Kessinger Publishing est une maison d`édition fondée en 1988 aux Etats-Unis, et qui propose l`impression de livres libres de droits et n`étant plus imprimés.
"Jamais sans doute Alexandre DUMAS n'aurat tracé une aussi gigantesque fresque historique. Entre Charles Quint et la fin du règne de Henri II. Les intrigues de cour se succèdent, tant dans le camp espagnol que dans le camp français.
Sur les champs de bataille les chevaliers dont le célèbre "tête de fer", duc de saoive, se clairrent cruellement, tandis que les peuples souffrent,.
Au centre de ces événements, le page du duc, encore un enfant, tente de faire triompher un amour désespéré dont l'histroie n'a que faire."
Encore un excellent roman de Alexandre DUMAS que j'ai lu avec un énorme plaisir.
Roman à lire
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Candide : une satire voltairienne pleine d'esprit
Candide, de Voltaire, est un récit satirique que j'ai étudié au lycée pour mes épreuves du bac de Français. L'œuvre m'a semblé intéressante, mais je ne la qualifierais pas de meilleure de Voltaire.
Un récit divertissant et instructif
Le style de Voltaire est vif et percutant, ce qui rend la lecture agréable et divertissante. L'intrigue, bien que simple, est ponctuée de rebondissements et d'aventures qui captivent l'attention du lecteur.
Une satire acerbe de la société
Candide est une satire acerbe de la société du XVIIIe siècle. Voltaire y critique la religion, la guerre, la politique et l'hypocrisie sociale avec une ironie mordante et un humour grinçant.
Un livre perfectible
Malgré ses qualités, Candide n'est pas exempt de défauts. Le rythme est parfois inégal et certains passages peuvent sembler répétitifs. De plus, la fin du récit, abrupte et moralisatrice, peut laisser le lecteur sur sa faim.
En conclusion
Candide est un livre divertissant et instructif qui offre une critique acerbe de la société. Il n'est peut-être pas le meilleur de Voltaire, mais il n'en demeure pas moins une lecture incontournable pour les amateurs de littérature satirique.
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— Philosophie et boudoir, une contradiction dans les termes ? Les premières pages s’ouvrent sur une "rayonnante obscénité", loin des dialogues platoniciens. Madame de Saint-Ange et Dolmancé initient Eugénie aux vertiges orgiaques ; et Sade de décrire ces "combinaisons érotiques", anatomiquement et crûment. Moins une apologie de l’isolisme sadien qu’un pamphlet contre les sectateurs d’une morale puritaine de l’après 1789, ce livre commande à se déprendre de toutes les contraintes sociales – athéisme, immoralité, cynisme – pour élargir la sphère de ses voluptés. Français, encore un effort si vous voulez être républicains, afin de "semer quelques roses sur les épines de la vie".
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