Citations de Yûsuke Kishi (110)
"Si je continue à placer mes pièces avec précaution, je dominerai bientôt l'échiquier tout entier! Eh oui... si je me donne tout ce mal, c'est pour faire de cette école un royaume idéal... alors mes chers élèves, le professeur que je suis vous montrera le chemin à suivre!" # Mr Hasumi
La société nippone prenait désormais le chemin des Etats-Unis, qui faisait face à une crise effrayante de la moralité. La pensée, l'imagination s'appauvrissaient. Les plus faibles étaient traités sans compassion. On remarquait les signes avant-coureurs de ce changement en observant le domaine des assurances non-vie, où les arnaques représentaient déjà cinquante pour cent des demandes. Tendance qui ne faisait que progresser dans les assurances-vie.
Qu'était-ce, après tout, que le destin? On rencontrait quelqu'un, on faisait un bout de chemin ensemble, et on le jetait dans un baril de flammes pour mettre un terme à son existence. N'était-ce pas là le plus enrichissant des échanges?
Je dois dire qu'avant de te rencontrer, je pensais que les Japonais étaient tous d'obéissants moutons. Tu me prouves qu'il en existe d'une autre sorte... Tu es un mouton carnivore, qui se nourrit de ses propres congénères. Tu es une espèce à part, dont l'existence en soi est un mystère.
"Je façonne cette fille en fonction de mes envies et je fais en sorte qu'elle approche la perfection. C'est peut-être ça, la satisfaction qu'éprouve un professeur en formant ses élèves!" # Hasumi
Un avenir aux potentiels infinis s'était effacé à jamais. Où donc allait cette énergie vitale lorsqu' elle était évincée d'un corps qui perdait la vie ? Flottait -elle, pleine de rancoeur, dans les limbes pour l'éternité ?
Nous, les humains, sommes une espèce à la mémoire courte, même lorsqu'il s'agit de leçons apprises au prix de la souffrance.
L’école n’était pas un sanctuaire dédié à la protection des enfants, mais une arène où seule régnait la loi du plus fort. Afin de survivre, il fallait soit avoir de la chance, soit faire preuve de beaucoup d’intuition, soit pouvoir déployer la violence physique nécessaire pour se défendre. Reika ne pouvait compter que sur son intuition.
Le lycée Shinkô Machida représentait pour Hasumi un vaste plateau de jeu d'échecs où chaque prof, chaque élève s'apparentait à une pièce. Il fallait sans arrêt manœuvrer pour que tout ce petit monde se déplace dans la direction souhaitée. Tsurii était différent. Ce n'était pas une pièce, mais l'adversaire assis à la table en face de lui.
L'homme en s'inventant des dieux, s'est aussi inventé des démons.
l’amour parental constitue la base de toutes les relations humaines.
La frontière entre personnalité hors du commun et maladie mentale est floue.
le politiquement correct est la pire barbarie que l’on puisse infliger à la culture !
L'école n'était pas un sanctuaire dédié à la protection des enfants, mais une arène où seule régnait la loi du plus fort. Afin de survivre, il fallait , soit avoir de la chance, soit faire preuve de beaucoup d'intuition, soit pouvoir déployer la violence physique nécessaire pour se défendre . Reika ne pouvait compter que sur son intuition.
Et celle ci lui avait envoyé des signaux de détresse si forts, depuis son entrée dans ce lycée, qu'elle avait hésité à en changer immédiatement. Quatre prof de ce lycée lui faisaient peur, comme jamais elle n'avait eu 3peur auparavant.
Qu'était-ce, après tout, le destin ? On rencontrait quelqu'un, on faisait un bout de chemin ensemble, et on le jetait dans un baril de flammes pour mettre un terme à son existence. N'était-ce pas là le plus enrichissant des échanges ?
Cet homme évoluait dans la noirceur d'une existence dépourvue d'espoir. Ce qui expliquait qu'il n'ait plus d'énergie que pour les fonctions basiques de son quotidien.
L'école n'était pas un sanctuaire dédié à la protection des enfants, mais une arène où seule régnait la loi du plus fort. Afin de survivre, il fallait avoir de la chance, soit faire preuve de beaucoup d'intuition, soit pouvoir déployer la violence physique nécessaire pour se défendre.
Le lycée Shinkô Machida représentait pour Hasumi un vaste plateau de jeu d'échecs où chaque prof, chaque élève s'apparentait à une pièce. Il fallait sans arrêt manœuvrer pour que tout ce petit monde se déplace dans la direction souhaitée.
Il y avait du remous dans les premiers rangs. Le proviseur et son adjoint, suivis d’une ribambelle de profs, venaient d’apparaître en gesticulant. Qu’est-ce qui pouvait bien les contrarier à ce point ?
Je suis fini... C'est comme ça que je vais mourir. Ici, entre les mains de ce cinglé. Reika... Prends garde. J'ai été trop naïf. Ce ne sont pas que des mots... Ce type est réellement un monstre.