Tommy Wallach

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Une histoire au début décevante, mais qui au fil des pages, gagne en intensité et en émotions. J'ai été captivée par la plume de l'auteur et j'ai refermé le livre en larmes.
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seattle quatre lycéens (Peter le sportif, Anita l'intello, Andy le skatteur et Eliza l'artiste qui a une mauvaise réputation) apprennent qu'un astéroïde va détruire la terre sous deux mois. C'est la panique générale et la ville part en dérive. contre toute attente ces quatre personnes vont se rapprocher et décide de faire une fête avant la fin du monde.

Mais le doute subsiste car il y a 1 chance sur 3 que l'astéroïde évite la planète.

Beaucoup de répétitions, de longueurs et des péripéties qui partent dans tous les sens rend cette histoire moyenne. Les personnages caricaturaux ne sont pas attachants.

Un livre destiné à la jeunesse mais qui m'a interpellée par son titre. Les personnages sont des adolescents qui devront faire des choix avant la chute d'un astéroide : quitter leur famille afin de réaliser leurs rêves, quitter leur amour pour un autre... Et nous que ferions nous ? Un livre à ne pas lire absolument mais qui amène à la réflexion. alors pourquoi pas !

Un roman intéressant sur plusieurs points :



* Croisement de personnages très différents, avec chacun leur mise en avant dans un chapitre qui leur est propre

* Fin du monde : ok, plutot banal, mais là, on va vraiment au bout, et .. !!!! SPOILER !!!! on a une vrai FIN ! Bien que rien ne soit décrit, on a conscience de cette fin sans survivant apparemment (mais là, c'est moi qui suppose)

* Une réflexion réelle avec les différents étapes de la prise de conscience: rebellion, espoirs, division, réconciliations etc.



==> Un bon roman, une belle réflexion mais dur au début d'entrer dans la vie d'autant de personnages différents en tant de chapitre.

Laisse a méditer !

Au départ j'ai cru que c'était un énième livre sur la fin du monde et les dérives que cela peut entraîner. En plus, les 4 personnages principaux, Peter, Eliza, Andy et Anita ont des étiquettes si bien accrochées à leur peau : le sportif, beau gosse et populaire ; la marginale qui se réfugie dans la photo pour exprimer ce qu'elle ressent ; le skateur-comique-accro à l'herbe et la bonne élève, riche, soumise aux ambitions de ses parents et malheureuse, que l'erreur était compréhensible. Mais finalement, le livre est plus fin que cela, car au fil des pages, l'auteur gratte le vernis social qui entoure ces 4 ados qui finissent par se révéler à eux-même d'abord et aux yeux des autres ensuite.

Soyons honnête, ce n'est certainement pas un coup de coeur car le récit manque d'un petit quelque chose mais c'est un roman honnête qui a le mérite de faire réfléchir le lecteur car à la fin, on se pose inévitablement la question : que ferais-je dans la même situation ?

Si c'était la fin du monde, comment réagiriez-vous ?
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A Seattle, on apprend que dans deux mois, la Terre a deux chances sur 3 d'être percutée par un astéroïde et de finir en poussière, comme ses habitants. Deux mois, et quatre personnages. Le sportif, l'intello, la salope, le glandeur.Quatre personnages qui n'avaient jusque là aucune raison de se côtoyer, mais qui, dans ces circonstances particulières, vont nouer des relations particulières. Que se passe-t-il quand plus rien n'a d'intérêt?



Pour moi, cette aspect de fin du monde et d'anarchie paraissait comme le jackpot : quelque chose que j'adorerais. Mais bon, les choses vraiment intéressantes ne se passent qu'à la fin. Le début est très paisible malgré l'annonce destructrice.

En commençant par les mauvais points, il y a tout d'abord la notion du temps, qui est très brouillée : parfois, un chapitre raconte une journée, et parfois deux semaines entières, voire trois. A la fin d'un chapitre, on peut se dire "oh la la, il ne reste que quatre semaines!" et en fait, au début du chapitre d'après, il ne d'un coup plus que deux jours. Ensuite, les remontées dans le temps en fonction du point de vu du personnage (il y en a donc quatre) paraît très brouillon, il faut se resituer tout seul, et parfois, cela perd un peu de son intérêt, et on se retrouve à sauter des lignes jusqu'au moment on où a laissé le personnage précédent.

Mais tout cela est rattrapé par des personnages très attachants, auxquels on peut facilement s'identifier, et un milieu plus ou moins réalises, avec des réactions humaines. Il y a aussi parfois des petits moments philosophiques que j'ai bien apprécié, entre la victoire à la Pyrrhus, et la citation d’Épicure. L'écriture de l'auteur aussi est très fluide, on passe rapidement les pages (ce qui est étrange parce qu'il m'a quand même fallu plus d'une semaine pour le lire, mais c'est sûrement parce que l'action n'était pas vraiment au rendez-vous), et l'histoire mérite le coup d’œil.

En revanche, j'ai trouvé dommage de ne pas savoir ce qu'il arrivait à certains personnages, tels que Jess ou Kevin, ou encore la fille hippie dont je ne me souviens plus du nom.

En somme, une lecture agréable, originale et bien écrite, avec quelques défauts (rien n'est parfait), que je conseille, sauf aux gens qui cherchent seulement de l'action.
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Lorsque j’ai reçu ce roman envoyé par les éditions Nathan, je n’étais que moyennement enthousiaste. Je l’avoue, lorsque j’ai lu le résumé, j’ai levé les yeux au ciel tant l’histoire me semblait niaise et pleine de clichés. Et pourtant… je ressors de ma lecture agréablement surprise par la profondeur que l’auteur a su apporter à son récit. Comme quoi, il ne faut pas juger un livre par son résumé!

Ce qui m’a d’abord interpellé dans ce roman, c’est son originalité. En effet, si l’on est habitué aux dystopies post-apocalyptiques, on n’a moins l’habitude de voir ce qu’il se passe avant la fin du monde… alors que c’est bien plus passionnant!



Que ferions-nous s’il ne nous restait que deux mois à vivre ? Que ferions-nous si la fin du monde arrivait ? s’il y avait 2/3 chances qu’un astéroïde détruise la terre ? En voilà une réflexion sur l’humanité que je trouve réellement passionnante, et que l’on ne trouve pas souvent dans la littérature jeunesse. C’est finalement plus cette réflexion que j’ai aimé qu’autre chose.



Tout d’abord, ce que j’ai apprécié, c’est que l’auteur nous offre une vision assez réaliste (donc pas enjolivée et plutôt pessimiste). En effet, loin de s’entraider, de se faire des câlins et tout, on se doute bien que le pire de l’Homme resurgit lorsqu’il n’a plus rien à perdre et qu’il n’a plus d’avenir. Bien sur, le roman reste destiné à la jeunesse, donc l’auteur se bride un peu, et l’amour, l’amitié restent présents. Néanmoins, c’est dans un contexte de haine et de terreur que nos héros vont évoluer.



Parlons à présent des héros. On a Peter - le grand sportif populaire, Elyza - qui traine une réputation de "salope" derrière elle, Andy - le cliché du cancre, et Anita - l’intello. S’ils sont au début énormément stéréotypés, au fil des pages, ils évoluent pour devenir plus nuancés. Les personnages vont peu à peu s’éloigner, se détacher de leurs étiquettes. L’auteur se centre réellement sur l’évolution psychologique et le ressenti des personnages - les chapitres alternent d’ailleurs entre les différents points de vue.



L’intrigue est mise de côté et pas franchement passionnante, surtout que les actions ne sont pas prépondérantes. J’ai donc finalement plus apprécié la réflexion de l’auteur ainsi que l’évolution des personnages que l’intrigue.
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j'ai vraiment beaucoup accroché sur le livre, il est très passionnant même si l'histoire se révèle de l’ordre du fictif. La chose qui 'a néanmoins déçu est le fait que le livre se termine à suspension ( la fin à imaginer ). Si vous savez si l'auteur écrit une suite merci de me prévenir ? Je conseille tout de même ce livre pour des ados.

Un roman ado sur le modèle des films catastrophe. Quatre héros hors norme, au destin brisé. Que ferions-nous s’il ne nous restait « peut-être » que deux mois à vivre?
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« Si c’est la fin du monde » raconte l’histoire de Peter, Eliza, Andy et Anita, quatre adolescents totalement différents. Ce quatuor sert de voix dans ce roman. La narration est à la 3ème personne, mais dans chaque chapitre le personnage diffère. La personnalité et l’histoire de chaque personnage sont parfaitement présentées et approfondies. Et puis, progressivement nous découvrons les interférences qui se tissent entre eux. D’anciennes relations ressurgissent ou même des amitiés improbables se créent. Le succès est dû à la plume de l’auteur qui plante très bien les sentiments de ses personnages.

Une première partie un peu lente mais qui présente bien les personnages et la situation de survie, ainsi que leurs difficultés. Un livre destiné aux adolescents, les adultes risqueraient de ne pas se retrouver dans les problématiques du roman.




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Lorsque j'ai reçu le livre et vu le résumé, je ne ne savais pas trop à quoi m'attendre avec ce livre et j'avoue que l'annonce de l'alternance de 4 personnages au sein du récit m'inquiétait quelque peu. Malgré tout, ce livre (le 1er de 2016) a de quoi faire réfléchir.



Comment agiriez-vous si la fin du monde avait 2 chances sur 3 de se produire dans les deux mois à venir ? Resteriez-vous fidèle à vous même, lâcheriez-prise en envoyant tout balader ou alors occuperiez-vous le temps qu'il vous reste à vivre à faire ce que vous pensait être de bonnes choses ? C'est le sujet de ce livre. Lorsqu'Ardor, une météorite apparaît dans le ciel, annonciatrice de la probable prochaine fin du monde, on s’intéresse à la réaction de 4 élèves de terminales tous différents. Mais leur but commun durant ces dernières semaines à vivre : se débarrasser de l'étiquette qu'ont leur a coller durant leur scolarité.



Il y a Peter, le sportif qui se "pavane" avec la reine du Lycée. Anita, la "première" de la classe aussi discrète que sérieuse. Andy, le mauvais élève par excellence, qui passe son temps à ne rien faire hormis s'attirer des ennuis. Et Eliza, qui traîne une réputation de garce et de salope, depuis qu'elle a été surprise en train d'embrasser le mec d'une autre. Chacun d'entre eux va réagir d'une façon différentes mais pas forcément de la bonne manière. Entre celui qui va se donner un but, une raison de se lever chaque matin, l'autre qui va au contraire saisir l'opportunité de tout envoyer balader et profiter de chaque moment de liberté. Des destins qui vont se retrouver malgré eux emmêler les uns aux autres de façon plus ou moins étroites.



Du point de vue de l'écriture, je dois dire que l'auteur à réussi un prodige : me faire apprécier un roman à "4 voix". Car on passe d'un personnage à l'autre en fonction des chapitres, et le récit est à la troisième personne. Deux éléments qui m'ont un peu rebuté à lire le livre alors qu'au final, la façon dont tout s'imbrique forme un récit très fluide. On ne perd jamais de vue le personnage à qui est consacré le chapitre et cela permet de voir des mêmes choses sous des angles différents. L'ambiance fin du monde est très crédible (et c'est loin d'être joyeux) même si certaines choses se passent de manière un peu facile alors que d'autres n'épargnent pas le lecteur.



Les quatre personnages principaux ont chacun un petit quelques choses qui les rend plus ou moins attachants. Ce n'est pas le cas des la plupart des personnages secondaires qui sont aussi mauvais que la météorite que pointe le bout de son nez. Certains cas sont désespérés tandis que d'autre ne demande qu'un petit coup de pouces pour changer.



En conclusion, si vous aimez les ambiances fin du monde et les destins croisés, vous apprécierez sans doute ce livre. Pour ma part, j'ai bien aimé dans l'ensemble même s'il y a un petit quelques choses sur lequel je ne sais pas mettre le doigt qui m'a un peu gêné. Je m'attendais peut-être intérieurement à un peu plus d'optimisme.
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Peter, Eliza, Andy, Anita. Quatre personnages, quatre adolescents, quatre vies bouleversées comme tant d'autres par la terrible annonce... Un astéroïde se dirige sur la Terre, et il a deux chances sur trois de la faire exploser dans deux mois.



Que faire de deux mois d'existence ? Avons-nous vraiment vécu ? Avons-nous des rêves ? Avons-nous été heureux ? Et si... on vivait ?



On est focalisé sur ces personnages qui m'ont touchés, sans pour autant que je m'identifie vraiment à eux. Mais ils sont si sensibles, si intéressant, qu'ils m'ont fascinés. La possible fin du monde les fait agir de manière inédite et on se plait à les suivre dans leurs changements. Lorsque les dernières pages se sont effeuillées entre mes doigts, j'ai eu beaucoup de mal à leur dire au revoir. Je ne m'attendais pas à être autant émue durant ma lecture. Un livre avec des réflexions vertigineuses, parfait pour commencer l'année en beauté !
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Si c’est la fin du monde est l’histoire de Peter, Eliza, Andy, Anita, leurs proches et amis qui vont devoir faire face à la fin du monde. Dans le synopsis, on nous annonce déjà qu’un astéroïde arriverait sur terre dans deux mois, même si cette catastrophe n’est pas une certitude.



L’intérêt de ce roman et ce qui a suscité ma curiosité était de voir comment l’auteur allait construire son histoire. La question que l’on se pose est: est-ce que cet astéroïde anéantira ou non l’humanité? Mais au fil de ma lecture, ce qui m’a semblé le plus intéressant est de suivre ces 4 personnages et de voir leur transformation, on ne vit pas et on ne pense évidemment pas de la même façon lorsque l’on sait que l’on va probablement mourir dans deux mois.





Si c’est la fin du monde apporte une véritable réflexion philosophique sur la vie, son essence et sa finalité. Vous n’y trouverez pas des réflexions philosophiques barbantes mais Tommy Wallach nous amène à nous interroger à tout ceci à travers le discours de ses personnages, à la John Green. Sa vision du monde peut paraître pessimiste mais à y voir de plus près, la clémence, la seconde chance et l’amour sont très présents aussi dans son texte.



Ce qui m’a le plus étonnée est sans aucun doute la fin, rassurez-vous, je ne vais pas vous la dévoiler mais je ne m’y attendais pas du tout. En refermant mon livre, je me suis dit: « quelle fin déconcertante! ».







On est plus que les étiquettes qu’on nous colle, on voit nos personnages s’en détacher petit à petit: Peter, le sportif populaire du lycée, Anita, l’intello, en apparence obsédée par la réussite scolaire, Andy, le looser juncky et Eliza, la fille à la mauvaise réputation. J’ai trouvé intéressant comment Tommy Wallach déconstruisait toutes ces étiquettes. Mes deux personnages préférés sont Peter et Eliza dont j’ai apprécié la personnalité, forts et indépendants, ils ont su se démarquer.



Si c’est la fin du monde est une lecture intéressante qui sort de l’ordinaire, un roman dans lequel on s’immerge facilement au point de réellement croire que la fin du monde est proche.




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Sur une idée - presque- originale (des cinéastes hollywoodiens ont déjà traité du sujet), Tommy WALLACH propose un roman dense et polyphonique, où chacun des quatre adolescent (...)
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