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3,66

sur 1383 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
On se laisse emporter même si les commentaires sur les prolos, les bobos, les ceci, les cela, sont franchement fastidieux. N'est pas Didier Eribon qui veut.
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Mes premières impressions pas bonnes, je me retrouve devant ce pavé, qui me fait peur, mais mon souvenir de "Je vais bien ne t'en fais pas" me pousse quand même à m'y plonger!
Les 150 premières pages, pour moi, ont été difficiles. J'avais l'impression de lire une énumération inépuisable de faits et gestes passés, de descriptions pour le moins ennuyeuse....pas de mystères...pas de péripéties incroyables...je me demandais où voulait en venir ce livre.
J'ai faillit en abandonner la lecture, renoncer après ces pages, et puis avant de lâcher le morceau, j'ai essayer de voir sur internet, qu'elles étaient ses critiques.
Et dans ma recherche j'ai lut le commentaire de quelqu'un qui disait avoir ressenti les mêmes premières difficultés que moi, au début, et qu'au delà d'un peu plus de pages, vers la moitié du livre, il s'était pris à en apprécier sa lecture.
Alors j'ai persévéré, je me suis fais violence...et...après quelques pages...vers la moitié...j'ai cesser de m'ENQUIQUINER et j'ai vraiment commencé aimé ce livre et à le dévorer!
Donc malgré des débuts difficile de ce livre, je le conseil à quiconque aime le style d'Olivier Adam, même si j'aurais pour ma part, besoin de lire un autre de ses livres pour me faire une réelle opinion de cet auteur. Après peut être que ce démarrage difficile venait de moi et de mon humeur dans laquelle je l'ai entamé...mystère!
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Dépression et description : Parfois noyée sous une masse d'éléments descriptifs apparemment anodins, j'ai néanmoins éprouvé un certain attachement aux personnages
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Je suis très partagée au sujet de ce roman: bien que très souvent agacée, je n'ai pu le lâcher. En effet, l'histoire de Paul, ce romancier dépressif obligé de revenir dans la banlieue qu'il avait fui, m'a touchée. Olivier Adam dresse une galerie de portraits de gens ordinaires plus émouvants les uns que les autres, et ce sont ces personnages qui rendent ce roman attachant. le récit de cette enfance privée d'affection et marquée par le non-dit m'a émue.
En revanche, l'auteur, comme son personnage principal, ne cesse de vouloir enfermer les "gens" dans des cases parfaitement caricaturales: les bobos, les intellos, les banlieusards, les beaufs, les parvenus, les électeurs FN, j'en passe et des meilleures, tout en pontifiant, comme tout "romancier de gauche" bien-pensant et donneur de leçons qu'il se défend d'être...Exaspérant! Il critique sans cesse ce système de "classification", mais il ne peut s'en empêcher. Bon, et puis moi, je suis banlieusarde, et pas à Neuilly ni au Vesinet, et je lis, et même du Olivier Adam, OK? Donc je suis dans quelle case, hein?
Malgré ce travers, je reconnais le talent. J'ai apprécié cette écriture originale, précise, avec de longues phrases donnant un rythme particulier qui m'a emportée, et étonnamment jamais ennuyée.
Évidemment, il vaut mieux être solide, à ne pas lire en période de "coup de mou", car ce n'est pas un joyeux drille, cet Olivier Adam.
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Paul Steiner, écrivain mélancolique, est aux lisières de sa propre existence. Sa femme l'a quitté, ses enfants lui manquent terriblement, il ne se retrouve nulle part. L'hospitalisation de sa mère va faire resurgir le secret de famille qui depuis l'origine le pousse vers le néant. L'incapacité de créer du lien avec son père, homme dur, refermé sur ses frustrations et sa propre dépression, ancien ouvrier communiste qui tourne ses espoirs vers "la Blonde", les disputes incessantes avec son frère qui a tout fait pour être le fils idéal tout cela finira par prendre fin à la suite de l'inventaire qui lui permettra peut-être de reprendre en main son destin. Si la distance, le gouffre qui s'est créé entre ses amis d'enfance, ses origines, sa famille sont assez finement décrits, le tout manque de souffle malgré tout.
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des longueurs peut-être est-ce le fait d'autres activités, qui font relativiser la lecture de ce livre , pourtant attachant
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Un roman qui n'épargne rien des réalités d'une séparation, détaille avec justesse le mal être et la dépression, et décrit avec pertinence les conséquences de relations familiales compliquées. Une histoire pas très gaie mais tellement vraie. J'y ai trouvé de très belles phrases malgré une écriture assez crue.
J'ai apprécié ce moment de lecture noire mais intense.
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Un bon roman, mais parfois, de longues plages de récit se révèlent monotones. Cet effet tranche avec des pages joliment écrites et captivantes.
J'aurais apprécié qu'il soit plus court, amputé des parties que j'ai trouvé lassantes!!!
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malgré les digressions, il faut lire entre les lignes pour découvrir qu'il s'agit là d'un roman social asse riche.
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Un très beau livre, toujours très bien écrit, O Adam signe là un beau roman même s'il est certes pas bien gai! Un bémol, le début m'a fait furieusement penser à un autre de ses romans... a tel point que je me suis demandée si je ne l'avais pas en fait déjà lu!! A la réflexion il s'agissait des 'vents contraires', cette sensation a disparue au bout d'une dizaine de pages.
Et un autre petit bémol, la vision "politico social" et quelques digressions sur le sujet que j'ai trouvé par moment un peu caricaturales...
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