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Critiques de Théophile Gautier (514)
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La Cafetière

Un récit bien mené, j'ai malgré moi pensé à l'adaptation Disney de la belle et la bête, avec ces objets qui prennent vie, l'ambiance de bal… Néanmoins la cafetière de Gautier ne se nomme pas Mrs. Samovar mais Angéla, et son sort est bien plus tragique.
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La Cafetière

Cette nouvelle est très interessante je l'ai beaucoup aimée

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La Cafetière

Cette courte nouvelle qu'on pourrait également classer comme un conte fantastique a été publiée en 1831.



Facile à lire, empreinte de mystère et parfois d'un certain humour elle est écrite avec une naïveté charmante.

Le fantastique s'invite progressivement, entouré d'une atmosphère surnaturelle qui nous pousse à nous interroger sur la frontière entre le réel et l'irréel.



Je le sais, la comparaison est peut-être facile et puérile mais je n'ai pu m'empêcher de penser à la Belle et la Bête où les objets prennent vie et se mettent à danser :)

(Sauf que c'est une théière, Madame Samovar et son adorable fils Zip :)



Joli mélange de romantisme et de fantastique, de sentiments exacerbés et d'une fugacité frustrante, ce petit conte m'a enveloppé dans une sympathique ambiance surnaturelle me laissant agréablement songeuse.





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La Cafetière

Cette courte nouvelle, proposée par la prof de français de mon fils, m'a permis de retrouver l'écriture particulière de Téophile Gautier que j'avais lu moi aussi à mon adolescence.

Logé dans une maison qu'il ne connait pas, notre narrateur, déjà légèrement angoissé, s'éveille la nuit àux dongs de l'horloge annonçant des festivités. Les personnages des tableaux de sa chambre s'animent et sortent de leurs cadres, discutent, puis dansent. Parmi eux, immobile et silencieuse, une jeune fille pâle, Angela...

j'ai apprécié retrouver cette ambiance très 19ème siècle, même si le récit en lui-même ne m'a pas vraiment surprise. Je pensais davantage à un extrait de Merlin l'Enchanteur qu'à un récit d'effroi, mais le charme a joué.
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La Cafetière

Une simple cafetière au cœur d'un sabbat d'objets donne lieu à l'incarnation de tout les fantasmes d'un homme, au cœur d'une nuit étrange et hallucinée. Car il le sait au moment même où il pose les yeux dessus : c'est l'amour de savie qui se tient devant lui, au milieu de sa chambre.



Si le récit est très court, la mise en place du récit est toujours aussi savoureuse, et il est toujours bon de rappeler ces thématiques chères à Gautier, que sont les espaces et temps infinis ainsi que la mort d'une femme aimée par la métaphore de cette cafetière étrange qui, le temps d'un soir et d'une danse, aura symbolisé l'être aimé absolu.



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La Cafetière

Un livre qui m'a un peu déçu de par l'histoire un peu trop simple.
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La Cafetière

Cette nouvelle est super pour tout les age et je l' aime baucoup
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La Cafetière

Etoiles Notabénistes : ******



ISBN : inconnu tout à fait à l'époque puisque "La Cafetière", sous son premier titre d'"Angela", parut en 1831 - Le texte que nous avons lu est tiré de "Récits Fantastiques", chez Garnier-Flammarion sous l'ISBN 9782081207219



Eh ! oui, celui qui, sur une caricature célèbre, figure en croupe du cheval d'un Hugo partant droit pour la Bataille d'"Hernani", avait un faible accentué - la liste de ses œuvres le prouve - pour le conte fantastique. Il nous en reste donc de très nombreux récits, certains parfaits, d'autres moyens, d'autres moins accessibles et moins réussis, dont les meilleurs ou tout simplement les plus populaires se croisent et se recroisent dans les anthologies spécialisées. Citons par exemple "Aria Marcella" ou "La Morte Amoureuse" et osez me dire que vous ne les connaissez pas au moins de titre même si vous confondez le premier avec une version latine et le second, avec une nouvelle de Poe. ;o)



Alors, évidemment, Théophile Gautier, en principe, c'est un Romantique. Mais, en ce qui me concerne, je l'ai souvent trouvé proche, en tout cas dans l'écriture à défaut des idées, du réalisme. Non pas un réalisme un peu sec, trop "léché" comme celui, parfois, de Flaubert, non pas cet autre, qui est aussi un miracle d'équilibre avec le lyrisme, et que l'on trouve dans certains ouvrages de George Sand, mais un réalisme qui lui appartient en propre, dont il ne se rendait peut-être pas compte lui-même quand il écrivait, et qui rend si vivantes les ruines où flâne Aria Marcella comme cette chambre tapissée de Jouy où pénètre le narrateur de "La Cafetière", Théodore, cela par une nuit assez sombre des années 1830, au cœur d'une antique maison où il se retrouve avec tout une bande d'amis.



Pour obtenir ce résultat, Gautier n'utilise que le détail, mais un détail assez précis pour que le lecteur soit à même de le "voir" mais pas trop nettement limité cependant pour que cette vision au millimètre près - ou presque - n'en vienne à l'aveugler et, pire encore, à le lasser.



Car enfin, cette délicieuse petite "Cafetière" en porcelaine, nous sommes en 2018, sous l'Ere d'un pseudo-Jupiter qui se croit tout permis (on se demande d'ailleurs pourquoi mais ... je m'abstiens d'aller plus avant afin de ne pas souiller ce petit joyau qu'est cette nouvelle, à la fois simple et élégante, une véritable aristocrate de la Littérature française) lorsque nous ouvrons les pages qui nous content son histoire : or, à peine suivons-nous Théodore dans la chambre où il va passer la nuit que nous voici transportés non seulement au XIXème siècle, siècle de l'écriture du texte, mais encore au XVIIIème, siècle où est censée avoir vécu la petite cafetière.



Le tour de force est magistral et pourtant, comme les plus grandes illusions jamais inventées par les meilleurs magiciens, il n'a l'air de rien. Mieux : il nous annonce, sans que nous en ayons conscience, que la fin de la nouvelle nous prépare une autre virevolte (plus exactement une double-virevolte), confondante de malice ... et de fantastique. L'Art sacré de la Chute, si difficile à atteindre et cependant commun - songez à la simplicité tranquille, à la vulgarité même que dissimule ce dernier adjectif, quand on le prend dans un sens qui n'inclut pas la connotation du partage - aux meilleurs nouvellistes et conteurs : cet Art est quasiment au summum dans l'humble petite "Cafetière" de Théophile Gautier.



D'ailleurs, c'est tout-à-fait banale, commune quoique mignonne, qu'apparaît tout d'abord à notre narrateur l'héroïne du récit. Il s'agit d'une cafetière, une petite cafetière en porcelaine, posée sur une table, d'où il la voit bientôt se lancer fort habilement sur le sol pour, sans nul doute, se rendre jusqu'à la cheminée et y faire réchauffer son contenu. A ce moment-là, Théodore n'est déjà plus le jeune voyageur frigorifié mais hautement cartésien que la pluie et le bourbier auxquels il venait d'échapper avec ses amis étaient les seuls à préoccuper. Cela fait bien une heure qu'il est couché dans cette chambre qu'on lui a donnée pour la nuit et dans laquelle, dès qu'il y est entré, il lui a semblé que la vie venait tout juste de s'arrêter, comme si quelqu'un l'y avait précédé et était sorti à l'instant pour s'en aller vaquer à d'autres affaires.



Et puis, en contemplant, pour s'endormir, les personnages de la tapisserie - de la toile de Jouy, qui fait toujours très XVIIIème - voilà que, peu à peu, il découvre - on devine avec quelle stupeur d'abord, puis avec quelle épouvante - avec quelle vivacité et quel ... réalisme ;o), les petites marquises et les petits marquis qui s'y ébattent se mettent à bouger vraiment. Ils discutent même entre eux, c'est très clair. Le lit, de son côté, donne l'impression de bouger, de s'animer. Quant aux portraits qui ornent les murs, eux aussi se mettent à faire des leurs.



Visiblement, pour tout ce petit monde, l'heure de se divertir et de faire salon est arrivée. L'occupant de l'une des toiles, qui semble préposé à cette charge importante, s'extirpe de son cadre et s'en va élargir, à l'aide d'une petite clef, ceux de ses voisins, afin qu'ils puissent prendre pied dans la chambre et le rejoindre. Que ces fantômes rematérialisés le temps d'une nuit aient un invité surprise, partagé entre la peur et le besoin de comprendre, n'a pas l'air de les déranger le moins du monde et, précisons-le d'emblée, aucun d'eux n'a la mauvaise grâce de chercher querelle à Théodore. On fait simplement comme s'il n'était pas là - après tout, il n'a pas été officiellement présenté - on bavarde, on papote, on boit du café (savez-vous, à ce propos, que Louis XV, symbole par excellence du XVIIIème siècle français, n'aimait rien tant que préparer tout seul son café matinal ?) et certains vont même jusqu'à danser.



Théodore est fasciné. Dans la pénombre, entre les nuages passant devant la lune et la lueur affaiblie de la bougie, le spectacle est merveilleux, à vrai dire plus merveilleux qu'inquiétant. Toute la grâce, toute la beauté disparues d'un siècle qui s'engloutit dans le sang de Thermidor se raniment sous les yeux d'un jeune homme né sous l'Empire.



Certes, commencée aux douze coups de minuit dans le rythme encore solennel des menuets d'antan, la danse a fini par ressembler, pour chaque couple de danseurs, à une sorte de tourbillon, toujours gracieux mais infiniment rapide. (On notera d'ailleurs que tous les objets ayant servi à prendre le café, y compris la cafetière en porcelaine, au profil si particulier, ont disparu tous d'un seul coup quand a sonné l'heure du bal.) Mais tout demeure aussi étrange qu'éblouissant pour notre héros. Néanmoins, si obsédé qu'il soit par ces couples tourbillonnants, il finit par remarquer, assise dans un fauteuil, un peu à l'écart, une jeune fille au profil bien découpé et qui semble regarder avec nostalgie vers l'extérieur. Elle est jeune, elle est jolie, il voudrait bien faire sa connaissance, ce qui se fait dans les règles, il voudrait même risquer une danse car - de cela il ne s'en apercevra qu'à son réveil - il est (depuis quand donc ?) habillé comme un gentilhomme du siècle précédent.



La jeune personne, d'abord, décline aussi gentiment que poliment, jusqu'à ce que la voix qui avait annoncé l'heure du début des réjouissances - la "voix d'argent" - s'adresse à elle, comme intemporelle, et lui dit : "Angela, vous pouvez danser avec monsieur, si cela vous fait plaisir, mais vous savez ce qui en résultera." Ce à quoi, d'un air boudeur, Angela répond : "N'importe !"



Et notre couple heureux, heureux, oh ! mais heureux ! de valser, de valser, de valser jusqu'au chant de l'alouette. Alors, Angela pousse un cri et veut s'enfuir, elle tombe ...



... et je vous laisse découvrir la fin, bien entendu. Une chute remarquable et qui, il faut bien le dire et le redire, n'a pourtant l'air de rien alors qu'elle nous abandonne à tant de questions - trois très précisément. Mais vous en découvrirez peut-être d'autres. Quoi qu'il en soit, j'espère que vous trouverez plaisir à lire et à relire cette exquise nouvelle, pourtant si brève, qui fait honneur non seulement au talent de Théophile Gautier mais aussi à notre Littérature. ;o)
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La Cafetière

Je trouve que ce petit conte fantastique de Théophile Gautier n'est pas très prenant cette histoire est pour moi sans intérêt, peut être c'est parce que j'attendais beaucoup trop de l'auteur..............................................................................
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La Cafetière

Nouvelle fantastique.



Théodore passe une nuit en Normandie avec des amis.

Il gagne sa chambre d'un soir pour se reposer, mais sa nuit ne va pas être de tout repos.

Des évènements surnaturels vont se produire : des objets vont prendre vie : rêve ou réalité ?

Théophile Gautier a su me donner le doute tout au long du récit.

Le titre mystérieux de la nouvelle va peu à peu révéler ses secrets.

J'ai été agréablement surprise de la chute de cette nouvelle.



Très bon et court moment passé avec Théodore, Théophile Gautier et sa cafetière. L'auteur a su mettre des actions et des mouvements continus qui ont donné envie de connaître le dénouement.

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La Cafetière

Théophile Gauthier est un auteur gothique connu et reconnu. Paradoxalement je n'avais rien lu de lui. C'est lors d'une pause au bureau que j'ai décidé de lire cette courte nouvelle de 14 pages.

Indéniablement Théophile a de grand talent de conteur.Cette histoire qui se déroule en une nuit dans une chambre hantée est tout simplement captivante. L'histoire est d'une grande intensité.

Une belle découverte, donc, qui m'a donné envie de lire ses romans.
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La Cafetière

Merveilleusement bien écrit, ça rend presque jaloux. Nous lisons cela de manière académique, fasciné par le talent d'écriture



Cependant, c'est plat et inintéressant.

Comme quoi, parfois, il ne suffit pas de savoir bien écrire pour magistralement raconter des histoires.
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La Cafetière

Ce livre de Théophile Gautier , je l' ai lu juste par hasard et vu que cette nouvelle est brève et courte , il m' a été très facile de la lire en peu de temps .

Dans ce récit, il s' agit de plusieurs amis qui sont ensemble au cours d' une soirée . La nuit, le narrateur essaie de s' endormir mais ne trouve pas facilement le sommeil . Il est intrigué au cours de son sommeil par divers bruits .

Tous les objets qui l' entourent s' animent . Une musique se fait entendre et les personnes qui sont dans la salle se mettent à danser ....Réalité ou rêve ? le narrateur est bien intrigué .

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La Cafetière

Le narrateur est invité dans une propriété avec ses camarades d'atelier, peintres eux aussi. Le soir, il rentre dans sa chambre pour dormir mais il n'y arrive pas . Il entend des bruits étranges qui lui font peur, dont des bruits de cafetière...

C'est un récit fantastique, les objets étaient animés : fauteuils, cafetière...

Le narrateur veut sortir d'une situation inquiétante car il avait peur de tout les bruits qu'il entend et qui lui font peur.

Le personnage principal est le narrateur, il n'indique pas son prénom. Je ne me suis senti aucunement proche du narrateur.

Je trouve l'intrigue de ce livre n'est pas pas facile à comprendre car le personnage joue un rôle réaliste. Son niveau de langage est soutenu. Ce récit dure une soirée. J'ai bien aimé ce livre.

Je donnerai trois étoiles à ce livre, l'histoire était très émouvante. L’histoire ne m'a pas fait peur.
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La Cafetière - Le Chevalier double

J'ai apprécier la première nouvelle mais alors la deuxième vraiment trop longue et ennuyante
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La Cafetière - Le Chevalier double

Le Chevalier double



Une belle légende de Norvège où l'homme en conflit avec lui même est contraint de se surpasser pour mener un combat envers lui-même afin d'extraire son double nuisible...
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La Cafetière - Le Chevalier double

Deux petites nouvelles sympathiques, mais trop courtes pour être marquantes en quoi que ce soit. J'aime pourtant beaucoup l'idée du Chevalier Double, cet enfant né sous deux étoiles et partagés entre deux natures, mais cela se clôt sans jamais réellement exploiter le potentiel d'une bonne idée.

Pour amateurs du fantastique du 19ème qui veulent compléter leur collection!
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La cafetière et autres contes fantastiques

Le genre fantastique est à la mode et il inspire à Théophile Gautier la Cafetière, conte fantastique, qui est publié dans la presse, avec un certain succès, en 1831.

Résumé : Théodore séjourne en Normandie avec des amis. Au moment de s’endormir, le jeune homme observe une étrange activité dans sa chambre : les personnages des portraits et de la tapisserie prennent vie, les meubles et les objets – dont une cafetière – se déplacent, puis boivent le café. À minuit, un bal commence. Un bal qui met les danseurs à la torture tellement la musique est rapide. À une heure, la danse s’interrompt et Théodore découvre une très belle jeune fille assise, seule. « Et je sentis que, si jamais il m’arrivait d’aimer quelqu’un, ce serait elle. » Les deux jeunes gens discutent, dansent puis vont s’asseoir. À l’aube, la jeune fille tombe. « Saisi d’effroi, je m’élançai pour la relever… Mon sang se fige rien que d’y penser : je ne trouvai rien que la cafetière brisée en mille morceaux. » Terrifié, Théodore s’évanouit. Quand il reprend connaissance, le jeune homme dessine la jeune fille. Étonné, son hôte lui dit que le portrait ressemble à sa sœur Angéla : « Elle est morte, il y a deux ans, d’une fluxion de poitrine à la suite d’un bal. »
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La cafetière et autres contes fantastiques

Etant une fois de plus clouée au lit, pour cause de problèmes de dos, j'en profite pour lire de courts ouvrages. N'ayant de mémoire jamais rien lu de Théophile GAUTIER, ce petit recueil de nouvelles me paraît idéal pour me faire une première idée du style de cet auteur, avant de me lancer dans ses plus importants ouvrages. Et c'est plutôt une réussite, j'ai beaucoup aimé l'ambiance de ces contes fantastiques, les notes de bas de pages apportant certaines explications étaient intéressantes. J'ai aimé aussi le fait que l'auteur soit héros des histoires qu'il nous raconte, je trouve que ça crée entre le lecteur et lui. Je lirais très probablement d'autres livres de cet auteur.
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La cafetière et autres contes fantastiques

Les récits de Gauthier sont toujours bien menés par beaucoup d'originalité et un univers riche.
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