Victime 2117

Ce dernier J.A.O.
Je le crains mon dernier.
Oh oui que j'aimais cette bande en sous-sol qui ne faisait pas que dans la mélodie.
Cette Enquête du Departement V number 8, c'est un vrai page-turner.
Peut être pas dans le sens que vous croyiez.

Le premier tiers OK. le temps de se remettre dans le bain et de l'équipe. le précédent, cela faisait bien quelques années.
Et puis le deuxième tiers, je me suis surpris à commencer à lire en diagonale.
Et alors le dernier tiers, carrément des pages entières sont passées.

Qu'est ce c'est ce truc ?
Un scan de Pilgrim avec la vitre du scanneur encrassée ?
Autant l'original bien que bien roborratif avait dynamique et souffle.

Autant celui la est pooooussif.
Découpage compliqué à souhait.
Au contraire des 2 intrigues dont l'une ridicule.
Que l'on pourrait presque qualifier dégoulinantes.
Et les redondances et les invraisemblances.

Et Bien oui !
Le Gordon je l'aurais aimé en London Extradry Gin.
Et Rose, l'eus préférée en shot de Four Roses.
Avec ma bière, malgré la canicule, le pays de la Carlsberg m'a laissé sur ma soif.

Décidement pas de chance pour mes lectures au septentrion.
Force est de le rabattre plus au sud.

Mais Quid ?
La série dont je n'avais pas trop envie, because y a de la politique ?
Celle Pepe Carvalho de Manuel Vázquez Montalbán ?

Ce huitième opus est très décevant. L'humour qui participe du charme de la série est totalement absent, l'histoire peu crédible, le style trop souvent lourd et bavard. J'étais très impatiente de découvrir l'histoire d'Assad. Mais je pense à présent qu'il aurait mieux valu ne pas dévoiler les secrets d'un personnage dont la réussite, hélas, ne survit pas à l'exercice.

Adler Olsen, en règle générale, j'aime beaucoup. Alors découvrir la véritable identité d'Assad, c'était prometteur.
Mais voilà, bien que j'ai pu lire que ce livre avait eu le prix Babelio du Polar, je n'ai pas du tout accroché et je l'ai refermé à la 100ème page.
Je trouve que l'intrigue a perdu ce qui avait fait le succès des précédents opus et que l'auteur a voulu y mettre trop de géopolitique. Au final, j'ai trouvé cela confus et je n'ai pas réussi à le continuer. Dommage. Une autre fois peut-être…

Mais quelle déception !
J'ai même pas réussi à le finir..
Quel dommage. C'est à se demander si c'est bien Adler Olsen qui a écrit ce livre. Des situations banales, des descriptions à rallonge, au point où vous pouvez sauter un paragraphe sur deux sans que cela perturbe votre compréhension de l'histoire.
Lui aurait-on demander de faire de la page ? J'ai l'impression que c'est l'épidémie du moment chez certains auteurs de romans policiers.
J'avais déjà été déçue par le dernier volume à cause, justement de longs passages qui n'apportaient rien de plus à l'histoire.
Ce dernier roman confirme le précédent. Où donc est passée la tonicité de l'intrigue, le suspens, les personnages qui nous étonnent au détour d'une page ?