" Katouchka... Oussalovna... Au moment des adieux, quand elle m'avait confié sa main blanche et frêle, ses doigts longs et graciles, elle m'avait dit : " Voyons-nous encore une fois. Je pars pour Zittau, rejoignez-moi là-bas. " La nuit précédente, alors que sa tête pâle et mince reposait sur mes genoux, et que ses pommettes effleuraient mon visage penché vers elle, avait-elle murmuré quelque chose ? " Quatre nouvelles d'amour et de tragédie, dans un Orient mystérieu... >Voir plus