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4,05

sur 71 notes
Je remercie les Editions du Lointain et Babelio pour ce livre reçu dans le cadre d'une Masse Critique.

Il s'agit du premier roman de son auteur, Yanis Al-Taïr. Et il s'agit bel et bien d'un premier roman.
Par ces mots, il faut entendre que le texte a les défauts des premiers romans et aussi certaines qualités. du moins de ceux et celles que j'ai l'impression de retrouver souvent.

Plein d'enthousiasme, plein de sujets qui s'entremêlent, une écriture parfois pointue, profonde, émouvante. On sent que Yanis Al-Taïr a plein de choses à dire, oui, plein de sujets et sources d'inspiration passionnés pour lui, d'autres qui sentent le vécu. Tout ça sort fort sur le papier, de façon pulsée, voire impulsive. C'est beau parfois. Ces élans peuvent s'apprécier. D'autant qu'il est probable qu'il y a pour lui un côté nécessaire et impérieux. de raconter cette histoire. de la raconter comme ça.
Malheureusement, pour le lecteur lambda, il n'y a pas d'urgence, moins d'impératif à ces thématiques, à ces passions et à ces amours-là. Il n'est pas parvenu à m'emballer, avec/malgré toutes ces richesses.
Et même par moment, sa langue, sa main, nous sert des clichés qu'avec un peu de recul, quelques mois ou années, il regrettera et/ou trouvera peut-être même ridicules. (J'aurais tant aimé ne pas ressentir cela...) Ces grands mots déjà dits mille fois et qui sonnent d'autant plus creux. Je ne ferais pas l'injure de les insérer ici. Il y en a beaucoup, hélas.
Je trouve aussi trop de coquilles dans le texte, qui pourrait être relu. Pour la prochaine édition, à l'occasion.

L'histoire est à la fois simple et complexe : un frère qui tente de sauver sa soeur malade. A cela se greffent moult sujets, dimensions et tensions : un étrange manuscrit, des flots d'éléments de sa vie passée qui resurgissent, un contexte politique en bouillonnement, des considérations sur la vie et la mort à travers le choix de l'archéologie au lieu de la médecine, des considérations quantiques, j'en oublie. Je trouve qu'il y en a trop. Et qui trop embrasse...
Ah, cet enthousiasme et ces emballements du premier roman... du bon voire très bon, et du mauvais voire très mauvais.

Somme toute, j'ai envie de l'encourager et mets donc un peu plus que trois étoiles, car Yanis Al-Taïr a du potentiel. Si lui-même et l'éditeur se recentrent sur moins de sujets, il pourra certainement les exprimer de façon plus puissante et émouvante.
Ah, cet enthousiasme et ces emballements des premiers romans.

Au travail !
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Je n'ai pas pu m'empêcher de jeter un coup d'oeil aux autres critiques avant de poser la mienne sur le papier. de toute évidence, ce roman ne laisse pas indifférent. Il bouscule par son foisonnement, déroute par son érudition, questionne par sa profondeur.
C'est un roman où j'ai eu du mal à choisir des citations tant il y a de phrases, de réflexions, de descriptions que l'on a envie d'annoter. Elles ne sont pas toujours empreintes de bons sentiments, sonnent très souvent justes et quoiqu'il arrive nous posent question.
Et comme on le sait les bons sentiments font très souvent les mauvais romans (pour paraphraser André Gide).
Une très belle plume et un art maîtrisé de la nuance permettent à l'auteur de ne jamais dépasser la frontière du subversif ou de l'outrancier (ce qui d'ailleurs n'est pas un défaut en soi). L'élégance ici reste de mise.
Comme l'ont souligné d'autres que moi, la structure romanesque, bien que complexe, est maîtrisée: quatre partie, un acmé à la fin de la 3ième, un rêve inaugural et un épilogue conclusif assaisonné de quelques surprises savoureuses.
Mais comme dans tout premier roman, on sent l'hésitation entre différents courants contraires: le roman familiale et psychologique, le roman historique qui flirte avec le roman policier, le roman philosophique enfin.
Cette générosité a attisé ma curiosité et rendu ma lecture très plaisante, comme beaucoup d'entre vous.
le deuxième roman sera l'occasion pour l'auteur d'affuter sa lame et de suivre un sillon plus franc, plus incisif dans les méandres des territoires littéraires...
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Le livre est à la hauteur de la couverture. Mystérieux et profond, sujet à de multiples interprétations, intense. D'une belle complexité, d'une complexité qui se livre à nous, qui nous élève.

C'est un livre essentiel si l'on souhaite un peu mieux comprendre le monde dans lequel on vit, car il ne se contente pas de mimer nos vices et nos vertus dans des récits où la seule nouveauté est l'introduction des nouvelles technologies, il ne se contente pas de projeter dans le future les tares de notre monde moderne. Il ne se contente pas de dénoncer des faits de société, des crimes ou des dysfonctionnements à la manière d'un procès verbal.
Non, il nous plonge dans le plus lointain passé, le fait résonner avec notre présent pour montrer tout autant la continuité des drames humains que l'infinie variété de leur mise en scène.
Les corps s'intriquent, dialoguent dans leurs sangs, à travers les restes qu'ils nous laissent à explorer, connaissent aussi bien notre passé que notre future, atteignent nos rêves, notre inconscient, changent le monde enfin, en silence, au milieu du vacarme incessant des guerres, des révolutions et des crises.
Il existe un ailleurs, un jardin d'exil, mais cet ailleurs n'est pas celui qu'on croit, n'est pas ce jardin d'Éden ennuyeux et impersonnel, cet ailleurs est à chercher dans le lien qui nous unit à chaque chose, présente ou passée, à chaque être, vivant ou mort.

Ce lien manquant est précisément à chercher là où il semble ne rien se passer, ou pas grand chose, dans la chambre du dormeur, dans la tombe du trépassé, au chevet du malade ou de manière générale à chaque fois que quelque chose de beau nous surprend: un paysage, un morceau de musique, une étreinte, un beau livre enfin....

Admirable leçon de vie.

Un roman qui m'a beaucoup touchée et que je conseille vivement.
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J'ai longuement hésité à lire ce livre, tout simplement parce qu'il s'agit d'un premier roman, et je dois dire que j'ai été très agréablement surpris.
J'ai plongé dans ce livre comme le narrateur plonge dans son rêve, le lendemain d'une soirée difficile, à l'affut d'un indice qui permettrait de comprendre les différentes intrigues intriquées (en référence au phénomène de physique quantique, que je ne connaissais pas et qui m'a fasciné).
J'ai été littéralement happée, à la fois par les personnages, la jeune femme Laura, soeur du narrateur, atteinte d'une forme aiguë de leucémie (la LAM), Sacha, un baroudeur russe, archéologue, sorte de Blaise Cendras de l'archéologue, et par toutes ces histoires, présentes et passées qui s'enchaînent les unes après les autres comme la découverte d'une nouvelle pièce du puzzle.
Rien de pire bien sûr dans ce genre de récit lorsque le puzzle final est morne et décevant, ou inexistant.
Mais dans notre cas, tout se resserre et nous donne à voir une belle harmonie finale, sous la forme d'une nouvelle ontologie (comprendre vision du monde) positive et poétique! C'est donc sans hésitation que je le recommande.
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Premier roman de Yanis Al-Taïr, je le découvre dans le cadre d'une opération Mass critique.

Nous suivons Alejandro, jeune archéologue parisien multipliant les rencontres féminines, qui apprend au début du roman que sa soeur Laura, est atteinte d'une leucémie myéloïde aigue. Ce coup de massue, entraîne des remises en questions et des réflexions sur de nombreux sujets de société actuels.

On sent que l'auteur est très cultivé, il écrit plutôt bien, tout est documenté, et on relève de nombreuses références littéraires, scientifiques, géopolitiques et historiques. J'ai apprécié certains passages en particuliers, comme les réflexions musicales avec le personnages d'Azadeh, et surtout sur la fin du livre la comparaison de l'interprétation scientifique versus religieuse du jardin d'Eden et de l'apocalypse dont j'ai trouvé le point de vue intéressant.

Mais malgré toutes ces petites références et idées intéressantes, j'ai regretté que rien de soit vraiment approfondi. de nombreux sujets très variés sont abordés: la maladie, les médecines alternatives, printemps arabe, immigration, choix de vie (famille versus carrière), révolution iranienne, système de santé français.. et j'en passe. Mais tout est survolé, on relève quelques clichés parfois teintés d'ironie, mais je suis restée sur ma faim.

Deuxième point, les dialogues manquent franchement de réalisme. Par exemple l'accent du personnage de Sacha transcrit par la répétition toutes les 4 lignes de "My friend" est agaçante. J'ai découvert Damasio le mois dernier, et linguistiquement la comparaison est rude. de même, les lettres d'Aemilia, document archéologique supposé être le journal intime d'une jeune fille qui aurait vécu en 519 n'est pas du tout crédible. L'histoire est survolée très superficiellement et le langage de la jeune fille pourrait être celui d'un influenceuse en 2024 qui décrirait son profil sur un site de rencontre: "Je suis mate de peau, plus grande que la moyenne, et mes cheveux sont longs et sombres comme le jais… toujours d'humeur égale mais de nature timide, je suis mariée depuis un an".

Mais ce qui m'a le plus gêné, dans ce livre c'est le rapport aux femmes:
- Excepté sa mère et sa soeur, toutes les femmes sont décrites avant tout par leur physique et leur rapport aux hommes et au sexe (ce qui n'est pas du tout le cas des hommes).
- Pourquoi faut-il que Mathilde se débatte avant de faire l'amour pour la première fois avec Alejandro?? Pas très 2024...
- Et pourquoi l'externe du service d'oncologie (qui devient l'interne quelques pages plus loin) doit elle porter des faux ongles??? En pratique, vraiment ça n'existe pas dans les services de soins hospitaliers.

J'avoue qu'en additionnant ces détails, avec les multiples préjugés du personnage sur les "bobos", le bio, ainsi que son diagnostic très sûr de l'homosexualité de Sébastien après une simple poigné de main ne m'ont pas rendu Alejandro très sympathique malgré le drame qui le touche.

Mais peut être que ce ne serait effectivement pas mon meilleur ami dans la vrai vie non plus et que je ne suis finalement pas la cible.
Tout cela n'est que mon humble ressenti et n'a évidemment pas valeur de vérité absolue.

PS: vrai question: y a t il vraiment des nuits polaires à l'Est du Lac Baïkal? J'avais l'impression que ce n'était pas la bonne latitude mais j'ai du mal à trouver l'information…

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Ce roman a rencontré des difficultés à éveiller mon intérêt : l'abondance des sujets (trop) variés en est la cause. Quel était le fil de cette histoire ? Où cela allait-il me conduire ? La trame est peu claire : chapitre après chapitre, le lecteur passe de la vie du narrateur, Alex, et de sa famille (partie que je qualifierais de roman "pur"), au printemps arabe de 2011, à la valeur de la médecine française, à l'évolution de notre monde voire à la physique quantique (parties qui tendent vers l'essai).
Le seul fil conducteur ténu (que j'oserais comparer au fil d'Ariane dans le labyrinthe), est l'histoire d'Aemelia et Theodora qui se déroule à l'époque byzantine. Cette histoire trouve des résonnances dans la partie actuelle (2011) du texte.
A partir du déroulement de la vie et des événements intimes du narrateur, l'auteur s'enfonce dans des sujets parfois très pointus.
Au départ, nous faisons la connaissance d'Alex, ayant étudié la médecine qui a bifurqué aux cours de ses études pour devenir paléogénéticien à l'Institut des Mondes anciens. Il vit à Montreuil loin de sa famille. Lorsqu'il apprend que sa soeur qu'il ne voit plus depuis quelques années est atteinte d'une forme grave de cancer, il lâche tout pour s'en occuper. Il est aussi en contact avec un ami archéologue, Sacha qui se trouve au Musée du Caire lors du printemps arabe et qui tente de rentrer en France en emportant en fraude un papyrus gardé dans une boîte métallique qui pourrait apporter des éclaircissements quant à l'histoire de nos deux Byzantines du "fil rouge". Voilà pour la mise en place de l'histoire.
Le registre de langage est soutenu et très précis dans les domaines scientifiques : je n'ai d'ailleurs toujours pas vraiment compris les passages concernant la physique quantique. J'imagine qu'un tel sujet est difficile à vulgariser. C'est là que l'on ressent la formation d'ingénieur de l'écrivain dont c'est le premier roman.
Lors de ses réflexions sur le passage de l'être humain sur terre et l'évolution de notre monde, je n'avais plus l'impression de lire un roman mais plutôt un essai. Même impression avec le thème de la médecine.
J'ai également regretté quelques fautes grammaticales , fautes d'orthographe et/ou coquilles.
Les sujets sont intéressants : les relations familiales et amicales sont finement perçues et décrites, on y trouve beaucoup de sensibilité et de force. Les sujets "satellites" ont l'air d'être maitrisés (je ne suis pas scientifique d'où ma réserve).
Mon seul regret finalement : cette avalange de sujets "sérieux", pointus même plutôt dignes d'un ou plusieurs essais au milieu d'un roman de fiction qui demande à être un peu plus léger à digérer. - Oui je l'admets, j'ai toujours eu du mal à comprendre les sciences et quand je crois y être arrivée eh ben il s'avère que non !
Globalement, j'ai quand même passé un bon moment de lecture, ce n'est qu'un premier roman. L'auteur peut sûrement s'améliorer simplement en se limitant en nombres de sujets et peut-être en vulgarisant mieux les sujets scientifiques.
Je lui souhaite d'ailleurs une longue et belle carrière d'écrivain.
Merci à Babelio et aux Editions du Lointain pour cette découverte dans le cadre d'une masse critique privilégiée.

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Qui trop embrasse mal étreint!

Ce roman embarque la lectrice tous azimuts, de Rabat à Montreuil, de Jérusalem au Caire, Pompéi et j'en passe, j'ai oublié l'Alexandrie romaine....
Les thèmes abordés sont variés, trop variés : l'accompagnement de la soeur du narrateur atteinte d'une leucémie très maligne, les recherches archéologiques et l'utilisation de l'analyse de l'ADN, le métissage des cultures, les révolutions arabes de 2011... et j'en passe et des plus compliqués. Sans parler des concepts non maîtrisés faisant appel à la physique quantique, les querelles théologiques byzantines....
les histoires d'amour et les récits érotiques surchargent l'histoire déjà assez embrouillée.
Les excès de boisson bière ou grand cru de Bourgogne m'ont fatiguée.

Avant d'éditer un livre, il convient de relire soigneusement l'orthographe. On peut pardonner une coquille mais des fautes d'orthographe systématiques agacent : majuscules oubliées, accents circonflexes sur les u absents, "passer" au lieu de "passé" et j'en passe.... Les éditions du Lointain devraient embaucher un correcteur.

la Masse Critique de Babélio est l'occasion de découvrir "à l'aveugle" sans critiques de Presse ou de blogs, des premiers romans et des auteurs inconnus. J'adore cette aventure même si on n'est pas à l'abri d'une déception





Lien : https://netsdevoyages.car.bl..
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Voici un roman intrigant avec des réflexions très intéressantes mais quelques passages un peu long.

J'ai trouvé que le roman avait des parties d'intérêt inégal. Autant j'ai été happée par la lutte de Laura contre le cancer, la complexité des relations familiales ou le fameux journal ancien retrouvé en Égypte, autant j'ai eu envie de décrocher à certaines réflexions développées par l'auteur sous couvert de donner la parole à Alejandro, son personnage principal.

Je suis donc un peu mitigée à la fin de cette lecture sans que cela soit une déception pour autant. Bien qu'ayant des doutes sur le fait que les femmes aient réellement parlé comme retranscrit ici en 512, j'ai aimé le fait que ce journal intime soit inséré dans le récit, donnant un certain rythme à l'histoire, avec l'envie d'en apprendre davantage sur cette jeune femme d'un autre temps. J'ai aussi trouvé passionnant que l'auteur ait su mêlé autant d'informations en un roman : des histoires d'amour, l'archéologie, la révolte des printemps arabes, une sorte d'enquête concernant le papyrus ancien retrouvé, et bien sûr la lutte de Laura.

Je remercie donc Babelio et les éditions du Lointain pour cette découverte.
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Livre reçu par la maison d'édition sur une proposition de Babelio.

"Jardins d'exil" se présente comme un récit ambitieux, explorant des thèmes profonds tels que la maladie, la famille et les bouleversements historiques. L'auteur tente de tisser une intrigue complexe mêlant le drame personnel d'un jeune homme à la toile de fond des révolutions arabes de 2011.

Malheureusement, l'ambition du roman n'est pas à la hauteur de sa réalisation. La principale déception réside dans le style d'écriture, qui s'avère souvent lourd et alambiqué. L'auteur s'égare dans de longues phrases alambiquées et des circonvolutions langagières qui nuisent à la fluidité du récit. J'ai vraiment eu du mal à lire le livre entièrement.

De plus, l'intrigue peine à se développer et s'enlise dans des détails secondaires sans importance. On perd le fil du récit principal, ce qui rend la lecture laborieuse et frustrante. 
Le rapport aux femmes est particulièrement exaspérant,leur physique y occupe démesurée et la violence dans la sexualité n'y est pas absente.
Le personnage principal est pénible et prétentieux et c'est ainsi que c'est écrit, à sa manière. Pénible donc

Malgré ses défauts, le roman n'est pas dénué de qualités. L'auteur évoque Montreuil avec sincérité et le thème du cosmopolitisme est sympathique, mais à la fin il se perd dans une théorie assez fumeuse.

''Jardins d'exil" est un roman qui souffre d'un style trop alambiqué et d'une intrigue confuse. La lecture est laborieuse et ne m'a pas procurée le plaisir attendu. 

De façon subjective, je ne vous recommande pas cette lecture donc.

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Jardins d'exil est un titre prometteur qui ouvre la porte à l'évasion. L'auteur en ouvre plusieurs des portes, même beaucoup. C'est un livre un peu déroutant au début car cela part un peu dans tous les sens. Comme un ami (on en connaît tous un) qui fait plein de digressions lorsqu'il vous raconte une histoire. Ici, le jeune Alejandro rencontre quelqu'un et va nous raconter l'histoire de son grand père par exemple. Ou bien cela va lui rappeler un spectacle et il va raconter ce spectacle. Si bien, qu'on ne sait pas trop où on va. Puis petit à petit l'histoire se resserre autour de la soeur d'Alejandro qui apprend qu'elle est atteinte d'une leucémie et autour de l'histoire antique de deux femmes dont le mystère est à percer dans leurs ADN.
Pour ma part, j'ai été touchée par l'histoire de sa soeur et des conséquences sur sa famille et du lien avec son frère. Je suis restée davantage imperméable à l'enquête autour du journal intime byzantin et à son autrice.
L'auteur semble fourmilier d'idées, avoir plein de choses à dire et à partager. Mais c'est presque trop et on aurait envie qu'il se canalise davantage.
Au passage, j'ai identifié plusieurs petites fautes et/ou coquilles qui mériteraient une correction.
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