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Citations de Yvan Pommaux (179)


La nuit est si belle ! Regardez les étoiles ! Que sommes-nous dans cette immensité ?

(page 30)
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-Pauvre toutou ! Tu n'aurais pas dû aller prendre ce bol d'air en forêt. Maintenant, tu as la coupe au bol, c'est pas de bol !
-Arrêtez un peu, inspecteur avec vos blagues à deux bols... heu, à deux balles !
-OUAP ! Elle a dit : à deux bols !
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"Je n'aime pas les lecteurs qui se situent du bon côté d manche [...].
Mais je me sens proche de ceux qui se sont perdus dans la lecture comme dans une forêt hantée. "
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Mais sous la banderole de bienvenue, personne ne parle, personne ne bouge ; Blaireau ne joue pas de la flûte ; Lili n’embrasse pas les trois voyageurs ; Grand-père Marmotte ne lit pas son discours ; Castor, qui avait apporté sa bouteille de jus de mûre, la cache derrière son dos.
C’est que Porképic et ses amis sont… comment dire ? Ils sont… autrement ! Ils sont… différents !
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Porképic, Krok et Claquila restèrent tout l’été, puis ils s’envolèrent pour leur pays. Ils emportèrent des souvenirs : un foulard, une pipe, du tabac, des bouteilles de liqueur, des cailloux du ruisseau, du thym, du laurier, une photo de groupe des habitants de la clairière…
Et là-bas, dans le Sud-Pékipor, on crut mourir de rire lorsqu’on vit la queue plate de Castor, le maillot de corps de Sanglier, les rayures de Blaireau, le jabot de Marie-Canard, les oreilles de Lili… et surtout, surtout, le béret noir de Jean Mulot.
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Mon expérience me l'a prouvé cent fois : il faut toujours aller du côté de l'exception
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Il était mou, moche et triste !
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Jadis, nous avions, même les plus modestes d'entre nous, des tirelires. Ce mot, une prétendue onomatopée évoquant le bruit des pièces de monnaie s'entrechoquant, ne recélait-il pas plutôt une invitation à économiser dans le but d'acheter un livre ? Tirer de là de quoi lire, et tirer le plus grand profit de sa lecture ?
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Nous, êtres humains, avons cessé d'être des êtres de langage. Nous sommes devenus des êtres de force de vente et de pouvoir d'achat. Ce qui nous est inutile, voire nuisible, nous est présenté comme indispensable. Ce qui nous est vital, la splendeur de la nature, la vie de l'esprit, le temps de vivre, la curiosité intellectuelle, l'amitié avec quelques grands hommes et femmes du passé, nous est présenté comme vain, trop coûteux, non rentable, irréaliste.
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Les enfants et les adolescents vivent aujourd'hui dans un monde bouleversé, envahi d'images et de sons, d'informations aussi vite commentées qu'oubliées, d'injonctions publicitaires, de violences et de crises, un monde régi par l'instant, l'argent et la vitesse. Et certains sont beaucoup plus vulnérables que d'autres. Plus encore qu'à l'époque où je suis arrivée en France, la lecture, par le silence, la lenteur et la solitude qu'elle impose, vertus exactement inverses à celles du bruit, de la vitesse et des sept cent soixante-dix amis sur Facebook, donne les conditions nécessaires à l'élaboration d'une pensée critique, émancipée de toutes les pressions que les individus subissent.
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Pablo aime beaucoup ce livre, mais il a décidé de faire la tête.
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On tue les femmes de la Commune, on les accuse d’être ces "pétroleuses" qui ont incendié Paris en dissimulant du pétrole dans des bidons de lait. Mais la vraie raison de leur condamnation, leur plus grande faute aux yeux des conservateurs, est d’avoir dépassé les limites jusqu'alors imposées au "sexe faible " : s’en tenir aux rôles d’épouse docile et de mère.
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Au terrible hiver a succédé un printemps miraculeux, un temps d’euphorie ,ce temps des cerises immortalisé par une chanson déjà ancienne de Jean-Baptiste Clément, dans laquelle, on ne sait pourquoi sous les mots tendres couve un drame
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Allons, Rhino, fais un effort, ne sois pas rosse ...
même si je sais bien qu'un rhino, c'est rosse !
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Allons, Rhino, fais un effort, ne sois pas rosse ...
même si je sais bien qu'un rhino, c'est rosse !
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"Voyez",dit Jules avec élégance, "Lili est libre, mais je vous demande quand même la permission de venir la chercher demain après-midi pour une promenade."
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Vous qui vous trouvez laids, pensez à cette fable,
Vous avez quelque chose en vous de remarquable,
C'est un je-ne-sais-quoi, un petit rien du tout
Qui n'appartient qu'à vous.
Un charme unique et chic,
Beaucoup plus attrayant que la beauté classique.
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Je suis convaincu que Thésée a existé. Mais son histoire, très ancienne, mille et mille fois racontée, a été peu à peu transformée, enjolivée par des générations de conteurs à l'imagination fertile répondant au besoin qu'ont les auditoires d'entendre des récits héroïques.
C'est ainsi que naissent les légendes.
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« Vous êtes fou ! » dit Poil-roux , ces enfants n’ont jamais navigué, peut-être ne savent-ils pas nager ! Ils sont déjà au milieu du fleuve... Plongeons et suivons-les ! »
« N’en faites pas un drame, » dit Poil – Gris « ils vont tranquillement s’échouer sur une plage et puis voilà... »
« Et le pont ? » dit Poil-roux, « avez-vous pensé aux terribles remous du fleuve sous le pont ? »
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Ma belle-fille a disparu.
Ses cheveux sont noirs comme l'ébène,
ses lèvres rouges comme le sang,
sa peau blanche comme le lilas.
Voilà pourquoi on l'appelle Lilas.
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