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Critiques de Virginie Lloyd (118)
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Cher bonheur, j'ai pris la liberté de t'écrire

Cher Bonheur,



J'ai pris ...



A chaque fois que je lis un roman, de deux choses l'une, soit mon coeur continue de palpiter au rythme du suspense bien huilé après le point final, soit un sentiment de plénitude m'envahit au point de laisser mon esprit en paix, avec moi-même, ce moment privilégié que l'on voudrait prolonger, c'est un tourbillon d'émotions, une explosion de sens, ce deuxième roman de Virginie Lloyd se classe dans la deuxième catégorie, on parle de littérature blanche ou de feel-good, une histoire belle comme la lune, des personnages tellement attachants qu'ils accrochent et s’agrippent à vous, quand l'imaginaire rejoint la réalité, des réflexions existentielles vous remuant telles des souvenirs figés, que la vie est comme un cadeau avec toutes ses attentes, ses surprises, ses cailloux disséminés sur le long chemin de la construction, parfois il suffit d'enjamber ces obstacles, d’autres fois il faut juste accepter et attendre ...



L'enfance est une étape que tout un chacun a connu avec ses lots de moments de tendresse et de coups durs, la vie devrait être pour tous un long fleuve tranquille avant de plonger dans l'océan, être né différent doit-il précipiter la fin du monde, pour l'avoir vécu et encore aujourd'hui, s'il avait fallu attendre quelques années pour constater mon handicap, je ne suis pas le premier ni le dernier, le temps n'attend pas, les parents n'ont pas le choix sauf s'ils préfèrent la solution de facilité mais voilà, il existe cet amour maternel et l'instinct protecteur capable de renverser des montagnes, faire fi des conventions et de l'ignorance des autres, mettre un point d'honneur à suivre une scolarité normale, les liens du sang sont intrinsèques à chacun, le regard d'une mère vers son enfant est le plus beau des tableaux que l'on peut dépeindre pour cristalliser la vie et le don de soi, ce sacrifice qui imprègne et participera à la construction de celui qui continuera à porter en lui l'héritage et le patrimoine génétique.



Si tout le monde aspire à se créer un univers propre, un espace forgé au fil des années avec ses repères et ses habitudes, pour Augustin, atteint du syndrôme d'Asperger, cette difficulté à s'intégrer à toute vie sociale est un parcours du combattant, au point de devoir malgré lui évoluer dans un environnement limité, entre espace clos ou temps réglé comme une horloge, sa vie se résume à l'école mais surtout à ce hall de l'immeuble dans lequel il vit avec sa mère, c'est là que se trouve aussi les boîtes aux lettres qu'il aime observer à loisir, l'arrivée des missives et puis ... et puis ... l'arrivée impromptue d'un nouveau et mystérieux locataire va bouleverser tous ses curseurs, mettre à mal tous ses codes déjà rodés depuis ses premiers pas et en état de raisonner, si impossible rime avec difficulté, peut-être qu'il existe un temps des miracles ...



Découvrir une nouvelle plume, c'est s'ouvrir vers un nouveau champ de style, d'écriture et de choix de narration, l'alternance entre plusieurs personnages et la temporalité, passé et présent confondus, il est un exercice délicat d'harmoniser des pensées en butte contre l'impuissance, aux antipodes l'un de l'autre, au fil des pages, cette improbable rencontre agira-t-elle vers l'inconnu ou le sens commun, comment imaginer un seul instant les étincelles vous tambourinant le coeur, en prendre plein les yeux, cette délicatesse exprimant tout et son contraire dans la fragilité apparente, comment décupler la vitalité lorsque celle-ci est contrainte, une bulle reste une bulle sauf si la personnalité en décide autrement, le libre-arbitre et l'inattendue provoquent une danse aérienne, et c'est tout le roman qui brille de ses mille couleurs, la couverture symbolise cette union de deux mondes.



... la liberté de t'écrire.



La répétition de scènes due à ces troubles du comportement ne font pas oublier une certaine pudeur, la sensibilité de certains passages en mode survie participe à l'empathie et à la compassion, l'auteure a une imagination contagieuse, c'est pétillant comme de l'eau fraîche en plein été, j'ai pris un plaisir à évoluer en même temps que les personnages, dans leur quête si hétéroclites, passer du rire aux larmes et inversement, une véritable ode à la vie et à l'acception de l'autre avec ses différences, dans le respect de son univers-bulle, une construction dynamique insufflant une énergie communicative, souffler le chaud et le froid pour faire ressortir le meilleur de soi-même, leçon de vie et de méditation, la candeur d’Augustin contraste avec l’autre, ce mystérieux Victor, entre l’innocence incarnée et celui qui a vécu.



Voilà une histoire qui ne peut laisser personne ... indifférent, tant de poésie véhiculée et l’art de tricoter avec le pouvoir des mots, l’imperfection pourrait adopter une nouvelle perspective, ériger des châteaux de cartes comme ceux d’Espagne, toute la détresse morale est décrite avec délicatesse, sans voyeurisme ni complaisance, cet abandon de deux solitudes m’a beaucoup touché par la retenue et la célébration du silence comme un moyen de survivre, la renaissance de ces êtres blessés par la vie, la mère d’Augustin dresse le portrait magnifique d’une âme au carrefour de sa vie, belle comme la Joconde et puis il reste encore d’autres belles rencontres à venir ...



Dépêche-toi de répondre...



Je remercie Roselyne Laville ainsi que l’auteur pour leur confiance de m’avoir proposé ce magnifique roman auto-édité, plein d’amour et d’ondes positives, décapant et désopilant, léger et grave comme les percussions du cœur, au rythme de la vie, si le bonheur reste encore une chose mystérieuse qui se cherche en chacun de nous, au 7 rue Lamartine dans la belle Rose, tout reste encore possible !



Je termine par cette réflexion qui m’a, entre autre choses, fait prendre conscience d’une chose essentielle, être différent est peut-être, un don du ciel, reste à le respecter et le nourrir ...



Cher bonheur, j’ai pris la liberté de t’écrire. Dépêche-toi de répondre de Virginie Lloyd , c’est un roman génial-ttitude !❤️



Et si être différent n’était pas la clé vers ... le bonheur !
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Cher bonheur, j'ai pris la liberté de t'écrire

Le deuxième roman de cette auteure... le deuxième que je découvre d𠆞lle après la valse des éphémères... et je dois avouer que depuis 2 mois que je la connais... je veux lui dire « encore encore !!! merci pour votre écriture, votre humour, votre disponibilité » ... je suis devenue une grande fan.., je vous invite à découvrir non seulement ce merveilleux roman qui est une particule de bonheur ...vous allez vous accrocher aux personnages vous retrouver dans l’un d𠆞ux et vous surprendre à avoir presqu’ envie d’être l’un d𠆞ux malgré leurs blessures .., quel bonheur ...

Non seulement découvrez le livre mais découvrez l𠆚uteure suivez la sur Fb elle vous égaiera vos journées avec ses blagues à deux balles, sa plume absolument sublime et ses post « petite page d’histoire »

Cette femme est un concentré de bonne humeur, qui vous envoûte avec sa plume son savoir sa délicatesse ... foncez ...
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Cher bonheur, j'ai pris la liberté de t'écrire

Bonjour à vous Bande de Lecteurs Fous avec Alfred nous allons aujourd'hui vous parler de notre dernière lecture, CHER BONHEUR J'AI PRIS LA LIBERTE TE T'ECRIRE. DEPECHE-TOI DE REPONDRE, de Virginie Lloyd en auto édition.

La recette du jour vous est présenter par "Happy- attitude", et vous proposera de savourer l'histoire entre croisé de plusieurs personnages toulousains. Un jeune autiste, un ancien taulard, une maman solo, une vielle bique et quelques spécimens venus de la cité. Au cœur même de l'histoire, : Augustin, jeune autiste Asperger et sa vision de la vie parfois si belle mais si angoissante, qui se lie d'amitié avec le voisin pas comme les autres du rez-de-chaussée, ancien détenu qui essaye de reprendre pied la vie.

Cette recette n'est rien d'autre qu'une très bonne citronnade, bien fraiche par temps de canicule. C'est lecture est rafraichissante, pleine de particules de bonheur et positivisme. Virginie Lloyd nous transporte avec elle à Toulouse, dans cet immeuble 7 rue Lamartine, avec sa farandole de personnages, à l'attachement quasi immédiat. Pas de vrai héro dans cette histoire, mais des héros de tous les jours, des héros du quotidien. Ce livre est pour tout dire un hymne à la tolérance et à la différence. Et comme le dit, Elbert Green Hubbard :  "Quand la vie vous donne des citrons, faites de la citronnade." 
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Cher bonheur, j'ai pris la liberté de t'écrire

Très jolie lecture, la relation improbable et unique des deux personnages principaux est très belle, Augustin est hyper touchant, et les personnages qui gravitent autour sont top aussi. Les rebondissements sont à la fois loufoques, inattendus et émouvants. J'ai fini ce roman, avec larmichettes et gorge serrée.



Ecriture très poétique, petit bémol cependant, pour ma part, j'ai trouvé que parfois c'était trop lourd... Mais peut être que c'est pour faire le parallèle avec l'autisme d'Augustin, tout dans l'excès, je ne sais pas. Néanmoins, Je suis prête à lire un autre roman de l'autrice pour confirmer ou pas mon ressenti !!!



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Cher bonheur, j'ai pris la liberté de t'écrire

Tout d’abord, je tiens à remercier Virginie LLYOD pour son service presse et sa confiance envers mon blog.



Boites à mouchoirs obligatoires pour la lecture de ce roman. L’auteur nous fait passer du rire aux larmes en quelques secondes.

Cet écrit est une vraie réussite, Virginie LLYOD a su y mélanger une histoire très bien construite et un panel d’émotions.

Vous allez plonger dans un univers différent avec un regard extérieur.

Vous vous rendrez compte à sa lecture que chaque petit détail de votre vie vous conduit au bonheur.

Mais pour cela faut-il encore ouvrir vos yeux et vous ouvrir aux autres et changer votre façon de penser. Si l’on réfléchit bien on est souvent pessimiste ou blasé par des petits détails de la vie.

Alors que cela serait si simple de savourer chaque instant et d’être heureux, non ?

Victor et Augustin vont vous guider vers cela, laissez-vous porter par ce roman. La rencontre entre un homme qui cherche la tranquillité après un emprisonnement et ce petit garçon Augustin qui est comme on a coutume de dire « différent ».

La plume de l’auteur est volage, elle vole au gré de ses idées, mais on ne s’y perd jamais. J’aime assez ce style. Elle fait vivre chaque personnage et chaque objet avec force.

C’est le premier roman que je lis de cet écrivain et je suis totalement conquise.

Quoi, vous êtes encore là ??? Allez filer, vous avez un roman à découvrir !!!
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Cher bonheur, j'ai pris la liberté de t'écrire

Prenez une pincée de bonheur, un soupçon d'émotion, un zest de tolérance, soupoudrez de bienveillance et vous obtenez un roman magnifique, avec des personnages touchants. Un roman feel good, qui touche à des sujets fort : l'autisme, la réinsertion carcéral, l'amitié, l'erreur humaine, la douleur, le deuil...



Bravo pour cette belle histoire !!
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Cher bonheur, j'ai pris la liberté de t'écrire

Cher bonheur, j'ai pris la liberté de t'écrire

Dépêche-toi de répondre...

Virginie Lloyd Écrivain

Je vous livre ici ma première chronique depuis... très longtemps. J'ai été victime d'une panne d'écriture de chronique, tu y crois toi ? Le syndrome de la page blanche normalement touche les écrivains, et ben moi je ne suis pas écrivain mais ce syndrome m'a attaqué de plein fouet un jour de novembre et pfff plus moyen d'écrire une seule ligne sur mes lectures, même les mots de la vie quotidienne avaient du mal à sortir par écrit et même à l'oral il fallait que je fouille dans ma petite tête, ça fait flipper. AVC ? Alzheimer ? Bah non juste un trop plein de fatigue et mon cerveau fonctionnait au ralenti.

Bon, mes idées sont un peu plus claires mais ce n'est quand même pas le grand ciel bleu là haut, donc un peu d'indulgence les amis s'il vous plaît.

Je voulais revenir avec un livre qui me tenait particulièrement à cœur, un cadeau inestimable reçu pour Noël par une romancière hors norme, dont l'écriture de "Quitte à tuer autant le faire dans l'ordre" m'avait véritablement conquise, une dédicace qui a fait couler des larmes de bonheur libératrices après une période un peu sombre de #maispourquoitupleurestoutletemps et #pitiélaissezmoitranquille, j'ai nommé la fabuleuse Virginie Lloyd

, une romancière atypique et terriblement talentueuse, une indépendante et tu te dis mais pourquoi n'est-elle pas encore éditée par une grande ME, est-ce un choix ou les ME ont-ils de la merde dans les yeux ? #jevaismefairedéfoncerlatronche

Je viens de refermer Cher bonheur, j'ai pris la liberté de t'écrire. Dépêches-toi de répondre... et juste waouh, c'est du bonheur en mots, de la joie sur papier, des émotions qui volent autour de toi pendant toute la lecture de ce livre absolument divin. Virginie Lloyd a mis des paillettes multicolores dans ma vie pendant plus de 300 pages et je suis certaine que dès que vous aurez ce livre dans les mains, vous aussi vous aurez des cargaisons de paillettes dans vos vies.

Le rêve de Virginie est de fabriquer un canon lanceur de particules de bonheur, bah moi je vous le dis, elle a réalisé son rêve en écrivant et en nous offrant ses romans-trésors

C'est l'histoire d'Augustin, un jeune garçon de 12 ans, un peu différent parce qu'il est autiste.

Moi aussi, j'ai un Augustin dans ma vie, il a 12 ans, il s'appelle vraiment Augustin, c'est le fils de ma meilleure amie et il est différent, il n'est pas autiste mais il a un TDA et il est fabuleux, différent mais génial, terriblement attachant, comme le Augustin du livre. Quand j'ai parlé de ce livre à ma Charlotte (la maman d'Augustin), je lui ai lu le pitch et elle a été terriblement touchée par une phrase : Et si la différence était la clé du bonheur ? Et elle qui ne lit pas, à part Harry Potter, elle m'a demandé de lui prêter Cher Bonheur, dès que je l'aurais terminé. Ça m'a fait tellement plaisir et je me suis dit, je n'ai même pas terminé ce livre et il y a déjà des particules de bonheur qui gravitent autour de moi !! C'est magique !!!

Augustin vit avec sa maman, il va faire la connaissance de son nouveau voisin du dessous, Victor, un ex taulard. Et là vous allez me dire, ouais mais c'est trop cliché, forcément Augustin et Victor vont devenir amis et bla bla bla, ça va dégouliner de bonnes intentions, un feel-good classique quoi. Ben que nenni, vous êtes très loin du compte les amis, parce que ce livre n'est pas un feel-good, il est inclassable, comme "Quitte à tuer...", l'auteure a inventé un style d'écriture, son style bien à elle, unique et terriblement émouvant. Augustin a tellement à offrir, tellement d'amour à distribuer et Victor tellement de souffrance dans le cœur, tellement de gentillesse à partager.

J'ai eu tellement envie de vivre auprès d'Augustin et de Victor, de partager les pensées de ce petit bonhomme hors-normes, j'ai eu envie de goûter aux framboises de Mireille, j'ai eu envie de regarder Augustin jouer du Air Guitar, de goûter à la tarte aux pommes de Victor. Je rêve de m'installer au 7 rue Lamartine pour apprendre le bonheur, tout simplement.

Vraiment les amis, vous devez vraiment découvrir ce magnifique bouquin, je vous promet tellement d'émotions, une écriture tellement riche et dense, des personnages magnifiquement décrits, de l'humour qui met du baume au cœur. Ce n'est pas du feel-good, ce n'est pas du noir, ce n'est pas non plus de la littérature blanche, c'est du Virginie Lloyd et ça n'a pas de prix.

#Happyttitudesur20

#lebonheurestdanscelivre

#VirginieLloydmetdespaillettesdansnotrevie

Lisez-le, lisez-le, LISEZ-LEZ !!!!!

J'ai cherché une émoticône "lanceur de particules de bonheur" sur FB et ben ça n'existe même pas . C'est trop nul !!! Tu attend quoi pour le créer Monsieur ou Madame Facebook ???Du coup je vous ai mis des licornes
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Cher bonheur, j'ai pris la liberté de t'écrire

Happy-ttitude sur vingt!



C'est ce que l'on a envie de se dire lorsqu'on termine Cher bonheur, j'ai pris la liberté de t'écrire!



Je suis tombée "Amourheureuse" de cette histoire! 💖



Quelle histoire que celle histoire improbable, inclassable, émouvante, rayonnante, pleine d'espoir et déjantée à la fois!



Avec une écriture bien particulière, celle de Virginie Lloyd, qui allie poésie pure et style percutant, instants de grâce et fous rires piquants, mélange de douceur, d'effervescence, de tendresse et rudesse à la fois qui en font une auteure dont un reconnaît le style dès qu'on lit un de ses romans.



La société aimant mettre les gens dans des cases, l'on pourrait dire que c'est l'histoire improbable d'une rencontre entre deux êtres "différents".



Mais l'on pourrait aussi se dire que c'est la jolie rencontre humaine d'Augustin et de Victor, tout simplement.



Augustin, un gamin qui rêve d'un temps en suspension, de lenteur et d'absence, qu'on laisse parler les battements de son coeur.

Victor, un géant au coeur tendre, à qui la vie n'a pas fait de cadeaux, qui vit dans les regrets, les remords, pour qui l'espoir s'est fait la malle.



Ces deux là, sont liés par le même désir profond et secret: celui de se faire adopter par la vie.



Et puis, il y a Emilie, la maman d'Augustin, une déesse, une guerrière qui terrasse les démons pour son fils.



Et puis il y a la vie autour d'eux, les jours où l'on s'envoie des particules de bonheur et ceux où les cris sont trop lourds à supporter dans la tête. Les jours où l'on danse sous la pluie et ceux où l'on se réfugie dans le silence.



Il y a aussi des concerts de air guitar, des boîtes aux lettres qui remplissent des missions secrètes, des instants de paix passés avec la nature, des jardins qui pansent les plaies de l'âme, des questions à répétition, des imaginations débordantes, des moments de rires.



C'est un véritable bonheur que cette histoire entre Augustin et Victor, de celles qui redonnent de l'espoir quant aux différences, de celles qui réunissent les vies.



Merci à Virginie Lloyd pour ce style bien particulier d'écriture qui nous faire rire et pleurer à la fois, qui allie l'art de nous émouvoir, nous faire réfléchir, nous offrir une écriture où l'on a envie de noter, noter, encore et encore des extraits et phrases qui nous touchent en plein cœur dans notre cahier de "jolies phrases" !



Une bien belle histoire de vie que je vous recommande chaudement ! Bonheur- ttitude sur vingt! Emotion ttitude sur vingt! 💖


Lien : https://www.facebook.com/La-..
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Cher bonheur, j'ai pris la liberté de t'écrire

Virginie Lloyd fait danser les mots et les émotions de sa plume particulière. Ce second roman est un concentré de bienveillance interlinéaire. Quelle belle histoire que cette rencontre entre un petit garçon pas comme les autres et un homme que le monde rejette. Un moment fort de lecture, merci Virginie.
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Cher bonheur, j'ai pris la liberté de t'écrire

Dans ce roman, on est tout de suite touché par les personnages : leurs blessures, leurs différences et leurs caractères. J'ai beaucoup aimé les découvrir et les voir évoluer. Attendrissante, l'histoire est très belle et poignante. L'auteure a sur transmettre énormément d'émotions au travers des lignes : on passe du rire aux larmes. On ressent beaucoup de sentiments envers Augustin et Victor : déception, tristesse, joie, fierté,… J'ai aussi aimé la narration qui fait penser à une voix-off, comme dans Le Grinch, Vilaine ou Le fabuleux destin d'Amélie Poulain par exemple : on a l'impression que quelqu'un nous raconte les événements entre deux dialogues. On assiste aussi aux pensées des personnages grâce à des monologues intérieurs. Agréable, le récit est poétique et doux. Plaisante, la plume de Virginie Lloyd est riche et entraînante. J'ai adoré ce livre… et "bref ! Tant pis !"



(chronique complète sur le blog)
Lien : https://leslecturesdangeliqu..
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Cher bonheur, j'ai pris la liberté de t'écrire

J’ai profité d’une promotion de la version numérique de ce roman pour découvrir la plume de @virginie.lloyd.ecrivain que je suis déjà sur Insta. Ses publications sont souvent parsemées d’humour et j’ai retrouvé ces graines dans ce roman et surtout un thème qui me tient à cœur, la différence.



Dans ce roman, Virginie propose aux lecteurices de suivre Augustin un jeune de 12 ans, autiste, mais surtout « autiste power »… Car cet enfant a le pouvoir de sa différence invisible, le pouvoir peut-être d’être lui-même et de considérer ce que les autres ne voient plus, ou tout simplement pas. Une liaison directe depuis le cœur que le cerveau ne filtre pas.

Augustin va rencontrer Victor, un homme abîmé mais profondément résilient que les fleurs et la terre réparent, comme une connexion à l’âme du monde.



Ces deux êtres m’ont touchée, même si parfois le rythme m’a paru lent (ce n’est que mon ressenti qui n’engage que moi et n’enlève rien à la lumière de ce roman).

C’est une histoire douce qui nous rappelle de garder le lien avec une grande beauté de ce monde, l’authenticité. Et aussi de trouver la force de donner une seconde chance, nous avons tous le droit à l’erreur…



Merci Virginie pour cette histoire et pour la lumière sur les trèfles à quatre feuilles.

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Cher bonheur, j'ai pris la liberté de t'écrire

Augustin est un autiste de 12 ans mais pas que. Victor est un ex taulard brisé mais pas que. Ensemble, ils vont découvrir et partager un nouveau monde plein de poésie et se reconstruire.

Ce roman est une pépite ! J'ai aimé, page après page, Augustin d'un amour de mère. Sa force, son caractère, ses défauts, ses qualités... Ça sent l'amour maternel à plein nez. V. Lloyd a une incroyable plume et assurément un coeur énorme ! J'ai ri, pleuré, partagé chaque moment comme si ce petit homme était le mien. Ce livre est un magnifique moment d'humilité. Avec beaucoup d'émotion je quitte ces personnages et tire mon chapeau à toutes ces mères extraordinaires qui se battent au quotidien pour le bonheur de leurs enfants. Chère Virginie, j'ai bien reçu vos lettres, merci pour ce doux moment de bonheur...
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Cher bonheur, j'ai pris la liberté de t'écrire

Une belle rencontre, de l'humour, une écriture rythmée.

Nous aimons et attendons son prochain opus "La valse des éphémères" avec impatience. Bonne lecture et...bonne écriture à son auteure.
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Cher bonheur, j'ai pris la liberté de t'écrire

Lorsque j’ai lu le résumé, j’ai tout de suite su qu’il fallait que je le lise. J’avais découvert la plume de Virginie il y a quelques mois (avec Quitte à tuer, autant le faire dans l’ordre) et j’ai eu la joie de la rencontrer au salon de l’autoédition.

Tout d’abord je vais vous parler de l’histoire en elle-même, des personnages. Victor sort de prison, il rêve de liberté, qu’on le laisse tranquille, lui et son petit jardin potager. Il m’a touchée, parce qu’il est super gentil, au fond… et puis, il a des blessures encore vives qui le rendent très humain. Augustin vit juste au-dessus de chez lui. C’est un enfant un peu différent des autres, mais qu’est-ce que je l’ai aimé ! J’aurais bien envie de le serrer dans mes bras, mais je sais ce qu’il me dirait : « Honte-ttitude sur vingt », donc, je m’abstiendrai… Lorsque ces deux-là se croisent, pas besoin de mots, ils se comprennent dans leurs silences. Ils ressentent chacun la douleur de l’autre, et découvrent qu’ils peuvent s’apporter quelque chose. Au milieu, il y a Emilie, la maman d’Augustin, un peu dépassée, mais qui fait de son mieux pour que son fils soit le plus heureux possible, quitte à prendre parfois de mauvaises décisions (mais sinon ce ne serait pas une vraie maman 😉) C’est donc une très, très belle histoire d’amitié, une ode à la vie, à l’espoir, à la liberté, au bonheur. J’ai eu les yeux un peu humides parfois, et surtout à la fin !

Maintenant, je dois vous parler du style puisqu’on dissèque ici un roman de Virginie Lloyd. Elle a son style bien à elle, et ça, on ne peut le nier, désormais. Ce deuxième roman le confirme. Ça part dans tous les sens, tout le temps. C’est ce qui fait aussi son charme, avouons-le. Elle arrive à donner vie à un caillou, une fourchette ou des idées abstraites comme la vie, la liberté. J’admire cette capacité. Vraiment. Dans son premier roman, on aurait pu croire que c’était propre à la personnalité de Lily, mais en fait… non ! (Tiens, d’ailleurs, cette fameuse Lily, on la recroise dans un bus, en train d’écrire sur un post-it, j’adore !!) Cela dit, ici, il n’est pas vraiment question d’humour. C’est plutôt émouvant. Alors, oui, on peut classer ce roman dans tranche de vie, par rapport à l’histoire qu’il raconte, mais honnêtement, les romans de Virginie sont à classer à part. Ils se démarquent de tous les autres que j’ai pu lire (et c’est un compliment). Voilà, donc, mon avis sur ce chouette roman, que je suis bien contente d’avoir lu. 😁

Je rajouterais pour finir que j'adore la couverture ! 😍
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Cher bonheur, j'ai pris la liberté de t'écrire

Tendre, drôle et grave à la fois

Un roman à la fois tendre, drôle et grave. Le sujet de départ n’est pas très gai : la rencontre entre un ex-taulard et un enfant autiste de 12 ans, orphelin de père. Et pourtant… La plume virevoltant de Virginie Lloyd est magique et transforme la réalité en un doux bonheur.

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Cher bonheur, j'ai pris la liberté de t'écrire

Le commentaire de Lynda :COUP DE COEUR!



Énorme coup de cœur pour ce roman que j'ai tout simplement dévoré, une fois commencé, incapable de mettre de côté. J'ai embarqué à pieds joints dans l'espoir pour en ressortir, avec un sentiment de bien-être, un grand sourire et une petite boule dans la gorge.

Augustin, petit bonhomme de 12 ans, est autiste, il vit avec plein de TOC, avec une mère qui l'adore, mais qui a tendance à le surprotéger un peu de trop.

Victor, lui, est un ex-détenu, effectivement, il sort de prison et se retrouve à habiter dans le même immeuble qu'Augustin.

Assez rapidement une amitié se développe entre les deux, et quelle amitié. Une amitié qui fait tout simplement chaud au cœur, une amitié comme tout le monde voudrait connaître au moins une fois dans sa vie.

Augustin, par son raisonnement et son comportement, va apprendre à Victor, l'autre côté de la vie, il va lui apprendre à voir la vie avec les yeux d'un enfant. Comme le mentionne l'auteure, un enfant différent, enseigne aux adultes autour de lui à voir les choses qu'ils ne voient plus autour d'eux.

Pendant que Victor, met toute son énergie dans un jardin, ce goût s'est développé grâce à Marcus, un vieil homme qui l'a pris sous son aile, pendant son séjour en prison. Augustin lui continue son histoire d'amour avec les boîtes postales, pour comprendre ceci, il faudra lire ce roman !

Ces 2 personnes, Victor et Augustin, ont des blessures à panser. Augustin sait très bien qu'il est différent, et il n'accepte pas toujours cette différence. Victor, lui, a une lourde peine dans son cœur pour ce qu'il a commis dans le passé, de plus les liens avec ses parents ont été coupés lors d'un drame.

Un attachement hors du commun va lier ces deux personnes, et les personnages secondaires comme la mère d'Augustin, la voisine un peu acariâtre au début, ajoute un petit côté tout à fait spécial à cette histoire.

On tombe littéralement en amour avec ce petit bonhomme Augustin, il m'a fait sourire, il m'a fait rire et il m'a fait pleurer également, mais en plus il m'a fait drôlement réfléchir. Il voit la vie comme nul autre, et il voit en Victor, cet ami, ce mentor, un homme qui prend une grande place dans son cœur, lui qui a perdu son papa. Pour Victor, c'est un attachement sans mesure qui se crée envers ce petit bonhomme qui lui redonne le sourire et surtout l'espoir.

J'adore la plume de Virginie Lloyd, son écriture est telle que je pouvais facilement me penser dans un film, et visualiser Augustin et Victor. Le scénario vient nous chercher, frappe le cœur de plein fouet, bouleverse nos sentiments et nous fait vivre tout plein d'émotions. Aucun temps mort dans ce roman, qui m'a fait passer un superbe moment de lecture.

Est-ce que je vous ai convaincu de lire ce roman, je l'espère parce que pour moi, partager cet énorme coup de cœur était un immense plaisir pour moi. Prenez le temps de rencontrer Augustin et Victor, croyez-moi, ils resteront longtemps dans votre tête et dans votre cœur. Je ne peux que remercier Virginie Lloyd pour ce grand et beau moment de lecture !
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Cher bonheur, j'ai pris la liberté de t'écrire

Certaines amitiés sont si fortes, si inexplicables, car elle sont simplement vrai sincères.

La belle histoire de deux êtres extraordinaires dépeints par une auteur non moins formidables.

La beauté des mots, la simplicité des émotions font de ce livre un sublime moment de lecture.





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Cher bonheur, j'ai pris la liberté de t'écrire

Encore une fois @virginielloyd nous présente un roman hors norme. Je le classe quand même en feel good car ils distillent pleins de pépites de bonheur, malgré la vie pas forcément évidente des protagonistes.

Nous avons Victor, sortant de prison, qui doit se reconstruire et vivre avec sa culpabilité, qui veut se faire discret. Mais ça, c’était sans compter sur la tornade qui habite l’appartement du dessus: Augustin. Augustin, 12 ans, un enfant pas tout à fait comme les autres, qui vit avec sa maman, Émilie, qui gère de son mieux le quotidien.

Victor et Augustin ont une quête commune: trouver leur place dans la société. Mais j’en ai déjà trop dit.



Au gré de leurs aventures, nous découvrons et nous attachons à ces personnages.

Les thèmes abordés sont la différence, l’ouverture d’esprit, l’amitié, l’amour familial, des thèmes pas forcément légers.

La plume de Virginie est à la fois drôle et sensible, percutante et bienveillante, déjantée comme son autrice. On peut être un peu déstabilisé au début car on part dans plusieurs sens, mais on entre vite dans l’histoire

Bref: Happy-tittude/20 Bonheur-tittude/20 Bravo-tittude/20 👍🏻
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Cher bonheur, j'ai pris la liberté de t'écrire

C'est toujours difficile de donner mon avis sur les livre de cette autrice.



Les personnages sont super attachants. L'histoire n'est vraiment pas mal, mais il y a toujours un petit moment "mou" au milieu qui me fait demander: Mais où elle veut m'emmener! Et au final, tout explose et pour cette fois, c'est une bonne leçon de la vie. En fait, tout ce roman nous donne une bonne leçon sur les gens qui sont différents.



Un gros merci pour ce joli roman.
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Cher bonheur, j'ai pris la liberté de t'écrire

Augustin, douze ans, atteint du syndrome Asperger, dit aussi « trouble du Spectre Autistique, trouble envahissant du développement » vit à Toulouse, avec sa maman Emilie.

Douze ans. 1m51. Les pieds plats, les lunettes de travers, une mèche rebelle et le cerveau en ébullition.

Des rituels adaptés aux contraintes de l’autisme de l’adolescent, scolarisé mais solitaire cadencent leur vie. Les commerçants du quartier, ainsi que les voisins de l’immeuble sont familiarisés avec les particularités d’Augustin, et les acceptent bien. Il faut dire qu’il est agréable et ne dérange personne à passer le clair de son temps libre après l’école dans sa chambre à vivre sa passion du rock. Son péché mignon : les framboises que lui apporte Mireille, quand elle vient travailler pour l’entretien.

Conscient de sa différence d’avec les enfants de son âge, Augustin sait apprécier les adultes de son entourage pour principales relations sociales. De plus, le fruit de ses remarques fantasques saisissent, sidèrent, et touchent ses interlocuteurs les plus réceptifs. Ainsi, cet environnement devient alors la source d’observations à la fois stimulantes et facteur d’équilibre.

C’est pourquoi l’obstination de Victor L., le nouvel habitant de l’immeuble de vouloir cacher son identité sur la boite aux lettres perturbe l’adolescent. Alors, si contrarié par ce mystère qui lui « empoisonne » la vie, Augustin va convaincre Victor de fléchir, et ce, à coup de subterfuges propres à son originalité. Ainsi, cet ancien prisonnier va se laisser apprivoiser par la réserve naturelle d’Augustin doué aussi d’une sincérité sans filtre. L’amitié de ces deux solitaires, deux êtres en souffrance va bientôt évoluer vers une complicité respectueuse d’une certaine culpabilité enfouie.

Alors, le sentiment de responsabilité de Victor à l’égard d’Augustin l’accompagne sur le chemin d’une réhabilitation. Les efforts de sa reconversion grâce à son activité de jardinage, va même être remarquée et surtout récompensée par Marius à l’origine de cette passion pendant sa détention. Celui-ci n’oubliera pas l’ancien prisonnier qu’il affectionne au plus au point, fier de la détermination de Victor à rompre avec son ancien milieu.

Mais quand Victor revient dans son ancienne cité pour rendre service à Augustin, son passé va ressurgir…

MON AVIS

Tous mes remerciements pour ce SP à l’auteure et au site Simplement Pro. Cette belle rencontre avec Augustin éclaire d’un œil optimiste l’autisme Asperger : ni rose ni scintillant, ce roman que je cataloguerai de « conte » ouvre une porte vers le monde du « positif », un véritable libre « feel-good ».

La bonne humeur est communicative. En voici ici la preuve du bienfait de la dédramatisation la différence. La vitalité qui anime Augustin se transmet d’abord à Victor puis aux autres personnages, et enfin au lecteur qui refermera le livre avec regret.

UN SCENARIO PALPITANT

Du début jusqu’à la fin, le lecteur est retenu par la force de l’écriture agréable, percutantes et des successions de mésaventures. Sous l’impulsion d’Augustin, la retenue de Victor et la tempérance d’Emilie, un cocktail de péripéties détonent pour produire un bel assortiment d’émotions. Des surprises s’imposent pour les non-initiés quant aux agissements d’Augustin, qui induisent des sourires, et ne laisseront pas indifférents.

Les TOCs d’Augustin envahissent son quotidien, mais l’intelligence de Victor en voie de réhabilitation accepte sans retenue cette manière de penser très différence. La pensée différente mais non moins vive, bien au contraire, s’assortit d’une sensibilité extrême du côté d’Augustin, même s’il est choqué du passé et des fautes de Victor. Il va les comprendre et tenter d’apaiser la peine et le chagrin de son ami. Chacun des deux trouve son comptant dans cette relation ; il porte tous les deux la responsabilité de la perte d’un être cher. Ainsi, l’histoire prend forme et la vie suit son cours. Ils se donnent des surnoms sympathiques et se font confiance… bref, de véritables amis.

Puis, le récit s’accélère soudain, à un moment où on ne l’attend pas. Quand le passé de « Chips » revient à lui en pleine face, et que des personnes malintentionnées menacent son nouvel univers. L’intervention nature et spontanée d’Augustin déstabilise les protagonistes ; héro malgré lui. Ensuite la réaction d’Emilie prend des dimensions insoupçonnées, de quoi surprendre le lecteur.

Des particules de bonheur

Augustin est sensible aux métaphores, images et autres subterfuges imaginatifs. Ainsi, la dispersion de « particules de bonheur » lui assène une énergie providentielle pour affronter les épreuves de la vie. D’ailleurs, quelle énergie il va déployer à l’occasion de son « concours à Air Guitare ». J’ai apprécié son équilibre de vie drainé par sa maman, bien pensé, bien pesé ici. Le récit demeure réaliste en tout point ; en effet, avec leur description, et même s’il en esclave, ses rituels quotidiens le cadrent et le rassurent.

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