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Dans cette première aventure de Dirk Pitt, héros charismatique de Clive Cussler, le lecteur fait ici connaissance avec ce beau gosse, brun aux yeux verts à l’allure jamesbondesque qui n’a peur de rien. Dirk Pitt est avant tout un ingénieur maritime de la NUMA, National Underwater and Marine Agency, agence gouvernementale dépendant du gouvernement des Etats Unis.
Là où la fiction et la réalité se confondent c’est que la NUMA est dans la vie réelle une association privée à but non lucratif basée aux États-Unis, de type volontaire et qui a pour but de préserver l'héritage maritime par la découverte, la surveillance et la conservation du patrimoine archéologique sous-marin.
Cette association a été fondée en 1979 par Clive Cussler, romancier et plongeur mondialement connu, qui de plus en est le président.
Dans cette première aventure, Dirk va se frotter à un ancien nazi et à son trafic de drogue.
Mais tout comme James Bond, Dirk Pitt arrive toujours à se dépatouiller des situations rocambolesques dans lesquelles il a le don de se fourrer…
Dans cet opus, on découvre alors le séducteur, le collectionneur de belles voitures, l’ingénieur maritime qui connaît bien son boulot et.. un agent redoutable de la NUMA.
Mon personnage secondaire chouchou de cet opus est Al Giordino le meilleur pote de Dirk Pitt, avec lequel il a combattu au Vietnam et qui est toujours là pour lui sauver la mise.
Bref, un livre où on ne s’ennuie pas du début à la toute fin… et on en redemande encore ! Vivement la suite des aventures de Dirk Pitt !
J’ai découvert les écrits de Clive Cussler un peu par hasard lors de vacances à Noirmoutier quand j’avais 15 ans. Acheté à un brocanteur ambulant, j’avais fait la connaissance de Dirk Pitt à travers « Renflouez le titanic ».
Par la suite j’ai lu beaucoup de livres de cet auteur, ainsi que d’autres qu’il a coécrit. Mais je me suis rendu compte que je n’avais jamais lu les aventures de Dirk Pitt de façon chronologique.
May day a été publié en 1973… le prochain livre que je lirai de Clive Cussler sera Iceberg publié en 1975. Ce qui me navre c’est la difficulté pour trouver les livres de Clive Cussler en français. Il faut aller sur les sites d’occasion ou avoir de la chance auprès des brocanteurs.
Une plume alerte, un scénario musclé, un personnage charismatique, des personnages secondaires truculents, tous les livres de Clive Cussler sentent bon le dépaysement et l’aventure. Si vous avez envie de voyager, de rire, de découvrir des pans de l’histoire ( surtout liés aux océans mais pas que…), je vous recommande vivement d’aller à la découverte de ce grand auteur qu’est Clive Cussler…
Qui plus est, Clive Cussler aime se mettre en scène dans ses livres (je ne l’ai pas toujours trouvé) en se mettant dans la peau d’un personnage qui passe dans la vie de son héros durant quelques minutes… un peu comme Hitchcock qui signait ses films en passant quelques secondes devant la caméra.
Là où la fiction et la réalité se confondent c’est que la NUMA est dans la vie réelle une association privée à but non lucratif basée aux États-Unis, de type volontaire et qui a pour but de préserver l'héritage maritime par la découverte, la surveillance et la conservation du patrimoine archéologique sous-marin.
Cette association a été fondée en 1979 par Clive Cussler, romancier et plongeur mondialement connu, qui de plus en est le président.
Dans cette première aventure, Dirk va se frotter à un ancien nazi et à son trafic de drogue.
Mais tout comme James Bond, Dirk Pitt arrive toujours à se dépatouiller des situations rocambolesques dans lesquelles il a le don de se fourrer…
Dans cet opus, on découvre alors le séducteur, le collectionneur de belles voitures, l’ingénieur maritime qui connaît bien son boulot et.. un agent redoutable de la NUMA.
Mon personnage secondaire chouchou de cet opus est Al Giordino le meilleur pote de Dirk Pitt, avec lequel il a combattu au Vietnam et qui est toujours là pour lui sauver la mise.
Bref, un livre où on ne s’ennuie pas du début à la toute fin… et on en redemande encore ! Vivement la suite des aventures de Dirk Pitt !
J’ai découvert les écrits de Clive Cussler un peu par hasard lors de vacances à Noirmoutier quand j’avais 15 ans. Acheté à un brocanteur ambulant, j’avais fait la connaissance de Dirk Pitt à travers « Renflouez le titanic ».
Par la suite j’ai lu beaucoup de livres de cet auteur, ainsi que d’autres qu’il a coécrit. Mais je me suis rendu compte que je n’avais jamais lu les aventures de Dirk Pitt de façon chronologique.
May day a été publié en 1973… le prochain livre que je lirai de Clive Cussler sera Iceberg publié en 1975. Ce qui me navre c’est la difficulté pour trouver les livres de Clive Cussler en français. Il faut aller sur les sites d’occasion ou avoir de la chance auprès des brocanteurs.
Une plume alerte, un scénario musclé, un personnage charismatique, des personnages secondaires truculents, tous les livres de Clive Cussler sentent bon le dépaysement et l’aventure. Si vous avez envie de voyager, de rire, de découvrir des pans de l’histoire ( surtout liés aux océans mais pas que…), je vous recommande vivement d’aller à la découverte de ce grand auteur qu’est Clive Cussler…
Qui plus est, Clive Cussler aime se mettre en scène dans ses livres (je ne l’ai pas toujours trouvé) en se mettant dans la peau d’un personnage qui passe dans la vie de son héros durant quelques minutes… un peu comme Hitchcock qui signait ses films en passant quelques secondes devant la caméra.
Quelques longueurs pour une intrigue qui se traine un peu... je regrette le manque de rythme. Il m'a fallu les 170 premières pages pour arriver enfin à accrocher à l'histoire. L'intrigue est tellement farfelue qu'on peine à y croire et les 2 héros assez caricaturaux à mon sens.
Bon, c’est décidé, lecteur, je vais me calmer un peu sur les thrillers, je dors plus tellement la nuit depuis que j’ai entendu parler des chuchoteurs et mon rythme cardiaque s’accélère dès que je croise une petite fille qui cache son bras sous son pull.
Bon, alors, on a quoi ? Un pavasse, déjà, et ne t’y plonges que si t’es sûr de tenir la route parce que t’as quelques nuits et quelques dimanches pluvieux devant toi avant de venir à bout de cette enquête qui s’étale sur près de 600 pages. Chausse aussi tes lunettes, la version poche est économe. Achète un plaid bien chaud, tu vas avoir des sueurs froides, et investis dans l’Arabica et Robusta, histoire de tenir le coup (des fois que, toi aussi, tu fasses partie du club des « encore un chapitre »).
Enquête complexe, bien ficelée, surprenante et très cohérente. Histoire qui touche, aussi, et que j’ai failli abandonner aux deux-tiers, les crimes rapportés étant perpétrés sur des enfants, la mère qui est en moi a souvent crié au scandale avant de se retrancher derrière les détails techniques et les rebondissements nombreux de cette histoire. Et puis, fais comme moi, hein, évite pour un temps les miroirs, du moins ceux tournés vers ceux qui partagent ton quotidien… Je sais, lecteur, qu’on connait bien mal les gens qui nous entourent, mais j’ai tout de même des picots dans la nuque rien que d’imaginer les trucs dégueu que l’un d’entre eux peut avoir dans la tête, je préfère occulter, pas toi ?
*********************
Lien : http://www.instagram.com/les..
Bon, alors, on a quoi ? Un pavasse, déjà, et ne t’y plonges que si t’es sûr de tenir la route parce que t’as quelques nuits et quelques dimanches pluvieux devant toi avant de venir à bout de cette enquête qui s’étale sur près de 600 pages. Chausse aussi tes lunettes, la version poche est économe. Achète un plaid bien chaud, tu vas avoir des sueurs froides, et investis dans l’Arabica et Robusta, histoire de tenir le coup (des fois que, toi aussi, tu fasses partie du club des « encore un chapitre »).
Enquête complexe, bien ficelée, surprenante et très cohérente. Histoire qui touche, aussi, et que j’ai failli abandonner aux deux-tiers, les crimes rapportés étant perpétrés sur des enfants, la mère qui est en moi a souvent crié au scandale avant de se retrancher derrière les détails techniques et les rebondissements nombreux de cette histoire. Et puis, fais comme moi, hein, évite pour un temps les miroirs, du moins ceux tournés vers ceux qui partagent ton quotidien… Je sais, lecteur, qu’on connait bien mal les gens qui nous entourent, mais j’ai tout de même des picots dans la nuque rien que d’imaginer les trucs dégueu que l’un d’entre eux peut avoir dans la tête, je préfère occulter, pas toi ?
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