Voilà une histoire que j'ai aimée, un peu, beaucoup, passionnément.
Parce qu'elle nous raconte une femme, un couple, une famille.
Le quotidien qui use, fait perdre les étoiles dans les yeux.
Le pas de côté, l'écart à ne pas commettre.
Les regards aimants qui se transforment en regards hostiles.
Et puis, la vie à continuer, malgré tout.
Loin d'être une histoire triste, c'est une histoire qui nous fait espérer.
Qui fait la part belle à l'amitié, aux mains tendues, à la résilience.
Vingt et un jours en vacances pour comprendre, accepter, pardonner, se reconstruire?
A vous de le découvrir avec Chance, Lili, Sofia, Irène.
Quatre femmes réunies par les hasards de la vie.
Qui vont s'épauler, pas à pas.
Et s'offrir une épaule où se poser, une belle amitié.
Avec Casimir, Marc, Romain, Max, Lucie, Zoé, Charlotte, Lucas, et tous les autres.
Qui vont nous ouvrir un coin de leur porte, un bout de leur vie, dans laquelle on va entrer à pas feutrés et que l'on n'aura plus envie de quitter.
Des rires, des larmes.
Des regrets, des chagrins, de l'espoir.
Des joies, des facéties, des pitreries.
Des colères enfouies, du pardon à offrir.
Et puis, des moments précieux, des "minutes de surkiffe"!
Ces minutes où l'on savoure le bonheur d'être tout simplement.
Où l'on ne s'oublie plus, on se délecte de la vie.
Des minutes de "folie", d'espièglerie, où l'adulte que l'on est retrouve son âme d'enfant.
Belle philosophie de vie qui tient en cinq minutes par jour.
Et puis, cette piscine, qui accueille tour à tour la pluie, l'orage, des larmes, mais aussi des instants de bien-être, de rêverie face aux étoiles, de bains de minuit illuminés et dans laquelle, somme toute, il fait toujours soleil dans le coeur.
J'ai aimé chacun de ses personnages, avec leurs défauts, leurs qualités.
J'ai appris à les connaître, les comprendre, les apprécier, de plus en plus.
Et n'ai pas eu envie de les quitter.
Il existe de petites pépites parmi les romans auto-édités!
C'en est une!
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