Il n'avait pas vu une telle confiance en soi chez un homme depuis le jour, à l'âge de seize ans, il avait vu dans son miroir qu'il commençait à lui pousser des favoris.
On dit que la vengeance est douce au cœur de l'Indien, mais l'adage était en dessous de la vérité. La vengeance était jubilatoire.
Le petit Assad trapu et sa masculinité qui vibrait de chaque repousse de poil de sa barbe noire et cette grande girafe imberbe de Gordon. Mais les rides sur leurs fronts, elles, étaient identiques. C'en était émouvant.
Elle exigerait et exigerait encore et s'il y avait une chose que Denise détestait, c'était qu'on exige d'elle quoi que ce fût.
-Vous allez lui rendre la monnaie de son billet?
-« De sa piece », Assad. On dit « de sa piece ».
-Et les années bondissantes? Demanda Assad.
- On dit les années bissextiles, le corrigea Carl.
-C’est moins marrant.
La vie d'un retraité est un peu comme le temps en montagne, elle peut changer radicalement d'une seconde à l'autre.
"Surement" pouvait vouloir dire tout et son contraire.
Apparemment, c'était quand il avait l'air d'aller le plus mal qu'il se portait le mieux.
" Des traitres ! Voilà ce que vous êtes ! Et désormais, rien ne me fera plus jamais revenir dans un endroit où les charlatans prétentieux et trop bien payés qui n'ont jamais aimée dissimulent des pensées secrètes plus dangereuses pour moi que celles que j'ai déjà. "