Citations de Yvan Pommaux (179)
Mon avocate, tu m'as graphé le coeur! Je vais redevenir voleur ou bandit pour que tu me défendes et me sauves toute la vie...
- Alors, vous revenez bredouille, Boissard! Bravo! Vous avez perdu votre temps!
- Mais j'ai gagné l'estime de mon fils, chef!
- Tu dois te livrer à la police, Osiris!
- Je crois que je vais changer d'avocat!
- Je blaguais!
- Vous faites un coupable parfait, Osiris. Vous êtes ce qu'on appelle un bouc émissaire.
- Un bouc? Je préférerais un léopard ou un tigre...
- Il n'y a pas de tigre émissaire.
- Alors, va pour le bouc!
- Il faut croire en ta bonne étoile!
- Mon étoile? Je ne la vois pas briller, Victoria. Où est-elle?
C'est comme si on attribuait une peinture d'amateur maladroite à Léonard de Vinci!
- Les copines de voyous sont des voyoutes! Il faut nettoyer tout ça! Un grand coup de balai!
- Coup de filet, coup de balai... On va à la pêche ou on fait le ménage?
- Tu n'as pas entendu "Aïe", Marion?
- Un oiseau, sans doute!
- Ils dorment les oiseaux!
- Il faut les traquer, tous ces petits voyous, les mettre en prison! Nettoyer! La grande lessive! Si j'étais chef...
- Tu ne seras jamais commissaire, chéri. Tu échoues tous les examens qui te feraient monter en grade!
- Ainsi ce passage du poème intitulé "Douceurs orientales" :
... " Je songeais, alangui, dégustant des loukoums,
sur nous, une nuit bleue brusquement tomba, boum !"
- Boum !?
Ecoutez-moi: il y aura des morts, des ruines ... Mais tout meurt et tout renaît, toujours... Songe que, dans un an, les gens de ce village auront reconstruit leurs maisons...
Bonjour !
Bonjour !
Voilà : j'ai fait beaucoup de peine à une oiselle noire. Je voudrais un chapeau de réconciliation.
Une oiselle noire ?...Une réconciliation ?
Il faut un très beau chapeau...Un chapeau bleu profond, comme votre amour, avec un ruban noir, comme cette oiselle, et des fleurs multicolores...
Voici !
Quand il fait très froid dehors, des fougères de glace apparaissent sur les vitres, aux fenêtres.
Erreur, petites soeurs ...
Les groupes, ça va, ça vient, ça explose, ça se recompose...
On a fini par s'associer
Yvan Pommaux [...] nous a confié que l'une de ses blagues préférées passait relativement inaperçue.
[...] "En somme, vous ne le connaissez qu'à moitié, votre demi-frère..."
[Extrait du dossier en fin de livre.
J'avais prévu, en lisant, de noter cette phrase en citation, l'humour passe plus facilement que l'aventure, quand on ne cite que quelques mots ; et je la retrouve dans le dossier ! Pas inaperçue pour moi !]
- Elle a volé le rubis de Grocha, le chat domestique de Madame, la femme du Maréchal !
- C'est FAUX !!
- J'ai tout vu ! ... J'habite un grenier du manoir, et j'aperçois la chambre de Madame !
-Ma fille va bientôt avoir quinze ans. Or, une mauvaise fée nous a prédit qu’à cet âge, elle plongerait dans le « Grand Sommeil » !
-Tu t’inquiètes pour rien, chéri !
-Laisse-moi terminer, chérie ! … elle plongerait dans le « Grand Sommeil », disais-je, après s’être piqué le doigt au fuseau d’un rouet.
-Au fuseau d’un rouet ? Plus personne n’utilise cet engin ! Les femmes s’en servaient pour filer la laine, non ? Je ne sais même pas comment c’est fait !
Dans toutes les cultures du monde, la chorégraphie des mots vient au secours des humains. (p.150)- Un instant d'humanité de Jeanne Ashbé
Je crois que je n'aime pas beaucoup que la lecture soit cette Vertu publique dont on peu tirer de la gloriole et des profits orthographiques ou sociaux, ni ce mausolée meut dans lequel on précipite de force et comme au hasard des collégiens rétifs et qui n'y comprennent rien. Je crois que je voudrais toujours qu'elle soit un vice privé, un chemin de traverse, une échappée belle et que chacun lise pour soi, contre le monde.
Une enquête sur les ' pratiques culturelles des Français à l'ére numérique ' a demontré que plus on utilise Internet , plus on va au musée , et plus on a des livres .
Marie-Aude Murail .