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Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Si le contenu d'un livre vous indiffère pourvu que le style soit bon, vous aimerez le Premier Exil, mais, si le contenu du livre a quelque importance pour vous, épargnez-vous cette lecture, bien loin de l'excellent le ghetto intérieur, du même auteur.
L'Argentine étant devenue trop dangereuse, la famille s'exile en Uruguay, pays où il fait bon vivre, jusqu'au début des années 1970 où les militaires prennent le pouvoir et instaurent une dictature. Les Escadrons de la mort proches de l'armée commettent attentats et assassinats.
Cela paraît intéressant, hélas, l'auteur ne s'adresse pas aux lecteurs, mais à lui-même. Il n'y a aucun mal à écrire pour soi-même et pour ses amis, mais pourquoi publier le livre ?
Je dois reconnaître que Santiago H. Amigorena a du talent, j'avais beaucoup aimé le ghetto intérieur (peut-être parce qu'il s'intéressait à quelqu'un d'autre que son importante personne). J'ai retrouvé ce talent dans certaines pages du livre le premier Exil malheureusement, elles sont beaucoup trop rares.
Il reste un livre autocentré, sans grand intérêt, effectivement, pour un lecteur qui ne fait pas partie de ses amis.

Lien : https://dequoilire.com/le-pr..
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Quel pensum ! de vagues souvenirs d'enfant (pas plus intéressants que d'autres) entrecoupés de considérations poético-philosophico mystiques à côté desquelles je suis complètement passé ! Des passages en italique, on se demande pourquoi... Tout cela manque terriblement de fluidité. J'avais pourtant bien aimé le Ghetto intérieur. Bref, abandon au tiers du livre.
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Voilà que s'achève l'aventure de ce jury littéraire avec ce roman paru chez P.O.L. que j'avais mis de côté comme une petite friandise, pour me souvenir de l'époque où je trouvais mon plaisir dans le catalogue de cet éditeur. Hélas, j'ai rapidement déchanté à la lecture de cet ultime “roman” de Santiago H. Amigorena que je découvre par la même occasion, car c'est
plus un récit qu'un roman, entre l'autobiographie et l'autofiction.

Le livre s'imbrique donc parmi les autres parutions de l'auteur qui composent une oeuvre globale - le Dernier Livre - présentée en fin de récit, séparée en six parties de deux chapitres découpant autant de périodes de la vie de l'auteur. le Premier Exil suit une partie de l'enfance d'Amigorena, de l'exil de sa famille de Buenos Aires alors en pleine instabilité politique, pour leur installation en Uruguay.

Si la plume et le verbe sont assurément agréables et que cette tranche de l'histoire de l'amérique latine, cruelle des exactions et de la torture auxquelles s'adonnent les militaires, nécessitait d'être rappelée, je n'y ai pas trouvé ce que j'aime dans mes lectures.

Je suis toujours terriblement ennuyé par ces longs récits psychanalytiques où les auteurs - souvent français - nous font payer une vingtaine d'euros pour lire leur introspection qui se voudrait bouleversante au point de nécessiter une publication. Quand, dans le récit, l'auteur raconte suivre une psychanalyse et être lui-même fils de deux psychanalystes, je me suis pris à sourire en songeant que j'avais vu juste.

Roman obtenu dans le cadre du jury du prix du roman Fnac.
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J'avais beaucoup apprécié le Ghetto intérieur et j'étais impatiente de lire le premier exil, sachant qu'il s'agissait d'une suite avec une probable évolution des personnages et de leurs sentiments. Mais, j'ai rapidement été déçue par le besoin de l'auteur de me mener sur le terrain de ses réflexions philosophico-psychanalytiques. J'ai perdu le fil de l'histoire et perdu l'envie d'aller plus loin et je le regrette, l'histoire était belle, intéressante et surtout apprenante, mais le fil du désir de lecture était rompu.
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"Le premier exil" s'intègre dans l'autobiographie fleuve de l'auteur que je n'ai pas lue et ne lirai pas.

J'ai eu l'impression de prendre une lecture en cours, d'avoir loupé un épisode. Je ne suis jamais parvenue à adhérer au récit et à l'apprécier à sa juste valeur j'imagine.

Amigorena fait référence à des éléments déjà racontés dans d'autres volumes.

Cette période est tout de même le début de ses souvenirs puisqu'elle court de ses 6 à 12 ans.

Cela commence par le décès de son arrière-grand-père maternel, retour à Buenos Aires trois mois après l'installation à Montevideo. C'est le retour en Argentine abandonnée quelques mois plus tôt pour fuir la dictature naissante, - qui les rattrapera un peu plus tard en Uruguay - le décès de l'abuelo marque la coupure et l'abandon du pays.


Je n'ai pas pris de plaisir dans cette lecture, l'écriture me semblant - désolée de le dire mais c'est mon ressenti - ampoulée, trop intellectualisée, nombriliste.

Pendant les 111 premières pages du premier chapitre, j'ai eu le sentiment que l'auteur s'autopsychanalisait... faut dire que c'est à l'âge de six ans qu'il a commencé une psychanalyse au rythme de 3 fois semaine...

Il y a de belles réflexions philosophiques sur la mort qui le hante depuis l'enfance, mais ce récit est aussi avant tout la découverte de l'écriture.

Souvenirs d'enfance plic ploc teintés de mélancolie, la grande maison de Montevideo, le gomero, le dentiste (oui oui passionnant ) et psychanaliste..., désolée ce n'était peut-être pas le bon moment mais je n'ai pas accroché et j'ai tellement à lire.

Ma note : abandon
Lien : https://nathavh49.blogspot.c..
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Je n'ai pas réussi à entrer dans ce livre,
Du nombrilisme des retours en arrière sur ces autres livres....................................

J ai terminé mais j'ai passé certains passages Et j ai déjà oublié ..........................................;

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