Thierry Gandillot

Comme tous les étés, Elie onze ans, passe les deux mois de vacances d'été dans la maison de ses grands-parents en Auvergne. En cette année 1964, il y retrouve ses nombreux cousins, ses oncles mais, au mois de juillet, surtout ses tantes, les hommes travaillant ne rejoindront la famille qu'en août. Il attend surtout Caroline, sa tante préférée surnommée Câline. L'année dernière il ne l'avait pas quitté d'une semelle.

Mais cette année, dès son arrivée Câline met de la distance et puis surtout cette année, elle est accompagnée d'un ami journaliste : Luc. Luc à tout pour lui, jeune, brillant, intelligent, sportif, drôle … Elie d'abord séduit par ce "grand frère" s'aperçoit que Câline et Luc sont très complices et très proche ... très très proche.

Si l'année dernière Luc avait découvert l'amour cette année il montre beaucoup de signes de jalousie. Il met alors un plan au point pour se débarrasser de Luc.

Un court roman de cent-quarante pages qui a le mérité d'être passionnant. Dès le début le récit nous plonge dans les années soixante et se révèle au fil des pages passionnant. Les diverses émotions que traversent Elie sont superbement bien décrites, ainsi que l'imagination qu'il a débordante. J'ai même l'impression lors de cette lecture d'avoir entendu les tubes des yéyés de l'époque.

Roman qui ferait un bon petit téléfilm TF1. L'auteur sème tous les ingrédients pour un agencement que l'on sent prévisible, et finalement il va se passer quelque chose d'étonnant, à la page 200 quand même ! Au total, le roman surprend par la direction choisie.

Deux défauts :

- l'auteur croit utile de nous faire trois pages sur la vie de chaque personnage, même secondaire.

- l'auteur bâcle la chute de l'intrigue, sans doute car il était arrivé à un nombre de pages critique du fait de ces descriptions détaillées inutiles.

bleuette qui ne tient pas ses promesses câlines ...

Ayant vu ces dernières semaines, quelques ouvrages et films consacrés à ce sujet, les œuvres spoliées par les nazies pour le Musée que souhaitait se faire construire Hitler, mais aussi pour le profit personnel, de quelques uns de ses bras droits, (cf. le film « Monuments Men » http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=201434.html )

J’ai accroché lorsque j’ai vu ce titre, et appris qu’il y avait déjà eu une première édition en février 1996. On nous vendait la nouvelle édition, comme une actualisation d’une fiction écrite avant que les événements récents viennent donner raison à Thierry Gandillot. Qu’en est-il exactement ?

Avant de lire cette nouvelle édition, j’ai recherché celle de 1996, une chance ma médiathèque l’avait en rayon.

Nous plongeons donc, avec ce premier jet, dans une histoire qui nous fait parcourir les Etats-Unis, l’Europe, où l’on envisage des rebondissements, mais correspondront-ils à ceux de l’auteur ?

mon avis est partagé sur ce livre, la première moitié m'a parue très longue, répétitive, et puis j'ai dévoré le reste du livre en un rien de temps. L'histoire des tableaux volés par les nazis est passionnante, et pleines de rebondissements.

C'est une partie ( pendant la guerre 39-45), peu connue, que sont devenus les tableaux de maître, et tous les objets d'arts ?

Cet ouvrage est basé sur des faits historiques, mais bien sur romancé.

L'intrigue est bien ficelée, et l'on prend du plaisir a retrouver les peintres : Cézanne, Picasso, Renoir, Braque, Pissarro, Degas, Chagall....

En conclusion, ce roman, vous tiendra en haleine par l'enquête très méticuleuse proposée par l'écrivain.

lu sur Kindle.Style fluide, sympa. L'histoire démarre en fanfare, s'essouffle un peu au trois-quart du livre et la fin est farfelue. Malgré tout je pardonne à l'auteur car les relations croisées, les portraits, la psychologie des habitants de l'immeuble et du héros sont vraiment chouettes.

Résumé bon moment de lecture sans ennui, ni lecture en diagonale et un Robert Deniraud repousse-attachant.

L'action se déroule au Pays Basque et le long du Bassin d'Arcachon, sur la côte landaise. Le paysage est très bien évoqué, avec au passage des descriptions savoureuses de boissons et de plats régionaux!



On visite également l'Ile d'Yeu, l'île de Ré et les îles anglo-normandes avec en prime une excursion à Andorre! 



Deux hommes riches et importants ont disparu à quelques heures d'intervalle et leur corps sont retrouvés peu après. Une histoire commencée longtemps auparavant les relie, mais laquelle? Qui les a tués et pourquoi? 



L'inspecteur "Stan" qui s'apprêtait à prendre des vacances en compagnie de son fils de 7 ans qui vit avec sa mère, doit s'occuper de l'enquête. Il y arrive en jonglant de toutes les manières entre vacances et service, avec beaucoup d'ingéniosité et de chance aussi! 



Peu à peu se déroule une intrigue qui mêle argent sale et pouvoir occulte jusqu'à son dénouement sans grande surprise. 



On prend beaucoup de plaisir aux multiples rebondissements et aux nombreux voyages de Stan, à ses haltes gastronomiques également. Le personnage du petit garçon, drôle et débrouillard, met de la faîcheur dans l'ensemble.



On glane au passage des connaissances ma foi bien instructives sur des endroits superbes que l'on croit connaître et que l'on découvre. 



Pas un grand livre donc, mais un bon divertissement. Il faut souligner l'élégance et la justesse du style qui dénotent l'homme cultivé qu'est l'auteur (connu pour son ouvrage: "L'Héritage Windsmith"). Son vocabulaire est riche et précis. 

N'est pas maitre dans le roman noir qui veut, et l'auteur nous livre une histoire qui pourrait nous tenir en haleine, mais il n'y arrive pas.

J'ai failli décrocher plusieurs fois, mais j'ai persisté tout de même, sans pour autant être captivé.

C'est dommage, tous les ingrédients y sont, manque la mayonnaise pour lier.

Haletant, rempli de suspense et une description cynique de chaque personnage. Des rebondissements qui surprennent et qui font de ce roman un très bon livre.

L'héritage Windsmith

Thierry Gandillot



Tandis que je continue ma lecture actuelle, voici un petit retour sur un livre passionnant que je recommande



"A 24 ans Leo Windsmith est l'héritier de la plus importante galerie d'art new-yorkaise, Windsmith & Kline.

Son grand-père Matthew l'a désigné pour lui succéder à la tête de son empire. La vie lui sourit jusqu'au jour où il rencontre Raphaëlle Debloye. Cette troublante Française, professeur d'histoire de l'art à Columbia, laisse planer le doute sur l'origine de la fortune des Windsmith. Quand le mur de Berlin s'écroule , des centaines de tableaux volés par les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale remontent à la surface, attisant bien des convoitises. Et avec eux , des secrets longtemps cachés."







C'est un livre comme je les aime avec une intrigue passionnante sur fond historique et dont le thème , l'art , me passionne.







Allez faire un tour sur cette page tenue par un libraire passionné et atypique



https://www.facebook.com/libreizhart/



Ainsi qu'une petite page sympathique qui débute



https://www.facebook.com/flaneriesdelignesenlivres/

Comment l'art peut revenir au nazisme . Bien construit mais pas merveilleusement écrit

On suit avec plaisir Leo Windsmith qui est amené à enquêter sur l'origine de la fortune de son grand-père, qui évolue dans le monde de l'art

Ce roman aborde un sujet intéressant : le vol des œuvres d'art par les nazis pendant la seconde guerre mondiale ; on peut faire le parallèle avec le film monument's men