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Le choix est le deuxième roman de Viola Ardone.
Il y a 4 parties. Nous commençons dans les années 60, dans le sud de l'Italie, en Sicile au coeur d'un petit village.
Viola nous parle de l'éducation faite aux filles et de la place faite aux femmes dans le foyer. La différence entre les filles et les garçons. Il vaut mieux naître garçon que fille.
Oliva Denaro à la tête pleine de phrases que sa mère à rempli. Plein de phrases pour être une bonne fille, une femme docile. Mais Oliva, un brin rebelle a envie de liberté, d'étudier, d'insouciance. Elle ne veut pas être comme sa soeur soumise et enfermée chez son mari. Elle ne veut pas grandir. Elle veut vivre. Alors, elle en profite. Tant que le "Cardinal" n'a pas fait son apparition, elle peut jouer avec les garçons. Après, ça serait mal venu. Elle serait considérée comme une fille facile. Et dans les petits villages tout se sait très rapidement.
De toute manière, il n'y a pas de lois pour protéger les femmes. Les hommes eux, ont tous les droits.
Un roman qui révolte, un roman qui chavire, un roman puissant.
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Coup de coeur pour ce roman, écrit avec justesse et sensibilité, où chacun des personnages est finement décrit, où l'on s'immerge pas à pas, subtilement, dans une époque et un lieu dont les coutumes nous sont inconnues, où l'on s'attache à une jeune fille qui a décidé d'avoir le choix de la vie qu'elle veut mener, quel qu'en soit le prix à payer.

Il fut un temps, pas si éloigné de nous, dans les années 1960, où les jeunes filles, les jeunes femmes, n'avaient pas le choix en Italie.

Le choix de nouer les amitiés qu'elles désiraient, de se promener seule une fois devenue "jeune fille", de danser, lever les yeux vers un jeune homme, parler en public, être seule, même sur la place du village, avec un garçon, aller à l'école et être trop instruite, avoir des idées d'émancipation...

Tout acte risquait de les transformer pour toujours en "dévergondées", de leur faire perdre leur réputation, leur vertu, leur honneur.

Leur mariage était arrangé sans leur consentement par les familles et lorsque un prétendant avait des vues sur elles, il "suffisait" à celui-ci de les compromettre, pour qu'elles soient définitivement perdues aux yeux de la société et qu'un "mariage réparateur" soit organisé.

C'est dans cette époque cadrée, régie par les lois des familles et de la société, qu'Oliva 15 ans cherche son chemin d'adolescente.

Olivia, cette jeune fille "garçon manqué" qui aime l'école, adore apprendre de nouveaux mots, courir à perdre haleine avec ses sabots aux pieds, aller aux limaçons ou aux grenouilles avec son père, jouer avec son ami Saro "le boiteux", rêver devant les formes des nuages et leur inventer des noms, réciter les déclinaisons latines, dessiner les vedettes de cinéma en cachette, rêver avec son amie Liliana devant les revues, deviner l'amour dans les pétales d'une fleur.

Olivia qui pense avec justesse que « la femme n'est jamais au singulier ».
« La femme au singulier n'existe pas. Si elle est à la maison, elle est avec ses enfants, si elle sort, c'est pour aller à l'église, au marché, ou aux enterrements, où il y a toujours d'autres femmes. Et s'il n'y a pas d'autres femmes pour la tenir à l'oeil, il faut qu'elle soit accompagnée par un homme ».
« Moi, une femme au singulier, je n'en ai jamais vu » dit elle….

Olivia qui nous conte ses ressentis avec beaucoup de profondeur pour son âge.
"Je ne sais pas si le mariage je suis pour, je ne veux pas finir comme Fortunata... C'est pour ça que je cours tout le temps, dans la rue: l'air qu'expirent les garçons est comme celui d'un soufflet qui aurait des mains et pourrait toucher ma chair. Alors je cours pour devenir invisible, je cours avec mon corps de garçon et mon coeur de fille, je cours pour toutes les fois où je ne pourrai plus, pour mes camarades qui portent des chaussures fermées et des jupes longues, qui ne peuvent marcher qu'à petits pas lents, et puis aussi pour ma soeur qui est enterrée chez elle, comme une morte, mais vivante."
"Les veuves, je suis pour, parce qu'elles n'appartiennent qu'à elles-mêmes".
"Je suis aussi ma mère, et un jour de deviendrai comme elle sans même m'en apercevoir. Nous sommes des poules, des femmes de poulailler. Et le poulailler, je suis contre."

Ce roman est un coup de coeur car il nous immerge dans la vie de cette jeune fille, dans le choix qu'elle va prendre, dans ses relations avec sa mère, stricte et étriquée, avec son père qui parle peu mais est là et bien là dans sa vie (dont les expressions « je ne préfère pas » ne sont pas vides de sens, bien au contraire) et dans les conséquences qu'aura sa décision sur son avenir et celui de sa famille.
Coup de coeur pour sa relation toute en non-dits, silences puissants et sensibilité avec son père !

Le choix est un roman puissant et sensible à la fois. Un de ceux que l'on referme en ayant vécu avec les personnages, en ayant appris de l'Histoire avec un grand H par les petites histoires d'une famille et d'un village, un de ceux où l'on se dit que l'on est heureux que les temps aient changé et que les femmes soient un jour devenues au pluriel !

Lien : https://www.facebook.com/La-..
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L'envie de lire ce livre s'est faite car j'ai aimé d'emblée la photographie de la couverture, avant même de lire le résumé. En démarrant la lecture, "Le choix" m'a accrochée dès les premières pages.
L'époque, le sujet, le style d'écriture m'ont plu immédiatement.
Ce livre est l'histoire d'Oliva, racontée par Oliva d'où la manière de penser, le ton et les mots d'une jeune fille des années 60 ....choix que j'ai apprécié: il en ressort paradoxalement une naïveté et une certaine gravité de ces jeunes filles projetées rapidement dans une vie d'adulte.
Il s'agit de la condition de la femme en Sicile dans les années 60: il est question d'honneur , de lois absurdes clairement en faveur des hommes et de féminisme.
Au fil des pages, on s'insurge avec elle, on attend de savoir si elle a le choix et si oui quel est ce choix ? On voudrait se rebeller pour toutes ses femmes et les injustices qu'elles subissent.
Un très bon moment de lecture qui n'est pas sans rappeler le style, même si l'histoire est différente , d'un autre livre que j'avais également dévoré :"L'amie prodigieuse" d'Elena Ferrante.
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Je suis assez peu convaincue par les écrivaines italiennes habituellement, mais je ne sais pas, la couverture était attirante, le résumé tout autant, j'ai donc décidé de tester à nouveau.

Et je suis tombé dans l'histoire d'Oliva, cette jeune fille qui va devoir faire le choix de sa vie, et défier, ou non, toutes les règles qui régissent la vie des jeunes filles dans les années soixante en Sicile.

En premier lieu, j'ai trouvé cette plongée dans l'histoire fascinante. Je connaissais la pression que les femmes subissaient dans ces décennies en France, je n'avais jamais pensé au fait que c'était un problème européen, et tellement ancré dans les traditions.

Ensuite, les personnages m'ont été extrêmement sympathiques, ce qui ne m'était jusqu'à présent jamais
arrivé dans un livre d'autrice italienne. Comme si enfin, on comprenait les choix des personnages.

Et enfin, l'écriture a une dynamique et des spécificités très agréables dans la majorité du roman. Je garderai tout de même un point négatif sur la toute dernière partie du livre : attendez vous a devoir changer de rythmes de lecture, et ça n'est pas spécialement agréable. Mais tant pis, le reste est tellement beau. Que vous pouvez y aller les yeux fermés !


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💫Viola Ardone nous plonge dans la Sicile des années 60.
A travers le destin d'Oliva, elle raconte la difficulté d'être femme à cette époque.
« Si j'étais née garçon […], j'aurais pu rester avec moi-même, sans devoir appartenir à un homme. Mais je suis née fille, et le féminin singulier n'existe pas. […].
A la place des tables de multiplication et des verbes irréguliers, on aurait dû nous apprendre à dire non, parce que dire oui les filles l'apprennent dès leur naissance. »
Malgré cela, Oliva rêve de liberté, de faire des études et de croire en ses rêves.
💫Mais, son passage à l'adolescence bouleverse sa vie.
Sans dévoilé le roman, Oliva va être confrontée à la violence, au déshonneur, à la honte, au rejet.
Son père l'accompagnera et la laissera faire ses choix. Il lui transmet un féminisme : celui du choix et de l'indépendance.
💫Au fur et à mesure de ma lecture, je me faisais la réflexion que les années 60 sont justes derrière nous. C'est impensable ce que subissaient nos femmes de nos lignées : elles dépendaient d'un père puis appartenaient à un mari. Elles n'avaient pas de voix, de choix … elles obéissaient et subissaient. Les hommes décidaient. J'ai en écho les résistances que j'ai moi-même ressenti pendant mon adolescence.
💫En soixante ans, notre condition féminine en France s'est métamorphosée même s'il reste du chemin à faire.
Par l'histoire d'Oliva, on salue toute une génération de femmes qui a osé dire non, choisir leur vie et faire respecter leur honneur de femme.
💫J'ai apprécié la plume de Viola Ardone. J'ai aimé les dernières pages et le point final de ce roman.
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Oliva Denaro ou la naissance du féminisme en Sicile

Naître fille en Sicile et qui plus est avant 1981 n'était pas chose aisée.
Naître fille c'était aussi avoir un chemin tout tracé, de la naissance jusqu'au mariage.

Le roman de Viola Ardone aborde le sujet du point de vue de son anagramme "Oliva Denaro", jeune fille qui va grandir dans une famille où les rôles des parents sont inversés: un père aimant et à l'écoute et une mère qui dirige et qui décide de l'avenir de ses enfants ou plutôt devrais je dire ses filles puisque les garçons ont leur destin entre leurs mains.

C'est un roman qui aborde plein de sujets actuels comme le consentement. Mais que signifie ce terme dans les années 70? Eh bien pas grand chose puisqu'à cette époque avoir une relation sexuelle forcée, donc un viol, signifiait s'approprier du corps d'une femme. Oui vous avez bien lu, le viol pouvait être réparé puisque le mariage de réparation était inscrit dans le code civil jusqu'en 1981.

C'est précisément cet acte forcé qui va être un tournant dans l'histoire d'Oliva, première femme à vouloir se battre contre cette loi absurde.

Le personnage d'Oliva est ambivalent, j'ai eu un peu de mal à la cerner jusqu'à l'adolescence. On la sent curieuse mais en même temps tiraillée par l'éducation imposée par sa mère. le moment où elle s'adonne à la cause féministe arrive de manière un peu fortuite et j'aurais voulu avoir un peu plus de complexité dans son cheminement intérieur. Cela étant dit, je trouve le roman assez réussi dans sa globalité.

Si la mère est un personnage très fort du roman, j'ai trouvé le père plutôt fadouille, moins fouillé et ça m'aurait plus de connaître son passé pour comprendre sa position dans le couple.

Un mot peut être sur la dernière partie qui prend une forme quasi épistolaire par moments, est un dialogue entre le père et sa fille où chacun se met à nu.

Une belle découverte et j'ai bien envie de découvrir son roman précédent "Le train des enfants".
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« 𝙐𝙣𝙚 𝙛𝙚𝙢𝙢𝙚 𝙘'𝙚𝙨𝙩 𝙘𝙤𝙢𝙢𝙚 𝙪𝙣𝙚 𝙘𝙖𝙧𝙖𝙛𝙚: 𝙦𝙪𝙞 𝙡𝙖 𝙘𝙖𝙨𝙨𝙚 𝙡𝙖 𝙧𝙖𝙢𝙖𝙨𝙨𝙚 » lui disait sa mère.

Oliva va devoir faire un choix… qui n'est pas sans risques pour elle et sa famille. Mais ils seront là pour elle et la soutiendront coûte que coûte!

Ce roman parle de la condition de la femme dans les années 60 en Sicile. de la différence entre les hommes et les femmes. Des lois qui vont à l'encontre des femmes.
Cette jeune femme est une battante et compte bien faire entendre sa voix. Je me suis attaché à tout les personnages de cette petite famille. Et j'ai trouvé la relation entre Oliva et son père tellement touchante.

Mais qu'elle lecture! Un énorme coup de coeur!
Ce roman est touchant. Poignant. Puissant. La plume de Viola Ardone nous embarque de la première à la dernière page. Il n'y a aucunes longueurs et chaque pages est percutantes. En refermant ce roman j'ai le coeur en miette et le personnage d'Oliva me restera en mémoire.

Je ne peux que vous le recommander! 🤗
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Dans la première partie du roman, qui se situe en Sicile dans les années 1960. La jeune fille dont il est question, vit dans une famille très traditionnelle dont la mère, calabraise, est sous l'emprise du « qu'en dira-t-on », demande à sa fille de se conformer strictement à ce que la société dans laquelle ils vivent, attend d'elle dans tous les domaines. le père lui est un taiseux, plutôt rêveur, il ne s'intéresse qu'à son jardin et ce qui y vit et pousse et laisse sa femme diriger la famille sans vraiment intervenir.
Là où j'en suis, (page 138), je suis un peu déçue par rapport à ce que j'ai éprouvé lors de la lecture du premier livre de l'auteure dont l'écriture m'avait séduite et emportée facilement dans « le train des enfants ».
Les personnages et les situations dans lesquels ils évoluent, sont caricaturaux. La jeune fille se retrouve plongée dans un dilemme pénible causé par une loi cynique qui a été abolie seulement à la fin des années 80, selon laquelle, un violeur lave l'honneur de la femme et de sa famille en épousant sa victime. Oliva a 16 ans, elle doit faire un choix, accepter le mariage avec cet homme qui l'a contrainte, traitée comme un objet et qui la dégoûte. Ou refuser cette demande en mariage, sa famille et elle-même perdront alors l'honneur et recevront l'opprobre de la communauté.
Avec le soutien de quelques communistes et sympathisants, ainsi que celui de sa famille, elle refuse cette solution et porte plainte contre son agresseur. Elle perd contre toute attente.
Nous la retrouvons 20 ans plus tard, elle a surmonté l'humiliation, sa famille habite dans un autre village, elle est devenue l'institutrice du village qui l'a vu grandir, les années ont passées, elle retrouve un équilibre et tout finit bien comme de juste, elle se marie avec son amour d'enfance….
Déçue je suis. Belle écriture, trop didactique.
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J'ai passé un agréable moment avec ce roman conseillé par une libraire. On part en Sicile dans les années 60, une époque où la fabrication du trousseau entre femmes et le mariage constituent encore l'essentiel de « l'émancipation féminine » en zone rurale. Oliva aime l'école, ramasser les escargots avec son père et rêver en cachette aux acteurs de cinéma grâce aux journaux de son amie Liliana. Elle affiche une beauté libre et sauvageonne mais sa vie bascule a quinze ans. Elle est victime d'un enlèvement par le fils du pâtissier.
Grâce à ce fait divers, le roman restitue un quotidien où l'emprise des hommes et la vie du village corsètent les femmes. A travers les épreuves subies par la famille d'Oliva, Viola Ardone donne à comprendre une société où les mentalités commencent à peine à bouger. le père de Liliana anime par exemple un groupe mixte de paroles au village.
« On a beau avoir envie de le quitter, le village ne vous quitte pas. C'est une chose de faire des boutures, c'en est une autre de cultiver son jardin. Si le départ se fait en un clin d'oeil, le retour prend du temps. »
Les figures du père et de la mère sont particulièrement attachantes et émouvantes. Viola Ardone dresse un portrait de femme très abouti avec Oliva à un âge complexe. On comprend dans quelle mesure école et communisme ont participé à la libération de la femme dans une société profondément patriarcale. Curieusement défendre l'honneur d'une femme équivaut ici à cautionner les actes déshonorants d'un homme. J'ai eu la même surprise sur le caractère « tardif » du changement de la loi italienne en apprenant l'histoire du MLF et la situation des mères filles en France dans les années 70.
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Oliva, 15 ans, vit dans un petit village de Sicile dans les années soixante avec ses parents, son frère jumeau et sa soeur aînée. Cette dernière est tombée enceinte et a dû épouser le père de l'enfant contre son gré, le mariage a été arrangé sous peine d'être déshonorée.

Oliva raconte son quotidien, fait de règles à respecter que lui rappelle sans cesse sa mère, qui répète également à la moindre occasion « une fille, c'est comme une carafe, qui la casse la ramasse ». Sa mère attache une grande importance au regard des autres et aux réputations qui se font et se défont au gré des rumeurs qui parcourent le village. Ces contraintes touchent essentiellement les femmes, son frère par exemple n'est pas du tout traité de la même manière, il est beaucoup plus libre. le père est plus indulgent avec ses filles, il se montre compréhensif avec Oliva et va la soutenir. Quand un jeune homme du village commence à lui tourner autour, Oliva veut que son avis soit pris en compte et elle refuse de céder aux pressions de son entourage et de la société conservatrice de l'époque. Ce choix par lequel elle s'oppose aux traditions va lui apporter de grandes difficultés et elle sera privée de liberté mais elle l'assume jusqu'au bout malgré les épreuves et le drame qu'elle va devoir traverser et qui va bouleverser sa vie.

C'est un coup de coeur, un très beau portrait de femme. L'autrice ne tombe pas dans le piège d'une description manichéenne, les personnages sont nuancés, il n'y a pas d'un côté les femmes soumises et de l'autre les hommes bourreaux. En effet, le système patriarcal qui est décrit repose aussi sur certaines femmes comme les commères du village, ou encore la mère d'Oliva au début de l'histoire, même si celle-ci va évoluer au fil du roman à la fois dans ses idées et son comportement. du côté des personnages masculins, il y a également la figure du père qui veut avant tout le bonheur de ses enfants, ou encore le meilleur ami d'enfance d'Oliva qui la soutient et est toujours présent pour elle quoi qu'il arrive.

Par moment ce livre m'a fait penser au roman « L'amie prodigieuse » d'Elena Ferrante car il suit le destin d'une jeune femme avec en toile de fond la description de la société italienne.

L'autrice s'est inspirée de Franca Viola, figure emblématique du féminisme en Italie. Comme Oliva elle est connue pour avoir été la première à avoir osé refuser d'épouser un homme qui voulait l'épouser contre sa volonté.

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