AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Yvan Pommaux (179)


Mais sous la banderole de bienvenue, personne ne parle, personne ne bouge ; Blaireau ne joue pas de la flûte ; Lili n’embrasse pas les trois voyageurs ; Grand-père Marmotte ne lit pas son discours ; Castor, qui avait apporté sa bouteille de jus de mûre, la cache derrière son dos.
C’est que Porképic et ses amis sont… comment dire ? Ils sont… autrement ! Ils sont… différents !
Commenter  J’apprécie          10
Porképic, Krok et Claquila restèrent tout l’été, puis ils s’envolèrent pour leur pays. Ils emportèrent des souvenirs : un foulard, une pipe, du tabac, des bouteilles de liqueur, des cailloux du ruisseau, du thym, du laurier, une photo de groupe des habitants de la clairière…
Et là-bas, dans le Sud-Pékipor, on crut mourir de rire lorsqu’on vit la queue plate de Castor, le maillot de corps de Sanglier, les rayures de Blaireau, le jabot de Marie-Canard, les oreilles de Lili… et surtout, surtout, le béret noir de Jean Mulot.
Commenter  J’apprécie          10
Mon expérience me l'a prouvé cent fois : il faut toujours aller du côté de l'exception
Commenter  J’apprécie          10
Il était mou, moche et triste !
Commenter  J’apprécie          10
Jadis, nous avions, même les plus modestes d'entre nous, des tirelires. Ce mot, une prétendue onomatopée évoquant le bruit des pièces de monnaie s'entrechoquant, ne recélait-il pas plutôt une invitation à économiser dans le but d'acheter un livre ? Tirer de là de quoi lire, et tirer le plus grand profit de sa lecture ?
Commenter  J’apprécie          10
Pablo aime beaucoup ce livre, mais il a décidé de faire la tête.
Commenter  J’apprécie          10
Au terrible hiver a succédé un printemps miraculeux, un temps d’euphorie ,ce temps des cerises immortalisé par une chanson déjà ancienne de Jean-Baptiste Clément, dans laquelle, on ne sait pourquoi sous les mots tendres couve un drame
Commenter  J’apprécie          10
Ma belle-fille a disparu.
Ses cheveux sont noirs comme l'ébène,
ses lèvres rouges comme le sang,
sa peau blanche comme le lilas.
Voilà pourquoi on l'appelle Lilas.
Commenter  J’apprécie          10
Mon expérience me l'a prouvé cent fois : il faut toujours aller du côté de l'exception.
Commenter  J’apprécie          10
- Nous allons faire salle comble . C'est un triomphe Marion!

-Il est sensationnel, Line!

-Il est mortel ton décor, maman!

-oui, il est pas mal!
Commenter  J’apprécie          10
- À cette distance, tu ne pouvais pas rater la fille ! Il est beau, le tireur d’élite !

- Je vais te faire un aveu, Igor. Ma vue baisse.
Commenter  J’apprécie          10
Marion : "Bon ! Fil est sauf, il reste ici, et sa mère mène une existence dorée dans le Bouthramachin... Au fond, tout ça n'est pas très grave... Tu peux ôter ton casque, papa !"

Fil : "Je sais que tu n'aimes pas beaucoup ma mère, Marion, mais c'est ma mère ! Elle court un danger. Imagine que Melcar ait décidé de la châtier !"

Alexandre (le père de Marion) : "Tu es atroce, Marion ! Et si c'était moi qui avait disparu ?"

Marion : "C'est pas pareil !!"

Alexandre : "Dis moi, Fil, tu connais bien ce petit pays..."

Fil : "Pas tellement ! Je ne sortais guère du palais."

Alexandre, hors champ au téléphone : " Allô... Patron ? Je tiens un sujet de reportage en or massif : le Bouthrakajmir ! J'ai trouvé un guide qui connaît le pays comme sa poche ! Comment ? Vous n'avez jamais entendu parler du Boouthrakajmir ? Écoutez, patron..."

Marion, à Fil : " Tu ne vas pas y aller ?"

Fil : "Si !"

Marion : " Alors je viens aussi !"

Fil : "Ton père ne voudra pas !"

Alexandre : "Ça y est ! J'ai convaincu mon patron, Fil ? Nous avons un avion dans trois heures. Je sais c'est un peu précipité... Quand à toi, Marion -"

Marion : "JE VIENS !"

Alexandre : "Tu ! *Marion le fixe d'un air furieux* Bon !"

Alexandre, au téléphone : "Patron, c'est encore moi ! Oui... J'ai besoin de trois places sur le vol prévu. J'emmène aussi, euh, une interprète !"
Commenter  J’apprécie          10
Il est moche, ton métier !
Commenter  J’apprécie          10
C'est un enlèvement ! Quel scoop!
Commenter  J’apprécie          10
Libres comme les rêves...
Commenter  J’apprécie          10
ENLEVES, dites-vous ! Lui et sa fille !... C'est sensationnel !...
Commenter  J’apprécie          10
Vous êtes la belle au bois dormant ?
Commenter  J’apprécie          10
Qui remporta la victoire ? Gagne-t-on jamais une guerre ? En vérité, tous ceux qui la font la perdent. Passé les jours de liesse, les vainqueurs se trouvent tout aussi accablés que les vaincus. Imprégnés de dégoût, ils pleurent leurs morts, les villes détruites, les terres brûlées. Devant les vaincus, les vainqueurs se reconnaissent comme dans un miroir.
Commenter  J’apprécie          10
[Gaël] - J'ai un caméscope et je FILME LES ÊTRES HUMAINS de notre époque !! Ce sont des documents ... INESTIMABLES !
Commenter  J’apprécie          10
La nuit est douce.
Elle est toute proche, caressante.
La nuit, tout peut arriver.
Groucho sent qu'il va vivre des moments exaltants, des moments délicieux, vertigineux et rebondissants.
Commenter  J’apprécie          10



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Yvan Pommaux (1891)Voir plus

Quiz Voir plus

As-tu bien lu Marion Duval Le scarabée bleu?

De quel instrument de musique Marion joue-t-elle?

un violon
un violoncelle
une guitare
une contrebasse

8 questions
3 lecteurs ont répondu
Thème : Marion Duval, tome 1 : Le scarabée bleu de Yvan PommauxCréer un quiz sur cet auteur

{* *}