J'avais entendu beaucoup de bien de cette série.
Dès la lecture du résumé j'ai senti que ce n'était pas un manga pour moi, mais je me suis efforçé de le commencer et d'essayer de le finir.
On nous présente Eikichi Onizuka, un voyou de 22 ans espérant devenir professeur afin de sortir avec des lycéennes.
Dès les premières pages on peux voir des corps de lycéennes hyper sexualisés, on comprends également que les femmes ne sont importantes que pour leur apparence : "de toute façon y'a jamais de filles ... ou des moches."
Erika, le premier personnage féminin est bien sexualisée, bien cliché et réagit comme la "michto".
Plus on avance dans la lecture et plus on a l'impression que les personnages masculins sont tous des pervers.
On peut aussi retrouver dans ce manga une phrase qui me fais vomir : "imagine toi un peu à 40 ans, mariés avec une petite de 16 ans ! Sérieux !"
L'histoire aurait pu être géniale mais la lecture est gâchée par tous ce sexisme, je n'ai pas pu finir ce premier tome tellement cela m'a fait lever les yeux au ciel.
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Un tome un peu décevant, trop axé sur la baston pure. Le problème, c'est que cette fois, les scènes de combats sont un peu plus confuses à cause de dessins trop chargés pendant ces séquences. Cet arc des cavaliers de Yokohama est bien trop long. Et la suite ne relève pas le niveau. J'ai peur que la série commence à tourner en rond, un peu à vide et devienne répétitive.
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Quand le furyo se déchaîne, on n'a plus aucun temps mort. Baston à tout va, mais aussi suspense et exacerbation du sens de l'honneur et de l'amitié. Un cocktail explosif qui tient en haleine. Un bon tome qui laisse un peu de côté (et c'est tant mieux) l'aspect salace qui était très marqué au début de la série. L'auteur commence vraiment à trouver un très bon équilibre.
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J'attends de lire la suite... car pas très convaincue par l'histoire d'un homme qui souhaite coucher avec des mineures !
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Bof bof bof.
Enquête prévisible, clichés à gogo (et encore si ce n'était que ça, ça irait !)
J'adore retrouver un message anti-avortement dans un bouquin destiné aux ados...
Spoil : l'héroïne journaliste conclut son article "Il est regrettable que le seul moyen qu'elle ait pour défendre la vie soit le meurtre. Cependant, il me semble que je peux comprendre le désespoir de cette femme en voyant la façon dont notre société actuelle prône la jouissance du sexe sans états d'âme, sans se préoccuper des enfants conçus et éliminés..."
Whaaaaaaaaaaat ?
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Avec les conseils d’un ami, je m’ouvre à un genre littéraire qui ne m’a jamais attiré : les mangas. J’avais commencé avec le tome 1 de Battle Royale que je n’ai pas apprécié pour sa violence. J’ai poursuivi avec ce tome 1 de GTO - Great Teacher Onizuka. Ce manga a paru il y a plus de 20 ans - j’ai bien ce contexte en tête - ce qui m’a gênée est la misogynie du personnage principal qui transparaît tout au long du roman. Je ne me ferme néanmoins pas à ce genre parce que j’apprécie la lecture courte, le dynamisme et le côté graphique.
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Voilà, c’est ici que je jette l’éponge pour ce Shonen à l’humour plutôt lourd.
Cela fait neuf tomes que je cherche quelques points forts auxquels m’accrocher. Et c’est vrai qu’au niveau du graphisme les grimaces irrésistibles d’Eikichi Onizuka valent le détour et constituent une des forces de cette série. C’est également vrai que j’ai su apprécier les moments où Eikichi Onizuka vole à la rescousse de ses élèves les plus faibles et que malgré des méthodes peu orthodoxes, il parvient toujours à gérer les problèmes les plus délicats avec une certaine finesse et efficacité.
Mais, malheureusement, ces bons moments sont trop souvent entourés d’un humour trop ‘pipi-caca’ ou ‘petite culotte’ et de passages d’un niveau assez exécrable. De plus je reproche un manque de renouvellement dans le contenu de cette série depuis plusieurs tomes.
Dans ce neuvième tome on retrouve à nouveau un passage dédié à la mère de Kunio, un dédié au sous-directeur Uchiyamada, quelques planches dédiées au voyeurisme de petites culottes et à nouveau un passage où notre loubard se transforme en Great Teacher, cette fois-ci pour voler à la rescousse d’une collègue. Bref, mis-à-part un sous-directeur Uchiyamada qui barbouille maintenant des mots en anglais dans chacune de ses phrases, rien de vraiment neuf à se mettre sous la dent.
Donc, ceux qui aiment cette série (et il y en a beaucoup), peuvent également se farcir les séries dérivées ("Young GTO", "Bad Company"), ainsi que la série animée de 43 épisodes, le feuilleton TV de 12 épisodes et le film. Moi je décroche ici !
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Ce huitième tome débute avec un monologue de l’agent Toshiyuki Saejima dont je cherche encore l’intérêt.
Ensuite, on va retrouver un Eikichi Onizuka à bout de nerfs qui est sous l’emprise de Kanzaki et se voit obligé d’exhausser tous ces vœux. Après d’interminables planches à bouffer du Sushi au thon dans les meilleurs restaurants de Tokyo et à se demander pourquoi on continue encore à lire cette série, ce huitième tome se décide enfin à démarrer en attaquant le secret de Kanzaki.
C’est un de ces moments où le crétin Eikichi Onizuka se transforme en GTO (Great Teacher Onizuka), afin de prendre en main ses élèves et de résoudre leurs problèmes. Un prof extraordinaire qui parvient à gérer les problèmes relationnels et comportementaux des adolescents et de faire passer un message moralisateur, tout en restant "cool".
Malheureusement, ces bons moments sont trop souvent entourés par des passages d’un niveau assez exécrable, comme cette fin de tome dédiée au sous-directeur Uchiyamada et à son chien.
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On avait abandonné Eikichi Onizuka dans de sales draps (au sens figuré) à la fin du tome précédent, avec deux balles dans la poitrine, mais il s’en remettra incroyablement vite. Par contre, si ces deux balles ne l’ont pas emporté au ciel, il aura tout de même du mal à garder les pieds sur terre, maintenant qu’il est la star de l’école. Mais il devra faire très attention car une jolie jeune fille au QI de plus de 200 a des plans machiavéliques à son égard.
Comme à son habitude, notre Great Teacher Onizuka va remettre le sous-directeur Uchiyamada à sa place, mais c’est surtout le prof de math Teshigawara qui va péter un plomb suite au résultat de l’examen d’Onizuka. Le rôle de la secrétaire générale Sakurai, qui continue de protéger Eikichi Onizuka dans les coulisses, reste très intéressant.
A la fin du tome on est tout de même curieux de voir comment Onizuka va faire pour remettre cette petite peste machiavélique surdouée sur le droit chemin.
A suivre !
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Dans ce sixième tome Eikichi Onizuka va démontrer son incroyable sens de l’honneur et sa force de caractère pour passer outre les obstacles qui barrent sa carrière d’enseignant. Il devra non seulement affronter certains collègues enseignants, mais également des yakuza et tout cela en se préparant mentalement à passer un examen pour rester prof. Dur dur, la nouvelle vie de cet ancien voyou.
Eikichi Onizuka va également démontrer que grâce à la persévérance et aux amis, il y a moyen de faire face à des situations difficiles. Tout cela, toujours dans son style loubard obsédé et incapable et pourvu de grimaces irrésistibles.
Etonnant est de voir qu’au fil des tomes Eikichi Onizuka, qui était initialement perçu comme un glandeur pervers venant profiter du système éducatif, va se transformer en un enseignant aux méthodes certes peu orthodoxes, mais capable de gérer les problèmes les plus délicats avec lourdeur dans la forme, mais finesse dans le fond et efficacité dans le résultat. Ceci est en plus mis en contraste avec d’autres profs comme le sous-directeur Uchiyamada ou le prof de math Teshigawara, qui semblaient être des enseignants irréprochables, mais qui peu à peu vont dévoiler des vices peu louables.
Suite dans le septième tome !
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Le tome précédent avait abandonné notre Great Teacher Onizuka dans de sales draps, mais heureusement pour lui : les draps sales il connaît et il ne lui faudra donc pas beaucoup de temps pour remettre tout le monde à sa place. La grande différence avec le tome précédent est qu’apparemment une partie des élèves semble se rallier à sa cause et adhérer à sa façon d’enseigner.
Une autre partie des élèves continue par contre à lui chercher les poux et va même pousser Eikichi Onizuka à se transformer en Doraemon (même si les deux boules de bowling semblent disparaître de ses mains quand il fume). Et alors qu’il avait décidé de devenir prof pour pouvoir sortir avec les étudiantes du lycée où il travaille, il semble maintenant devoir plutôt se concentrer sur les parents d’élèves.
Côté graphisme, même si le dessin est encore très loin de celui de Taniguchi, il faut bien avouer que les grimaces d’Eikichi Onizuka valent le détour et constituent une des forces de cette
série.
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Un manga de référence pour moi : le prof le plus déjanté, le plus drôle et le plus loyal envers ses élèves.
Franchement un prof comme ça, on n'en trouve pas à tous les coins de rues.
Bien que les dessins soient très détaillés, avec les textes, certains page sont très riches, beaucoup trop d'informations à lire. Autant le dire, sur une liseuse ou sur un portable, c'est difficile de tout voir.
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GTO paradise Lost tome 12.
Moi aussi je veux savoir pourquoi Onizuka est en prison, depuis le début de la série. Il nous couvre de ses aventures dans une classe de star.
Bien contente de revoir ce manga, mise à part que cette nouvelle série est encore plus osé sur certains thèmes. On tombe sur une scène ou une suggestion de sexe dans chaque tome.
Me tarde de savoir où va en venir l'auteur, la thématique qui se cache derrière avant d'en faire une critique plus complète.
Comme je viens de finir ce tome, juste une petite présentation.
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