Poupée, tome 1

Secrétaire sans histoire le jour, Poupée devient une soubrette soumise la nuit pour le plus grand bonheur de ses hôtes. Elle aime ça et se prête sans broncher à tous les désirs pervers de ses maîtres et maîtresses...
C'est la première fois que je découvre ce dessinateur. Les dessins sont époustouflants de réalisme. Tout en nuances de gris. Ici, pas de pudibonderie et la belle poupée est superbe. Y aurait-il un fond d'histoire. Il semble que oui, surtout sur la fin, où une surprenante conclusion nous mais dans un léger suspens en attendant le tome suivant. C'est quelque peu dérouté que le lecteur découvre qui est vraiment poupée et pourquoi elle se soumet ainsi sans condition.

Une série en trois tomes qui démarrait bien avant de partir en sucette.
Dans le premier tome, on découvre mademoiselle D., gentille secrétaire le jour, jouet sexuel la nuit. Bien dessiné, en noir et blanc, mais sans scénario. Vous me direz que ce n'est pas une intrigue qu'on vient chercher en premier lieu dans ce genre d'ouvrage, mais là quand même y a zéro semblant de début d'embryon d'amorce d'histoire.
Dans le tome 2, la couleur fait son apparition, ainsi qu'un semblant d'histoire. Bon ben en fait, c'était mieux quand il n'y avait pas de scénar. L'album partait pas mal avec le classique de la gaudriole dans l'étable avant de se perdre dans les méandres du labo d'un savant fou, peuplé (le labo, pas le savant) de fétichistes du latex.
Le dernier album, c'est le coup de grâce : histoire nawak, dessin très bof et manque de cul.
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