Thierry Robin

Là, on atteint les limites de la raison, ou de la folie...

Avec les humains, c'est toujours la même histoire. Un jour, ils sont amis, puis la jalousie, la rancune s'installent, et c'est la guerre.

On peint des palais, des montagnes, de grands paysages et on oublie de peindre sa maison. C'est important sa maison.
Quand on est vieux, tous nos souvenirs nous y ramènent. On se souvient de pièces immenses, de longs escaliers. Vu avec des yeux d'enfant, tout paraît plus grand.
On se souvient de coins sombres qui nous faisaient si peur.

Les hommes comme toi n'avouent jamais, même sous la torture. Rien à voir avec le courage, tu vois la souffrance comme une bénédiction.

Le peuple, ce qu'il attend, ce sont des choses simples. Des montagnes de pain d'épice. Et un tsar ! Par sa mentalité, dans son inconscient, notre pays est un pays de tsars.

Ciel rouge le soir Laisse bon espoir ; Ciel rouge le matin, Pluie en chemin.

Nos jours passent comme l'ombre.

Ils sont plus nombreux que des puces sur un vieux chien malade.

Whaooo.. Ils sont plus nombreux que des puces sur Un vieUx chíen malade

- "Crois-en ton père philosophe, ta vie future peut se présenter sous deux formes.
Soit un long zigzag, une suite de tours et de détours, avec ses montagnes russes d'envies et de déceptions.
Soit un évènement, une révélation, le doigt de dieu te mettra sur la bonne route, pour la vie.
Ce genre de route que tu suis, de colline en colline, dans la chaleur de l'été.
Tu ne vois pas ce qu'il y a derrière la colline, mais tu jurerais qu'il y a la mer. Ca te donne la force d'avancer. Arrivé au sommet, tu ne découvres pas la mer, mais juste une autre colline à gravir.
Qu'importe. Tu ne te décourages pas. Tu continues ton chemin, sans rien attendre des autres, sans espérer ni récompense ni compliment.
Tu arriveras ou pas à la mer, mais tu auras suivi ta route."

Tu veux des images, d'accord. Mais elles auront le goût du sang, de la mort, des larmes. Ca va avec.

Tu ne vois pas ce qu'il y a derrière la colline, mais tu jurerais qu'il y a la mer. Ça te donne la force d'avancer. Arrivé au sommet, tu ne découvres pas la mer, mais juste une autre colline à gravir. Qu'importe, tu ne te décourages pas. Tu continues ton chemin, sans rien attendre des autres, sans espérer ni récompense, ni compliment. Tu arriveras ou pas à la mer, mais tu auras suivi ta route.

Pour étudier la foudre globulaire, il faut inventer un nouveau cadre d’analyse. Il faut perdre le sens de la réalité et du plausible.

-… que voulez-vous, parfois le peuple s’agite… je suppose que cela arrive en Angleterre ?
- bien sûr ! Mais nous avons trouvé une solution moderne à ce problème. Il vous faut plus d’usines. Pour les fatiguer.

Quand on trempe un bâton dans l'eau, ça remue toujours la vase.

- Que voulez-vous, parfois le peuple s'agite... Je suppose que cela arrive en Angleterre ?
- Bien sûr ! Mais nous avons trouvé une solution moderne à ce problème. Il vous faut plus d'usines. Pour les fatiguer