Poupée, tome 3

Je ne connaissais pas Pitek, j'en arrive à me demander pourquoi tant de cruauté? Ce troisième volume débute pourtant par une scène très épurée et sensuelle, avant de replonger encore plus loin, encore plus fort dans la violence. La fin est cauchemard dont ne reviendra jamais poupée. l'abondance finissant toujours par annuler l'envie. Mention spéciale pour la qualité des dessins, les details sont soignés.

Poupée, une série en trois tomes qui démarrait bien avant de partir en sucette.
Dans le premier tome, on découvrait mademoiselle D., gentille secrétaire le jour, jouet sexuel la nuit. Bien dessiné, en noir et blanc, mais sans scénario. Dans le tome 2, la couleur faisait son apparition, ainsi qu'un semblant d'histoire. Bon ben en fait, c'était mieux quand il n'y avait pas de scénar. L'album partait pas mal avec le classique de la gaudriole dans l'étable avant de se perdre dans les méandres du labo d'un savant fou...
Ce dernier album, c'est le coup de grâce : histoire nawak, dessin très bof, ambiance glauque, manque de cul... Rien pour plaire.
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