Tôru Fujisawa

Ce manga est tout simplement génial ! Je me souviens d'avoir vu quelques épisodes des animés, mais il aura fallu qu'un pote me prête les mangas originaux pour que je puisse commencer à les lire.



Voici l'histoire de Onizuka, qui va vouloir devenir (par le plus grand des hasards - hasard qui va revêtir l'apparence d'une jolie fille) le plus Great Teacher de tout le Japon ! Scénario un peu à la Nicki Larson où le héros (ou plutôt l'anti-héros) rêve de jolies filles, a un côté bad boy (tout en n'y touchant pas - côté sexe, et en en y touchant - côté baston et chef de gang). Bref, le tout auréolé d'une critique de la société japonaise qui accepte que ses enfants partent à la dérive mais n'accepte pas de leur laisser une seconde chance (en fait le cas de toutes les sociétés ^^).

Et c'est enfin la rentrée ! Onizuka va donc être le professeur principal des... 3ème-4, la classe la plus terrible de l'école. La bataille s'annonce donc serrée entre cette classe qui a jurée de faire renvoyer tous leurs professeurs principaux et notre nouvel enseignant. Mais ce dernier sait très bien comment s'y prendre avec eux.



Un bon tome de plus pour cette série très sympathique, assez amusante et que je lis avec assez d'entrain, c'est vrai que je ne ris pas forcément aux éclats mais j'ai tout de même passé un très bon moment en compagnie de ce tome 3.



Le scénario prend enfin un peu d'ampleur avec Onizuka qui affronte la pire classe du collège, et je trouve qu'il s'y prend d'une manière totalement hilarante et surtout d'une manière très classe, et je plains un peu le sous-directeur qui est devenu le souffre-douleur officiel d'Onizuka sans qu'on l'ai désigné pour autant...



Le dessin s'améliore un tout petit peu, mais c'est encore très moche, pas beau, on dirait un peu du brouillon...

La série en elle-même est assez originale, un ancien délinquant qui veut devenir professeur, ça le fait, beaucoup de jeunes auraient aimé l'avoir comme prof, je pense.

Le personnage d'Onizuka est assez spécial, il peut passer du gros pervers qui ne va rien faire de sa vie et va passer son temps à regarder la culotte des lycéennes au mec super cool qui se fait respecter et qui a une certaine classe et que l'on a envie d'avoir envie d'avoir pour ami.



Alors, il faut bien qu'on en parle, de l'humour, car c'est quand même le pilier de cette série, pour l'instant ce n'est pas tout à fait hilarant, mais ça va venir, ne vous en faîtes pas, il y a tout de même un avant-goût des grimaces que peut fait Onizuka qui ont fait le succès de la série.



Par contre s'il y a un point négatif dans ce manga, c’est la qualité des dessins, je les trouves assez moches, surtout au début de la série. Par la suite cela va s’améliorer mais cela va mettre un certain temps.
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GTO, c’est tout une histoire…. Un classique que je voulais dévorer depuis longtemps, mais que je laissais de côté par peur d’en tomber amoureuse et de me ruiner dans l’achat de cette (assez) longue série.

Comment se faire plaisir sans se ruiner ? J’ai trouvé la réponse à cette question dans la bibliothèque de ma ville… qui a toute la collection ! Alléluia!



Bref… Je suis tout de suite tombée sous le charme de ce prof atypique, au passé de délinquant, qui semble avoir une notion toute particulière de la pédagogie… Mais qu’est-ce qu’il est attachant, et pas trop con parfois (quand il perd son humour bien gras qui me fait tant marrer).



Et pourtant, j’avais peur de ces dessins aux traits durs, aux lignes épaisses parfois, qui donnent aux personnages des expressions très marquées… Mais tout ça, c’est passé comme une lettre à la poste ! Nickel-chrome ! Pire même, puisque je suis retournée à la bibliothèque tous les jours de la semaine pour pouvoir dévorer, dévorer, dévorer…



GTO, c'est un prof cinglé qui sait pas faire cours (conventionnellement), des intrigues loufoques, et des élèves encore plus barjots qui ont une imagination débordante pour emmerder le monde.

GTO, c’est aussi des rencontres émouvantes, une foi démesurée en l’enseignement, et une belle leçon de vie et de solidarité



Bon, maintenant vous savez (à peu près) à quoi vous attendre si vous commencez cette série!
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D'étranges morts sont retrouvés à Tokyo : les cadavres sont partiellement décomposés en sable rouge. Une jeune lycéenne est capable de voir 1h avant qui va mourir et où. Elle est repérée par un étrange groupe : deux prêtres hérétiques, un inspecteurs et deux cochons parlants (mais non, ce sont des esprits familiers !) Ils doivent découvrir et détruire une secte : les enfants de Salomon.

Le dessinateur de GTO récidive ! Mais dans un genr différent, fantastique. Le lecteur y retrouve son trait (l'inspecteur ressemble au personnage principal de GTO), son humour et son rythme : de l'action, pas de temps mort

Un tome 1 plutôt prometteur.

Ce manga est clairement destiné aux adultes ou aux grands ados, car il traite ouvertement de sexualité et utilise un langage très familier voire vulgaire. On y voit pléthore de petites culottes et on frôle de près l'érotisme, sans jamais trop en dévoiler non plus. Une liberté de style et de ton dont il faut être conscient avant de se lancer dans cette série. Au début, ça surprend un peu, on est même plutôt dégoûté par ce héros répugnant et antipathique. Mais petit à petit, on s'attache à lui, et on se prend à rigoler à cet humour potache et facile qui sert de ciment à ce manga. Onizuka est à la fois ridicule et touchant, ce qui lui donne une grande humanité. On sent que ce personnage a la capacité de nous surprendre et qu'il est plus profond qu'il en a l'air (même si ça ne sera jamais non plus un mec raffiné et subtil, hein, faut pas trop rêver non plus, je pense). Une série qui sort du lot, différente de celles que j'ai l'habitude de lire, et que j'ai bien envie de découvrir un peu plus.
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Extrait :

Il est l’heure de la conclusion pour cette série Kamen Teacher. Je ne sais plus si je l’ai dit précédemment, mais désormais les tomes sont difficilement trouvable neuf (à moins qu’il n’y ai une réimpression). La lire m’a rappelé de très bon souvenir du drama qui m’a fait découvrir la série, et je dois avouer que du souvenir que j’en ai, il y a pas mal de différence entre les deux.



Kinzo se laisse porter par sa colère, et surtout, son sentiment d’impuissance face au désarroi de sa mère victime d’une arnaque lui ayant fait perdre sa maison. Mais pas de panique, car Araki est là et l’aidera tout en révélant les premiers secrets autour de Kamen Teacher. Petit à petit les murs tombent et la lumière réapparait au sein du lycée, sonnant ainsi le glas de fin pour Araki.



Cette série a été, comme d’autres titres de l’auteur, une petite leçon de vie. Une fois encore, on ne doit pas juger sur le paraître les personnes qui nous entoure (autant en bien qu’en mal d’ailleurs). Les élèves qu’ont qualifie « à problèmes » n’ont pas toujours cherché cette situation, mais sont juste dépassé par les évènements ou bien ils cherchent une certaine reconnaissance en passant par les poings (en jouant à qui à la plus grosse en somme).



[...]



En bref, j’ai autant adoré la série que le drama, même si j’ai une forte impression de « série trop courte » ce qui est bien dommage… Avec la fin de ce tome, on aurait pu avoir deux chemins possibles pour des tomes suivants, mais l’auteur à préféré s’arrêter là.
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Extrait :

Kamen Teacher est une série en 4 volumes, paru aux éditions Pika. On nous place au sein d’un lycée contenant les pires racailles que vous pouvez imaginer, et qui sont donc très indiscipliné. Face à l’augmentation du nombre d’élève délinquants, et aux conséquences pour eux une fois adulte, le Japon met en place un tout nouveau type de programme pour les cas désespéré. Son nom ? Kamen Teacher. Son rôle ? Remettre les différents élèves sur le droit chemin, et ce à n’importe quel prix !



Cette série possède une suite avec Kamen Teacher Black également aux éditions Pika et se déroulant en 5 tomes. Il y a également un film live, et deux drama (c’est comme ça que j’ai découvert la série pour ma part).



Si vous avez déjà lu GTO vous verrez sûrement quelques similitudes, même si ici, le Kamen Teacher n’est pas aussi gentil qu’Onizuka ! Cette série est pour ainsi dire un mélange entre GTO et les Kamen Rider très connus et appréciés au Japon. En effet, ce professeur possède un casque pour cacher son identité, mais aussi une moto (comme chaque Kamen Rider). Présenté au premier abord comme un autre professeur que Gôta, nous lecteur, découvrirons qu’en réalité il s’agit de la même personne, maligne et surtout très forte ! Pour ne pas se faire démasqué, il est évident que le comportement de notre Kamen, change radicalement suivant s’il porte le masque ou non.



[...]



En bref, ce premier tome rappel beaucoup des séries existantes, mais reste malgré tout très plaisant à lire.
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Alors là voilà cette fameuse 3emeA ! Detestant l'école et encore plus les professeurs, d'où vient cette haine ?

Mais ces jeunes sont sournois, très intelligents et avec des parents très influents. Onizuka devra se mettre à leur niveau pour ne pas sombrer.

Comment fera-t-il pour échapper à un nouveau renvoi ??



J'adore le destin de la Cresta! A mourir de rire !

Hayato Jûmonji alias Kamen Teacher et Gôta Araki, professeur d'histoire tentent de remettre de l'ordre dans un lycée huppé où les enfants de riches profitent de leurs privilèges pour faire régner la terreur.Tôru Fujisawa signe un manga plaisant et rythmé.

Le lycée Hiiragi est un lycée privé très coté où les enfants de famille aisées font régner leur loi aucun respect du règlement ou des autres élèves. Mais l'arrivée d'un homme à moto et casqué va changer la donne. En effet, le Kamen teacher comme il est surnommé est là pour remettre tous ces lycéens dans le droit chemin. Une histoire un peu facile qui n'apporte pas grand chose.

Cette série en 4 tomes raconte l'histoire de Kasumi Asakura aka Rose Hip, une lycéenne pas comme les autres qui travaille pour la police dans la lutte contre le terrorisme.

J'ai bien apprécié la première partie de la série mais faute de succès au Japon, elle a été écourtée et se termine par de courtes histoires sans véritable continuité avec les principaux protagonistes de l'histoire de départ. C'est dommage.

Sinon, côté dessin, j'aime beaucoup le style de Tôru Fujisawa (dont j'avais dévoré les GTO il y a quelques temps maintenant). Par contre, les culottes de filles toutes les deux pages n'apportent pas grand chose à l'histoire et je m'en serai bien passé (d'ailleurs, le livre est interdit aux mineurs au Japon).

En bref : un peu décousu.

C'est un ami qui m'a prêté toute la série. Et en refermant la dernière page du dernier tome... J'ai eu un coup au cœur. Malgré le grand âge de la série, elle a su cerner les problèmes existants entre étudiants et professeurs. Cette incompréhension, cette rage...

Heureusement qu'il existe des GTO, peu nombreux certes, mais existants pour nous faire aimer l'école. Un manga qui est un vrai petit bijou !

Décidément rien ne va plus pour Eikichi Onizuka.... Il a promis d'emmener toute sa classe en voyage à Okinawa pour rembourser la perte de l'argent de l'école. Mais comment va-t-il faire ?

Un tome bourré de rebondissements. Cette fois-ci, serais-ce la fin pour Onizuka ? Et en fin de manga, nous retrouvons les aventures de mon personnage préféré qui m'avait manqué depuis un moment... Devinez de qui il s'agit ;)

Dans ce tome, on apprend qu'Onizuka a vraiment une bonne étoile ou bien une résistance physique qui frôle la concurrence avec Hulk ou Superman ^^

Eikichi Onizuki va faire la connaissance d'une 3eme 4 encore inconnue au bataillon, j'ai nommé : Kanzaki ! Ne fiez pas à son air d'ange, elle a tout d'une véritable petite diablesse... Alors Onizuka, craqueras ou ne craqueras-tu pas ?



Série géniale et fantastique, dont je vais de ce pas lire le tome 8 !

Bon, vous l'avez déjà compris... J'aime toujours autant GTO, dans ce tome nous en saurons plus sur Toroko, le sous-dirlo va passer un sale quart d'heure (seulement un quart d'heure ?), Fuyutsuki nous fera une révélation surprenante et Teshigawara le nouveau prof est... enfin... je vous laisse découvrir :)



Un tome pour découvrir que les apparences sont parfois trompeuses. Et que le vice est un défaut qui se cache très très bien :)



Sur ce, le tome 6 m'appelle !

Aaah Onizuka ! Il est devenu en très peu de temps mon héros de manga préféré :) A la fois incorrect, charmeur et terriblement gentleman ^^



Bref, c'est un régal de suivre ses aventures ! Ce coup-ci Onizuka devient le professeur principal des 3eme 4, les ex (terribles) 4eme4... Va-t'il survivre ?... Go, Onizuka, Go go go !

Ah, GTO pour Great Teacher Onizuka. Le genre de prof qui n'a pas peur de remettre à leur place les élèves turbulent par un coup de pied façon martial, qui a leur coeur sur la main et un pénis dans la tête, qui sait faire preuve de bon sens mais aussi de décadence. C'est drôle, c'est déluré, c'est inimaginable, c'est grandiose. Il faut dire qu'il a un parcours peu commun. Avant d'entamé une carrière d'enseignant il était chef de gang. Il est envoyé dans une école difficile, où les élèves sont assez violent. et font la loi. En mettant les "poings" sur les i, il arrivera à s'imposer et à remettre de l'ordre dans l'école.



Celà dit 5 ans après l'avoir lu, j'ai essayé de le relire sans succès car le trop plein des page et le côté brouillon du dessins me gênait, ce qui n'etait pas du tout le cas lors de la première lecture.

J'ai lu tous les tomes qui sont au nombre d'une vingtaine.

Il existe en dessin animé mais l'histoire de ce dernier ne couvre que les 12 premiers tomes et est de ce fait moins complète et un peu moins intense.

Il y a aussi une série young GTO qui s'attaque à la jeunesse de Onizuka, l'époque où il était chef de gang. J'ai essayé de le lire mais je n'ai pas su finir le premier tome car les dessins était trop "brouillon", pire que ceux de GTO.

Mon tout premier manga ! Je n’ai jamais été particulièrement attiré par ce format, mais j’avoue que j’étais curieux de le découvrir. D’autant plus que lorsque j’étais gosse (et pas si gosse que ça, d’ailleurs) j’aimais beaucoup les dessins animés adaptés de manga, dont GTO, justement. Je me suis donc dit que je ne risquais pas d’être déçu par ce livre vu que j’avais adoré la série. Et puis si le manga est si populaire en Europe de nos jours, ça ne devait pas être un hasard.

Je me suis donc lancé et, à la première page, première satisfaction : une petite explication me décrivait le sens de lecture du bouquin. Une fois que j’ai eu compris le principe après 2 ou 3 pages, j’ai pu vraiment m’imprégner de l’histoire. Mais pas autant que j’aurais pu l’espérer. En effet, tous les phylactères ne sont pas rattachés à un personnage et j’ai parfois eu des difficultés à savoir qui parlait. De même, les conventions étant différentes de celles de la BD traditionnelle, je ne savais pas toujours s’il s’agissait de pensées ou de mots murmurés… Mais dans l’ensemble (le bouquin fait quand même plus de 300 pages), je m’y suis plutôt bien retrouvé. De plus, j’ai beaucoup aimé le petit lexique à la fin du livre qui permet d’en apprendre un peu plus sur certains aspects de la culture nippone.

Mais venons-en à l’histoire en elle-même. J’ai vraiment retrouvé l’Onizuka qui me faisait tant marrer à la télé. Ma mémoire me joue peut-être des tours, mais j’ai l’impression que l’adaptation était assez fidèle. En tout cas, ce cher professeur, toujours aussi naïf, je-m’en-foutiste, fainéant, et obsédé, m’a fait passer un excellent moment. J’ai beaucoup ri. Et puis, bien qu’elles ne soient pas super originales, les petites morales sont quand même intéressantes.

Au final, pas de surprise au niveau du contenu, mais un excellent moment de lecture néanmoins. Et aussi une très agréable découverte du manga. Et enfin, merci à Babelio et surtout aux éditions Pika pour ce joli livre et pour le petit mot et les marque-pages qui l’accompagnaient.

Durant ma “jeunesse”, j’ai lu le nombreux mangas. Aujourd’hui, je consacre bien moins de temps à ce type de littérature. A l’occasion challenge Sur les pages du Japon du mois de juillet, j’ai donc décidé de revenir sur l’un de ceux qui m’avait le plus plu, relisant au passage quelques tomes.

Il semble que l’univers du lycée devait être plus parlant à la jeune fille (pure et innocente bien sûr) de l’époque, qu’à la jeune adulte (cadre dynamique essayant de préserver bon gré mal gré sa pureté et son innocence) que je suis aujourd’hui. Si j’ai apprécié de retrouver ces personnages rangés dans un coin de ma mémoire, je me suis vue bien moins “passionné” qu’alors. J’ai peut être aussi été plus gênée par l’omniprésence des sous vêtements de lycéennes (ça marche, mon innocence se régénère ! A moins qu’il ne s’agisse d’une fermeture d’esprit... Enfin, tant que je ne commence pas à penser que “c’était mieux avant” tout va bien).

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