Yamaji Hidenori

c’est inhumain de laisser en plan comme ça je veux la suite. J’ai beaucoup aimé ce tome-ci et j’adore Jane.

Gros coup de coeur pour ce manga shônen publié aux éditions Kana et dont on doit le scénario et les illustrations à Hidenori Yamaji.



Petit topo sur l'histoire : A une époque inconnue, le monde humain est envahi par les Orcs et les Gobelins, ces horribles créatures aux nez difformes et aux yeux globuleux dont l'unique but est de décimer la race humaine. Sawyer Riseman est l'un des derniers survivants qui erre de ville en ville, avec en guise de sac à dos un étrange cercueil, à la recherche d'ingrédients loufoques qui lui permettront de finaliser sa recette de l'Homme Mort. C'est ainsi qu'il fait la rencontre de personnages aussi magiques qu'étranges qui l'aideront à retrouver son amour perdu...



Dès les premières pages se manga m'a happée. Etant férue d'univers fantastique j'ai été ravie de retrouver des êtres magiques telles que les fées ou encore les gobelins qui apportent un côté épique à la narration. "Marry Grave" mêle avec brio sentiments, combats et magies. Le personnage principal, Sawyer, est un héro atypique qui cache de multiple secrets et qui m'a étonnée de page en page. Il oscille entre combativité, prêt à tout pour mener à bien sa mission, et sensibilité, une sensibilité qui ajoute de la douceur au récit. Il y a beaucoup de vie dans ce récit, beaucoup de dynamisme qui font qu'on ne s'ennuie pas une minute et que l'on espère que l'histoire ne se terminera jamais. L'humour joue une place importante, j'ai beaucoup apprécié le côté décalé voire maladroit du héros et des personnages qui l'entourent. Chaque personnage peut sembler faible en apparence mais chacun recèle des surprises et de la force. Le lien qui unit Rosalie et Sawyer est très pure et fait que le lecteur s'attache rapidement à ce couple hors du commun.

Aux niveaux des illustrations, l'illustrateur ne lésine pas sur les détails ce qui n'est pas pour me déplaire. Il y a beaucoup de contraste ce qui donne de la profondeur aux dessins. Il en va de même en ce qui concerne les expressions des personnages qui ne manquent pas de nous communiquer leurs sentiments et de nous faire rire. Les double-facettes de Sawyer sont superbement exploitées, j'ai adoré son côté humain "lisse" et son côté "résurrection". On note également la présence des onomatopées dans pas mal de vignettes, ce qui donne du vivant au récit, permettant aux lecteurs de s'imaginer aisément les bruits environnants.



Conclusion : Un manga épique à ne surtout pas manquer si vous être fans des univers magiques mêlant dynamisme et sentiments. Les illustrations sont tout simplement à couper le souffle et les détails généreux. Les personnages ont tous une personnalité forte qui les rend aussi importants que Sawyer. Une belle réussite qui s'étend sur 5 tomes, je suis encore très étonnée qu'au Japon il n'est pas remporté davantage de succès.

Un premier tome qui est une mise en place intéressante et qui laisse augurer des aventures avec de l'action et des mystères.

Une BD steampunk qui change un peu et qui nous plonge dans un Londres victorien qui nous rappelle aussi Dickens.

Que de rebondissements pour Sully, Skunky et leurs amis… Alors que Sully apprenait qu’il était une enveloppe charnelle dédiée à l’Atlantide, il se mit en chemin afin d’obtenir davantage d’informations à ce sujet. Ce n’était sans compter sur la rencontre, une fois n’est pas coutume, de l’organisation Judge Holder qui s’est empressée de capturer les amis de Sully et Skunky une fois ces derniers sortis de la mine. Alors qu’ils allaient être vendus comme esclaves, Sully et Skunky ont élaboré un plan de sauvetage qui mit l’organisation à leurs trousses. S’en suivirent de nombreux affrontements jusqu’à ce que Sully apprenne la vérité à son sujet lors de son affrontement avec Banister, un lieutenant de Judge Holder. Sully n’est autre qu’un Atlante et l’organisation souhaite voir l’Atlantide ressuscitée. Après que Banister ait mis KO les amis de Sully, ce dernier pris d’un élan de rage faisait jaillir de son anneau une créature gigantesque. C’est ainsi que prenait fin le deuxième tome d’Atlantid, voyons donc comment se termine cette extraordinaire aventure avec ce troisième et dernier tome, disponible aux éditions Kana.



Hadès, Seigneur du royaume des ombres, apparaît alors devant Sully, ce dernier l’ayant libéré suite à un excès de colère. De son côté Banister, voulant passer un accord avec Hadès, se fait rembarrer, ce qui ne lui plaît pas. De ce fait, Banister s’attaque à Hadès qui ne perd pas de temps pour mettre son adversaire KO. Hadès se dresse alors devant Sully qui apprend de son erreur. Il découvre que l’anneau n’est autre qu’un portail où les atlandes ont enfermé Hadès et voilà qu’un descendant le libère. Sully se retrouve alors en mauvaise posture et du coup ses amis se retrouvent eux aussi en grand danger.



Ne pouvant laisser Hadès tuer Sully, les amis de ce dernier décident de s’opposer à cette immonde créature, forçant ainsi Sully à prendre la fuite. D’apparence, nombreux sont ceux à avoir péri face à Hadès, c’est ce que les yeux de Sully semble apercevoir au vue du pouvoir d’Hadès qui se dresse de nouveau face à lui…



Ce dernier tome nous offre une aventure très palpitante, au bon mélange d’action avec des affrontements de grande envergure tout en nous offrant un retour vers le passé. Suite au premier chapitre où les amis de Sully font face à Hadès, Sully vient à ressasser de bons vieux souvenirs, ceux de sa rencontre avec Pedro et toute la bande. Ici, l’action n’est pas seule maîtresse de ce tome. En effet, l’émotion est de mise. On découvre certains événements du passé de Sully en tant que pickpoket mais on découvre aussi notre héros sous un autre jour. Nous apprenons que Sully est une personne doté d’une grande bravoure et ce depuis son plus jeune âge. Malgré cela, l’amitié avec Pedro a mis du temps à se faire. Les souvenirs de Sully occupent une grande partie de ce troisième tome (un peu plus d’un tiers), mettant aussi en avant l’amitié naissante entre Sully et Pedro, pour qui la vie n’était pas toute rose non plus. J’ai beaucoup apprécié ce flashback qui nous en dit long sur la relation mise en place entre cette joyeuse bande.



L’intrigue ici présente fait revenir Almendra et un nouveau personnage du nom de Pan fait une apparition remarquée. Je trouve d’ailleurs Pan assez gracieux malgré son apparence bestiale. Un contraste qui fait plaisir à voir et qui correspond bien à l’univers steampunk de la série. Je trouve que l’univers représenté ici est vraiment de très bonne facture, les décors sont très percutants, très bien mis en avant et certaines planches sont même somptueuses. La découpe est assez classique dans son ensemble tout en se reposant sur certaines scènes bien plus dynamiques. Le mangaka Hidenori Yamaji nous insuffle un très bon rendu graphique accompagné d’une aventure palpitante. Deux points que j’ai grandement appréciés dans Atlantid.



C’est au cours de ce dernier tome que l’on découvre aussi l’Atlantide et j’avoue que la maîtrise des dessins est d’autant plus plaisante une fois que Sully découvre l’endroit en lui-même. C’est là-bas qu’un Dieu lui fait part d’une chose des plus importantes pour Sully, comment parvenir à sauver ses amis avant que leurs âmes ne soient totalement absorbées. Ce tome nous montre la force de caractère dont fait preuve Sully, il est prêt à tout pour ses amis, sa famille. Une nouvelle motivation l’envahit alors.



Malgré l’action et l’émotion qui émanent de ce dernier tome, le mangaka ne manque pas d’afficher une bonne dose d’humour au moment opportun. Chose qui ne casse pas le rythme de ce tome, au contraire cela lui ajoute une plus grande diversité. Ce dernier volet d’Atlantid intègre de nouveaux personnages, des atlantes, dont un particulièrement très stylé, Jispa, avec qui le contact sera plutôt électrique et de taille. D’autres personnages, du côté ennemi cette fois, sont aussi de la partie, le groupe Judge Holder semble ne pas avoir dit son dernier mot. Ces derniers sont nombreux et il semblerait que Sully ne soit pas au bout de ses surprises !



La série Atlantid m’a offert un bon divertissement tout au long des 3 tomes mais je tiens à préciser que je reste tout de même sur ma faim. Je ne m’attendais pas du tout à une telle fin. J’avoue même être un peu déçu à ce niveau car l’auteur introduit certaines personnes, un lieu particulier, un lien entre deux personnages qui ne semble pas anodin et puis… FIN. Comment peut-on clore une série avec des telles rebondissements, j’en reste frustré. Atlandid reste tout de même une très bonne série, elle vous tient en haleine tout du long mais offre un final un peu décevant. Comme déjà évoqué, c’est mon propre ressenti que je vous offre là et j’espère vraiment que l’auteur nous offrira une suite sous un autre nom peut-être, mais il faut une suite, ne serait-ce qu'un one-shot, rien ne m'empêche de rêver…



« Atlantid offre une aventure très palpitante, très dynamique et qui ne manque pas d’humour. Le voyage vers l’Atlantide prend fin en 3 tomes mais de manière inattendue, ce qui laisse le lecteur perplexe quant aux précédents événements mis en place dans ce dernier tome. »
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Un premier tome qui nous immerge immédiatement dans un univers fascinant, très sombre en apparence, son histoire est néanmoins bien plus lumineuse, celle d’un amour qui va au-delà des frontières de la vie ou de la mort, d’amitiés fortes qui se lient, au cours d’une aventure extrêmement prenante et surprenante !
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Ce tome est pleins d’amour et de douceur, surtout avec le retour en arrière et la rencontre entre Sawyer et Rosalie. On découvre aussi des choses à la fois sur elle et sur lui, sur leur passé, leur histoire, leur origine. De quoi nourrir cette courte série de 5 tomes !


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Ce second tome nous plonge un peu plus profondément dans l’histoire incroyable de ce périple que Sawyer a démarré il y a plus de 40 ans afin de ressusciter son épouse, Rosalie. C’est un vrai plaisir à lire, mélangeant l’humour, l’émotion, l’aventure, l’action… J’en ai ris, j’en ai eu la larme à l’oeil. Je suis tellement excitée de découvrir la suite !
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Nous arrivons dans un monde apocalyptique, au côté de Sawyer. Tandis qu’il se balade à la recherche d’ingrédient pour ressusciter sa femme morte il y a un bon petit paquet d’année, il fait la rencontre d’une bande survivante d’humain. Tout au long, il rencontrera de nouvelles personnes qui sauront chambouler un peu le présent de notre Sawyer avec des révélations touchantes sur le passé. Mais offrant un futur pleins de possibilité.
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N.B: le manga est bien et aussi drôle , et a un univers assez originale. le comportement du personnage principale avec les personnage secondaire , le fait ressortir du tas. on dirait qu'il se comporte comme un enfant est a un coter fou, gentil et peureux, il veut protéger les autre même si il doit se mettre en danger ou s'inquiéte pour leur état en les ressortent de leur tristesse exemple perte d'une personne qui est cher . donc en gros j'aime bien ce manga et je le conseille bien.

Un troisième tome qui revient sur la rencontre entre Sawyer et Marry, sur leur passé et sur certains secrets.

Sawyer et Rosalie se marient mais la fête n’est même pas terminée que la guerre est déclarée. L’histoire reprend dans un futur indéterminé et un monde en plein chaos. Sawyer voyage seul et aide les derniers humains qu’il croise. Il ne semble pas avoir de but précis et ni avoir toute sa tête car il ne quitte pas un cercueil qu’il porte sur son dos. A-t-il un but finalement lié à son étrange fardeau ?

Dans Marry Grave, on rencontre une galerie de personnages complètement décalés ce qui permet d’avoir une bonne dose d’humour. Les dessins sont très détaillés et soignés, l’intrigue est bien travaillée et tient la route. Entre humour, action, quête et beaux graphismes, il y a tout pour passer un bon moment sans prise de tête. C’est un premier tome très divertissant mais sans prétention niveau fond et message. Il est quand même question de solidarité, d’entraide, d’amour et d’amitié mais ce n’est clairement pas le but de l’histoire.

J'avoue avoir eu un peu de mal au début, on rentre tout de suite dans de l'action et je préfère quand l'auteur prend le temps de bien poser l'histoire. Mais finalement c'est chose faite lorsque l'on arrive au chapitre des fées et je dirais que l'aventure commence vraiment à ce moment là, avant il manque un petit quelque chose. Bref, un manga "mignon" dans le scénario qui promet de belles aventures, il n'y a plus qu'à !

Qui dit reprise du blog, dit aussi reprise des mangas. Le rapport ? J'en sais rien, mais je trouvais que c'était une belle phrase d'introduction ! En réalité, l'envie du manga me tient depuis des semaines/mois grâce à ma copinaute Marine qui les enchaîne avec mon admiration totale ! Et lors de mon dernier tour chez Cultura, mon regard à croiser celui de Marry Grave et son petit prix de découverte. Ce qui m'a, je l'avoue, poussé à feuilleter et ce graphisme m'a envouté !

Je ne l'ai donc pas laissé traîné bien longtemps dans ma PAL, car (le destin étant bien fait) une semaine à mille débutait peu de temps après. Cela m'a donc permis de faire la connaissance de Sawyer Riseman, un mort vivant aussi drôle que puissant et tellement attachant. Son histoire nous fait vaciller entre rires et larmes ! Au début, je trouvais ça super glauque de se balader avec le cercueil de sa dulcinée (et donc sa dulcinée également) sur son dos, mais plus il explique ses motivations en passant par son histoire, plus je trouve ça mignon et beau. Oui, passer du glauque au mignon, c'est assez surprenant !









La surprise est un leitmotiv de ce manga ! Entre les scènes de combat qui bougent super bien et qui s'enchaînent, les personnages secondaires que l'on rencontre et qui sont assez nombreux pour ce premier tome : Un régal ! J'ai réellement pris un plaisir à plonger dans l'histoire et j'ai eu du mal à m'en sortir pour finir par criser en attendant le second tome .... Date de sortie ? Mystère et boule de gomme pour l'instant. Frustration totale !
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Le tome 1 de Marry Grave avait été une belle surprise lors de sa sortie en mars dernier. Terminé au Japon en 5 tomes, le scénario de Hidenori YAMAJI va devoir aller droit au but sans se perdre en route pour arriver à donner une bonne fin à ce manga, dont le tome 2 confirme ses qualités. Le récit est celui de Sawyer Riseman un homme airant sur terre depuis plus d’un siècle à la recherche des ingrédients spéciaux pour mettre au point la recette de l’homme mort. Celle-ci doit lui permettre de ressusciter sa femme, Rosalie… qu’il transporte dans le cercueil sur son dos ! Durant la lecture, le concept et l’ambiance rappellent le Beetlejuice et Les Noces funèbres de Tim Burton. Le tome 1 posait rapidement les bases du récit tout en nous plongeons directement dans l’action. Sawyer est un personnage très vite attachant, et ce tome 2 confirme ce sentiment. Le fait qu’il soit un mort-vivant n’enlève rien au fait qu’il a un profond respect pour la vie. L’humour est toujours présent, mais pourrait rebuter si vous ne l’avez pas aimé dans le tome 1. Le tout est dosé de manière à ne jamais rendre le tout cliché ou ridicule. La quête de Sawyer est liée à la dévotion et l’amour qu’il porte à Rosalie. Son courage et sa détermination à y arriver, même s’il n’y parvient que dans 200 ans sont intacts. Sa rencontre dans le premier tome avec la Dark Fairy du nom de Jane va apporter une belle complicité, puisque cette dernière va l’accompagner. Les chapitres sont une succession d’aventures bien écrites nous racontant les légendes liées aux ingrédients que recherchent Sawyer. Un nouveau personnage se nommant Rock fait son entrée et convoite également la recette de l’homme mort. Pourquoi ? Pour le moment nous n’en savons rien. Nous avons donc deux personnages aux motivations bien différentes apportant une petite tension et un combat impressionnant. Nous en apprenons également beaucoup plus sur Rosalie à travers des flashbacks incorporés de manière naturelle dans l’histoire. Et comme le dit le synopsis, Rosalie cachait un secret… à voir ce que la révélation va amener par la suite. L’univers avec les golems, les fées, etc est bien travaillé.



Le traitement de la Fantasy n’est pas nouveau – et ce n’est pas le but du titre – mais cela fonctionne. L’intégration de la mort et l’immortalité donnent une portée symbolique au scénario de YAMAJI. Le dessin reste dynamique et maîtrisé. De plus, le cliffhanger de fin nous donne vraiment envie d’avoir la suite entre les mains… l’histoire garde encore une bonne dose de mystère ! Le mangaka se permet de nous illustrer des scènes de combat où l’on ressent toute la puissance des artefacts que possèdent aussi bien Rock que Sawyer. Le travail autour des nuances, le côté parodique des expressions lors des moments comiques fonctionnent, et c’est très agréable à regarder. En conclusion, ce tome 2 confirme tout mon intérêt pour cette mini-série qui je l’espère saura offrir une fin qui se tient. Happy end ou pas, pas facile de le deviner même si on espère tous que Rosalie revienne…. Un manga plaisant avec des personnages adorables et charismatiques que l’on apprécie grandement de suivre !
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Après avoir mis la main sur un étrange anneau, le jeune pickpocket Sully s’est vu entraîné dans une aventure bien étrange. Une fois cette bague dérobée à Almendra, Sully découvrit à ses dépens que l’anneau renfermait un pouvoir à la fois étrange et de grande envergure. Et qui dit grand pouvoir dit forcément une organisation malfaisante appelée Judge Holder, dirigée par Sir Bannister, qui souhaite à tout prix mettre la main sur ce pouvoir qui dépasserait l’entendement humain. Sully, Pedro et ses amis, accompagnés d’Almendra, entamèrent alors un voyage et subirent alors moult péripéties, jusqu’au moment où Sully fit jaillir de l’anneau une énorme machine. Le moment fut alors opportun pour Sully de partir à la recherche de son passé, quitter Londres avant de croiser le chemin de Roméo. Leurs aventures suivent alors leurs cours et c’est au travers de cette nouvelle critique que nous allons faire le point sur ce deuxième tome d’Atlantid, disponible aux éditions Kana.



Le premier tome nous dévoilait le passé d’Almendra, nous évoquait un peu le fonctionnement de cette machine mystérieuse et nous faisions connaissance de Sully et sa bande de potes. Ce deuxième tome démarre tambour battant sur un premier affrontement où Sully, Almendra et ses amis se retrouvent face à Sliver l’empoisonneur, un ennemi envoyé par Judge Holder. Roméo est lui aussi de la partie, il prend alors part au combat faisant jaillir de sa main une machine. Il met ensuite fin au combat contre Sliver et fait part d’une révélation de grande ampleur, Roméo n’est autre que le bras droit du chef de Judge Holder.



Ne cherchant pas à voler l’anneau en possession de Sully, Roméo lui indique que Sully a lui aussi été choisi pour porter l’anneau, il serait alors lui aussi une enveloppe charnelle dédiée à l’Atlantide. Sully a besoin de réponse s’adressant dans un premier temps à Skunky. La traversée de la mine suit son cours avec pour première destination : le Quartier Général du Bouclier Royal ! Mais s’y rendre n’est pas si simple, d’autant que les amis de Sully ayant été kidnappés par des malfrats travaillant pour Judge Holder. Les voilà prêts à être vendus comme esclaves. Direction : le château où ils sont retenus prisonniers…



Ce second tome est très dynamique, intriguant et il apporte certaines réponses. On nous introduit davantage l’histoire de l’Atlantide ou encore le système d’enveloppe charnelle au sujet de l’anneau. Un certain Lawrence, friand d’histoires mythologiques, est ici évoqué et il est du genre à pouvoir apporter à Sully certains éclaircissements au sujet de l’Atlantide. Doucement mais sûrement, le lecteur récupère diverses informations sur l’intrigue principale ainsi que sur les diverses activités de l’organisation Judge Holder. Ici on arbore le thème de l’esclavagisme et j’ai d’ailleurs bien accroché lors de ce passage. Pourquoi ? Car Sully, au tempérament bien trempé, souhaite foncer tête baissée à la rescousse de ses amis mais Skunky lui fait entendre raison.



Bien que Sully soit le héros de cette série, ici Skunky est plutôt bien mis en avant et je trouve le personnage très intéressant, à la fois drôle et sérieux. J’aime le charisme qui émane de ce personnage, son caractère mais surtout sa dégaine ! Skunky est un prestidigitateur et il maîtrise ses talents avec précision. Le voir donc avec une coupe afro et des vêtements stylés, le rend plutôt unique en son genre. Il a plus d’un tour dans son sac et fort heureusement car son aide fut précieuse pour Sully. En plus de Skunky, une révélation inattendue nous est confiée au sujet de Sully. Même si l’idée m’a effleurée, je me posais encore la question de savoir quand serait pourrait être dit. Sully est à la recherche de son passé et la vérité est ici révélée à son sujet. J’ai apprécié ce deuxième tome, je l’ai trouvé bien plus intéressant que le premier. Pour rappel, la série compte 3 tomes au total et nous amène sur un dénouement intéressant.



Hidenori Yamaji nous offre ici un scénario dans la continuité du premier avec davantage d’actions. L’univers de la série a vraiment sa place, l’auteur me fait bien plaisir ne serait-ce qu’au niveau des personnages, les tenues vestimentaires et leurs allures dignes du steampunk. Les décors sont très bien détaillés, on prend plaisir à se plonger dans cette aventure pleine de rebondissements. Le lecteur n’a pas le temps de s’ennuyer, ce second tome ne disposant pas de réels temps morts. Niveau shonen, nous sommes servis, avec de la baston en veux-tu en voilà ! Comme pour le précédent tome, j’ai trouvé que la réalisation globale de ce tome très réussie et les dessins font vraiment plaisir à voir. Les impacts sont vifs et précis à la fois, surtout sur de plus gros plans. Une fois de plus le steampunk et le shonen font bon ménage et c’est peu dire.



Hidenori Yamaji a une fois de plus su me tenir en haleine tout au long de la lecture de ce second tome d’Atlantid apportant quelques éclaircissements sur de précédentes interrogations et nous en propose de nouvelles. La lecture de ce tome fut un réel plaisir, la mise en avant de Skunky très intéressante avec des scènes de combats maîtrisées. Le troisième tome risque de ne pas manquer d’envergure au vue du résumé imagé proposé en fin de tome. J’attends le final avec grande impatience qui risque de nous en mettre plein la vue ne serait-ce que d’un point de vue artistique, même si l’intrigue ne risque pas de nous laisser des nus.



« De quoi se réjouir avec une intrigue menée tambour battant grâce à des combats pleins de pep’s, une mise en avant de l’organisation Judge Holder très palpitante et le secret sur le passé de Sully dévoilé. »
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Un manga à l'humour noir et grinçant.

J'ai eu beaucoup de mal avec les graphismes, beaucoup de traits, de remplissage. Visuellement ce n'est pas du tout mon style et ça m'a beaucoup gênée pour arriver à rentrer dans l'histoire.

Le récit est également étrange et décalé mais peut, je pense, intéresser, faire sourire ou intriguer.

J'ai vraiment aimé ce premier tome ! C'est drôle mais jamais lourd. Il y a de l'action mais on ne se perds pas dans les planches. Sawyer, le personnage principal est très touchant et attachant. Jane, la Dark Fairy me plait beaucoup ... Les dessins sont précis et beaux. On en prend pleins les yeux : des personnages charismatiques, des orcs, des slimes ... Je vais continuer la série ! 17/20

Un excellent premier tome qui pose les bases d'un univers riches sans que ça desserve le rythme de l'histoire. C'est très rythmé, les personnages sont tous très particuliers, j'adore le style graphique. De toute façon, ce Mangaka a déjà conquit mon coeur avec Marry Grave !

Cinquième et dernier tome de la série Marry Grave.



A son retour nostalgique où nous avons suivi le passé de Sawyer et Rosalie, le héros rencontre une petite fille. Elle est le portrait craché de son amour de jeunesse. Mais comment est-ce possible.

Après quelques aventures aux côté de l'enfant qui révèle des pouvoir magiques très puissant, Sawyer découvre enfin qui elle est.

Cela l'aidera t-il à faire renaître sa Rosalie? Parviendra t-il à récupérer tous les ingrédients de la recette de l'homme mort?



Rhaa quel dommage que ce tome marque la fin de la série. L'univers de Marry Grave, l'aventure, les personnages... tout était vraiment bien.

C'est fort dommage que l'éditeur japonais ait choisi d'interrompre prématurément cette série de Dark Fantasy.

Pourtant le mangaka boucle l'histoire avec brio.



A la fin du tome et en post-face, l'auteur (Hidenori Yamaji) nous montre ce qu'aurait pu donner la série si elle avait duré. Et c'est encore plus frustrant tellement ça aurait pu être bien!



Marry Grave reste un de mes coups de coeur de l'an dernier chez Kana. Une série à découvrir. Et pour le coup, en cinq tomes, on ne se ruine pas.


Lien : https://www.7bd.fr/2020/03/m..

Fin de partie avec ce 5ème volume des aventures de Sawyer:

Dans cette ultime chronique, on encense son jeune auteur, tout en jetant notre plus profond mépris à la face de son éditeur, Shogakukan Asia, qui n'a pas perçu le bijou qu'il avait dans les mains!



Merci aux Editions Kana de nous avoir fait découvrir ce shônen, qui a réussi à faire exploser les carcans de ce style!
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