Teri Wilson

Just remember, Sam. Love is a rare and precious thing. And when it's real, it's more than just black-and-white.

There's more than a little truth to the old notion that opposites attracting, isn't there? Sometimes the last thing we expected turns out to be the very thing we needed all along.

It was the age-old dilemma : could a dog person ever be truly happy with a cat person ?

He's never set out to teach the dog to do household chores, but Cinder was exceptionally smart. And observant. Like most Dalmatians, she was also extremely energetic.
That was the thing most people failed to understand about the breed. Sure, their spots were striking. And those Disney movies? Cute as pie. But Dalmatians were sensitive and highly spirited animals. Their sharp intellect made them quite trainable, but it also meant that Dalmatians were smart enough to get into all sorts of creative trouble if they didn't have a suitable outlet for all that boundless energy.

Chocolat fondu... Fleur de sel... Le Guérandais, un sel spécial ramassé à la main... Bretagne du Sud, France...
La recette secrète de Léo...
Et tout était indiqué : les proportions, les ingrédients à intégrer dans un ordre précis, le temps de cuisson...

- Il s'appelle Léonardo Mezzanotte, insista Alegra d'un air buté.
- Je sais. Mezzanotte contre Arabella.... Arabella contre Mezzanotte. J'en ai assez de toutes ces histoires, poursuivit Juliette d'un ton vif. Pour une fois qu'il y a quelqu'un de sympa chez les Mezzanotte...
- Merci, dit Léo. Si seulement je pouvais m'appeler Smith ou Jones!

Dès que les lèvres de la mystérieuse jeune femme effleurèrent les siennes, il sut qu'elle agissait impulsivement, de manière contraire à ses habitudes.
Il aurait dû s'écarter aussitôt, lui ôter la main de sa cravate et, en parfait gentleman, se répandre en excuses. Bien sûr, elle lui plaisait terriblement , elle l'attirait comme la plus belle des fleurs; mais se comporter ainsi, vraiment...
Il en fut incapable. Son corps agissait indépendamment de sa raison. Comment résister à ce baiser passionné, prodigué par une ravissante inconnue, au clair de lune, au milieu des vignes parfumées? C'était trop fou...
Et tellement bon!

Maintenant... Profite du moment présent!
Tant pis... ou tant mieux, Juliette baissa la garde.
D'un geste qui ne lui ressemblait pas, elle saisit la cravate de l'inconnu, l'attira vers elle et l'embrassa passionnément. Avec la confiance d'une femme ayant toujours agi en écoutant ses désirs.
Intense, délicieux, ce baiser au goût de raisin fut aussi extraordinaire que s'il avait été le tout premier de sa vie...

- Mademoiselle Scott, vous portez une très jolie nuance de vert.
Elle considéra leurs mains qui se touchaient à peine, puis elle soutint de nouveau son regard.
- Ma robe n'est pas verte, mais rouge.
- Je ne parlais pas de votre robe, rétorqua-t-il avec une œillade insolente. Vous êtes verte de la tête aux pieds. Mademoiselle Scott, je crois que vous êtes jalouse.
Son commentaire la laissa sans voix.

C'était bien une photo d'elle échangeant un baiser avec Donovan Darcy. Mais ce n'était pas le pire. Non seulement quelqu'un les avait photographiés alors qu'ils étaient en train de s'embrasser à pleine bouche, mais il les avait surpris au moment où, dans le feu de l'action, elle avait enserré Donovan entre ses jambes. Pour tout dire, elle était pratiquement assise sur ses genoux.

Les lèvres d'Elizabeth étaient généreuse et, quand elle exhalèrent un infime soupir, Donovan fut assailli d'une vague de désir brûlant, sans précédent. Ce tout petit soupir le transporta comme jamais auparavant.
Il ne savait plus où il était.
Il avait perdu tous ses repères.
Toutes ses attaches.

- Vous recommencez... à être presque charmant.
Arquant les sourcils, elle lui décocha un regard espiègle.
Il préleva un peu de crème dans le pot et l'étala sur le bout du nez d'Elizabeth.
- Presque? Quel dommage.
Le beau visage d'Elizabeth afficha soudain une expression grave. Tendant le bras, elle lui toucha la joue. Le bout de ses doigts effleura la base de sa lèvre inférieure.
- J'ai vraiment dit presque?
Donovan déglutit avec difficulté.
Si ce n'était pas une invitation à l'embrasser, et à l'embrasser fougueusement, alors il n'y comprenait plus rien.

- Est-ce l'une des choses que vous trouvez charmantes chez moi?
Sans même la regarder, elle reposa sa carte en la faisant claquer sur la table laquée devant eux.
- Quand ai-je dit que je vous trouvais charmant?
- Tout à l'heure, répondit-il avec un sourire satisfait. Vous avez dit que je pouvais être tout à fait charmant et, l'instant d'après, me mettre à bouder.
- Et tout ce que vous avez retenu de cette phrase, c'est que je vous trouvais charmant? s'étonna-t-elle en croisant les bras. Incroyable.

Il était tout près, à présent. Si près qu'elle distinguait de petites taches dorées dans ses prunelles, et une minuscule cicatrice juste au-dessus de cette bouche que, soudain, elle avait envie d'embrasser.
Dans son esprit, une voix se mit à crier : "Arrête! Fais demi-tour et fuis!"
Trop tard, lui répondit-elle.

Il tira sur son nœud de cravate pour la dénouer et laisser filer la bande de soie de son cou. Puis il ouvrit les deux boutons du haut de sa chemise et jeta la cravate par-dessus l'épaule d'Elizabeth. Elle atterrit sur le lit.
- Et comme ça, c'est mieux?
- Vous allez continuer à vous déshabiller jusqu'à ce que j'accepte? demanda-t-elle en agitant la main vers la cravate qui pendait, aguicheuse, au coin du grand lit à baldaquin. C'est ça, votre stratégie?
Si c'en était une, Donovan l'aurait trouvée excellente.
- Ne me mettez pas des idées en tête.

- Maintenant? Regardez-moi, je ne ressemble à rien. J'ai passé la matinée à toiletter les chiens.
- Vous êtes parfaite.
Donovan franchit les quelques pas qui la séparaient d'elle sans tenir compte de la lueur d'alarme qui traversait le regard d'Elizabeth.
Elle l'observa avec circonspection détacher l'écharpe Burburry qui pendait autour de son cou. Puis il tendit délicatement la main vers les cheveux d'Elizabeth. Les yeux écarquillés, elle retint son souffle tandis que Donovan rassemblait sa chevelure châtain dans une main et enroulait l'écharpe autour de son cou fragile.
- Voilà. Avec un manteau, vous serez fin prête, dit-il d'une voix un peu rauque.

Il entendit un bruissement en provenance de la chambre et soudain, elle fut là... vêtue de ce jean déchiré qui lui donnait des palpitations.
- Donovan?
Elle semblait désorientée de le trouver là, devant sa porte. Puis elle étouffa un cri et tourna vivement la tête pour consulter le réveil posé sur la table de chevet.
- Notre promenade! Oh! mon Dieu, j'ai complètement oublié. Je suis désolée.
Ses yeux étaient brillants de larmes, et le bout de son nez était rose comme une fleur en bouton, mais elle était aussi adorable que de coutume. Ses ongles de pied, roses eux aussi, pointaient sous les bords élimés de son jean. En voyant ses pieds nus et son sourire triste, Donovan dut réprimer l'envie soudaine de la soulever dans ses bras et de s'asseoir au bord du lit avec elle sur les genoux.

Les chiens - les quatre terriers et Bliss - trottinaient autour des jambes de Sue, mais il n'y avait pas trace de son Elizabeth.
Son Elizabeth?
Il savait qu'il n'avait aucun droit de la prétendre sienne et, pour être honnête, il n'était même pas certain de vouloir s'attribuer ce privilège. La jeune femme pouvait se montrer exaspérante, et les circonstances présentes en étaient bien la preuve.
Pourtant, il l'avait pensé. De façon presque inconsciente, mais il l'avait pensé - son Elizabeth.

Elizabeth recula vers la porte. Il fallait absolument qu'elle rentre avant que les choses n'aillent plus loin. Les rayons de lune qui dansaient sur les traits harmonieux de Donovan avaient sur elle un effet envoûtant, ils la rendaient vulnérable.
- Bonne nuit, Elizabeth, dit-il.
Prononcé par ses lèvres, son prénom avait des consonances trop sensuelles.
- Bonne nuit.

- Henry a l'air gentil mais sa sœur m'a tout l'air d'être un cas...
- Tu veux parler de l'amie intime de M. Darcy? demanda Jenna en levant les yeux aux ciel. Elle est jalouse. J'en ai vu des milliers comme elles - c'est une demoiselle d'honneur frustrée.
Les demoiselles d'honneur frustrées. C'était ainsi qu'elles appelaient, chez Scott Bridal, les langues de vipère qui accompagnaient leur amie à la boutique dans le seul but de critiquer chacun de leur choix. Elizabeth n'était pas sûre que l'expression convienne parfaitement à Helena Robson, mais ce n'était pas moins amusant.