Presses de la cité Paris [corriger]

J'ai été captivé par le concept du roman : découvrir une civilisation sous l'Antarctique, qui remonte à 900 000 ans. Il est important de se souvenir que ce livre a été écrit dans les années 60.



À mon avis, l'écrivain était bien avant son époque. En ce moment, il y a des idées préconçues selon lesquelles notre histoire est différente de ce que nous pensions, et qu'il y a des civilisations bien plus avancées que nous avant.



Un amour intense de la part d'Éléa, car elle avait l'impression d'être sous l'emprise de son homme, son âme sœur. L'amour ne donne que ce qui est à lui-même, et il ne prend que ce qui lui est propre.



Il est essentiel de se rappeler que René Barjavel est originaire d'une époque où la femme parfaite était belle, vulnérable et dépendait entièrement de son mari.



Je donne 4 étoiles au concept original, avec une conclusion qui intègre bien la morale des hommes d'aujourd'hui et du passé. J'ai vu venir un concept d'Éléa, donc une étoile de moins.



À mon avis, ce serait une bonne idée de réaliser un film de science-fiction avec cette histoire assez extraordinaire.

Ce récit correspond plus à une nouvelle qu'à un roman.



L’intrigue, fort convenue, est sans surprise, mais sans redondance.



Le plaisir de lecture repose sur le propos, parfaitement calibré, qui nous livre un condensé d'atmosphère à la Maigret.



Du Simenon à l'os !


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Le commissaire Maigret reçoit dans son bureau Xavier Marton, un vendeur de trains électriques qui soupçonne sa femme Gisèle de vouloir l’empoisonner. Cette dernière dément formellement ces accusations et s’inquiète de la santé mentale de son mari. Ce n’est pas une affaire ordinaire à traiter pour le fin limier de la Police Judiciaire parisienne puisqu’en l’absence d’homicide, rien ne justifie d’ouvrir une enquête. Résidant avec le couple depuis quelques années, le comportement pour le moins singulier de Jenny la belle-sœur de Xavier et secrètement amoureuse de ce dernier, précipitera les évènements dans l’infernal huis-clos familial. De l'amour à la haine, il n'y a qu'un pas qui sera très vite franchi, provoquant un drame au sein du foyer …



L’exercice de style est original, autant pour le commissaire que pour le romancier, puisqu’il s’agit non pas de reconstituer les faits et gestes d’un être humain mais de prévoir son comportement, ce qui est autrement difficile. Georges Simenon a réussi son pari, en développant avec brio une intrigue fort bien construite qui laisse planer le suspense jusqu’à un épilogue déconcertant. A force de rechercher des anomalies du comportement humain, de les classer, de les subdiviser, le commissaire Maigret quant à lui, en arrive à ne plus savoir ce qu’est un homme sain d’esprit et il éprouvera quelques regrets à ne pas avoir su éviter la tragédie qui se profilait.