Terry Dodson

La rencontre entre les deux monte-en-l'air anciens amants aurait pu faire des étincelles mais l'intrigue en carton, les dessins mal définis et des personnages inintéressants finissent par ennuyer. Seuls quelques allusions coquines, quelques cases mettant en valeur les formes généreuses de Felicia Hardy et quelques dialogues épicés sauvent la mise, avant une dernière partie plus sombre et adulte où chacun évoque ses traumas de jeunesse. Dispensable.
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Engagée comme gouvernante d'un enfant surdoué, Coraline est victime de rêves étranges. A chaque fois, elle est sauvée par un inconnu qui demande sa récompense. Décidée à en savoir plus, Coraline mène l'enquête.



Lorsque le tome 1 sortait (il y a 6 ans), le scénario de Denis Pierre Filippi et le dessin de Terry Dodson s'accordaient à merveille. Un univers rétro, peuplé de créatures mécaniques fabuleuses, où l'on croisait pirates, sauvages dénudés. Un rêve d'enfant vu par les adultes puisque les auteurs pimentaient le tout d'un érotisme léger. A la fin de ce premier tome, on n'en savait pas beaucoup plus.

Avec ce deuxième tome, allait-on être récompensé ? En partie seulement. Si certaines planches sont magnifiques de sensualité, d'autres sont faites à la va-vite. Les univers sont exotiques (un harem, le japon, la Bretagne arthurienne), la mécanique est hallucinante de génie. De beaux dessins même si quelques arrières plans laissent à désirer.

Ce qui gêne, c'est le scénario. Alors qu'on réclame des séries moins longues, ici il manque la moitié d'un tome ! Si le fait de mener l'enquête en petite tenue n'est pas dérangeant, si tout ne peut pas s'expliquer parce que c'est le mondes des rêves, l'ajout d'un lien familial est surprenant et inutile. Il manque une information qui permet de justifier ce lien. Quant à la fin, elle manque de cohérence avec Vernère soudain compréhensif !



Repoussé plusieurs fois, ce tome 2 de Songes est une semi-déception. Si nous avons la fin de l'histoire, certaines parties ne sont pas expliquées alors que des péripéties surviennent à la moitié de l'album. Heureusement il restera toujours ce concept de d'univers-rêve excitant, imaginé par Denis Pierre Filippi et mis en image par Terry Dodson.



SONGES

T2 CELIA

AUTEUR : DENIS PIERRE FILIPPI

DESSINATEUR : TERRY DODSON

EDITEUR : LES HUMANOIDES ASSOCIES
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Amusante histoire qui explore les songes d'une manière polissonne, sur fond d'histoire aux mystères qui se dévoilent petit à petit. Cela dit, l'ensemble reste assez sobre aussi bien dans le récit que dans le dessin, ce qui me fait légèrement regretter de ne pas pouvoir donner plus.



Si j'aime bien l'ambiance proche du steampunk, le côté voyeuriste avec l'héroïne qui se dénude facilement (mais pas gratuitement) et l'intrigue qui avance à petit pas dans une direction précise, le tout est assez rapidement lu avec des situations diverses qui se répètent un peu : la journée avec quelques machines diverses, le rêve de la nuit toujours dans un autre univers très marqué, puis réveil et mystère qui s'épaissit. L'ensemble ne se développe vraiment qu'a la moitié du second tome, dévoilant les intentions de Coraline et les dessous de toute cette affaire pour un petit final sympathique mais qui me semble arriver un peu trop tardivement.



Pour l'ensemble, j'aime le dessin qui sait se faire très beau dans certaines cases (les premières planches notamment) et l'ensemble est réhaussé par les couleurs. C'est joli mais j'ai l'impression que le même soin n'a pas été apporté à toutes les planches. En tout cas, c'est plaisant à lire et je pense que si on n'en attends pas plus, c'est le genre de série qui plaira !

Amusante histoire qui explore les songes d'une manière polissonne, sur fond d'histoire aux mystères qui se dévoilent petit à petit. Cela dit, l'ensemble reste assez sobre aussi bien dans le récit que dans le dessin, ce qui me fait légèrement regretter de ne pas pouvoir donner plus.



Si j'aime bien l'ambiance proche du steampunk, le côté voyeuriste avec l'héroïne qui se dénude facilement (mais pas gratuitement) et l'intrigue qui avance à petit pas dans une direction précise, le tout est assez rapidement lu avec des situations diverses qui se répètent un peu : la journée avec quelques machines diverses, le rêve de la nuit toujours dans un autre univers très marqué, puis réveil et mystère qui s'épaissit. L'ensemble ne se développe vraiment qu'a la moitié du second tome, dévoilant les intentions de Coraline et les dessous de toute cette affaire pour un petit final sympathique mais qui me semble arriver un peu trop tardivement.



Pour l'ensemble, j'aime le dessin qui sait se faire très beau dans certaines cases (les premières planches notamment) et l'ensemble est réhaussé par les couleurs. C'est joli mais j'ai l'impression que le même soin n'a pas été apporté à toutes les planches. En tout cas, c'est plaisant à lire et je pense que si on n'en attends pas plus, c'est le genre de série qui plaira !

Chaque planche de cette série en deux tomes est plus belle que la précédente ! 🧡

Délicieusement art déco, cette aventure Pulp fait un grand écart gracieux entre film de genre et steampunk.

Car la nuit les rêves de Coraline prennent étrangement corps... Les scénarios ont beau être grotesques, elle se réveille avec le sentiment que ce ne sont pas de simples rêves... 💛



Mais Coraline n'est pas venue faire gouvernante dans ce manoir uniquement pour la qualité du sommeil, elle est ici pour une raison précise. Et si chaque nuit, elle échappe à la folie de ce monde onirique et lubrique ; c'est pour reprendre son enquête, en toute discrétion, au petit matin. 🖤

Songes : Coraline est une BD que j'avais achetée parce que j'avais été séduite par la couverture dans le style Art Nouveau que j'adore. Terry Dodson donne vraiment corps à Coraline et c'est juste magnifique ! Malheureusement, D.P. Filippi ne semble pas inspiré car cette histoire qui pourrait être foisonnante & extrêmement érotique n'est pas du tout à la hauteur du talent du dessinateur.

Bref, je suis déçue et n'ai pas acquis le tome 2. Quel gâchis !

les dessins sont effectivement magnifiques mais l'histoire vole pas tres haut c'est juste une succession de peripeties faites pour montrer la superbe plastique de coraline un livre qui se cherche et se veut erotique alors qu'il n'ose meme pas l'etre ... .

Aussi beau et féerique que le premier tome. Dommage qu'il ait fallu attendre six ans pour découvrir la suite de l'histoire! Je vois dans cet album un hommage à l'univers de Little Nemo. J'ai adoré!

Les dessins sont une pure merveille et l'univers onirique un délice! J'en redemande. J'adore l'art nouveau qui sert de décor à cette bande dessinée qui tient plus de la peinture que du simple "comics".

De très belles illustrations mais une histoire décousue, j'ai parfois cru avoir sauté des pages suis revenue en arrière pour me rendre compte que non.

Une héroïne un rien nunuche aussi mais bon, une personnalité qui colle à l'histoire...

On se rend compte du lien de parenté entre les 2 jeunes femmes sans explications (surtout qu'en début de BD Coraline avoue s'être occupée de ses "4 petits frères" et ne parle pas d'une soeur, mais bon admettons).

Et la fin a l'air bâclée.

Bref de jolies images dommage que l'histoire ne suive pas...

Ce que j'ai d'abord aimé dans ce livre c'est sa couverture, largement inspirée de l'art nouveau. J'avais un peu peur que, comme souvent, l'intérieur se révèle ne pas du tout être de la même qualité mais mes craintes étaient inutiles, les dessins qui composent l'histoire sont tout aussi sympathique que la couverture, peut être même encore d'avantages.



Une fois le livre ouvert je fus tout d'abord happée par les paysages superbement traités et, de suite après, par toute ces machines, tout ces rouages et ces engrenages qui donnent un coté très streampunk à l'ensemble.



L'histoire en elle même c'est celle de Coraline, jeune femme engagée comme gouvernante dans une superbe maison et dont la tache principale sera de distraire le maitre des lieux, un jeune homme un peu trop absorbé par la construction de toutes les machines qui peuplent les pages de ce premier tome.

Il ne faudra pas longtemps à Coraline pour comprendre les avantages qu'il y a à vivre dans un tel endroit avec pour seuls compagnons son jeune maitre, un majordome et une vieille femme de ménage. Mais peut être qu'à force de profiter de cette nouvelle situation, des belles robes mises à sa disposition et du lac où elle ne manquera pas de se baigner, ne remarquera t-elle pas le comportement étrange de la maisonnée...



Alors même qu'une nuit elle se réveille dans un monde onirique où elle évitera de peu le pire elle ne s'en inquiète nullement, prenant cela pour un rêve. Et au fond peut être en était-ce réellement un? Néanmoins à partir de cet instant ce genre de rêve va se reproduire encore et encore, tandis qu'en parallèle, aussi bien dans sa vraie vie que dans ses rêves un coté exhibitionniste va naitre en elle, lui faisant bien souvent oublié toute forme de décence. Serait-ce lié? Pourquoi ne semble t-elle pas le remarquer? Que savent les autres habitants de la maison qu'elle ignore? Ses rêves en sont-ils vraiment? Et ou disparaissent donc toutes ses petites culottes? Toutes ses questions devraient trouver leurs réponses dans le tome 2, en tout cas je l'espère.



Points forts : Les dessins (les paysages surtout sont à couper le souffle), le coté steampunk avec ses nombreuses machines, et pour ces messieurs je dirais la plastique de la demoiselle.

Points faibles : Les personnages manquent peut être un peu de caractère, La naïveté-innocence-débilité (barrer les réponses inutiles) de Coraline qui ne voit pas que quelque chose se trame malgré les indices aussi gros que le manoir.
Lien : http://harcelemot.canalblog...

Si l’histoire n’aura donc pas tenu toutes ses promesses, Songes demeure indéniablement un diptyque à part et un bel écrin.
Lien : http://www.elbakin.net/fanta..

J’ai beaucoup aimé cette BD.



Les dessins sont jolis, faits de couleurs « usées ».



La part d’érotisme fait évidemment parti du charme même si j’ai été perturbée par la Coraline érotique face au jeune garçon dont elle est la préceptrice.



Je me souviens de voyages, dans l’espace, et peut-être dans le temps. De beaux jardins luxuriants, de bateaux en bois, de couturiers, de serres immenses et d’inventions technologiques d’époque.



C’était plaisant. Je recommande cette BD aux fans de dessins aux allures de la Belle Époque !!

Un dessin fabuleux au service d'une histoire qui est plutôt une excuse qu'autre chose, où est le mal? Le but de l'auteur était clairement d'assouvir son envide de dessiner des jolies nanas dans des styles et époques différentes, et c'est clairement réussi.

L’héroïne pourrait être qualifiée de nunuche, mais à mon sens cela s'arrête juste à temps, et je la décrirais plutôt naïve et fraîche avec un regard très simple sur toutes choses.

Rafraîchissant et -indubitablement- magnifique.

Quel désastre, c'est mauvais mais alors très mauvais.

c'est dommage parce que j'ai bien aimé le style.

Le scénario est bâclé, enfantin et illogique.

Les personnages sont bêtes comme mes pieds et suivent une Leïa prophète de l'espace. Non clairement non.

Cet album réunit les douze premiers épisodes de la saga Spider-Man Marvel Knights. Une intégrale agrémentée des couvertures originales et d'un bonus exclusif, qui reprend une année entière de parution (Juin 2004 à Mai 2005).



Le scénario, signé Mark Millar ("Ultimates", "The Authority"), est assez intéressant étant donné qu’il joue avec l’identité secrète de Spider-Man. Un de ses ennemis a découvert l’identité secrète de Spidey et décide de s’en prendre à ses proches tout en restant intelligemment dans l’ombre. Une approche qui permet non seulement de fragiliser notre homme araignée, mais qui va également l’obliger à passer en revue ses principaux ennemis.



D’un côté, on a donc un Peter Parker qui craint pour la vie de ses proches (Tante May et Mary Jane) et qui va inévitablement se remémorer les pertes qu’il a subi par le passé (Gwen, oncle Ben, etc.). Des passages qui vont permettre au lecteur néophyte de découvrir les événements clés du passé de Spider-Man et qui vont une nouvelle fois obliger Spider-Man à se remettre en question concernant son rôle de super-héros.



De l’autre, le fait de passer en revue tous les ennemis de Spider-Man qui pourraient tirer les ficelles de cette histoire, permet au lecteur néophyte de faire connaissance avec les super-vilains de l’univers de Spidey (le Scorpion, le Vautour, Doc Oc, Electro, le Hibou, Venom, Rhino, le Bouffon Vert, etc). De plus, Mark Millar va intégrer quelques éléments/concepts intéressants à cet univers de vilains, comme une théorie de conspiration et une vente aux enchères pour le moins surprenante.



Les rebondissements sont nombreux et le tout est donc captivant. Les graphismes de Terry Dodson et Frank Cho (épisodes #5 et #8) sont plutôt plaisants, avec deux styles assez proches qui garantissent une certaine unité graphique malgré le changement de dessinateur. C’est dynamique, moderne, lisse et l’un des ennemis de Spider-Man a eu la bonne idée de relooker la plupart des super-vilains, ce qui en soit constitue également un intérêt au niveau visuel.



Une très bonne intégrale.

Vous l’aurez compris, Red Skin saura combler tous les fans d’action pure, tout en nous proposant une véritable cure de jouvence pour note acuité visuelle.
Lien : https://www.avoir-alire.com/..

Résumé : Un ennemi de Spidey a découvert son identité secrète et s’attaque aux membres de sa famille. Pour Peter Parker, c’est le début d’un cauchemar… Un magnifique récit orchestré par Mark Millar, Terry Dodson et Frank Cho, complété par une série de superbes croquis.



« Une des plus belles aventures de Spider-Man jamais imaginées. » – Stan Lee







Informations sur le comics :



Scénario : Mark Millar

Dessins : Terry Dodson / Frank Cho

Genre : Action / Super-Héros

Collection : MARVEL Knight

Date de sortie initiale : 15 février 2012





Peter Parker est désormais professeur et il est marié à Mary-Jane Watson. L’histoire commence par une énième arrestation du Bouffon Vert par le célèbre Tisseur. Spider-Man se croit enfin tranquille, pour un moment, mais c’est sans compter sur ses ennemis toujours plus retors. Il vit des jours paisibles jusqu’au jour où sa tranquillité est perturbée par un coup de téléphone : il apprend que la tombe de son oncle Ben a été profanée. Arrivé sur place, Peter reçoit un deuxième appel d’un homme qui semble connaître sa double identité. L’homme menace de tuer sa chère tante May. Peter ne perd pas une minute et se rend immédiatement chez elle sans prendre la peine de masquer son visage. Il se rend compte, en y arrivant, que cette dernière a disparu. Commence alors une course contre la montre ; Spider-Man arrivera-t-il à sauver sa tante adorée avant le passage à l’acte de son ravisseur.



Ce que j’ai pensé du Comics :



Je n’hésiterai pas à dire que Frank Millar a fait un travail vraiment formidable avec cette œuvre majeure sur l’homme araignée. Dès les premières pages, le ton est donné : on comprend rapidement que l’on a affaire à un super titre. Une fois passée l’introduction, on découvre un Peter Parker qui voit tout son univers s’écrouler sous ses yeux. Tout cela va tellement vite que le super-héros se retrouve vite démuni. Il ne sait plus quoi faire. Il lui devient impossible de réfléchir comme d’habitude : Il s’agit de tante May cette fois-ci. Il en fait une affaire personnelle mais comprend rapidement qu’il est trop impliqué, sentimentalement, et qu’il est, de ce fait, incapable d’être aussi efficace que d’habitude. Des échos constants lui rappellent la perte de Gwen Stacy et de son Oncle Ben. C’est vraiment un moteur essentiel pour l’histoire qui permet également d’assombrir l’intrigue de manière subtile et intelligente. On ressent, en outre, la menace qui pèse sur le secret de sa double identité : elle est sur le point d’être révélée à la moindre erreur de sa part.



L’intrigue est parfaitement bien gérée par un Frank Millar au top de sa forme et qui ne tombe pas dans le piège de l’aventure classique. Il fait des choix très intéressants en mélangeant plusieurs intrigues. Cela permet d’avoir une importante palette des super-vilains de l’univers de Spider-Man. Le suspense et la tension sont ainsi maintenus jusqu’à la dernière page.



Il est intéressant de noter que l’histoire est, aussi, ponctuée de combats épiques, tout au long du Comics. C’est un vrai régal pour les yeux car, au niveau graphique, le travail fourni est vraiment beau. Le dessinateur participe grandement au plaisir que j’ai eu à lire ce Comics. Les dessins, décors et personnages, sont absolument magnifiques.



Ma conclusion :



Pour conclure, je dirai que ce Comics est vraiment une bonne surprise. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre, eh bien je dois dire que je n’ai pas été déçu. L’intrigue est excellente et sombre. Les fans de Spider-Man peuvent découvrir leur héro complètement démuni : chose rare et rafraîchissante. Je conseille vivement cet achat, particulièrement aux accros de l’Homme araignée. En tout cas, pour moi, c’est un excellent titre que je vais prendre plaisir à relire très vite



Alex du Nexus
Lien : https://nexus-quest.fr/spide..

Tout d’abord, peut être aviez-vous eu vent d’un « Red Widow » chez 12Bis en 2013 ? Et bien ce projet s’est transformé pour devenir Red Skin.



Une très bonne série qui commence fort ! Le scénario est génial, il nous tient en alerte et surtout il nous plonge dans une situation inattendue mais qui aurait potentiellement pu se produire. Je veux dire, un soldat surentraîné de l’armée Russe qui se rend au USA avant la signature d’un traité parce que des religieux fanatiques commencent à faire la loi par eux-même … C’est assez fou mais durant la guerre froide, tout semblait possible, alors why not (comme disent les américains) ?



Le côté plaisant c’est véritablement le caractère de l’héroïne qui tranche avec le fond de l’histoire et avec le sérieux de son travail. Elle aime se battre mais elle aime le sexe et n’en faire qu’à sa tête. Cette jeune femme ne connaît que le quotidien russe alors forcément quand elle débarque à L.A. et doit se faire passer pour une américaine, elle ne sait pas du tout s’y prendre. La surconsommation, l’électroménager et le porno … tout est nouveau et très différent de ce qu’elle connaît ! Ce qui nous offre des grands instants de comique de situation. Bref, je suis séduite par le personnage qu’ils ont créé (un peu comme tout le monde dans la BD, Vera est un aimant).



Maintenant côté dessin, et bien c’est fluide, gracieux et bien coloré. Il sert à merveille l’histoire et nous offre une héroïne toute en courbes.



En bref, voici une BD qui se sert d’un moment instable dans l’histoire pour en sortir une histoire déjantée, pleine d’action et de fun. Une BD plaisante que je recommande au fan d’aventures, d’intrigues politiques et de belles femmes.
Lien : http://chickon.fr/2016/07/28..

Une deuxième partie efficace pleine d’étincelles qui donne réellement envie de voir la suite !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..