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Les cinq personnes que j'ai rencontrées là-haut

Que l'on lise un roman une fois de temps en temps ou plusieurs par mois, nous avons tous des œuvres qui nous marquent. Dans mon cas, "Les cinq personnes que j'ai rencontrées là-haut" en fait partie.



C'est un titre que j'avais laissé de côté et que j'ai sorti de ma pal pour le challenge 'Petit mois petite lectures' et que j'ai fini lors du 'Cozy book challenge'.



Selon ce roman, lorsque nous mourrons, nous allons au ciel et nous rencontrons cinq personnes qui ont joué un rôle de près ou de loin lors de notre passage sur terre.



C'est ainsi que nous suivons notre protagoniste dans ses péripéties et naviguons à travers ses souvenirs.

Cependant, en plus de nous offrir son point de vue sur les événements, nous découvrons celui de la personne à ses côtés.



Une histoire qui explique que finalement ce que nous faisons ici-bas est (peut-être) simplement notre destinée, même si selon notre point de vue nous avons gâché notre vie?



Un récit, qui me fait d'autant plus écho puisqu'avec les réseaux sociaux, nous avons tendance à dénigrer ce que nous avons accompli et voir l'herbe plus verte ailleurs, qu'elle ne l'est en réalité.✨
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Les 5 blessures qui empêchent d'être soi-même

Une étoile, pour, comme on dit à l’école, l’encre et le temps.

Je n’ai pas fini ce…truc, à vrai dire je n’ai pas réussi à aller au-delà des 80 pages. Ce n’est pas dans mes habitudes, même une purge comme 50 nuances de Grey, je suis allé au bout - au moins, avec un peu de second degré, c’est relativement drôle.

Là, la Lisa Bourbeau, si on ne pouvait voir sa photo sur le net, on l’imaginerait volontiers dans une arrière-salle à l’obscurité réfléchie, pleine de grigris aux origines industrielles plutôt que primales, en attente du prochain gloglo avec de vagues espérances ésotériques à combler, pour lui faire les poches.



Les 5 blessures… ressemblent à s’y méprendre à une vaste arnaque, impliquant une malhonnêteté confondante si la dame responsable de cet alignement de mots ne paraissait autant convaincu de ce qu’elle raconte. Soit des imbécilités qui auront un impact sur le pauvre hère confus.

Pour information, je me suis arrêté pile au moment où « l’autrice » assène cette vérité implacable : les agoraphobes souffrent d’hypoglycémie. Après vérification, rien, nada, wallou sur le sujet. En outre, dans le contexte, aucun intérêt.

Tout ce qui précède est à l’envi : des contre-vérités balancées, rabâchées, copiées collées d’une page à l’autre, d’un livre à l’autre.

Ce qui concerne l’ésotérisme, la théorie de la réincarnation dans un corps d’une âme blessée pour sa propre guérison, pourquoi pas : c’est affaire de sensibilité, et je ne jugerai pas là-dessus (mon avis étant que ce sont des billevesées incommensurables).

Pour tout le reste, le tutoiement (mais what ?!), l’appui appuyé aux théories freudiennes (largement dépassées par au moins les travaux de Lacan, c’était il y a 100 ans ma bonne dame), la théorie du physique révélant la blessure (si tes gros t’as forcément été humilié), l’absence totale de sources, de littérature scientifique, sinon les propres expériences de M’ame Bourbeau (jamais publiées nulle part), tout ça c’est poubelle. Recyclage interdit.
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Le Conte de l'île inconnue

José Saramago n’a pas besoin de présentation : un de plus grand écrivain Portugais de tout le temps. Son petit conte philosophique a été mis en valeur par l’édition soignée de Seuil, par la très bonne traduction de Geneviève Leibrich et par les superbes gravures de Olivier Besson. A titre de résumé, on peut mettre une citation : “Je pense qu’il faut sortir de l’île pour voir l’île, que nous ne nous voyons pas si nous ne sortons pas de nous, Tu veux dire si nous ne sortons pas de nous-même, Ce n’est pas la même chose.” Bonne lecture !
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