Citations de Victoria Arabadzic (40)
-Tu dis vraiment de la merde, Romeo. L’amour te rend con…
-On sera bientôt deux à être cons.
Je n’avais peut-être jamais pris de drogue, mais Adam Carrera était mon addiction.
-… Tu peux avoir peur, tu verras que, malgré toutes mes conneries, mon but premier sera de te garder heureuse et avec moi. J’ai déjà changé, tu m’as changé, et je suis prêt à faire plus d’efforts pour devenir l’homme que tu mérites… Je vais te prouver que, toi et moi, nous ne sommes pas faits pour respecter ces foutues règles. J’en ai marre d’attendre… Alors je vais faire quelque chose de fou…
Étais-je trop ennuyeuse? Trop studieuse? Trop peu attirante? Lorsque je voyais le comportement d’Adam avec moi, je commençais à me remettre sérieusement en question et me demander si le problème ne venait pas de moi.
Mon âme brûlait de désir pour lui.
J'avais toujours été indépendante et seule, mais je devais avouer que cette amitié fusionnelle m’avait souvent aidée à surmonter les moments difficiles.
" — Tu pense que je suis folle ?
— Pourquoi tu le serais ?
— Parce qu'il faut probablement l'être pour que mes premiers sentiments soient destinés à un homme dangereux, sans cœur, qui a sûrement tué plus d'hommes qu'il n'a eu de partenaires sexuelles.
[…]
— Tu es humaine, Adria. Tu ne peux pas choisir de qui tu tombes amoureuse.
— Et alors pourquoi avoir choisi de m'engager dans un chemin qui n'a pas d'issue ?
— Parce que c'est ton cœur qui parle, pas ta tête." (p.315)
-Je ne te déteste pas, Hayden.
T’aimer est douloureux, c’est tout.
Les sentiments peuvent parfois pousser les plus déterminés à agir de façon stupide.
"- Tu devrais aller te coucher, Adam.
De quoi se mêlait-elle ?
- Et toi, tu devrais garder tes conseils pour ceux qui t'apprécient."
"- Je t'en prie... Ne fais rien.
- Et pourquoi ça ?
- Parce que tu lui donneras une raison de plus de t'anéantir.
- Et ça te dérangerait ?
- Arrête...
- Arrêter quoi ?
- De tenter le diable.
- Tu sais très bien que c'est trop tard pour ça."
Elle était la pièce manquante dans ma vie, celle que j’avais toujours cherchée
-je l’aime, et c’est ça le plus difficile.
-ne confonds pas amour et peur d’être seule
Maintenant que je me rappelais tout, je ne voulais qu’une chose, aller la trouver, la remercier et, surtout, combler ce besoin de l’avoir, peur importe ce qu’en penserait Jess. Il ne s’agissait plus d’un caprice ou d’une envie de sexe passagère, c’était bien plus puissant. C’était effrayant et captivant, une dépendance à laquelle je ne souhaitais plus du tout résister.
-De l’amour à la haine, il n’y a qu’un pas…
S'il continuait à me dire des choses aussi blessantes, le peu d’ego qu’il me restait allait finir par se désintégrer. Voyant que je n’avais pas pris sa réplique à la rigolade, il cessa de sourire et se pencha légèrement pour réduire la distance entre nous.
— Tu n’as jamais été un second choix.
Le rouge me monta aux joues, et je priai intérieurement pour que la pénombre camoufle cette preuve de vulnérabilité.
Hayden Smith venait de me présenter ce qui ressemblait à des excuses et m’avait également fait un compliment.
- Je suis désolé que tu sois assez stupide pour croire qu'il me reste une part d'humanité.
[...]
- Je t'avais dit de ne pas croire en mon humanité.
- J'aime bien plus tuer que je ne pourrai jamais aimer.
C'était fou, c'était inconscient et malsain, mais c'était inévitable.
Dans cet endroit si sombre et triste, où un peu de couleur aurait été bénéfique au moral, le voir ne pouvait que me réjouir.
"Je m'étais toujours imaginé que le premier homme que j'aimerais serait quelqu'un de stable, avec un travail banal, qui aurait une petite vie paisible. Mais j'étais tombée amoureuse de l'exact contraire. L'ironie du cœur n'avait vraiment aucune limite." (p.411)