Franchement, je mets 1 étoile et c'est déjà beaucoup.
J'ai finalement abandonné au 3/4 du roman après 203 pages incompréhensibles, inutiles, sur l'enfance nombriliste de l'auteur. Un vrai supplice.
A moins d'apprécier
Santiago H. Amigorena au point d'en être fan, je ne vois pas l'intérêt d'écrire et encore moins de lire un tel "roman" où l'auteur se gargarise avec ses pensées sans queue ni tête sur son passé d'enfant muet exilé en Uruguay et sur des réflexions philosophiques et des sujets complètement éparpillés, dénués d'intérêts.
Un déballage de culture générale indigeste!
Durant ces pages, on a l'impression d'être immergé dans la tête d'une personne sénile qui divague et divague encore... Des pensées qui défilent les une après les autres, sans un quelconque intérêt, et surtout, sans structure!
Même si certains passages ont retenu mon attention, c'est très pauvre comparé au nombre de pages restant.
Je ne vois pas ce qu'on peut en retirer de ces réflexions sans fin concernant le dentiste, le psy, les jeux de billes, l'école, la machine à écrire, les tortures, encore le dentiste, encore le psy, les monstres, les poèmes sans queue ni tête,...
Ça aurait pu être touchant si on n'avait pas l'impression de lire le premier jet d'un roman à peine retravaillé. Un effort aurait pu être amené pour éviter les digressions et les réflexions sans fin, adressées à une élite d'intellectuels que la plupart des lecteurs lambdas ne sont pas.
Ça me fache de lire des livres pareils tant l'histoire aurait pu être touchante si l'approche avait été différente.
Le passé de l'auteur a du potentiel mais il n'a véritablement pas le don pour nous transmettre à l'écrit, de la meilleure manière, qui soit son vécu.
Décevant.