massacre d'autres innocents, et protéger des innocents d'un tyran ce qui va déclencher un bain de sang. L'ambassade du Japon doit réaliser des choix cornéliens*, et finalement le sort du monde se joue en l'âme d'un seul homme. Kôji Sugawara prend sa décision : alea jacta est ! Et c'est reparti pour une des plus vieilles donc l'une des plus vieilles histoire du monde : celle de peu contre beaucoup !!!
Nous suivons dans le même temps les événements vus du côté des Opritchninas déguisés en loup et armés de balais pour « nettoyer le pays », et l'auteur nous expliquer de manière simple donc effrayante la manière dont les tyrannies assurent leur pouvoir en instaurant le règne de la peur : chaque chefaillon terrorise ses subordonnés en usant et abusant de la violence arbitraire, et ceux qui survivent aux purges internes se défoulent à leur tour sur leurs propres subordonnés dans la chaîne de commandement et/ou la hiérarchie sociale (donc pour échapper à la peur et évacuer leur colère, chacun se cherche des boucs émissaires corvéables / sacrifiables à merci). Les « hommes en vert » organise une gigantesque opération d'exfiltration, et ils se demandent où peut bien être le plus célèbre et le plus charismatique d'entre eux : Yôji Itami !
Pendant ce temps la Team Itami accompagne toujours la magicienne Lelei la Lelena qui ambitionne d'obtenir son diplôme de prêtre (que de discussions sur le fait que l'éducation des masses face de la plupart des gens l'équivalent de « sages » dans l'autre monde : mort de rire certes, mais surtout fuck aux élististes de mes couilles). Elle est en train de révolutionner le monde de la magie en lui associant toutes les avancées de la science, mais elle se demande jusqu'où elle doit aller pour ne pas donner aux peuples les moyens d'obtenir de nouvelles armes pour s'entre-tuer, voire d'obtenir de nouvelles Armes de Destructions Massives pour s'entre-détruire… Arpeggio et Mimoza apportent une dose de comic relief bienvenue : l'assassin missionné par l'usurpateur de l'empire, surnommé le joueur de flûte pour sa capacité à manipuler autrui, rôde toujours pour tuer celle que le peuple célèbre déjà comme « tueuse de dragon » !
Le mélange entre scénarios et graphismes cartoonesques et scénarios et graphismes réalistes est très réussi. Mais c’est dommage de fractionner les intrigues principales comme cela… L’anime, et qui sait les light novels que je n’ai pas lu faute de traduction, avait su mieux bien mieux les dynamiser !
* Je maudis cet ambassadeur français en Indonésie qui ne mérite que l'oubli car il fit semblant d'accepter la demande d'asile politique de résistants timoriens pour mieux les livrer ensuite à la police politique locale : ils ont été fusillés au portail de l'ambassade de France après avoir été livrés aux autorités nationales. Comment être le pays qui incarne les Droits de l'Homme et du Citoyen avec des collabos de la pire espèce prêts à tout et au reste pour faire avancer leurs petites carrières dont se contrefout l'humanité toute entière ? Il aurait dû au minimum être jugé pour complicité de meurtres, et personnellement j'aurais convoqué les plus hautes instances de la République pour le juger pour « Haute Trahison » envers les valeurs de la République !!! (mais comme chacun le sait les politicards n'ont aucune valeur sinon ils ne feraient pas de politique très bien rétribuée financièrement, mais militeraient de façon bénévole au sein des associations, ou bien feraient leur taf du mieux qu'ils peuvent au sein des institutions publiques sans chercher à tout prix les micros et les caméras)
Entre la capitale de l'empire et ses 40000 gardes prétoriens vivant sous le régime de terreur mis en place par l'usurpateur et le palais du Martin-pêcheur se tiennent les chevalières de la rose et 600 vétérans, qui ont reçu de l'empereur en personne de ne laisser personne passer de force. La petite Sherry et le Marquis Casel El Tiberius chef des colombes demandent l'asile politique aux hommes d'outre-monde. Mais les hommes et les femmes du Japon ont eux reçu l'ordre de ne pas intervenir dans les affaires de l'empire… La raison contre la passion, les intérêts contres les valeurs, la realpolitik contre les Droits de l'Homme et du Citoyen, les ordres reçus d'en haut contre la dure réalité humaine du terrain : de deux maux il faut choisir le moindre entre le massacre d'innocents qui va entraîner le massacre d'autres innocents, et protéger des innocents d'un tyran ce qui va déclencher un bain de sang. L'ambassade du Japon doit réaliser des choix cornéliens*, et finalement le sort du monde se joue en l'âme d'un seul homme. Kôji Sugawara prend sa décision : alea jacta est ! Et c'est reparti pour une des plus vieilles donc l'une des plus vieilles histoire du monde : celle de peu contre beaucoup !!!
Nous suivons dans le même temps les événements vus du côté des Opritchninas déguisés en loup et armés de balais pour « nettoyer le pays », et l'auteur nous expliquer de manière simple donc effrayante la manière dont les tyrannies assurent leur pouvoir en instaurant le règne de la peur : chaque chefaillon terrorise ses subordonnés en usant et abusant de la violence arbitraire, et ceux qui survivent aux purges internes se défoulent à leur tour sur leurs propres subordonnés dans la chaîne de commandement et/ou la hiérarchie sociale (donc pour échapper à la peur et évacuer leur colère, chacun se cherche des boucs émissaires corvéables / sacrifiables à merci). Les « hommes en vert » organise une gigantesque opération d'exfiltration, et ils se demandent où peut bien être le plus célèbre et le plus charismatique d'entre eux : Yôji Itami !
Pendant ce temps la Team Itami accompagne toujours la magicienne Lelei la Lelena qui ambitionne d'obtenir son diplôme de prêtre (que de discussions sur le fait que l'éducation des masses face de la plupart des gens l'équivalent de « sages » dans l'autre monde : mort de rire certes, mais surtout fuck aux élististes de mes couilles). Elle est en train de révolutionner le monde de la magie en lui associant toutes les avancées de la science, mais elle se demande jusqu'où elle doit aller pour ne pas donner aux peuples les moyens d'obtenir de nouvelles armes pour s'entre-tuer, voire d'obtenir de nouvelles Armes de Destructions Massives pour s'entre-détruire… Arpeggio et Mimoza apportent une dose de comic relief bienvenue : l'assassin missionné par l'usurpateur de l'empire, surnommé le joueur de flûte pour sa capacité à manipuler autrui, rôde toujours pour tuer celle que le peuple célèbre déjà comme « tueuse de dragon » !
Le mélange entre scénarios et graphismes cartoonesques et scénarios et graphismes réalistes est très réussi. Mais c’est dommage de fractionner les intrigues principales comme cela… L’anime, et qui sait les light novels que je n’ai pas lu faute de traduction, avait su mieux bien mieux les dynamiser !
* Je maudis cet ambassadeur français en Indonésie qui ne mérite que l'oubli car il fit semblant d'accepter la demande d'asile politique de résistants timoriens pour mieux les livrer ensuite à la police politique locale : ils ont été fusillés au portail de l'ambassade de France après avoir été livrés aux autorités nationales. Comment être le pays qui incarne les Droits de l'Homme et du Citoyen avec des collabos de la pire espèce prêts à tout et au reste pour faire avancer leurs petites carrières dont se contrefout l'humanité toute entière ? Il aurait dû au minimum être jugé pour complicité de meurtres, et personnellement j'aurais convoqué les plus hautes instances de la République pour le juger pour « Haute Trahison » envers les valeurs de la République !!! (mais comme chacun le sait les politicards n'ont aucune valeur sinon ils ne feraient pas de politique très bien rétribuée financièrement, mais militeraient de façon bénévole au sein des associations, ou bien feraient leur taf du mieux qu'ils peuvent au sein des institutions publiques sans chercher à tout prix les micros et les caméras)
Dans ce tome 7, le lieutenant Itami, otaku adulescent, désert pour partir seul à la rescousse des peuples soumis à la tyrannie du dragon qu'il n'a pas su tuer lors de leur précédente confrontation... (avec toujours dans ses bagages son harem fantasy comprenant désormais une Elfe âgée de 165 ans qui le prend pour son père)
Il réunit ses Dirty Dozens elfes noirs pour leur apprendre le maniement des LAM et du C4, des artefacts venus d'au-delà de la Porte qui s'avèrent ô combien puissants ! Il y des quiproquos magie/technologie, des blagues de cul, des références geeks, le running gag de Yao Haa Dushi la porte-poisse, et le roi Duran qui a survécu à la Bataille d'Alnus et qui ici s'éclate en hélicoptère Apache... Mais quand il faut vraiment aller au charbon, ce n'est pas les elfes et les humains qui tendent un piège au dragon, mais c'est bien le dragon qui leur tend un piège et les chasseurs deviennent immédiatement ses nouvelles proies !
On est entre "Les Chroniques de la Guerre de Lodoss" et "Les Douze Salopards", le mélange des genres entre fantasy traditionnelle et guerre moderne est parfait : on sent la tension et la précipitation, le stress et le suspens, la peur et la terreur... C'est très violent, c'est même gore, et confrontés de tous côtés à la mort les personnages sont emportés au cœur de la folie, pour en sortir comme Tuka ou pour y plonger comme Lelei !
Le dénouement est en 4 temps :
4) la défaite et la mort du dragon va avoir de graves répercussions politiques, puisque l'Empire en pleine révolution nationale-socialiste envoie ses assassins aux trousses des nouveaux héros du peuple, qui eux sont en route à un tournoi de magie...
Encore quelques chouettes tomes en perspective ! ^^
Lien : http://david-gemmell.frbb.ne..
Il réunit ses Dirty Dozens elfes noirs pour leur apprendre le maniement des LAM et du C4, des artefacts venus d'au-delà de la Porte qui s'avèrent ô combien puissants ! Il y des quiproquos magie/technologie, des blagues de cul, des références geeks, le running gag de Yao Haa Dushi la porte-poisse, et le roi Duran qui a survécu à la Bataille d'Alnus et qui ici s'éclate en hélicoptère Apache... Mais quand il faut vraiment aller au charbon, ce n'est pas les elfes et les humains qui tendent un piège au dragon, mais c'est bien le dragon qui leur tend un piège et les chasseurs deviennent immédiatement ses nouvelles proies !
On est entre "Les Chroniques de la Guerre de Lodoss" et "Les Douze Salopards", le mélange des genres entre fantasy traditionnelle et guerre moderne est parfait : on sent la tension et la précipitation, le stress et le suspens, la peur et la terreur... C'est très violent, c'est même gore, et confrontés de tous côtés à la mort les personnages sont emportés au cœur de la folie, pour en sortir comme Tuka ou pour y plonger comme Lelei !
Le dénouement est en 4 temps :
4) la défaite et la mort du dragon va avoir de graves répercussions politiques, puisque l'Empire en pleine révolution nationale-socialiste envoie ses assassins aux trousses des nouveaux héros du peuple, qui eux sont en route à un tournoi de magie...
Encore quelques chouettes tomes en perspective ! ^^
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Dans ce tome 9, on ne va pas se mentir : le combat contre le minotaure est moins epicness to the max que le combat contre le dragon dans le tome 7… Mais ça reste bien quand même hein ^^
La tome se poursuit à la grande bibliothèque de Rondel, où Lelei remise de sa maladie décide de passer ses examens de magicienne. Elle retrouve sa demi-sœur Arpeggio qui au fur et à mesure des retrouvailles voit rouge et au final la 13e bataille entre les sœurs Lalena est déclarée (essentiellement parce qu’Arpeggio voulait mettre la main sur le lieutenant Yôji Itami et que Lelei lui a affirmé qu’elle l’avait déjà pris ^^)… Mais le duel est interrompu quand le leader des drôles de dames intercepte un assassin envoyé par l’Empire : il n’y a rien de pire qu’un héros en vie, et l’usurpateur Zorzal el Caesar souhaite se débarrasser de tous ceux qui pourraient lui faire de l’ombre !
Sans doute encore un tome de transition, bien rempli certes mais un tome de transition quand même. Toutefois les auteurs placent de petits cailloux blancs : le verger médical atteint d’épidémie zombifique est un laboratoire de recherche sur l’immortalité pour offrir aux crevards friqués la longévité des dieux, des elfes et des nains, la capitale culturelle de Rondel a été naguère rasée par la peur et l’ignorance instrumentalisées par les crevards friqués, et les assassins envoyés pour tuer Lelei sont les sicaires des crevards friqués… Bref, les auteurs dézinguent tous les crevards friqués japonais nostalgiques du Japon Impérial totalitaires et suprématiste. Cerise sur le gâteau on commence à entrevoir les mystères de la Porte d’Alnus à l’origine de toute la série !
La tome se poursuit à la grande bibliothèque de Rondel, où Lelei remise de sa maladie décide de passer ses examens de magicienne. Elle retrouve sa demi-sœur Arpeggio qui au fur et à mesure des retrouvailles voit rouge et au final la 13e bataille entre les sœurs Lalena est déclarée (essentiellement parce qu’Arpeggio voulait mettre la main sur le lieutenant Yôji Itami et que Lelei lui a affirmé qu’elle l’avait déjà pris ^^)… Mais le duel est interrompu quand le leader des drôles de dames intercepte un assassin envoyé par l’Empire : il n’y a rien de pire qu’un héros en vie, et l’usurpateur Zorzal el Caesar souhaite se débarrasser de tous ceux qui pourraient lui faire de l’ombre !
Sans doute encore un tome de transition, bien rempli certes mais un tome de transition quand même. Toutefois les auteurs placent de petits cailloux blancs : le verger médical atteint d’épidémie zombifique est un laboratoire de recherche sur l’immortalité pour offrir aux crevards friqués la longévité des dieux, des elfes et des nains, la capitale culturelle de Rondel a été naguère rasée par la peur et l’ignorance instrumentalisées par les crevards friqués, et les assassins envoyés pour tuer Lelei sont les sicaires des crevards friqués… Bref, les auteurs dézinguent tous les crevards friqués japonais nostalgiques du Japon Impérial totalitaires et suprématiste. Cerise sur le gâteau on commence à entrevoir les mystères de la Porte d’Alnus à l’origine de toute la série !
Ce tome 5 est encore un volume qui ne chôme pas ! Ah, ça fait du bien un manga qui ne réutilise pas sempiternellement les mêmes grosses ficelles… (suivez mon regard du côté des shonens mainstream à rallonge des années 2000)
La capitale de l’Empire est frappée par un séisme et « les hommes en vert » venus du Japon proposent leurs services de spécialistes en la matière. Toujours est-il qu’alors que le négociateur japonais entame des pourparlers avec l’Empereur, quand le Prince Zorzal déboule dans la salle du trône avec sa collection d’esclaves sexuelles, et parmi elles une rescapée japonaise de la Bataille de Ginza… Itami pète un câble et les choses dégénèrent alors gravement ! Résultat des courses ? Le Sénat rasé par des F-14 Tomcat et les cartes totalement redistribuées : Pina presse son père d’accélérer les négociations de paix pour ne plus avoir à affronter les terrifiantes machines de guerre des FJA, le prince Zorzal mise sur la peur et l’ignorance pour diviser et régner, quitte à réveiller la Bête Immonde car tous les fachos nationaux-socialistes se mettent à sortir du bois, et le prince Diabo part en quête d’alliés puissantes au-delà de la Porte (Américains, Russes, Chinois, faites votre choix ! ^^)… Et dans l’ombre jubile Thyuule, la reine des amazones-lapines brisée, humiliée et exploitée, mais qui pour assouvir sa vengeance a basculé du Côté Obscur pour amener l’Empire à la guerre totale qui l’anéantira… Même si les auteurs suivent le cahier des charges hollywoodiens des gentils occidentaux tous beaux tous propres, derrière les boobs, la Fantasy qui tâche et la grosse déconne on aborde sérieusement les problèmes des pays sous-développés confrontés aux games of thrones des puissances industrialisées !
Et en fin de tome c’est encore plus sérieusement qu’on s’attaque à la difficile question des troubles mentaux, au Japon un fléau… Tuka Luna Marceau qui s’auto-persuade toujours que son père à survécu au massacre de son village est confrontée à la réalité par l’elfe noire Yao Haa Dushi qui joue sa dernière carte pour obliger « les hommes en vert » à sauver son peuple. Elle bascule alors lentement mais sûrement vers la folie en identifiant Itami comme son père qu’elle cherche depuis des semaines et des semaines. Itami est profondément touché car il a déjà été douloureusement confronté au problème… Il était trop jeune pour avoir pu faire quoi que se soit pour sauver sa mère d’elle-même, mais désormais adulte il ira jusqu’au bout pour sauver Luna quitte à affronter seul duel Shooting Star le terrible dragon rouge responsable de ses Troubles de Stress Post-Traumatique… To Be Continued pour des tomes epicness to the max: coup d’Etat, révolution totalitaire, guerre civile, concours de magie, assassin légendaire et les Sept Mercenaires elfes noirs !
PS: et dire que tout cela est l’adaptation d’une série de light novels… j’aimerai vraiment lire ça en français un jour…
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La capitale de l’Empire est frappée par un séisme et « les hommes en vert » venus du Japon proposent leurs services de spécialistes en la matière. Toujours est-il qu’alors que le négociateur japonais entame des pourparlers avec l’Empereur, quand le Prince Zorzal déboule dans la salle du trône avec sa collection d’esclaves sexuelles, et parmi elles une rescapée japonaise de la Bataille de Ginza… Itami pète un câble et les choses dégénèrent alors gravement ! Résultat des courses ? Le Sénat rasé par des F-14 Tomcat et les cartes totalement redistribuées : Pina presse son père d’accélérer les négociations de paix pour ne plus avoir à affronter les terrifiantes machines de guerre des FJA, le prince Zorzal mise sur la peur et l’ignorance pour diviser et régner, quitte à réveiller la Bête Immonde car tous les fachos nationaux-socialistes se mettent à sortir du bois, et le prince Diabo part en quête d’alliés puissantes au-delà de la Porte (Américains, Russes, Chinois, faites votre choix ! ^^)… Et dans l’ombre jubile Thyuule, la reine des amazones-lapines brisée, humiliée et exploitée, mais qui pour assouvir sa vengeance a basculé du Côté Obscur pour amener l’Empire à la guerre totale qui l’anéantira… Même si les auteurs suivent le cahier des charges hollywoodiens des gentils occidentaux tous beaux tous propres, derrière les boobs, la Fantasy qui tâche et la grosse déconne on aborde sérieusement les problèmes des pays sous-développés confrontés aux games of thrones des puissances industrialisées !
Et en fin de tome c’est encore plus sérieusement qu’on s’attaque à la difficile question des troubles mentaux, au Japon un fléau… Tuka Luna Marceau qui s’auto-persuade toujours que son père à survécu au massacre de son village est confrontée à la réalité par l’elfe noire Yao Haa Dushi qui joue sa dernière carte pour obliger « les hommes en vert » à sauver son peuple. Elle bascule alors lentement mais sûrement vers la folie en identifiant Itami comme son père qu’elle cherche depuis des semaines et des semaines. Itami est profondément touché car il a déjà été douloureusement confronté au problème… Il était trop jeune pour avoir pu faire quoi que se soit pour sauver sa mère d’elle-même, mais désormais adulte il ira jusqu’au bout pour sauver Luna quitte à affronter seul duel Shooting Star le terrible dragon rouge responsable de ses Troubles de Stress Post-Traumatique… To Be Continued pour des tomes epicness to the max: coup d’Etat, révolution totalitaire, guerre civile, concours de magie, assassin légendaire et les Sept Mercenaires elfes noirs !
PS: et dire que tout cela est l’adaptation d’une série de light novels… j’aimerai vraiment lire ça en français un jour…
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Un tome particulièrement frustrant, tant le potentiel des auteurs semblent sans limite : j’aimerais dire que c’est le calme avant la tempête, mais on est déjà dans la tempête !
Dans un 1er temps on achève la sous-intrigue Viper, et le tueur manipulateur comment l’erreur d’essayer de l’assassiné durant sa soutenance de thèse : c’est un peu comme si un terroriste avait tenté d’attaquer une salle de concert remplie de forces spéciales. Le deuxième lame du rasoir rappelle à la Team Itami que pendant leur expédition, le sort de l’Empire est en jeu : tandis que les dirigeants installent une dictature fasciste, le peuple appelle de ses vœux une république démocratique… Le message est explicite au Japon où les dirigeants trahissent leur peuple et sa mémoire en lorgnant de plus en plus ouvertement avec les criminels de guerre et contre l’humanité venus du passé. En France on glisse nous lentement vers sûrement, puisqu’avec la législation actuelle on n’aurait même pas pu destituer, juger et condamner le Maréchal Pétain pour haute trahison : les crevards n’ont même pas encore aboli la démocratie qu’ils préparent déjà l’après démocratie ! (sic semper macronis)
Dans un 2e tout est centré sur la Bataille du Palais du Martin-Pêcheur : dans le sang, les larmes et la merde jeunes chevaleresses et vieux légionnaires défendent les derniers espoir du monde libre réfugiés dans l’ambassade japonaise contre leurs propres concitoyens (obligés de combattre contre leur volonté, sous peine d’être exécutés eux et leurs famille, avec des officiers politiques dans leurs dos pour les abattre sans sommation au premier signe de recul : c’est dingue l’apprenti dictateur et ses larbins ressemblent de plus en plus à Macron et à la LREM). Faut-il intervenir ou pas ? Faut-il défendre ses intérêts quitte à cautionner un bain de sang ou défendre ses valeurs quitte à se lancer dans l’enlisement ?
C’est montré par plusieurs points de vue. Comme les journalistes ne racontent que ce qui les arrangent, donc ce qui arrangent leur carrière, donc ce qui arrangent les riches et les puissants, une reporter sœur de militaire et une ancienne prisonnière de guerre font leur propre enquête. Les envoyés des grandes nations font une tournée d’inspection (et l’ex-roi Duran roule des mécaniques à son nouveau de chef des mercenaires d’Alnus), et ils sont comme des enfants dans un magasin de jouets devant les objets les plus merveilleux ou les plus triviaux du Nouveau Monde. On dirait des envoyés soviétiques déboulant chez les très yankee Marchands du Temple, donc pour certains il est temps de faire des affaires. Et pendant ce temps, Zorzal el Caesar plus macroniste que jamais se prend pour Jupiter lui-même et prend son pied en orchestrant le barnum politique censé cirer les pompes de sa bande de sycophantes sans foi ni loi en train de faire sombrer leur pays dans les ténèbres de la crevardise...
Entre Fantasy à tendance Portal et Ecchi à tendance Harem (mdr la double planche qui présente Itami telle que les gens le croit, un héros militaire, et tel que les gens le voit, un otaku entouré de bombasses), les auteurs sont forcément dans la grosse déconne. Et pourtant ils abordent de manière frontale les thèmes les plus sérieux du monde :
- Flat l’astronome elfe en train d’effectuer une révolution copernicienne fait sans le savoir du foreshadowing sur la fameuse Porte...
- Lelei reprend le fameux « science sans conscience n’est que ruine de l’âme » (et donc que d’âmes ruinées de nos jours), et avec des dirigeants élitistes le progrès ne peut être partagé par tous, bien au contraire il n’est qu’élément d’exploitation et de destruction au service des élites autoproclamées
- pourquoi la société s’acharnent à distinguer le puissant du manant, quitte à instaurer de la discrimination et de la ségrégation, bref de la lutte des classes, puisque tous sont des êtes humains agissent de la même manière dans les mêmes situations ?
- pourquoi les journalistes osent parler d’intégrité journalistique quand cette caste dit à haute voix qu’elle n’écoute que ses préjugés et oriente ses papier en fonction de ce qui les arrange ? Ben oui pourquoi cette corporation est celle en laquelle citoyens croient avec des crevards, des parasites et des arracheurs politiciens ???
- la diplomatie doit-elle être idéaliste et fondée sur des valeurs, ou être réaliste et fondée sur des intérêts
- doit-on intervenir dans les affaires d’un autre pays pour son peuple contre ses dirigeants au risque d’un nouvel Afghanistan, ou pire d’un nouveau Vietnam…
Dans les dessins Sao Satoru passe du réalisme au cartoonesque, et ses scènes de batailles aux armes traditionnels ou aux armes modernes dégagent beaucoup de puissance tant que le tragique que dans la violence. Rarement la souffrance n’aura été aussi belle. J’ai presque envie décrire que je n’avais été touché comme cela depuis l’écrivain nord-irlandais Paul Kearney. Mine de rien il est très doué, et je le vois volontiers faire un manga sur l’Empire Romain, ou refaire "Top Gun", "Apocalyspe Now", "Nimitz, retour vers l'enfer", voir carrément adapter le "Codex Aléra" de Jim Butcher !
PS: on continue en bonus de faire de Wolf l’homme-loup capitaine des Mercenaires d’Alnus un sympathique comic relief, et franchement c’est tant mieux car j’ai bien ri quand son chef vient voir s’il ne déshonore pas le nom, la fierté et l’honneur de sa tribu avec ses manières de faire des affaires avec les hommes et les femmes de l’autre monde...
Dans un 1er temps on achève la sous-intrigue Viper, et le tueur manipulateur comment l’erreur d’essayer de l’assassiné durant sa soutenance de thèse : c’est un peu comme si un terroriste avait tenté d’attaquer une salle de concert remplie de forces spéciales. Le deuxième lame du rasoir rappelle à la Team Itami que pendant leur expédition, le sort de l’Empire est en jeu : tandis que les dirigeants installent une dictature fasciste, le peuple appelle de ses vœux une république démocratique… Le message est explicite au Japon où les dirigeants trahissent leur peuple et sa mémoire en lorgnant de plus en plus ouvertement avec les criminels de guerre et contre l’humanité venus du passé. En France on glisse nous lentement vers sûrement, puisqu’avec la législation actuelle on n’aurait même pas pu destituer, juger et condamner le Maréchal Pétain pour haute trahison : les crevards n’ont même pas encore aboli la démocratie qu’ils préparent déjà l’après démocratie ! (sic semper macronis)
Dans un 2e tout est centré sur la Bataille du Palais du Martin-Pêcheur : dans le sang, les larmes et la merde jeunes chevaleresses et vieux légionnaires défendent les derniers espoir du monde libre réfugiés dans l’ambassade japonaise contre leurs propres concitoyens (obligés de combattre contre leur volonté, sous peine d’être exécutés eux et leurs famille, avec des officiers politiques dans leurs dos pour les abattre sans sommation au premier signe de recul : c’est dingue l’apprenti dictateur et ses larbins ressemblent de plus en plus à Macron et à la LREM). Faut-il intervenir ou pas ? Faut-il défendre ses intérêts quitte à cautionner un bain de sang ou défendre ses valeurs quitte à se lancer dans l’enlisement ?
C’est montré par plusieurs points de vue. Comme les journalistes ne racontent que ce qui les arrangent, donc ce qui arrangent leur carrière, donc ce qui arrangent les riches et les puissants, une reporter sœur de militaire et une ancienne prisonnière de guerre font leur propre enquête. Les envoyés des grandes nations font une tournée d’inspection (et l’ex-roi Duran roule des mécaniques à son nouveau de chef des mercenaires d’Alnus), et ils sont comme des enfants dans un magasin de jouets devant les objets les plus merveilleux ou les plus triviaux du Nouveau Monde. On dirait des envoyés soviétiques déboulant chez les très yankee Marchands du Temple, donc pour certains il est temps de faire des affaires. Et pendant ce temps, Zorzal el Caesar plus macroniste que jamais se prend pour Jupiter lui-même et prend son pied en orchestrant le barnum politique censé cirer les pompes de sa bande de sycophantes sans foi ni loi en train de faire sombrer leur pays dans les ténèbres de la crevardise...
Entre Fantasy à tendance Portal et Ecchi à tendance Harem (mdr la double planche qui présente Itami telle que les gens le croit, un héros militaire, et tel que les gens le voit, un otaku entouré de bombasses), les auteurs sont forcément dans la grosse déconne. Et pourtant ils abordent de manière frontale les thèmes les plus sérieux du monde :
- Flat l’astronome elfe en train d’effectuer une révolution copernicienne fait sans le savoir du foreshadowing sur la fameuse Porte...
- Lelei reprend le fameux « science sans conscience n’est que ruine de l’âme » (et donc que d’âmes ruinées de nos jours), et avec des dirigeants élitistes le progrès ne peut être partagé par tous, bien au contraire il n’est qu’élément d’exploitation et de destruction au service des élites autoproclamées
- pourquoi la société s’acharnent à distinguer le puissant du manant, quitte à instaurer de la discrimination et de la ségrégation, bref de la lutte des classes, puisque tous sont des êtes humains agissent de la même manière dans les mêmes situations ?
- pourquoi les journalistes osent parler d’intégrité journalistique quand cette caste dit à haute voix qu’elle n’écoute que ses préjugés et oriente ses papier en fonction de ce qui les arrange ? Ben oui pourquoi cette corporation est celle en laquelle citoyens croient avec des crevards, des parasites et des arracheurs politiciens ???
- la diplomatie doit-elle être idéaliste et fondée sur des valeurs, ou être réaliste et fondée sur des intérêts
- doit-on intervenir dans les affaires d’un autre pays pour son peuple contre ses dirigeants au risque d’un nouvel Afghanistan, ou pire d’un nouveau Vietnam…
Dans les dessins Sao Satoru passe du réalisme au cartoonesque, et ses scènes de batailles aux armes traditionnels ou aux armes modernes dégagent beaucoup de puissance tant que le tragique que dans la violence. Rarement la souffrance n’aura été aussi belle. J’ai presque envie décrire que je n’avais été touché comme cela depuis l’écrivain nord-irlandais Paul Kearney. Mine de rien il est très doué, et je le vois volontiers faire un manga sur l’Empire Romain, ou refaire "Top Gun", "Apocalyspe Now", "Nimitz, retour vers l'enfer", voir carrément adapter le "Codex Aléra" de Jim Butcher !
PS: on continue en bonus de faire de Wolf l’homme-loup capitaine des Mercenaires d’Alnus un sympathique comic relief, et franchement c’est tant mieux car j’ai bien ri quand son chef vient voir s’il ne déshonore pas le nom, la fierté et l’honneur de sa tribu avec ses manières de faire des affaires avec les hommes et les femmes de l’autre monde...
Avec "Gate, au de-là de la porte", nous sommes dans un manga seinen dédié à la Portal Fantasy à la "Stargate" !
Un empire high fantasy décide de continuer son expansion en ouvrant une porte entre les dimensions… pour se retrouver au beau milieu du quartier de Shinjuku à Tokyo la capitale du Japon ! Orcs, trolls, chevaucheurs de reptiles ailés, légionnaires et chevaliers ne font pas le poids face à une armée moderne avec mitraillettes, bazookas, blindés et hélicoptères… et la tuerie continue de l'autre côté du portail lors de la Bataille de la Plaine d'Alnus où le retorse empereur à fait convier l'intégralité des troupes de ses alliés pour qu'elles s'y fassent tailler en pièces...
Ce tome 2 est largement consacré à la Bataille d’Italica où s’en donnent à cœur joie Rory Mercury l’apôtre du Dieu de la Mort, les membres de la 3e patrouille d’exploration du lieutenant Yôji Itami et les renforts aéroportés possédés par le fantôme du Colonel Kilgore (remember la Chevauchée des Walkyries dans le film "Apocalypse Now" ^^).
https://www.youtube.com/watch?v=g6gcz4hdLA8
La suite du tome est moins violente, avec notre antihéros victime d’un malentendu puisque quelques heures après l’armistice signé avec la Princesse Pina Co Lada il se fait méchamment passé à tabac par ses chevalières… La Princesse somme leur chef, Bozès Co Palesty, surnommé Lady Oscar par les membres masculins des FJA, de se faire pardonner à tout prix quitte à payer de sa personne… (Et c’est ainsi qu’elle déboule en nuisette dans la chambre d’Itami en pleine pyjama party avec la domesticité inter espèces du défunt comte d’Italica… mdr)
Dans le cadre du processus de paix, une délégation de l’autre monde est envoyée au Japon : To Be Continued ! (et le répertoire de notre feignasse célibataire ne contient que 2 contacts : son ex-femme Risa et le Ministre Tarô ^^)
Un empire high fantasy décide de continuer son expansion en ouvrant une porte entre les dimensions… pour se retrouver au beau milieu du quartier de Shinjuku à Tokyo la capitale du Japon ! Orcs, trolls, chevaucheurs de reptiles ailés, légionnaires et chevaliers ne font pas le poids face à une armée moderne avec mitraillettes, bazookas, blindés et hélicoptères… et la tuerie continue de l'autre côté du portail lors de la Bataille de la Plaine d'Alnus où le retorse empereur à fait convier l'intégralité des troupes de ses alliés pour qu'elles s'y fassent tailler en pièces...
Ce tome 2 est largement consacré à la Bataille d’Italica où s’en donnent à cœur joie Rory Mercury l’apôtre du Dieu de la Mort, les membres de la 3e patrouille d’exploration du lieutenant Yôji Itami et les renforts aéroportés possédés par le fantôme du Colonel Kilgore (remember la Chevauchée des Walkyries dans le film "Apocalypse Now" ^^).
https://www.youtube.com/watch?v=g6gcz4hdLA8
La suite du tome est moins violente, avec notre antihéros victime d’un malentendu puisque quelques heures après l’armistice signé avec la Princesse Pina Co Lada il se fait méchamment passé à tabac par ses chevalières… La Princesse somme leur chef, Bozès Co Palesty, surnommé Lady Oscar par les membres masculins des FJA, de se faire pardonner à tout prix quitte à payer de sa personne… (Et c’est ainsi qu’elle déboule en nuisette dans la chambre d’Itami en pleine pyjama party avec la domesticité inter espèces du défunt comte d’Italica… mdr)
Dans le cadre du processus de paix, une délégation de l’autre monde est envoyée au Japon : To Be Continued ! (et le répertoire de notre feignasse célibataire ne contient que 2 contacts : son ex-femme Risa et le Ministre Tarô ^^)
Ce tome 4 est décidément très bien rempli :
- il y a une partie économie limite néocoloniale, où les marchandises japonaises de plus en plus prisés par les habitants de l'autre monde permettent de rapatrier des quantités importantes de métaux précieux, où les employés indigènes s'interrogent sur les mystérieux « congés payés », et où tout le monde se rue sur un mystérieux produit appelé « PQ» (ajoutons l'ordinateur portable de Lelei La Lalena, le trafic de mangas yaoi initié par les Chevalières de la Rose, où les tapineuses des bordels de la capitale qui se ravitaillent en contraceptifs)
- il y a une partie politique limite néocoloniale, où au Sénat de l'Empire les diplomates japonais tentent de se frayer un chemin entre les pacifistes de la Princesse Pina Co Lada et les bellicistes du Prince Zorzal El Caesar (principal acteur d'un scène BDSM dont on aurait pu se passer) pour obtenir des réparations de guerres extravagantes, plus des concessions territoriales, plus des concessions minières (attention, le Japon a commencé comme cela en Chine à la fin du XIXe siècle pour finir avec 2 bombes atomiques sur le coin de la gueule à Hiroshima et Nagasaki !)
- mais il y a un côté tragicomique avec les mésaventures de Yao Haa Dushi (on t'a reconnu Pirotess de Lodoss ^^) l'elfe noire la plus malchanceuse du monde qui a été chargée par les siens de demander l'aide des « hommes en vert » pour se débarrasser d'un dragon manchot cracheur de feu (voir tome 1)
- il y a un côté action movie avec les FJA qui doivent s'imposer face aux cartels du crime des Gonzori, des Méduses, des Paramount et des Bessara pour pouvoir s'implanter dans la capitale impériale… Et au final c'est toutes leurs tapineuses qui demandent l'aide de la team Itami !
Sinon Lelei La Lalena applique les principes de Lavoiser à la pratique de la magie, et le résultat est détonnant : se dirige-t-on vers la conception d'Armes de Destruction Magiques ?
- il y a une partie économie limite néocoloniale, où les marchandises japonaises de plus en plus prisés par les habitants de l'autre monde permettent de rapatrier des quantités importantes de métaux précieux, où les employés indigènes s'interrogent sur les mystérieux « congés payés », et où tout le monde se rue sur un mystérieux produit appelé « PQ» (ajoutons l'ordinateur portable de Lelei La Lalena, le trafic de mangas yaoi initié par les Chevalières de la Rose, où les tapineuses des bordels de la capitale qui se ravitaillent en contraceptifs)
- il y a une partie politique limite néocoloniale, où au Sénat de l'Empire les diplomates japonais tentent de se frayer un chemin entre les pacifistes de la Princesse Pina Co Lada et les bellicistes du Prince Zorzal El Caesar (principal acteur d'un scène BDSM dont on aurait pu se passer) pour obtenir des réparations de guerres extravagantes, plus des concessions territoriales, plus des concessions minières (attention, le Japon a commencé comme cela en Chine à la fin du XIXe siècle pour finir avec 2 bombes atomiques sur le coin de la gueule à Hiroshima et Nagasaki !)
- mais il y a un côté tragicomique avec les mésaventures de Yao Haa Dushi (on t'a reconnu Pirotess de Lodoss ^^) l'elfe noire la plus malchanceuse du monde qui a été chargée par les siens de demander l'aide des « hommes en vert » pour se débarrasser d'un dragon manchot cracheur de feu (voir tome 1)
- il y a un côté action movie avec les FJA qui doivent s'imposer face aux cartels du crime des Gonzori, des Méduses, des Paramount et des Bessara pour pouvoir s'implanter dans la capitale impériale… Et au final c'est toutes leurs tapineuses qui demandent l'aide de la team Itami !
Sinon Lelei La Lalena applique les principes de Lavoiser à la pratique de la magie, et le résultat est détonnant : se dirige-t-on vers la conception d'Armes de Destruction Magiques ?
Dans ce tome 6, le lieutenant Itami, otaku adulescent, est toujours en charge d'une Elfe âgée de 165 ans qui le prend pour son père… Il veut absolument qu'elle ne subisse pas le même que sa mère qui s'elle enfoncée d'elle-même dans les ténèbres de la folie, mais il ne souhaite pas pour autant risquer la vie des hommes et des femmes sous son commandement. C'est donc seul qu'il décide de partir affronter du frère caché de Shooting Star, le terrible dragon rouge de la saga fantasy "Lodoss", même si au final c'est tout son harem fantasy qui l'accompagne… Mais il ne sait pas que son courage a ému un vieux paysan mutilé pris en charge par les FJA, qui se révèle être le roi d'Elbe qui a survécu au massacre de la Bataille de la Porte et qui n'hésite pas à troquer les ressources de son royaume pour que toute l'armée japonaise parte à son secours ! Pendant ce temps, Delilah l'amazone lapine est manipulée pour assassiner Noriko l'esclave japonaise arrachée aux mains du Prince Zorzal tandis qu'Hitoshi infiltre les cuisines dudit Prince Zorzal… le drame survient : d'un mal peut-il sortir un bien ?
Le gros délire du "Stargate" fantasy continue, et malgré les boobs et les petites culottes il y a pas mal de dialogues mine de rien très intéressants car très antisystèmes. On rencontre quantité de personnages typiquement corporate qui ne jurent que par le travail et la carrière et qui méprisent Itami mais aussi le jalousent car le flemmard qui fait passer ses loisirs avant son travail rallie tout le monde à sa cause… Ils n'ont pas compris que ce dernier était un altruiste qui ne jurait que la générosité alors qu'ils étaient tous des individualistes ne jurant que par l'argent roi. Autrefois on mettait sur un piédestal ceux qui donnaient le plus, aujourd'hui on met sur un piédestal ceux qui possèdent le plus (souvent après avoir pris pour ne pas dire avoir volé le plus) : Monde de Merde certes, mais il n'est jamais trop tard en changer !
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Le gros délire du "Stargate" fantasy continue, et malgré les boobs et les petites culottes il y a pas mal de dialogues mine de rien très intéressants car très antisystèmes. On rencontre quantité de personnages typiquement corporate qui ne jurent que par le travail et la carrière et qui méprisent Itami mais aussi le jalousent car le flemmard qui fait passer ses loisirs avant son travail rallie tout le monde à sa cause… Ils n'ont pas compris que ce dernier était un altruiste qui ne jurait que la générosité alors qu'ils étaient tous des individualistes ne jurant que par l'argent roi. Autrefois on mettait sur un piédestal ceux qui donnaient le plus, aujourd'hui on met sur un piédestal ceux qui possèdent le plus (souvent après avoir pris pour ne pas dire avoir volé le plus) : Monde de Merde certes, mais il n'est jamais trop tard en changer !
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Une armée médiévale a attaquée le Japon contemporain. Yoji un soldat effacé fan de manga se retrouve proclamé héros et envoyé en reconnaissance vers ce nouveau monde. Il ramène avec lui des émissaires.
Dans ce troisième volume, retour au Japon où Itami doit escorter et assurer la sécurité du groupe des cinq filles. Mais les forces des autres puissances convoitent assidûment ces représentantes.
Les Etats-Unis, mais aussi la Russie et la Chine veulent tenter de s’emparer de ces habitants afin d’envisager de s’accaparer de ces nouveaux territoires et ses richesses.
Itami va devoir trouver secours chez son ancienne épouse…
Un tome qui se concentre sur la découverte du Japon et de ses coutumes : la cuisine, les habits mais aussi les sources chaudes seront à l’honneur.
Le héros, adepte d’héroïc fantasy, semble admirer pour des raisons différentes chacune de ces femmes. Elfe, mage, demi-déesse ou encore héritière de l’empire, elles ont chacune les qualités pour l’entraîner dans cette aventure unique.
Les liens entre les deux mondes se tissent, chacun prenant conscience de ses différences et de la puissance de l’autre…
A suivre !
Lien : http://www.nouveautes-jeunes..
Dans ce troisième volume, retour au Japon où Itami doit escorter et assurer la sécurité du groupe des cinq filles. Mais les forces des autres puissances convoitent assidûment ces représentantes.
Les Etats-Unis, mais aussi la Russie et la Chine veulent tenter de s’emparer de ces habitants afin d’envisager de s’accaparer de ces nouveaux territoires et ses richesses.
Itami va devoir trouver secours chez son ancienne épouse…
Un tome qui se concentre sur la découverte du Japon et de ses coutumes : la cuisine, les habits mais aussi les sources chaudes seront à l’honneur.
Le héros, adepte d’héroïc fantasy, semble admirer pour des raisons différentes chacune de ces femmes. Elfe, mage, demi-déesse ou encore héritière de l’empire, elles ont chacune les qualités pour l’entraîner dans cette aventure unique.
Les liens entre les deux mondes se tissent, chacun prenant conscience de ses différences et de la puissance de l’autre…
A suivre !
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Yoji Hitami, otaku de son état, allait dans un salon quand la ville a été attaquée par des trolls, des dragons et des soldats en armure, tout droit sortis d'une énorme porte qui est apparue entre leur monde et le notre. Militaire avant tout, Yoji prend les choses en main, ce qui lui vaut - une fois l'assaut passé - d'être nommé commandant d'une des six patrouilles qui vont découvrir l'autre côté de la porte...
Une porte séparant un monde d'un autre ? Ce n'est pas sans rappeler la série Stargate. Mais ici, ce sont les forces militaires du Japon qui vont découvrir un Empire en plein moyen-âge, sous fond de fantasy. Entre dragons, elfes, mages et même une demi-déesse, c'est tout un monde - des peuples - à découvrir. Cela reste facile à suivre, le passage d'un monde à l'autre est assez fluide. De plus, les informations nous sont données très rapidement, pour une meilleure compréhension de ce nouvel univers. J'ai totalement adoré ce mélange, et les premières pages m'ont très vite captivée.
D'ailleurs, ce premier volume démarre sur les chapeaux de roues ! On ouvre le bal sur l'invasion - ces créatures semblant sortir tout droit d'un film débarquant chez nous. Et pas le temps de chipoter, car on embarque très rapidement avec la patrouille de Yoji. C'est bien plus que poser les bases de l'univers : on y saute à pieds joints directement !
Nous suivons également la réaction des gouvernements, ceux de notre monde comme ceux au-delà de la porte. Cela apporte toute une dimension politique à Gate et nous permet de constater que les deux univers ne sont pas différents que ça sur certains points. Mais cela reste différents peuples, différentes cultures qui vont devoir apprendre à se connaître et à s'apprivoiser, tant au niveau de leurs stratégies militaires, que leurs mœurs.
Gate - Au-delà de la porte apporte un scénario original et mature, mais qui ne reste pas dénué d'humour. Que ce soit du côté japonais avec Yoji, véritable otaku qui n'en rate pas une avec ses collègues - tout en étant très sérieux quand il s'agit de mener à bien sa mission - , ou les habitants de l'autre côté de la porte quand ils découvrent les vêtements, les armes et les véhicules qui n'ont rien à voir avec les leurs.
Côté graphismes, sans avoir des dessins à couper le souffle, Satoru Sao a réussi à rester cohérent. Pour toute la partie qui se passe dans notre monde ou avec la patrouille, on remarquera un réel effort de recherche pour ce qui est des armes, des véhicules et des tenues militaires, mais aussi un véritable soin apporté aux armures des soldats de l'autre côté de la porte. Les personnages, bien que nombreux - mais tellement importants chacun à leur façon - sont tous recherchés et très bien détaillés. Une mention spéciale à Rory Mercury dont le chara design me plaît beaucoup ! Les scènes de batailles ne sont pas trop nombreuses et on passe facilement d'une vue d'ensemble à un zoom sur des points importants, tant c'est fluide. Niveau décors, ici on a un sans faute, ils posent l'ambiance à merveille et sont suffisamment détaillés pour que l'on devine en un clin d’œil où on se trouve.
En bref, ce premier volume de Gate - Au-delà de la porte nous annonce une série prometteuse. On est vite plongés dans un univers original, qui oscille entre monde moderne et un Empire très fantasy. J'ai hâte de voir les différentes intrigues politiques se développer, ce qui ne manquera pas d'être très intéressant. Une série à suivre, donc !
Lien : http://onceuponatime.ek.la/g..
Une porte séparant un monde d'un autre ? Ce n'est pas sans rappeler la série Stargate. Mais ici, ce sont les forces militaires du Japon qui vont découvrir un Empire en plein moyen-âge, sous fond de fantasy. Entre dragons, elfes, mages et même une demi-déesse, c'est tout un monde - des peuples - à découvrir. Cela reste facile à suivre, le passage d'un monde à l'autre est assez fluide. De plus, les informations nous sont données très rapidement, pour une meilleure compréhension de ce nouvel univers. J'ai totalement adoré ce mélange, et les premières pages m'ont très vite captivée.
D'ailleurs, ce premier volume démarre sur les chapeaux de roues ! On ouvre le bal sur l'invasion - ces créatures semblant sortir tout droit d'un film débarquant chez nous. Et pas le temps de chipoter, car on embarque très rapidement avec la patrouille de Yoji. C'est bien plus que poser les bases de l'univers : on y saute à pieds joints directement !
Nous suivons également la réaction des gouvernements, ceux de notre monde comme ceux au-delà de la porte. Cela apporte toute une dimension politique à Gate et nous permet de constater que les deux univers ne sont pas différents que ça sur certains points. Mais cela reste différents peuples, différentes cultures qui vont devoir apprendre à se connaître et à s'apprivoiser, tant au niveau de leurs stratégies militaires, que leurs mœurs.
Gate - Au-delà de la porte apporte un scénario original et mature, mais qui ne reste pas dénué d'humour. Que ce soit du côté japonais avec Yoji, véritable otaku qui n'en rate pas une avec ses collègues - tout en étant très sérieux quand il s'agit de mener à bien sa mission - , ou les habitants de l'autre côté de la porte quand ils découvrent les vêtements, les armes et les véhicules qui n'ont rien à voir avec les leurs.
Côté graphismes, sans avoir des dessins à couper le souffle, Satoru Sao a réussi à rester cohérent. Pour toute la partie qui se passe dans notre monde ou avec la patrouille, on remarquera un réel effort de recherche pour ce qui est des armes, des véhicules et des tenues militaires, mais aussi un véritable soin apporté aux armures des soldats de l'autre côté de la porte. Les personnages, bien que nombreux - mais tellement importants chacun à leur façon - sont tous recherchés et très bien détaillés. Une mention spéciale à Rory Mercury dont le chara design me plaît beaucoup ! Les scènes de batailles ne sont pas trop nombreuses et on passe facilement d'une vue d'ensemble à un zoom sur des points importants, tant c'est fluide. Niveau décors, ici on a un sans faute, ils posent l'ambiance à merveille et sont suffisamment détaillés pour que l'on devine en un clin d’œil où on se trouve.
En bref, ce premier volume de Gate - Au-delà de la porte nous annonce une série prometteuse. On est vite plongés dans un univers original, qui oscille entre monde moderne et un Empire très fantasy. J'ai hâte de voir les différentes intrigues politiques se développer, ce qui ne manquera pas d'être très intéressant. Une série à suivre, donc !
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Dans le second volume, qui comporte de nombreuses références au film Apocalypse Now, nous ferons plus ample connaissance avec la fille de l'empereur qui a constitué un régiment de filles et qui est bien décidée à faire ses preuves. Ce sera aussi l'occasion de vivre un siège.
Un manga captivant et original qui combine des éléments très disparates. A la bienveillance du héros se superpose la réalité de la guerre. Il va rencontrer des êtres différents comme des elfes, une représentante du dieu de la mort ou encore des mages et chevaliers.
L'univers est complexe avec de la politique et beaucoup de stratégie. Mais on trouve aussi de l'humour et de l'humanité. Le décalage entre la position officielle du héros et les actes simples qu'il accomplit sans se poser de question apporte de la fraîcheur au récit.
Une série qui peut plaire à un large public tant il comporte de dimensions différentes : stratégie militaire, humour, lutte, choix, mort, condition féminine, manipulation...
A lire !
Un manga captivant et original qui combine des éléments très disparates. A la bienveillance du héros se superpose la réalité de la guerre. Il va rencontrer des êtres différents comme des elfes, une représentante du dieu de la mort ou encore des mages et chevaliers.
L'univers est complexe avec de la politique et beaucoup de stratégie. Mais on trouve aussi de l'humour et de l'humanité. Le décalage entre la position officielle du héros et les actes simples qu'il accomplit sans se poser de question apporte de la fraîcheur au récit.
Une série qui peut plaire à un large public tant il comporte de dimensions différentes : stratégie militaire, humour, lutte, choix, mort, condition féminine, manipulation...
A lire !
Les récits de porte qui s'ouvre sur un autre monde sont plutôt en abondance ces dernières années. L'originalité viendrait du fait qu'il y a la coexistance entre un monde d'héroïc fantasy et notre monde moderne où certains dirigeants vont se frotter les mains. Bref, un mélange de genre parfaitement assumé.
Question crédibilité, il faudra cependant repasser. Si j'étais un empereur à la tête de soldats romains, je m'y prendrais à deux fois avant d'envoyer toutes mes légions affronter des chars et des missiles dans une autre dimension. Ce n'est pas avec trois dragons qu'on peut conquérir la terre de notre époque contemporaine.
Pour le reste, c'est plutôt bien dessiné avec une qualité de mise dans le trait graphique et le divertissement est assuré malgré des personnages surjoués.
Question crédibilité, il faudra cependant repasser. Si j'étais un empereur à la tête de soldats romains, je m'y prendrais à deux fois avant d'envoyer toutes mes légions affronter des chars et des missiles dans une autre dimension. Ce n'est pas avec trois dragons qu'on peut conquérir la terre de notre époque contemporaine.
Pour le reste, c'est plutôt bien dessiné avec une qualité de mise dans le trait graphique et le divertissement est assuré malgré des personnages surjoués.
Gate est un manga qui fait pas mal de parler de lui, surtout depuis 2015 avec la sortie de son animé. Un univers militaire mélangé avec de la fantasy tout en étant initialement un Light Novel. Je n’ai pas vu l’animé, donc c’est donc une nouvelle histoire que je découvre directement avec les deux tomes du manga sorti en simultanée chez Ototo Manga.
Une mystérieuse porte est apparue an plein Tokyo. Une ouverture vers un autre monde qui attire les différents dirigeants du monde qui y voit une opportunité de conquérir des territoires plus grands pour leurs nations. Sauf que ce Nouveau Monde est rempli de créatures mystérieuses et d’êtres humains qui veulent conquérir notre monde. Armée repoussée et le gouvernement japonais décide d’y envoyer sa propre force spéciale pour noué des liens avec les diverses populations de ce Nouveau Monde. La tâche est confiée au lieutenant Itami Yôji qui sera en charge de la 3e patrouille de reconnaissance. Que verront-ils au-delà de la porte ? Sauront-ils nouer des liens avec l’autre monde ? Une guerre de contrôle de la porte ne va-t-elle pas se déclencher ?
Je ne suis pas du tout callé avec toute la structure du corps militaire, et je trouve même cela assez repoussant au premier abord vu qu’il y a plein de noms, de grade, de structure très carrée et compliquer à prendre en mains quand on n’y connait pas grand-chose. Et pourtant ici, les grades ne sont pas vraiment mis en avant. On sait juste qu’Itami gère l’équipe numéro 3, qu’ils sont en charge de visité ce Nouveau Monde, et qu’il fait aussi un peu office de chair à canon. Clairement le personnage est à l’antipode de ce qu’on pourrait imaginer d’un chef de régiment. Il le dit lui-même, il est devenu militaire pour profiter du temps libre et ainsi pouvoir assouvir sa passion d’Otaku en paix ! Son équipe sent clairement « les boulets » de l’armée qu’on envoie sur place, et s’il y a un dérapage et qu’ils ne reviennent pas, ce n’est pas une grosse perte. Une situation qui passe totalement au-dessus de la tête du groupe qui est plutôt content de découvrir un Nouveau Monde, rempli d’Elfe et dragon.
Grâce à ton thème militaire, mais aussi en grande partie avec ses graphismes, le manga fait très sérieux. On sent très clairement le Seinen, qui possède un réel conflit, des enjeux et au milieu de cette tempête il y a l’unité 3 qui rapporte un peu de légèreté grâce à leurs actions un peu décalées par moment, mais qui somme toute sont efficaces et sait agir quand il le faut. De plus, les tomes sont assez épais, l’intrigue prend son temps sans être longue, on a vraiment un bon rythme plaisant qui permet sans aucun mal de se projeter dans le récit, sans la sensation de voir des ellipses à tout bout de champs pour faire avancer l’histoire le plus rapidement possible !
En conclusion, un manga adulte, qui grave aux deux premiers tomes pose l’intrigue qui semble être complet et surtout complexe. On peut sens mal imaginer un nombre incalculable de situations et de scénario possible dans l’avenir de notre groupe. Une situation qui pourrait sans mal prendre place dans notre propre monde si demain, une porte à la Star Gâte apparaissait au milieu de nulle part…
Lien : http://theshadowbooks.blogsp..
Une mystérieuse porte est apparue an plein Tokyo. Une ouverture vers un autre monde qui attire les différents dirigeants du monde qui y voit une opportunité de conquérir des territoires plus grands pour leurs nations. Sauf que ce Nouveau Monde est rempli de créatures mystérieuses et d’êtres humains qui veulent conquérir notre monde. Armée repoussée et le gouvernement japonais décide d’y envoyer sa propre force spéciale pour noué des liens avec les diverses populations de ce Nouveau Monde. La tâche est confiée au lieutenant Itami Yôji qui sera en charge de la 3e patrouille de reconnaissance. Que verront-ils au-delà de la porte ? Sauront-ils nouer des liens avec l’autre monde ? Une guerre de contrôle de la porte ne va-t-elle pas se déclencher ?
Je ne suis pas du tout callé avec toute la structure du corps militaire, et je trouve même cela assez repoussant au premier abord vu qu’il y a plein de noms, de grade, de structure très carrée et compliquer à prendre en mains quand on n’y connait pas grand-chose. Et pourtant ici, les grades ne sont pas vraiment mis en avant. On sait juste qu’Itami gère l’équipe numéro 3, qu’ils sont en charge de visité ce Nouveau Monde, et qu’il fait aussi un peu office de chair à canon. Clairement le personnage est à l’antipode de ce qu’on pourrait imaginer d’un chef de régiment. Il le dit lui-même, il est devenu militaire pour profiter du temps libre et ainsi pouvoir assouvir sa passion d’Otaku en paix ! Son équipe sent clairement « les boulets » de l’armée qu’on envoie sur place, et s’il y a un dérapage et qu’ils ne reviennent pas, ce n’est pas une grosse perte. Une situation qui passe totalement au-dessus de la tête du groupe qui est plutôt content de découvrir un Nouveau Monde, rempli d’Elfe et dragon.
Grâce à ton thème militaire, mais aussi en grande partie avec ses graphismes, le manga fait très sérieux. On sent très clairement le Seinen, qui possède un réel conflit, des enjeux et au milieu de cette tempête il y a l’unité 3 qui rapporte un peu de légèreté grâce à leurs actions un peu décalées par moment, mais qui somme toute sont efficaces et sait agir quand il le faut. De plus, les tomes sont assez épais, l’intrigue prend son temps sans être longue, on a vraiment un bon rythme plaisant qui permet sans aucun mal de se projeter dans le récit, sans la sensation de voir des ellipses à tout bout de champs pour faire avancer l’histoire le plus rapidement possible !
En conclusion, un manga adulte, qui grave aux deux premiers tomes pose l’intrigue qui semble être complet et surtout complexe. On peut sens mal imaginer un nombre incalculable de situations et de scénario possible dans l’avenir de notre groupe. Une situation qui pourrait sans mal prendre place dans notre propre monde si demain, une porte à la Star Gâte apparaissait au milieu de nulle part…
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Je ne vais pas y aller par quatre chemins : je n'ai pas du tout adhéré à ce début de saga. Pourtant le synopsis est vraiment attrayant mais dès les premières cases parcourues, j'ai senti qu'il y allait avoir un différent entre les mangakas et moi.
Si je n'avais pas reçu ce livre grâce à Livraddict - que je remercie fortement pour ce partenariat que j'avais demandé parce que j'aime découvrir de nouveaux mangas - je l'aurais clairement abandonné. Mais bon, ½ heure, ça passe vite surtout quand on lit ce genre d'ouvrage même si ma patience a été mise à dure épreuve.
J'ai senti dès les premières images que cette histoire n'allait pas me plaire. Cela s'est confirmé et à l'heure actuelle, c'est encore le cas. Après, je ne sais pas si c'est moi qui ai mal interprété les intentions des auteurs ou si c'est carrément un style satyrique qui ne correspond pas à l'humour que j'attends et que j'ai ressenti alors qu'il n'y a avais pas lieu d'être. Je ne sais vraiment pas mais ce qui est sûr c'est que n'ai pas aimé.
Je m'explique...
La première scène laisse présager de grandes batailles épiques entre le monde moderne et un univers fantasy où les soldats armés de lances et de boucliers doivent faire face aux armes à feux et bombes incendiaires. Mais voilà, déjà je n'ai pas tout compris à ce qui se trame. On découvre que les enjeux politiques sont aussi importants d'un côté comme de l'autre mais je n'ai pas bien saisi les intentions des gouverneurs de l'autre monde.
J'ai eu l'impression que l'Empereur faisait une guerre de pouvoir mais sa volonté d'envahir le japon moderne est restée floue.
Cependant, ce qui m'a dérangé c'est la violence gratuite qui transparaît dans toutes les scènes de combats ou pas d'ailleurs. Les corps déchiquetés, les viols et j'en passe. Par un dessin généraliste - vous ne verrez pas des scènes trop gores non plus - j'ai eu l'impression que les auteurs se moquaient un peu de la guerre. D'autant plus quand un soldat japonais vous annonce que son escouade vient de faire 20 000 morts tout en sifflotant et en se baladant au milieu des corps sanguinolents. Non... Vraiment .... Je n'ai pas du tout compris l'intérêt de ce genre de mise en scène.
Au début, j'ai cru que le personnage principal était là pour détendre un peu cette atmosphère rendue lourde par les conflits. Otaku avéré et apparemment pas le meilleur soldat japonais qui soit, il a ce comportement laxiste qui prend tout à la légère et limite "demeuré". Pour moi, c'est vraiment cet humour absurde mêlé à de l'humour noir qui m'a posé problème. Ce style satyrique ne m'a pas convenu ni convaincu.
Concernant l'histoire à proprement parlé, j'ai bien aimé le monde parallèle dont les origines "fantasy" sont établies sans nul doute possible. Des elfes, un royaume, des terres cultivées, des petits villages et un paysage vallonné .... On comprend l'intérêt des nations à vouloir contrôler ce beau petit monde mais ça reste un peu vague pour moi. Certes, il va falloir un certain temps pour que les deux cultures puissent se comprendre mais les scènes de guerre arrivent peut-être trop vite. En revanche, certains aspects dans la protection des villageois et l'apprentissage entre les japonais et les habitants "ruraux" ne manquent pas d'intérêt. Certains personnages m'ont l'air aussi intéressant qu'énigmatique. Je pense à l'elfe qui n'a pas encore de rôle défini dans l'histoire - l'apôtre de la mort de 900 ans dont on se demande encore le pourquoi de son arrivée et enfin, l'apprenti magicien qui possède cette retenue sans être pour le moins dénué de curiosité.
Bref, un manga too much pour moi mais qui pourrait sans doute plaire à un public plus ciblé aimant les paysages fantasy et les guerres entre univers.
Lien : http://melimelobooks.blogspo..
Si je n'avais pas reçu ce livre grâce à Livraddict - que je remercie fortement pour ce partenariat que j'avais demandé parce que j'aime découvrir de nouveaux mangas - je l'aurais clairement abandonné. Mais bon, ½ heure, ça passe vite surtout quand on lit ce genre d'ouvrage même si ma patience a été mise à dure épreuve.
J'ai senti dès les premières images que cette histoire n'allait pas me plaire. Cela s'est confirmé et à l'heure actuelle, c'est encore le cas. Après, je ne sais pas si c'est moi qui ai mal interprété les intentions des auteurs ou si c'est carrément un style satyrique qui ne correspond pas à l'humour que j'attends et que j'ai ressenti alors qu'il n'y a avais pas lieu d'être. Je ne sais vraiment pas mais ce qui est sûr c'est que n'ai pas aimé.
Je m'explique...
La première scène laisse présager de grandes batailles épiques entre le monde moderne et un univers fantasy où les soldats armés de lances et de boucliers doivent faire face aux armes à feux et bombes incendiaires. Mais voilà, déjà je n'ai pas tout compris à ce qui se trame. On découvre que les enjeux politiques sont aussi importants d'un côté comme de l'autre mais je n'ai pas bien saisi les intentions des gouverneurs de l'autre monde.
J'ai eu l'impression que l'Empereur faisait une guerre de pouvoir mais sa volonté d'envahir le japon moderne est restée floue.
Cependant, ce qui m'a dérangé c'est la violence gratuite qui transparaît dans toutes les scènes de combats ou pas d'ailleurs. Les corps déchiquetés, les viols et j'en passe. Par un dessin généraliste - vous ne verrez pas des scènes trop gores non plus - j'ai eu l'impression que les auteurs se moquaient un peu de la guerre. D'autant plus quand un soldat japonais vous annonce que son escouade vient de faire 20 000 morts tout en sifflotant et en se baladant au milieu des corps sanguinolents. Non... Vraiment .... Je n'ai pas du tout compris l'intérêt de ce genre de mise en scène.
Au début, j'ai cru que le personnage principal était là pour détendre un peu cette atmosphère rendue lourde par les conflits. Otaku avéré et apparemment pas le meilleur soldat japonais qui soit, il a ce comportement laxiste qui prend tout à la légère et limite "demeuré". Pour moi, c'est vraiment cet humour absurde mêlé à de l'humour noir qui m'a posé problème. Ce style satyrique ne m'a pas convenu ni convaincu.
Concernant l'histoire à proprement parlé, j'ai bien aimé le monde parallèle dont les origines "fantasy" sont établies sans nul doute possible. Des elfes, un royaume, des terres cultivées, des petits villages et un paysage vallonné .... On comprend l'intérêt des nations à vouloir contrôler ce beau petit monde mais ça reste un peu vague pour moi. Certes, il va falloir un certain temps pour que les deux cultures puissent se comprendre mais les scènes de guerre arrivent peut-être trop vite. En revanche, certains aspects dans la protection des villageois et l'apprentissage entre les japonais et les habitants "ruraux" ne manquent pas d'intérêt. Certains personnages m'ont l'air aussi intéressant qu'énigmatique. Je pense à l'elfe qui n'a pas encore de rôle défini dans l'histoire - l'apôtre de la mort de 900 ans dont on se demande encore le pourquoi de son arrivée et enfin, l'apprenti magicien qui possède cette retenue sans être pour le moins dénué de curiosité.
Bref, un manga too much pour moi mais qui pourrait sans doute plaire à un public plus ciblé aimant les paysages fantasy et les guerres entre univers.
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L'armée du Japon est confrontée à l'attaque d'une puissance inconnue qui semble tout droit sortie d'un univers de médiéval fantasy.
Ils écrasent leurs assaillants et les repoussent au-delà de la porte. Mais les politiques décident alors d'envoyer des éclaireurs en reconnaissance afin de mieux évaluer la situation.
Saurait- il possible de conquérir ces nouveaux espaces ?
Yôji Itami est nommé responsable de la troisième patrouille de reconnaissance. Repéré pour sa réactivité lors des événements, il se voit propulsé au plus près d'une réalité qui se rapproche de ses jeux et de ses livres préférés.
Au lieu d'avoir un regard militaire, il choisit de venir en aide à la population sacrifiée qu'il rencontre. Mais les dangers sont nombreux et notamment des dragons...
Un manga captivant et original qui combine des éléments très disparates. A la bienveillance du héros se superpose la réalité de la guerre. Il va rencontrer des êtres différents comme des elfes, une représentante du dieu de la mort ou encore des mages et chevaliers.
L'univers est complexe avec de la politique et beaucoup de stratégie. Mais on trouve aussi de l'humour et de l'humanité. Le décalage entre la position officielle du héros et les actes simples qu'il accomplit sans se poser de question apporte de la fraîcheur au récit.
Une série qui peut plaire à un large public tant il comporte de dimensions différentes : stratégie militaire, humour, lutte, choix, mort, condition féminine, manipulation...
A lire !
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Ils écrasent leurs assaillants et les repoussent au-delà de la porte. Mais les politiques décident alors d'envoyer des éclaireurs en reconnaissance afin de mieux évaluer la situation.
Saurait- il possible de conquérir ces nouveaux espaces ?
Yôji Itami est nommé responsable de la troisième patrouille de reconnaissance. Repéré pour sa réactivité lors des événements, il se voit propulsé au plus près d'une réalité qui se rapproche de ses jeux et de ses livres préférés.
Au lieu d'avoir un regard militaire, il choisit de venir en aide à la population sacrifiée qu'il rencontre. Mais les dangers sont nombreux et notamment des dragons...
Un manga captivant et original qui combine des éléments très disparates. A la bienveillance du héros se superpose la réalité de la guerre. Il va rencontrer des êtres différents comme des elfes, une représentante du dieu de la mort ou encore des mages et chevaliers.
L'univers est complexe avec de la politique et beaucoup de stratégie. Mais on trouve aussi de l'humour et de l'humanité. Le décalage entre la position officielle du héros et les actes simples qu'il accomplit sans se poser de question apporte de la fraîcheur au récit.
Une série qui peut plaire à un large public tant il comporte de dimensions différentes : stratégie militaire, humour, lutte, choix, mort, condition féminine, manipulation...
A lire !
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