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Deux femmes liées par la violence de leur destin.

Soraya. 2015. En fuite d'on ne sait quoi, elle erre dans Paris, de squats en hôtels miteux, côtoyant des SDF, des migrants, des marginaux, alors qu'il est évident qu'elle vient d'un milieu social favorisé. Elle se réfugie dans la lecture d'un journal intime tenue par une jeune fille de 15 ans , son aïeule ...

... Célestine. Hiver 1788 – printemps 1789. Elle quitte la plantation antillaise de ses parents pour leur hôtel particulier parisien, juste accompagnée de son père et de l'esclave qui l'a élevée, désormais affranchie puisque sur le sol métropolitain, l'esclavage est interdit ( contrairement aux territoires coloniaux ). Elle aussi fait des rencontres hors de sa classe sociale qui lui font découvrir la vie, la vraie vie, celle du peuple, à la veille de la Révolution française dont on sent monter l'éclatement.

Si les histoires s'enchâssent habilement, au gré des lectures de Soraya, autant les passages consacrés à cette dernière sont empreints de mystère, autant ceux dédiés à Célestine sont limpides. C'est là que tout le talent de conteuse de l'auteure se ressent. Je me suis régalée à découvrir le Paris pré-révolutionnaire à travers le regard et le ressenti de cette jeune fille intelligente et passionnée qui à la fois acquiert une conscience politique et tombe amoureuse d'un être qui ne lui est pas destiné. Lorsqu'on découvre pourquoi Célestine est partie précipitamment avec son père des Antilles, l'émotion est très vive et très bien amenée par la plume ciselée et soignée de Marijosé Alie.

J'ai un peu moins accroché avec Soraya. Sans doute parce que les indices qui auraient pu éclairer sur sa fuite et son mal être sont trop épars ou trop faibles. A force, je me suis moins intéressée à son parcours, attendant que Célestine revienne en avant. Il aurait juste suffi de quelques mots de plus, arrivés plus tôt dans le récit. D'autant plus qu'une fois les explications dévoilées à la toute fin, le choc est fort, l'empathie immédiate.
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C'est Agnès Chalnot qui m'a proposée ce livre en Service Presse : je la remercie ainsi que les éditions Hervé Chopin pour leur confiance. J'ai accepté de lire le roman car il possède une partie historique qui se déroule au XVIIIème siècle, en 1788. Malheureusement, je sors un peu mitigée de ma lecture.

En Novembre 2015, Soraya semble perdue et erre sans but dans les rues de Paris. Elle se laisse menée au gré des rencontres fortuites et essaye de se raccrocher tant bien que mal aux personnes qui lui offre un toit pour une nuit comme Rama ou comble sa solitude comme Denis. Pourtant ses manières sophistiquées et son portefeuille bien rempli semblent indiquer une origine sociale plutôt favorisée. Or, elle déambule uniquement avec les vêtements qu'elle porte et un sac à dos dans lequel se trouve un précieux cahier : il s'agit du journal intime de son aïeule.
A la veille de la Révolution française, Célestine a grandit dans les Colonies mais une étrange maladie de peau, aux dires de sa mère, l'empêche de sortir au soleil. A ses quinze ans, son père qui est notaire décide alors de l'emmener à Paris avec sa nourrice Nanou. le contraste est rude entre son ancienne vie et la nouvelle d'autant plus qu'un vent de changement semble souffler dans la capitale…

Soraya, un personnage plutôt déroutant

Je vous avoue que j'ai eu beaucoup de mal à saisir ce personnage au début du roman. Pour tout vous dire, j'étais un peu à côté de la plaque car j'ai même cru qu'elle était une migrante perdue dans les rues de Paris. Or, ses manières, son portefeuille rempli et la possession du journal intime de son aïeule m'ont vite détrompée. de plus, psychologiquement et physiquement, c'est un personnage fragile et instable : elle a beaucoup de mal à s'alimenter, il lui arrive de perdre connaissance, parfois elle explose littéralement sans raison, elle se laisse mener par ses pulsions, reste passive même quand elle se fait voler, etc… Bref, Soraya est un personnage assez déroutant et je vous avoue qu'au début, je n'ai pas trop aimé la suivre. Enfin, cela c'était jusqu'au dénouement : dès lors que l'on connaît son histoire et la raison de son errance, on comprend mieux son mal-être et l'on excuse d'autant plus son comportement même s'il est déraisonnable. On se dit même que l'on ne sait pas comment on aurait réagi face au choc contre lequel elle a dû faire face.

Célestine, un personnage plus intéressant mais…

Étant donné mon intérêt pour l'Histoire, vous aurez compris que j'ai mieux apprécié le personnage de Célestine. La jeune fille a quinze ans et est issue d'une famille bourgeoise. Elle ne semble pourtant pas très heureuse : sa mère la regarde à peine, semblant lui préféré son petit frère et son père est souvent absent. de plus, il semblerait qu'elle ne puisse pas sortir en raison d'une soi-disante maladie de peau qui l'empêcherait de s'exposer au soleil. Seule sa nourrice Nanou semble combler le manque d'affection de la jeune fille. Aussi, la vie à Paris lui semble beaucoup plus douce : grâce à son père qui se fait passer pour ce qu'il n'est pas (il rajoute une particule à son nom), elle cotoye la bonne société parisienne. Elle fait ainsi la rencontre d'Olympe de Gouges, connue pour ses idées féministes et sa déclaration du Droit de la femme et de la citoyenne, pendant la Révolution française.

… une reconstitution historique qui ne m'a pas convaincue

Bien que le personnage de Célestine soit beaucoup plus intéressant à suivre que sa descendante Soraya, malheureusement, j'ai été finalement plus déçue par cette partie en raison du contexte historique. Honnêtement, j'ai eu beaucoup de mal à y croire soit parce que le décor est très peu dépeint, soit en raison d'anachronismes flagrants qui m'ont complètement sortie du récit. J'en citerais deux :
– le premier est l'expression « les poubelles de l'Histoire », phrase attribuée à un invité du père de Célestine. Sauf que le mot « poubelle » n'aurait jamais pu être utilisé en 1788 puisque qu'il vient du nom de Mr Poubelle qui l'a inventé à la fin du XIXème siècle.
– le second est Célestine qui connaît cette bévue puisqu'à un moment donné, elle donne la température exacte de -22°C. Effectivement, la graduation en degré Celsius date bien du milieu du XVIIIème siècle et les thermomètres existaient déjà. Toutefois, ceux-ci étaient encore assez peu répandus dans les foyers et j'ai du mal à croire que Célestine ait pu donner une température aussi précise à cette époque.

En conclusion, j'ai peu accroché à ce roman : j'ai été déroutée tout d'abord par le personnage de Soraya avant finalement d'être agréablement surprise par le dénouement auquel je ne m'attendais pas. Quant à Célestine, si le personnage était intéressant, c'est surtout le contexte historique qui m'a le plus déçue. Les anachronismes et le manque de détails m'auront malheureusement sortis de ma lecture. Dommage…
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Deux femmes, deux époques.Céleste, jeune fille de 15 ans, au temps de la Révolution Française et Soraya, jeune femme errant dans les rues de Paris de nos jours. Cette dernière est une descendante de Céleste et elle va découvrir sa vie au travers d'un cahier, son journal intime.

Comme dit précédemment, ce roman est une double temporalité. On suit la vie de Céleste devant quitter les îles avec son père et Nanou, sa nourrice, pour la France. Nous sommes en 1788 et le peuple commence peu à peu à s'insurger et la tension monte progressivement. On la suit dans ses amours, ses amitiés au sein de la noblesse française de l'époque.
Soraya erre dans les rues de Paris de nos jours. Elle se rapproche des plus démunis alors qu'elle montre les signes d'une personne issue d'un milieu aisé. Cette temporalité m'a le plus gênée. J'ai compris rapidement ce qui faisait que Soraya errait. Car outre son errance que l'on suit de quartiers en quartiers, il y a aussi ses errances psychologiques. L'ensemble est brouillon et relativement mou. Je me suis ennuyée au cours de ma lecture, sauf peut-être la fin que j'ai trouvé plus cohérente.
J'ai plus apprécié la partie concernant Céleste, peut-être grâce au contexte historique. Autant j'ai apprécié le long du cheminement de Céleste, assez romanesque, autant j'ai trouvé le final de cette partie moins abouti. Les événements de la Révolution Française sont plus que survolés et j'aurais aimé accompagné Céleste un peu plus dans cette période de l'Histoire.
Céleste est une aïeule de Soraya. J'aurai apprécié qu'il y ait plus de parallèles entre les 2 histoires de vies. Je n'en ai que peu vus : la ville de Paris ? le fait pour ces 2 femmes de subir les événements ? Leurs confrontations avec les plus démunis ? Soit il y en avait plus et je n'ai rien vu, soit il n'y en avait pas et alors je m'interroge sur la finalité de ce roman. A mon sens, chaque histoire aurait mérité son propre roman.

Bref, je suis mitigée !

J'ai reçu ce roman dans le cadre de la masse critique Babélio. Je les remercie ainsi que la maison d'édition pour l'envoi de ce livre.
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Soraya marche dans les rues de Paris ; elle erre comme peuvent errer les gens qui ont tout perdu
ou qui se sont perdus eux-mêmes. Elle n'a qu'un sac sur le dos et un vieux cahier qu'elle ne quitte pas. Elle a certainement eu une autre vie avant ; ses manières sont trop belles, son porte-monnaie trop plein. Alors quoi ? Qu'est-ce qui la pousse à vivre dehors, à écumer les chambres d'hôtel minables, à suivre cet homme étrange qui parle aux morts ?
Et pourquoi ce vieux cahier qu'elle ouvre dès qu'elle le peut et qui semble être le seul à pouvoir l'apaiser ? Qui est donc cette Célestine qui a traversé les océans pour arriver à Paris durant l'hiver 1788, alors que le froid sévit et que la Révolution française se prépare ?

Ce roman met à l'honneur 2 femmes à 2 époques bien différentes : les prémices de la Révolution française et l'autre maintenant. Mais elles parcourent leurs errances dans les mêmes rues parisiennes. L'auteur a pris soin de changer la police selon l'héroïne et cela permet une plus grande clarté dans ce roman.
Soraya, qui vit au 21è siècle erre telle une âme en peine mais je n'ai pas compris ce qu'elle cherchait réellement...
Céleste est une jeune fille de bonne famille dont le père notaire participe aux évènements politiques pré révolutionnaires.
J'ai plus aimé la partie de la vie de Céleste que celle de Soraya, qui pour moi reste très décousue. Je n'ai pas adhéré au style de ce roman, à sa construction, au personnage de Soraya et de sa "démence": pourquoi tant d'hôtels, pourquoi une telle fuite, qui est cet homme au chapeau noir?
Bref, malgré une plume bien faite, je n'ai pas adhéré à ce roman...
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Une femme qui marche dans Paris et se pose au gré de l'instant. Une jeune fille des îles qui découvre la même ville loin des cieux ensoleillés où elle a vu le jour. le même lien: celui du sang. Trois siècles les sépare. Quelle est leur histoire? Qu'est-ce qui pousse Soraya à arpenter les rues de Paris et à dormir dans des hôtels glauques? Pourquoi s'inflige t-elle cela? Quel est le secret de ces deux femmes?
La vie de ces deux femmes, Céleste et Soraya, est faite de secrets. de secrets qui obnubilent leur quotidien. L'une vit la fin d'une époque. L'autre subit la sienne. Pourquoi? Elles semblent fuir quelque chose. Mais quoi? de quelles souffrances sont-elles les dépositaires? Pourquoi elles? Deux femmes à la dérive dans une société engluée dans ses propres soucis. Dans sa propre violence. Elles sont liées par le sang. Par leur solitude. Par leur fuite en avant. A la recherche de quelque chose qu'elles ignorent. Mais qu'elles recherchent fébrilement.
Une aventure qui se déroule au fil des pages. Au fil du temps. Sur deux temps. Comme une valse bancale. Que leur réserve le destin? Au fil des mots, nous découvrons la détresse de deux femmes. Une peine immense. Sans fin. Des femmes qu'une situation trop difficile a jeté sur les chemins du désespoir. A la recherche d'une bouée à laquelle s'accrocher. Pour ne pas sombrer. Pour ne pas ouvrir la porte à la folie. Pour ne pas baisser les bras et fuir la vie. Se retrouveront-elles? Pourront-elles faire face?
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Une semaine et un jour est un roman qui met en scène deux femmes. D'un côté, il y a Marie-Célestine qui pour la première fois quitte son île antillaise pour se rendre en France, à la veille de la Révolution de 1789. de l'autre côté, Soraya, sa lointaine descendante, qui erre de nos jours dans les rues de Paris pour échapper à quelque chose ou à quelqu'un.

En 1789, Marie-Célestine débarque à Paris avec son père. Elle va y côtoyer des figures historiques comme Olympe de Gouges. Elle découvre un monde au bord du chaos. Dans les rues, le peuple n'a plus rien à manger. L'hiver est terrible. La révolte gronde. L'auteure rend compte avec finesse et acuité cette période de l'Histoire qui a permis de tout changer en France. J'ai adoré cette partie car on suit Marie-Célestine dans le chaos le plus total, un chaos qu'elle va aussi connaître dans sa vie familiale qu'elle verra bouleversée et dans sa vie amoureuse. Ce changement historique c'est aussi le changement d'une enfant en femme. C'était passionnant!

J'ai tout aussi adoré le second récit qui met en scène Soraya. Seul un petit cahier la rattache à son ancêtre Marie-Célestine et lui permet de ne pas perdre pied. Soraya erre de rue en rue, d'hôtel en hôtel. Que fuit-elle? Pourquoi? On ressent la blessure intime de cette femme et je me suis posée énormément de questions, envisageant de multiples possibilités quant à son histoire. La fin m'a laissée pantoise, émue. Soraya va rencontrer toute une population laissée de côté à Paris: les fous, les prostituées, les travailleurs pauvres. Elle va se lier à tous ces exclus d'une certaine façon. C'était un récit bouleversant!

Je vous conseille vivement la lecture de ce roman émouvant et passionnant. La plume de l'auteure est une belle découverte, annonciatrice de jolies choses à venir…
Lien : https://carolivre.wordpress...
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Ce livre sort de mes lectures habituelles et j'étais curieuse de le découvrir.

Assez rapidement, je me suis doutée du passé de Soraya mais j'ai malgré tout pris une grande claque à la fin!

J'ai suivi avec curiosité son errance dans Paris mais j'ai davantage été prise par l'histoire de Céleste que par la sienne, j'ai trouvé la découverte du Paris de 1788 par cette jeune fille arrivée des îles extrêmement intéressante! Elle y découvre la haute société, les sorties, l'amitié mais aussi les inégalités, l'injustice et la société qui menace d'exploser! Obligée de grandir plus vite que prévue, Céleste se révèle engagée et courageuse, j'ai beaucoup aimé son personnage!

En revanche, j'ai eu un peu de mal avec Soraya, que l'on découvre "en morceaux" rendant difficile la compréhension du personnage. J'ai aussi eu un peu de mal à relier les deux histoires, j'ai eu l'impression de lire deux histoires séparées.

L'écriture est fluide, élégante mais j'ai parfois été surprise par le récit, comme s'il manquait une étape, une phrase, comme si j'avais "raté quelque chose".

Une semaine et un jour est une lecture intéressante et même si je n'ai pas totalement adhéré à l'histoire, je l'ai trouvée marquante et je n'oublierai pas Soraya et Céleste!
Lien : https://abrrracadabra.canalb..
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Deux femmes à presque 300 ans d'intervalle à Paris, Marie-Célestine dite Céleste, 15 ans en 1789 et Soraya en 2015, reliées par le journal écrit par la première, grande aïeule de la seconde qui le lit avec avidité. Paris dans lequel vit Céleste est en proie aux violences de la révolution et celui de Soraya en proie aux violences d'un islamisme meurtrier. Elles sont non seulement liées par les liens du sang, par la violence de l'environnement mais aussi par le destin tragique que chacune subira.
On passe de Céleste à Soraya à chaque chapitre ce qui accentue ce lien, le parallèle de leur destin; cette alternance maintient un certain suspense sur le devenir des deux femmes.
L'évolution de Céleste, arrivée des Antilles avec son père, pour soit-disant guérir une maladie qui lui interdit de se mettre au soleil, est intéressante car on la voit progressivement passer de l'état de jeune fille à celui de jeune femme avec les convulsions de la Révolution française en arrière-plan, la problématique de l'esclavagisme et de la place des femmes dans la Révolution avec la célèbre figure d'Olympe de Gouges. Celle de Soraya l'est beaucoup moins ; elle erre dans Paris, d'hôtel miteux en rencontres improbables avec des êtres cabossés par la vie comme elle mais qui lui offre quelques moments d'humanité; certains personnages apparaissent sur quelques pages puis disparaissent sans que l'on sache vraiment ce qui les relie à Soraya. Elle est sous l'emprise d'une douleur physique et morale que seule la lecture du journal Céleste apaise un peu. On ne découvre que dans les toutes dernières pages ce qui la détruit, trop tard pour s'attacher à elle même si le drame qui l'a frappée prend aux tripes.
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Je remercie Agnès Chainot ainsi que l'auteure et les éditions HC pour ce service presse.
Je vous met les plus et les bémols s'il y en a :
Les plus :
- Les dates pour s'y retrouver
- La couverture et la couleur de la tranche.
- Les passages du cahier en italique
- Les aller retour entre présent et passé
Le bémol :
- Au début, les passages du caret était en italique puis en écriture normal, on s'y perds un peu
Nous faisons la connaissance en 1788 de Marie-Célestine surnommé Céleste par son père. Ils sont tout les 2 sur un bateau en partance pour Paris car Céleste aurait la maladie du soleil. Sa mère lui confie un cahier qui deviendra son journal intime où elle doit inscrire toutes ses émotions, elle a 15 ans. Sa famille possèdent une plantation et des esclaves. Nous faisons ensuite un bon dans le temps et nous nous retrouvons en 2015 ou Soraya a trouver le cahier de Céleste dans la vielle malle de son grand-père. Nous suivons 2 histoires à la fois, celle de Soraya et celle de Céleste à travers le fameux carnet.
J'avais apprécier la lecture car l'auteure a une belle écriture mais malheureusement je n'ai pas accroché, l'histoire avance tout doucement ce qui m'a bloquer et c'est dommage car l'histoire en elle-même est intéressante surtout que c'est la période de la révolution. Nous découvrons une jeune fille qui ne veux pas vivre enfermer dans une bulle mais qui rêve de liberté, de découvrir la vrai vie et l'amour. La couverture représente bien l'ambiance du livre.
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Une plume toute en finesse qui nous donne une double narration, celle de Céleste dont on suit l'histoire à travers un carnet et celle de Soraya de nos jours, qui elle a une histoire beaucoup plus confuse, on ne peut toutefois s'empêcher de continuer notre lecture pour savoir pourquoi elle erre comme ça et d'où elle vient ...
J'ai trouvé ces deux personnages très touchant et je n'ai pas vu le temps passer synonyme d'un bon roman 🤔☺️
La fin m'a laissez sans voix, c'est un contemporain doté d'une noirceur que j'ai pris plaisir à découvrir et je ne peux que vous le conseiller 😁👌
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