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Citations de Yûsuke Kishi (110)


Parfaitement. En anglais political correctness. Par exemple, le mot « pompier », fireman, remplacé par firefighter, ou businessperson à préférer à businessman. On a même inventé vertically challenged, pour désigner les gens de petite taille, au détriment du terme short. Cette nouvelle expression a-t-elle seulement un sens ? Non, vraiment, le politiquement correct est la pire barbarie que l’on puisse infliger à la culture ! Ces prétendus termes discriminants ne le sont que pour certains qui se sentent concernés. Il est intolérable que l’on massacre notre belle langue sur le caprice d’une minorité. Outrageous !
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le collège de... sait-on pourquoi il n'est jamais écrit ?
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Le problème, c’est l’influence qu’ils exercent sur le reste de la société. Un seul individu psychopathe peut influencer mille personnes et démultiplier ainsi le nombre de méfaits. Il s’agit bien évidemment d’une mauvaise influence.
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le nombre de psychopathes dans notre société ne fait qu’augmenter, et si l’on ne fait rien, avant peu ils la dirigeront.
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l’amour parental constitue la base de toutes les relations humaines.
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Ceux qui vivaient en se repaissant d'autrui possédaient, tels des prédateurs, la faculté de sentir la faiblesse chez leurs victimes.
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Ce sentiment de culpabilité, loin de s'amenuiser, était resté latent, comme des braises pour toujours incandescentes au fond de son ventre.
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Tu penses vraiment qu’il existe sur terre des personnes qui sont entièrement dépourvues de cœur ?
— Oui. Je pense qu’il en existe.
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La frontière entre personnalité hors du commun et maladie mentale est floue.
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lorsqu’une rumeur était lancée, elle s’ancrait dans la mémoire des gens, acquérait le statut de vérité.
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c’est curieux, l’humain… Les types se pointent, et après quelques échanges, ma foi… une sorte de lien se crée.
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Il ne comprendrait jamais le comportement de certains de ses semblables. Se débarrasser d’un morceau de son corps pour de l’argent ?
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Où donc allait cette énergie vitale lorsqu’elle était évincée d’un corps qui perdait la vie ?
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Les êtres humains étaient gouvernés par quatre fonctions principales : le raisonnement, les sentiments, l'intuition et les sensations.
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Gras comme il l'était, il avait dû bien brûler. Il n'en restait probablement qu'une carcasse carbonisée dont la police n'aurait plus qu'à étudier les dents... Ah, ça ne devait pas être facile tous les jours, ce job.
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Le lycée Shinkô Machida représentait pour Hasumi un vaste plateau d'échecs où chaque prof, chaque élève s'apparentait à une pièce. Il fallait sans arrêt manœuvrer pour que tout ce petit monde se déplace dans la direction souhaitée.
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Hasumi était différent. Il était étranger à l'empathie. Il reconnaissait le mensonge parce qu'il était lui-même un menteur aguerri, et si son jugement ne vacillait pas, c'est qu'il voyait le monde d'un œil dépourvu de la moindre compassion.
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L'autre prof d'EPS, Shibahara quant à lui, bien que d'envergure moindre que son collègue, était encore plus dangereux. Son front bas ne semblait abriter autre chose que des pensées perverses et sadiques. Son attitude dégoûtante était manifeste pour n'importe qui, aussi son intégration dans le corps enseignant restait-elle un mystère.
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Dans un jeu vidéo, on peut recommencer autant de fois qu’on veut, mais quand on joue sa vie, c’est une autre histoire.
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Tout le monde croit ce qu’il a envie de croire.
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