Citations de Victoria Arabadzic (40)
"Il était dangereux, pourtant son regard me faisait plus d'effet que celui de n'importe quel homme sur cette Terre." (p.215)
"Les sentiments peuvent parfois pousser les plus déterminés à agir de façon stupide." (p.185)
" — J'aime bien plus tuer que je ne pourrai jamais aimer." (p.163)
"- Tu ne peux pas fracasser tous les mecs qui m'approchent, Gab.
- Tu veux paier ? la défiai-je."
J’étais enfin heureux. Un sentiment incroyable que je pensais interdit ou légendaire.
Je t’ai choisi parce que tu me rends heureuse, vivante, et je préfère rester un seul jour avec toi qu’une existence entière sans toi.
Avec elle dans ma vie, je n’étais plus seulement un chef de cartel sans état d’âme. J’étais bien plus, j’étais humain.
Par ce rapprochement inapproprié, nous avions brisé toutes les règles.
Il venait de retrouver une chose qu’il avait perdue depuis trop longtemps : l’espoir
Ma tête me criait de fuir, mais mon coeur était incapable d’obéir.
Hayden ne sais pas comment aimer parce qu’on ne lui a jamais appris.
Ma vie entière s’effondra. Je sus alors que la souffrance que j’éprouvais ne partirait plus jamais, elle serait désormais ancrée en moi.
ce que j’aimais chez elle, c’était sa manière similaire à la mienne de me regarder
J’étais peut-être réaliste, mais j’avais un côté romantique en moi. J’étais consciente que Jack dans Titanic ou Noah dans n’oublie jamais n’étaient que des fantasmes et pas des hommes réels, mais je ne méritais pas pour autant de me marier avec quelqu’un qui m’avait trahie. J’étais persuadée que quelque part se cachait mon juste milieu, celui qui me prouverait que l’amour véritable existait
… Une idée ridicule était désormais l’échappatoire parfaite. J’avais besoin de m’évader et de la voir. J’avais besoin de me ressourcer et de changer d’air.
Elle aimait tout essayer, que ce soit les couleurs de cheveux ou les mecs, tandis que, moi, je me focalisais sur les études.
… Jamais je n’avais ressenti un désir aussi fort. Ce genre de désir qui prenait aux tripes et ne demandait qu’à être assouvi.
Ce soir, j’avais merdé.
Je me réveillai en me sentant observée. Quand j’ouvris les yeux, je tombai nez à nez avec Alec qui me regardait avec attention.
— Oh ! mon Dieu ! m’exclamai-je en me redressant, sous le choc.
— Juste Alec, ça suffira.
Je mis un instant à comprendre sa vanne et choisis de ne pas commenter.
"Cet homme éveillait en moi de nombreuses émotions. La perfection de son physique attisait un désir interdit que je me maudissais de ressentir, mais aussi une crainte indéfinissable. Sa simple présence me suffisait à me déstabiliser et je détestais ça." (p.139)
"Quelquefois, la vie pouvait nous réserver bien des surprises. Dès que nous avions le malheur de croire qu'elle était bien faite, un évènement nous rappelait que tout pouvait basculer du jour au lendemain." (p.94)